Année : 2014

  • Un autre scandale au Haut Commissariat des Droit de l’Homme

    Houria Esslami aurait triché pour devenir membre du Groupe de travail de l’ONU
    La Marocaine Houria Esslami qui avait été élue en mars dernier à Genève membre du Groupe de travail de l’ONU sur les disparitions forcées ou involontaires (GTDFI), une désignation qu’elle avait qualifiée de «reconnaissance de l’expertise du Maroc et du Conseil national des droits de l’Homme», a eu droit un jour avant que sa candidature ne soit examinée par le Groupe consultatif du Conseil des droits de l’homme à la liste confidentielle des questions qui allaient lui être posées.
    Le 9 janvier 2014, un jour avant que Mme Essalmi, une éminente membre du Conseil national des droits de l’homme (CNDH), ne soit interviewée par des membres de l’ONU, l’ambassadeur du Maroc à Genève, Omar Hilale, transmettait dans une note confidentielle (voir ci-bas) au ministre marocain des affaires étrangères, les questions qui allaient être posées à la candidate marocaine le 10 janvier.
    Dans sa note Hilale faisait même des suggestions de ce que devait dire et faire Mme Essalmi lors de son examen devant l’ONU…
    Et effectivement, au mois de mars Houria Essalmi était acceptée au sein de ce groupe de travail de l’ONU.
    Cette énième révélation de Chris Coleman, le hacker marocain qui distille depuis le mois d’octobre des documents confidentiels marocains, confirme plusieurs soupçons.
    Les autorités marocaines ont réussi à acheter la conscience de plusieurs fonctionnaires et membres de l’ONU. Toute une frange de la société civile marocaine, surtout des « militants » des droits de l’homme, a été retournée par le régime jusqu’au point de tricher et de bénéficier du travail sale (espionnage ou corruption) effectué par ses services secrets pour obtenir par exemple la liste des questions de l’examen de Mme Essalmi.
    Dans un article dithyrambique publié par le quotidien ittihadi Libération le 29 mars 2014 faisait ainsi l’éloge de Mme Essalmi :
    Le choix de Houria Essalmi, désignée membre du groupe de travail sur les disparitions forcées au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, est un signe de reconnaissance d’un parcours personnel, mais aussi une manière de faire la lumière sur un grand dossier. Une grande consécration, dans la mesure où il s’agit d’un processus qui consiste d’abord à sélectionner des candidats éligibles, à travers le monde, puis à passer un entretien sévère et enfin à être approuvé par le Conseil des droits de l’Homme, en assemblée générale, à Genève. Une consécration d’une jeune femme battante, méticuleuse et calme, mais éprise des valeurs humaines. Sa souplesse, sa flexibilité, sa crédibilité et son abnégation la désignent comme proche de toutes les tendances actives en matière des droits de l’Homme.
    On veut bien croire que Mme Essalmi soit une « une jeune femme battante, méticuleuse et calme ». Mais « l’entretien sévère », il était en effet tellement « sévère » qu’elle savait en avance les questions qu’on allait lui poser.
    Badr Soundouss
    http://www.demainonline.com/2014/11/16/houria-esslami-aurait-triche-pour-devenir-membre-du-groupe-de-travail-de-lonu-sur-les-disparitions-forcees/
  • Mohamed Abdelaziz dénonce «le mépris du Maroc» envers la légalité internationale

    L’ONU est appelée à «honorer» ses engagements vis-à-vis de la question sahraouie, à travers notamment l’organisation d’un référendum d’autodétermination. 
    Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a dénoncé, vendredi à Madrid, la politique menée par le Maroc qui «encourage le retour à la guerre» à travers son «opposition» à la légalité internationale et son «refus» du dialogue pour le règlement du conflit du Sahara occidental. «Le Maroc encourage le retour à la guerre en fermant la porte du dialogue, en refusant l’organisation du référendum d’autodétermination du peuple sahraoui, en empêchant l’Envoyé spécial du Secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, Christopher Ross, de poursuivre ses efforts et en continuant à piller les richesses du Sahara occidental», a indiqué le prési- dent Abdelaziz lors d’une ren- contre avec le groupe parlemen- taire espagnol de soutien au peuple sahraoui. 
    Lors de cette rencontre qui s’est tenue au siège du Parlement espagnol en marge de la 39e Conférence européenne de solidarité avec le peuple sahraoui (EUCOCO), M. Abdelaziz a fustigé le dis- cours prononcé récemment par le souverain marocain Mohammed VI qui «encourage la guerre», a-t-il souligné. Le président sahraoui a réaf- firmé, d’autre part, sa position en faveur d’une solution pacifique au conflit, sans toutefois écarter l’option de la lutte armée. «Nous sommes pacifistes et nous plai- dons pour le règlement pacifique de ce conflit. Mais si le Maroc continue à défier la légalité inter- nationale, nous sommes prêts à retourner à la lutte armée», a-t-il averti, appelant à l’ONU à «hono- rer» ses engagements vis-à-vis de la question sahraouie, à tra- vers notamment l’organisation d’un référendum d’autodétermi- nation. 
