Année : 2014
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El ministro libio de Exteriores viaja a España para preparar la Conferencia del día 17
Luis Ayllón. Madrid.El ministro de Asuntos Exteriores de Libia, Mohamed Abdelaziz, se reunirá mañana en Madrid con su colega español, José Manuel García-Margallo, para preparar la Conferencia sobre ese país que se celebrará en España el próximo día 17. Está previsto que en el encuentro participen 16 países de las dos riberas del Mediterráneo vecinos de Libia.El objetivo de la reunión es abordar la delicada situación que se vive en Libia, donde tres años después de la caída de Muammar el Gadafi, distintas milicias y facciones armadas islámicas mantienen violentos enfrentamientos entre sí y con las fuerzas de un Gobierno muy debilitado.En el encuentro participarán representantes de 16 países mediterráneos o vecinosEl recrudecimiento de los combates provocó que, a finales de julio, la mayoría de los países europeos decidiera el regreso de sus embajadores. En el caso español, el embajador, José Antonio Bordallo, que acababa de hacerse cargo del puesto, volvió el 31de julio a España, junto al personal de la Embajada, que ha suspendido temporalmente sus actividades y ha quedado a cargo de un encargado de Archivos.A la Conferencia que tendrá lugar el día 17 en Madrid está previsto que asistan representantes de 16 países, entre los que estarán los siete europeos del Sur, los del Magreb y los países vecinos de Libia, incluido Egipto. El pasado 25 de agosto los estados fronterizos con Libia (Egipto, Argelia, Túnez, Sudán, Chad y Níger), reunidos en El Cairo, pidieron el cese inmediato de todas las operaciones armadas y la vuelta al proceso político y al diálogo con las fuerzas que rechazan la violencia. -
La France comme au temps des colonies
La grave polémique qui agite depuis quelques semaines le landernau politique algéro-français n’a pas fini d’enfler que déjà une autre s’installe entre Alger et Rabat.Si la première est complètement inattendue dans la mesure où elle intervient dans l’année au cours de laquelle doit être signé un important traité d’amitié entre les deux pays, la seconde est par contre tout à fait compréhensible dans un contexte marqué par une animosité marocaine qui tend à prendre des proportions tout à fait inédites vis-à-vis de l’Algérie.Seulement, à bien y regarder, il paraît quelque peu étonnant que les deux polémiques aient été quasiment déclenchées au même moment par des attaques frontales sans que cela n’ait fait l’objet d’une concertation entre les deux Etats ou, en tout cas, n’ait obéit à des stratégies anti-algériennes complémentaires. Dans les deux cas, nous avons en effet affaire à un problème lié à la colonisation, puis à la décolonisation. Il est question de sa nature pour le premier et il s’agit de ses incidences sur le tracé des frontières pour le second. Mais en tout cas, nous sommes face à un révisionnisme propice à toutes les remises en cause, dont celle qui pose le plus de problèmes entre le Maroc et l’Algérie. Tant il faut s’attendre, à ce rythme-là, que la France vienne au secours des thèses du palais royal en revenant sur le principe de l’intangibilité des frontières héritées de l’ère coloniale et en mettant l’Algérie en demeure de se conformer à une cartographie qui arrange totalement son turbulent voisin.Une histoire qui a ses hauts et ses basEn revendiquant le Sahara occidental comme étant un de ses démembrements, le Maroc entre en effet dans une logique historique et politique qui l’amènera inévitablement – et qui amène déjà une partie de sa classe politique – à exiger la “restitution” d’une grande partie du Sud algérien. Pour la bonne raison que cette revendication s’appuie alors sur des réalités qui ne sont plus celles du XXe siècle, mais plutôt celles du XVIIe siècle où aucun des Etats du Maghreb n’était constitué au sens moderne du terme, pas plus d’ailleurs que la quasi-totalité des Etats de la planète. Puisque la notion même d’Etat-Nation ne commencera à être mise en œuvre qu’à travers les guerres qui émaillèrent les XVIIIe et XIXe siècle jusqu’à la Première Guerre mondiale en ce qui concerne le tracé des frontières entre l’Allemagne et la France et la Seconde Guerre mondiale au cours de laquelle l’Allemagne chercha à étendre son empire jusqu’à Moscou à l’est et jusqu’à Dunkerque à l’ouest. La France, quant à elle, pour rappeler certains faits historiques significatifs, perdra puis gagnera successivement l’Alsace et la Lorraine dans un long et sanglant bras de fer avec l’Allemagne. Ce problème, d’ailleurs toujours vivace, incitera à ce propos les deux pays à aller vers une Union européenne considérée comme le seul et unique moyen de régler en profondeur un problème de tracé des frontières autrement plus important que celui qui concerne les régions sahariennes jouxtant l’Algérie et le Maroc, puisqu’en l’occurrence, les populations d’Alsace et de Lorraine parlent toutes allemand mais sont considérées, jusqu’à aujourd’hui, comme françaises. Cela étant, le différend entre les deux pays, pour ne prendre que cet exemple-là, a été réglé sur la base des tracés établis au lendemain de la Seconde Guerre mondiale et qui décident que ces questions ne sont plus susceptibles d’être à nouveau posées sous peine d’entraîner l’Europe dans des conflits sans fin.Alors, de là à ce que le Maroc puisse évoquer