    L’ONU mise devant ses responsabilités 
    «La situation actuelle met la communauté internationale, et à sa tête l’ONU, devant ses respon- sabilités face aux agissements du Maroc et son mépris à la légalité internationale», a indiqué le président Abdelaziz à l’ouverture de la 39e édition de la Conférence européenne de support et solidarité avec le peuple sahraoui (EUCOCO). Il a ajouté que le peuple sahraoui, qui lutte pacifiquement pour son indépendance, a besoin d’une action internationale «rigoureuse» et davantage d’efforts en vue d’organiser le référendum d’autodétermination. Le président sahraoui a mis en garde, également, contre le risque de dégradation de la situation dans la région, à cause notamment du trafic de drogue provenant du Maroc, ce qui encourage et alimente les organisations criminelles et les groupes terroristes. Il a réitéré, en outre, son appel à renforcer le rôle de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso) et élargir son mandat au contrô- le des droits de l’homme, comme il a appelé à l’arrêt du pillage des richesses du Sahara occidental, la fin du blocus et celle du mur de séparation. Abdelaziz a réclamé la libéra- tion des prisonniers sahraouis détenus par le Maroc et appelé à faire la lumière sur les personnes disparues lors de l’invasion marocaine en 1975. Il a rappelé, à cette occasion, à l’Espagne ses responsabilités historiques, politiques et légales qu’elle doit assumer en jouant un rôle efficace en tant membre non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU, en tant que force administrative et aussi comme pays influent au niveau européen. 
    De son côté, le président de l’EUCOCO, Pierre Galland, a dénoncé le fait que le peuple sahraoui soit toujours sous l’oc- cupation marocaine, appelant à l’application du droit internatio- nal et assurer à ce peuple le droit à l’indépendance. Il a exhorté également l’ONU à élargir la Minurso à la question des droits de l’homme, au respect des ressources naturelles du Sahara occidental, comme il a appelé l’Union européenne à revoir sa position vis-à-vis de l’accord de pêche avec le Maroc, qu’il qualifie d’illégal. 
    Pour sa part, le secrétaire général de la Fédération espagnole des institutions solidaires du peuple sahraoui (Fedissah), Antonio Lopez, a déclaré que «le peuple sahraoui n’est pas à vendre et a le droit, comme tous les peuples du monde, de jouir de tous ses droits». Il a déclaré, également, que «l’Espagne est responsable de la situation actuelle au Sahara occi- dental», l’appelant, à cet égard, à assumer ses responsabilités politiques morales envers les Sahraouis. M. Lopez a, par ailleurs, salué l’élan de solidarité avec la cause sahraouie qui s’élargit, en citant l’exemple de l’EUCOCO qui a pris une dimension mondiale avec la participation de per- sonnes venues du monde entier. 
    Z. F./APS
    Le Jour d’Algérie, 16/11/2014
  • Stigmatisant les blocages du Maroc : Le Polisario pour la remise sur rails de la négociation

    Le Coordinateur sahraoui auprès de la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso), Mohamed Khaddad, a dénoncé, hier samedi, à Madrid l’«obstination totale» du Maroc et ses défis envers la légalité internationale.
    Intervenant lors des travaux de la 39e Conférence européenne de solidarité avec le peuple sahraoui (Eucoco), mais qui regroupe également des comités de soutien venus du monde entier, Khaddad a rappelé que «le Conseil de sécurité de l’Onu dans ses résolutions a été clair, en soutenant l’Envoyé spécial du Secrétaire général de l’Onu pour le Sahara occidental, Christopher Ross, et la poursuite des négociations en vue d’aboutir à une solution qui respecte le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination». «Mais le Maroc refuse depuis 2012 les négociations et de coopérer avec l’Onu. Il a adopté une politique d’atermoiement et continue d’entraver les efforts de trouver un règlement au conflit», a-t-il ajouté.
    Le responsable sahraoui a dénoncé également le chantage du Maroc qui menace de se retirer de la Minurso. «Non seulement il bloque la solution politique, il entrevoit la possibilité d’une reprise des hostilités», a-t-il dit. Face à cette situation, il appelé l’Onu à «agir en urgence pour que le processus (de négociations) soit remis sur rails et pouvoir avancer vers une solution politique». Khaddad a, par ailleurs, critiqué la position de la France vis-à-vis du conflit sahraoui, regrettant le fait qu’il n y ait pas de changement dans sa politique.
    «La France est égale à elle-même au Conseil de sécurité dans son refus de soutenir les efforts de l’Onu et de Ross afin de créer les conditions d’une reprise des négociations». De son côté, le président de l’Eucoco, Pierre Galland, a dénoncé le fait que le peuple sahraoui soit toujours sous l’occupation marocaine, appelant à l’application du droit international et assurer à ce peuple le droit à l’indépendance.
    Il a exhorté, également, l’Onu à élargir la Minurso à la question des droits de l’homme, au respect des ressources naturelles du Sahara occidental, comme il a appelé l’Union européenne à revoir sa position vis-à-vis de l’Accord de pêche avec le Maroc, qu’il qualifie d’illégal.
    Pour sa part, le secrétaire général de la Fédération espagnole des institutions solidaires du peuple sahraoui (Fedissah), Antonio Lopez, a déclaré que «le peuple sahraoui n’est pas à vendre et a le droit, comme tous les peuples du monde, de jouir de tous ses droits».
    Il a déclaré, également, que «l’Espagne est responsable de la situation actuelle au Sahara occidental», l’appelant, à cet égard, à assumer ses responsabilités politiques et morales envers les Sahraouis.
    Lopez a, par ailleurs, salué l’élan de solidarité avec la Cause sahraouie qui s’élargit, en citant l’exemple de l’Eucoco qui a pris une dimension mondiale. Pour sa part la Pasionaria et militante sahraouie des droits de l’homme, Aminatou Haïdar, a dénoncé les conditions de vie dégradées du peuple sahraoui dans les territoires occupés du Sahara occidental, où «les Sahraouis vivent sous la violence constante» des autorités marocaines. Mme Haïdar a déclaré: «Nous vivons sous la violence constante. Dans tous les coins du Sahara occidental, la violence de l’État marocain est présente». Mme Haïdar a dénoncé les nombreuses tentatives et emprisonnements injustes qui se produisent, tous les jours, par le gouvernement marocain. «Les conditions des prisonniers sahraouis sont déplorables, ils sont privés des droits fondamentaux», a-t-elle déploré.
    «Personne n’est à l’abri des outrages de l’État marocain, même les enfants et les femmes sont victimes des abus des agents de la police marocaine qui répriment en toute impunité», a dénoncé Mme Haïdar.
    M. B.
  • Últimas revelaciones del hacker Chris Coleman

    En una nota del 7 de junio del 2014, la embajada marroquí en Madrid comenta el nuevo trabajo de Cembrero para el diario El Mundo y se queja de que el antiguo corresponsal de El País en el Magreb sigue guardando “posiciones tajantes hacie el Reino de Marruecos y sus instituciones”.
    El 4 de septiembre del 2914, el Secretario General del Ministerio marroquí de Asuntos Exteriores embajador envía una nota a su ministro en la que la relata el contenido de una entrevista con el Ministro Consejero en la Embajada de Francia en Rabat, Sr Ludovic Pouille, en la que queda reflejada la conspiración franco-marroquí contra el Enviado Personal Ross.
    En la reunión, “Pouille se interroga sobre las razones pour las que Marruecos autorizó la visita de la delegación del Centre RF Kennedy” a los territorios ocupados del Sáhara Occidental “a pesar del apoyo declarado de éste a las tesis del Polisario”.
    El funcionario marroquí declaraba “haber transmitido los agradecimientos personales del Sr Ministro por el compromiso manifestado por Francia en los últimos meses”.
    Pouille indicó, en referencia al conflicto de Marruecos con Ross, que “la gestión marroquí fue pertinente ya que permite desbloquear la situación sin legitimar de nuevo a Ross”.
    En una nota del 19 de febrero 2014 del embajador marroquí en la ONU, Loulichki, rinde cuentas de las informaciones facilitadas por la Sra Mariame Diallo, experta en la Mission francesa en la ONU encargada de la cuestión del Sáhara después de su reunión con responsables del Departamento de las Operaciones de Paz, Susan Allee et Raphaelle Guillon en lo que concierne al próximo informe del SG sobre el Sáhara Occidental.
    En la nota del 20 de junio 2014, el embajador marroquí Omar Hilale habla de la visita del Enviado Especial de la Unión Africana para el Sáhara Occidental. En su reunión con el vicesecretario général Jan Eliasson, Joachim Chissano, dijo :” Yo no soy ni mediador, ni facilitador: Mi misión es la de intensificar la presión sobre Marruecos para llevarlo a aceptar el principio de autodeterminación” añadiendo que “para la Unión Africana, España sigue siendo la potencia administradora del Sáhara”.
    En una nota del 9 de enero 2014, el embajdor marroquí en Ginebra consigue la lista de preguntas que el Grupo Consultativo del Consejo de Derechos Humanos tiene la intención de exponer a Houria Es-Slami, la candidata marroquí para el puesto africano del Grupo de Trabajo sobre las desapariciones forzadas e involuntarias
    El 15 de agosto de 2014, Omar Hilala detalla a su ministro la estrategia a seguir con la Sra Bolduc, jefa de la MINURSO. Propone aceptar su entrada en el territorio después de que se comprometa a que las prerrogativas de la MINURSO no cambien. “El gran peligro sigue siendo Ross”, dice Hilale, “al que hay que inmovilizar utilizando su propio método: una presión constante sobre él y el secretariado”.
  • Espagne : manifestation pour l’indépendance du Sahara occidental

    Madrid (AFP)
    Quelque 3.000 personnes ont manifesté dimanche à Madrid pour exiger un vote sur l’indépendance au Sahara occidental, ancienne colonie espagnole annexée par le Maroc.
    Les manifestants, parmi lesquels des artistes de rue portant les couleurs rouge, verte, noire et blanche du drapeau traditionnel sahraoui, ont défilé derrière une banderole proclamant « le Sahara libre maintenant ! ».
    « Le peuple sahraoui doit avoir le droit à l’autodétermination », a déclaré à l’AFP Jose Taboada, président de la coordination des associations espagnoles de solidarité avec le Sahara occidental, qui a organisé la manifestation.
    Les manifestants sont descendus dans la rue pour « demander au gouvernement espagnol d’intervenir pour aider les Sahraouis à être en mesure de voter afin de décider » de leur statut, a-t-il ajouté.
    Le Maroc a pris le contrôle de la plus grande partie du territoire en novembre 1975 lors du retrait du colonisateur espagnol, déclenchant une lutte armée pour l’indépendance qui s’est poursuivie jusqu’en 1991, lorsqu’a été proclamé un cessez-le-feu entre le Maroc et le Front Polisario sous l’égide de l’ONU.
    Le Maroc propose des négociations sur l’autonomie du territoire sous sa propre souveraineté, mais le Front Polisario, qui revendique la souveraineté du Sahara occidental, exige un référendum d’autodétermination incluant l’option de l’indépendance.
    Des milliers de Sahraouis vivent dans des camps de réfugiés à la frontière avec l’Algérie.
    De nombreux Marocains considèrent aujourd’hui le Sahara occidental comme faisant partie du royaume du Maroc.
  • Le coordinateur sahraoui auprès de l’ONU critique le Maroc et la France

    C’est en marge des travaux de la 39e Conférence européenne de support et de solidarité avec le peuple sahraoui (EUCOCO) que Mohamed Khaddad, coordinateur sahraoui auprès de l’ONU, a dé- noncé, depuis Madrid, les positions du Maroc qui «ne cesse d’entraver » les eff orts de la MINURSO pour l’organisation d’un referendum qui seul permettra au peuple sahraoui de choisir son destin. 
    «Le Maroc refuse depuis 2012 les négociations et de coopérer avec l’ONU. Il a adopté une politique d’atermoiement et continue d’entraver les efforts visant à trouver un règlement au confl it », a-t-il déclaré. Il a également dénoncé le chantage du Maroc qui menace de se retirer de la Minurso. 
    « Non seulement, il bloque la solution politique, mais il entrevoit la possibilité d’une reprise des hostilités», a-t-il dit. Cette situation a été l’occasion au coordinateur sahraoui auprès de la Mission des Nations unies pour la Minurso pour solliciter l’ONU à agir en urgence pour que le processus de négociations soit remis sur rail et avancer vers une solution po- litique, car les résolutions de l’ONU sont claires. Elles soutiennent l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara occidental, Christopher Ross et la poursuite des négociations en vue d’aboutir à une solution qui respecte le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination insistant sur le fait que seul le peuple sahraoui doit choisir son destin. 
    M. Khaddad a, par ailleurs, critiqué la position de la France vis-à-vis du confl it sahraoui, regrettant le fait que ce pays ne soutienne pas les efforts de l’ONU et de M. Ross afin de créer les conditions d’une reprise des négociations. Rappelons qua la France avait exprimé, à travers son Premier ministre, Manuel Valls, le souhait de mettre un terme aux tensions qui existaient entre son pays et le Maroc.
    Mariam Kaci
    Reporters, 16/11/2014
  • SÁHARA: 39 años de los ignominiosos acuerdos anti saharauis

    Por Alia (*) | Octubre nº 77
    Se agolpan recuerdos, sentimientos. Nunca olvidaré aquel tiempo de solidaridad, de penalidades, de miedos, y sobre todo de hacer frente a tanta injusticia, a tanto crimen, a un genocidio consentido, ocultado por los muy demócratas países europeos. Éramos un puñado de militantes que apoyábamos y arriesgábamos nuestras vidas, en solidaridad con los saharauis, como se hiciera con el pueblo vietnamita, o el argelino. Lucha contra el imperialismo colonialista. Los más parias de la tierra en rebeldía contra la opresión y la prepotencia imperialista, incluso de las más miserables como la de la España franquista. No, no olvido esos años, no quiero ni puedo olvidarlos. Hacerlo sería renegar de mis anhelos de libertad, de la lucha de los camaradas que me han precedido, de los que todo lo han dado por su dignidad, de los que siguen en la lucha aquí y en todo el mundo, y de ese querido pueblo saharaui que continúa su lucha. 
    Noviembre de 1975: el régimen franquista tiene el rechazo de los pueblos del mundo, buena parte de los gobiernos retiran sus embajadores en repulsa por el asesinato de los cinco antifascistas (tres del FRAP y dos de ETA) fusilados el 27 de septiembre. Franco agoniza, su heredero, Juan Carlos de Borbón, es Jefe de Estado en funciones.
    En los meses precedentes, la ofensiva del Frente POLISARIO y las movilizaciones de la población saharaui son incontenibles. El 12 de mayo, la misión de la ONU que llega al Aaiún es recibida por 11.000 saharauis que vitorean al Polisario; en mayo comienza la evacuación de mujeres y niños europeos del Sáhara; saharauis integrados en la Patrulla Nómada se sublevan y capturan vehículos y militares del ejército español; deserción de soldados saharauis encuadrados en la fuerzas españolas…
    Agosto-septiembre: entrevista en Madrid de El Ouali Sayed (Secretario General del Frente Polisario) y Cortina Mauri (Ministro de Asuntos Exteriores de España), que negocian el intercambio de prisioneros.
    14 de octubre: la ONU declara que el pueblo saharaui apoya al Frente Polisario y el TIJ, en sus conclusiones, no reconoce derechos jurídicos sobre el Sáhara español ni a Marruecos ni a Mauritania.
    Hassan II anuncias una «marcha pacífica» para el 28 de octubre. España amenaza con trasferir sus responsabilidades a la ONU. El Frente Polisario afirma que opondrá la fuerza armada. El 24 de octubre se produce una entrevista hispano-marroquí en Madrid y se llega a un acuerdo. España cancela la reunión prevista con el Frente Polisario y prohíbe la contramarcha.
    28 de octubre: el ejército español pone en marcha la “Operación Lazo”: imposición del toque de queda. Despliegue de tropas alrededor del Aaiún. Cerco de alambradas alrededor de barrios nativos. Desarme de las tropas indígenas (3000 hombres). Evacuación forzosa de la población europea.
    7 de noviembre: la Marcha Verde cruza la frontera y acampa en el Sáhara. Fuerzas españolas abandonan las posiciones de contención de la Marcha Verde.
    14 de noviembre: “Acuerdos de Madrid”. España, renegando de anteriores declaraciones, cede a las presiones imperialistas (Francia, EEUU…), traiciona al pueblo y firma la entrega del Sáhara a Marruecos y Mauritania el 28 de febrero de 1976.
    28 de noviembre: 67 miembros de la Djemaa (Asamblea General del Sáhara) y jefes de tribu deciden en Guelta Zemmur la disolución de la Djemaa, la constitución de un Consejo Provisional Saharaui y la adhesión al Frente Polisario.
    Diciembre: resistencia armada, represión generalizada, bombardeo de la Güera; el Polisario denuncia un «genocidio deliberado». Comienza el éxodo de refugiados hacia las zonas liberadas de Tifariti, Guelta Zemmur y Tinduf.
    Enero de 1976: Huelgas en Fos Bu Craa. Bombardeo aéreo de los campos de refugiados. El Comité de Liberación de la OUA reconoce al Frente Polisario. La VI Flota norteamericana llega a Casablanca y se entrevista con Hassan II y Ahmed Bensouda (gobernador marroquí en la administración tripartita del Sáhara).
    Buscando en los archivos de estos 50 años de historia del PCE (m-l) he encontrado documentos históricos:
    Agosto de 1974 (Vanguardia Obrera nº 90): El artículo «Denunciemos los crímenes y maniobras del colonialismo franquista contra el pueblo del Sáhara Occidental» denuncia las maniobras del franquismo para realizar un “referéndum”, creando una especie de “Asamblea de Notables” vendidos, haciéndoles pasar por representantes del pueblo saharaui, por el que quieren aprobar un régimen neocolonialista, legalizado con los votos de los 60.000 saharauis, sin tener en cuenta los 300.000 saharauis huidos, exiliados o emigrados a las zonas limítrofes, y bajo la presión de 50.000 efectivos de las fuerzas ocupantes del ejército, la Legión, policía nómada… (casi una bayoneta por habitante). En dicho artículo se denuncia la represión generalizada contra los patriotas saharauis y la detención, tortura y “desaparición” del dirigente polisario Batsir Sidi Mohamed.
    Enero de 1975 (VO 98): ¡Fuera las tropas franquistas del Sahara! […] intensificar nuestro trabajo entre los soldados que sin duda serán tarde o temprano empleados contra el pueblo saharaui.
    Febrero de 1976 (VO 123): Se reproduce el llamamiento del Frente Polisario al pueblo español emitido por la emisora “La voz del Sáhara libre” el 4 de febrero, con motivo de la llegada a Madrid del enviado del Secretario General de la ONU encargado de «estudiar el problema del Sáhara Occidental».
    Especial emotividad me producen algunos de los documentos editados por el FRAP:
    Septiembre de 1974: Cuadernos Políticos nº 4, dedicado íntegramente al Sáhara: «¡Fuera el colonialismo franquista del Sáhara!» Es un estudio de divulgación sobre la historia, recursos, empresas españolas, INI y monopolios yanquis en la explotación de fosfatos, el colonialismo español, la lucha anticolonial, España como plataforma de la VI Flota Norteamericana e intereses geoestratégicos…
    21 de junio de 1975: Comunicado conjunto del FRENTE POLISARIO y el FRAP. Ambas organizaciones «están de acuerdo en intensificar su lucha común, como parte de la lucha de todos los pueblos oprimidos del mundo contra el imperialismo, el colonialismo y la reacción. En particular, el FRAP llama a todos los antifascistas y a todo el pueblo español a levantar un poderoso movimiento de solidaridad y apoyo a la heroica lucha del pueblo del Sáhara contra el colonialismo, por su independencia nacional y su libertad».
    Mayo de 1976: en la proclamación de la Convención Republicana de los Pueblos de España (creada para dar continuidad y profundidad a la lucha política en la nueva situación creada ante la fraudulenta maniobra de la transición), ésta manda un mensaje al Gobierno de la República Árabe Saharaui Democrática: «La CRPE, que tiene como objetivos fundamentales el derrocamiento de la monarquía fascista, el rescate de la independencia nacional, la implantación de la República y la autodeterminación de las nacionalidades, no puede pasar por alto las criminales responsabilidades del colonialismo español y en particular el determinante papel que jugó el actual rey, impuesto a España, en un complot internacional contra vuestro pueblo, que ha abierto las puertas a los agresores marroquíes y mauritanos. Deseamos la libertad y la independencia del Sáhara Occidental tanto como la nuestra. Estamos seguros que la razón y la victoria están de vuestro lado».
    39 años de esos ignominiosos acuerdos; decenas de resoluciones de la ONU que son violadas por Marruecos con la aquiescencia internacional; generaciones de saharauis que nacen y crecen en los campos de refugiados; represión brutal de los saharauis en los territorios ocupados por Marruecos; expolio de las riquezas naturales y los caladeros saharauis con la participación directa del gobierno español.
    Dignidad de un pueblo que en el exilio y en el interior lucha por su libertad e independencia. Vergüenza e ignominia de todos los gobiernos de España de estos 39 años de traición hacia el pueblo saharaui.
    ¡Solidaridad y apoyo a la justa causa del pueblo saharaui!
    ¡Denuncia a los gobiernos de España y a los intereses imperialistas en este lugar del mundo!
    *Nombre saharaui de la enfermera del FRAP que participó en la ayuda activa al Frente Polisario en los campamentos de refugiados, desde 1975 hasta 1977.
  • Ali Salem Tamek: « El ocupante marroquí llegó a lo peor: violar el derecho a la vida de los saharauis »

    La intervención del activista y ex preso político saharaui Ali Salem Tamek en la EUCOCO 2014 ha sido el más sobrecogedor para los asistentes. Recordando al mártir Hassana El Luali, fallecido el pasado 28 de septiembre en la cárcel de Dajla por habersele negado la asistencia médica que necesitaba, Salem Tamek se emocionó y lloró.
    « El ocupante marroquí ha llegado a la peor de las violaciones de Derechos Humanos, al usurpar el Derecho a la Vida -asegura el activista-. Su grado de criminalidad con un defensor pacífista como el mártir El Luali pone sobre la mesa multitud de preguntas… ¿Por qué estaba preso? ¿Por qué tantos años? ¿Por qué no tuvo derechos? Por qué… Por qué!! »
    Según exponía Ali Salem Tamek, « la represión marroquí sobre los saharauis ahora es más feroz y metódica que nunca -denunciaba-. Por denunciar torturas psicológicas o físicas, las que ustedes quieran imaginar, y reivindicar pacíficamente nuestro derecho a la autodeterminacion es delito. Todo es perseguido y, además, ahora esta política represiva tan brutal está apoyada por una posición política que legitima la violencia, tal y como expresó el rey Mohamed VI en su discurso del pasado 6 de noviembre ».
    « Confiamos en vosotros -dijo elevando la voz ante un aforo atónito y mudo-, en la sociedad civil y política internacional, para que nos ayudéis a crear y a inventar cualquier método que nos permita alcanzar el objetivo. Tamek recordó a los asistentes que « si la lucha de Ghandi contra la más grande expresión del colonialismo se convirtió en victoria, la lucha del pueblo saharaui con el tiempo que sea necesario, vencerá ».
    Información de Elisa Pavon Mulero, periodista acreditada en la EUCOCO 2014
  • Presidente del Sáhara: « España se está alineando de forma flagrante con la posición marroquí »

    Foto : EFE
    El 14 de noviembre de 1975 se firmó en Madrid el Acuerdo tripartito que transfirió a Marruecos y Mauritania la administración del Sáhara Occidental, hasta el momento provincia española, en contra de la legalidad internacional. Treinta y nueve años después de la descolonización, la situación del pueblo saharaui apenas ha cambiado. El reino alauí se mantiene como potencia ocupadora, mientras que España ha abandonado sus obligaciones históricas, según las palabras del secretario general del Frente Polisario, Mohamed Abdelaziz. El también presidente de la República Árabe Saharaui Democrática está en Madrid para participar en laConferencia Europea de Apoyo al Sáhara Occidental, donde se dan cita activistas, políticos y simpatizantes de esta causa. El viernes, antes de acudir al Congreso para reunirise con varios grupos políticos, nos concede veinte minutos para esta entrevista.
    ¿Actualmente, ¿cuál es la situación humanitaria que se vive en el Sáhara Occidental? ¿Se nota escasez de recursos básicos?
    El sufrimiento del pueblo saharaui se ha alargado demasiado tiempo, concretamente 39 años. La opresión marroquí ha provocado que la gente haya tenido que marchar al exilio, a países como España, mientras que otros permanecen en los campamentos de refugiados, en las zonas liberadas o también, en las ocupadas. Una situación que, desde luego, es durísima. Hay familias separadas, privadas de sus tierras, con allegados en cárceles marroquíes, heridos, o incluso, desaparecidos. Una tragedia.
    Pero ¿la situación, a día de hoy, es límite? ¿Ha empeorado respecto a los últimos años?
    La crisis económica sí ha afectado al Sahara Occidental. Especialmente, la crisis que se vive en España, provocando una reducción de las ayudas humanitarias que recibimos.
    ¿Hasta que punto se ha visto mermada la cooperación española?
    Unos dos tercios si lo comparamos con la asistencia que ofrecía antes España.
    Y en el plano político, ¿también se ha reducido el apoyo del Gobierno de Mariano Rajoy a la causa saharaui?
    Lamentablemente, la posición del Ejecutivo español no encaja con lo que creemos que debería hacer. Se está alineando de forma flagrante con la posición de Marruecos. Así que, hasta este momento, España es parte del problema y no encarna la solución, a pesar de que es la potencia administradora del Sahara, tal y como reconoce la ONU y la misma fiscalía de la Audiencia Nacional. Por lo tanto, España es responsable de todo lo que ha pasado en el Sahara desde que se retiró del lugar en 1975…
    España, entonces, ¿debe asumir responsabilidades?
    No puede obviar su responsabilidad, no se puede escapar. Lo que hizo España a los saharauis ha supuesto una vergüenza para su propia historia. Una mancha que ahora debe limpiar. No hay cambio en la actitud, así que somos de la idea de que España debe convertirse de una vez por todas en parte de la solución para alcanzar la autodeterminación del Sáhara.
    Sin embargo, Marruecos ejerce bastante presión sobre el Gobierno español
    El Gobierno de Mariano Rajoy no debe esperar gestos o cambios por parte de Marruecos para buscar una solución justa. Marruecos está en contra de la autodeterminación, cerrando las puertas a la actividad de La Misión de Naciones Unidas para el referéndum en el Sahara Occidental (MINURSO), mostrándose como lo que es: una potencia ocupadora ilegal.
    Y en ese objetivo de autodeterminación, ¿cómo puede afectar que España haya conseguido un puesto en el Consejo de Seguridad de la ONU?
    Debe tomar posiciones, reconociendo la República Saharaui. Que utilice el peso que le da ser miembro no permanente de la Organización de las Naciones Unidas para que se pueda celebrar el referendum de autodeterminación….
    Pero, Francia, como miembro permanente, podría bloquear cualquier iniciativa.
    Francia no es España. La responsabilidad recae en España. Si hubiéramos sido una colonia francesa ya seríamos independientes. Lamentablemente, somos una colonia española.
    El mandato de la Minurso, que no incluye la vigilancia de los Derechos Humanos, acabará el próximo 30 de abril de 2015. ¿Qué esperan?
    Todos los indicios manejados por el Frente Polisario apuntan a que las relaciones de la ONU con Marruecos girarán a partir de abril hacia una confrontación, posiblemente en aumento.
    ¿De qué tipo de confrontación habla?
    De un rechazo de la ONU al papel que está jugando el reino alauí.
    Han salido a la palestra varias voces reivindicando volver a las armas si la situación del Sáhara Occidental no da un vuelco de 180 grados. ¿Es una opción viable en estos momentos?
    El empeño de Marruecos en acabar con el despliegue de la Minurso está empujándonos hacia la guerra. Si su intento tiene éxito, no tendremos otra opción que volver a las armas como ya ocurrió en 1975. Estaríamos defendiendo nuestros derechos nacionales. Las resoluciones internacionales legitiman que un territorio acuda a la lucha armada para defenderse.
    ¿Existe alguna fecha límite que marque el regreso de la actividad armada si no se producen avances?
    Determinar una fecha es como trabajar para la guerra, cuando nosotros estamos trabajando por la paz. Defendemos la situación pacífica a la hora de alcanzar la autodeterminación. Son ellos, Marruecos, los amantes de la guerra. Es por ello que España debe asumir su responsabilidad, y darse cuenta de que claramente el Estado alauí está conduciendo esta zona hacia la inestabilidad.
    El Frente Polisario no se libra de las críticas. Un informe de ‘Human Right Watch’ acusa al movimiento independentista de restringir algunos derechos de los refugiados. Por ejemplo, incluye entrevistas a disidentes que aseguran sufrir persecución.
    El informe nos ha tratado como un estado independiente, y eso lo hemos recibido con satisfacción. Además, la ONG ha confirmado que el Frente, a pesar de que ser un grupo de liberación, no tiene ningún preso político…
    Pero el informe asegura que hay opositores a los que se ha perseguido, según los testimonios recogidos.
    No estamos persiguiendo a nadie. El que se sienta perseguido puede decir su nombre, dónde está, les llamamos a que aparezcan. Es Marruecos el que no les respeta. Estamos abiertos a que cualquier organización que defienda los derechos humanos venga a los campamentos, pero también a las zonas ocupadas.
    Las organizaciones se quejan de que la burocracia e stá frenando la entrega de visados por parte de España para que saharauis enfermos puedan venir a España para ser atendidos. ¿Cómo está la situación?
    No solo los enfermos tienen problemas. Desde hace tres años, ya no existen las mismas facilidades para que los saharuis puedan viajar a España para participar en algún programa, como la adopción temporal de niños o la formación de jóvenes. No obstante, creo que existe un dialogo con las fuerzas españolas, con el deseo de agilizar la documentación, aliviando el sufrimiento de nuestro pueblo.
  • Maroc Leaks : « Le grand danger c’est Ross » (ambassadeur Omar Hilale)

    Lettre envoyée par l’ambassadeur du Maroc à l’ONU le 15 août 2014 au sujet de la chef de la MINURSO que Rabat bloque depuis le mois de juin
    Fwd: 429-14.pdf Hilale [hilale@mission-maroc.ch] Date d’envoi : vendredi 15 août 2014 16:41 À : Lotfi Bouchaara; hilale@mission-maroc.ch Bonjour Sidi Lotfi Je t envoie l échange que j au eu avec Mr le ministre afin que tu puisses suivre et donner ton avis toi aussi . car ton background onusien est très important et doit servir à orienter et recarder notre action avc l onu . Amitiés Hilale omar 
    Envoyé de mon iPhone 
    Début du message transféré : 
    > Expéditeur: Hilale > Date: 15 août 2014 07:36:29 UTC-5 > Destinataire: hilale@mission-maroc.ch > Objet: TR : 429-14.pdf > > Bonjour Monsieur le Ministre > Merci pour votre réaction à laquelle j adhère totalement . > Conformément à vos instructions Je ne vais pas donner suite à la lettre du DPKO afin d ‘envoyer un message de fermeté au secretariat de l’ONU ainsi qu à Bolduc . > Cependant à un certain moment , début septembre peut être , nous devrons lui parler pour clarifier ses intentions , poser nos lignes rouges , et lui demander des engagements fermes sur le strict respect de la seule triptyque de son mandat. > En effet nous ne pourrons pas maintenir deux fronts ouverts avec le secretariat surtout quand il s’agit de deux représentants du SG et désignés par lui.La pression sur nous sera intenable et nous finirons par céder sans rien obtenir . > Par contre ,si début septembre on obtient les garanties souhaitées de Bolduc et on la laisse regagner son poste ,on sera plus à l ‘aise sur le front de Ross .Car le grand danger c’est Ross qu il convient d ‘immobiliser voire le morpholer en utilisant sa propre méthode : une pression constante sur lui et le secretariat . > Je reste dans l ‘attentes de vos instructions . > A mon tour d espérer que vous passez de bonnes vacances et que vous vous reposez bien car vous en avez le plus grand besoin . > Très hautes considérations > Omar hilale > > Envoyé de mon iPhone > > Début du message transféré : > >> Expéditeur: SALAHEDDINE MEZOUAR >> Date: 15 août 2014 03:12:46 UTC-5 >> Destinataire: Hilale >> Objet: Rép : 429-14.pdf >> 
    >> Bjr Omar j espère ke tu as pu prendre qqs jours de repos >> Je pense kil ne faut pas donner de suite à cette demande. On n ignore pas le Maroc de cette manière kan il s agit d une telle désignation et Mme Bolduc doit savoir ke sa tâche ne sera pas aisée et prendra les précautions nécessaires >> Ton avis? >> >> Envoyé de mon iPhone >> >>> Le 15 août 2014 à 01:37, « Hilale » a écrit : >>>
    SOURCE :