des frontières qui n’ont jamais été conçues, au sens moderne du terme, au moins jusqu’à la moitié du XIXe siècle, il y a évidemment un abus de langage qui s’écarte délibérément de la réalité historique de cette période qui ne pouvait raisonnablement pas être en avance sur ce qui se passait en Europe. L’Etat marocain des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles étant plus le fruit de la mythologie élaborée par la monarchie chérifienne qu’une réalité politique stable. Car même si les souverains chérifiens ont réussi à obtenir l’allégeance de quelques tribus, généralement nomades, déambulant autour du noyau central constitué de Fès, Meknes et Rabat, il serait présomptueux de parler d’un véritable Etat marocain au sens moderne du terme. De même qu’il serait présomptueux d’évoquer un Etat algérien ou un Etat tunisien ou encore libyen avec les critères d’appréciation actuels. L’émir Abdelkader Ibn Mahieddine ayant lui-même reçu l’allégeance de tribus évoluant en territoires marocain, libyen et tunisien sans pour autant que l’Algérie ne songe aujourd’hui à revendiquer les portions de territoire sur lesquelles elles nomadisaient à l’époque.C’est dire qu’en suivant à la lettre le principe de l’intangibilité des frontières héritées du colonialisme, notre pays ne fait que suivre la voix de la raison. Tant les fragiles équilibres macro-politiques obtenus et difficilement sauvegardés au lendemain des indépendances risquent d’être gravement bousculés au cas où les Etats de la région commencent à les triturer au cas par cas.Cela dit, il est possible d’expliquer en partie la frustration du régime marocain qui se sent lésé de ne pas avoir bénéficié d’apports territoriaux plus importants, mais sans pour autant que cela ne justifie son hostilité par rapport à l’Algérie. Sachant que la partie qui s’est jouée durant la colonisation, et plus particulièrement vers sa fin, consistait pour la France à se défaire de la Tunisie et du Maroc qui commençaient à manifester, dès les années quarante, de fortes tendances indépendantistes, mais ne possédaient pas de grandes richesses naturelles, tout en veillant à concentrer toutes ses forces sur l’Algérie qu’elle entendait garder envers et contre tout. Il est naturel que ce calcul ait amené les stratèges français à dessiner l’Afrique du Nord en fonction de cet objectif essentiel qui consistait à laisser en Algérie les plus grands espaces et les plus grandes richesses. Mais l’Algérie a-t-elle vraiment gagné plus que ses voisins à ce découpage puisqu’il lui a coûté une guerre d’indépendance de huit longues années et le sacrifice de plus d’un million et demi de ses meilleurs fils ?Aussi est-il tout à fait indécent que les Marocains viennent après cela demander la restitution de territoires qui nous ont coûté aussi cher et qu’ils ont soigneusement évité de revendiquer auprès de la puissance colonisatrice, se contentant d’accepter une indépendance qui leur a tout de même valu bien peu de sacrifices en regard de ce qu’a dû payer l’Algérie pour sa liberté. Les chefs de la guerre d’indépendance ayant trouvé bien peu d’écoute auprès du roi Hassan II et auprès de Habib Bourguiba lorsqu’il s’est agit de mettre sur pied la fameuse wilaya VI et de la doter en hommes et en armes pour l’arracher aux griffes de l’armée française. Les combattants algériens ont dû alors se débrouiller seuls pour faire face à l’ennemi et l’obliger à abandonner les premiers puits de pétrole déjà pleins de promesses. Nous nous souvenons en effet que les négociations d’Evian achopperont principalement sur la question du Sahara, que les Français essayèrent par tous les moyens pendant près de huit mois de négociations et à travers des combats acharnés de garder sous leur contrôle sans jamais y parvenir. Comment imaginer un seul instant que les Algériens qui ont libéré le Sahara les armes à la main aillent ensuite en faire cadeau à un pays voisin qui, lui, s’est prudemment gardé de le revendiquer auprès de la France de crainte d’avoir à subir ses foudres politiques et militaires ? Et c’est d’ailleurs les armes à la main que les Algériens ont encore défendu ces territoires face à une agression marocaine de grande envergure entreprise face à un jeune Etat pas encore remis de ses traumatismes et de ses pertes face à l’armée française.Le coucou marocainC’est le même principe mesquin et malhonnête qui sera mis en œuvre quelques années plus tard par les autorités marocaines pour exiger à nouveau l’annexion d’un autre territoire, lâché par la colonisation espagnole cette fois. Le Sahara occidental, qui n’a jamais été revendiqué par le Maroc auprès de l’Espagne de longs siècles durant, deviendra subitement marocain à partir du seul moment où il n’y aura plus aucun risque à le prendre. Car il faut savoir que la libération du Sahara occidental a été obtenue en grande partie grâce à l’action du Front Polisario créé le 10 mai 1973 et que ce mouvement de libération nationale ne représentait en aucune façon le Maroc, mais tout simplement les populations sahraouies excédées par une colonisation anachronique qui perdurait jusqu’au milieu du XXe siècle.Procédant selon la tactique propre au coucou qui va toujours cacher ses œufs dans les nids construits par les autres oiseaux, le régime marocain se garde de s’attirer le moindre ennui avec les puissances coloniales, se contentant de tirer les marrons du feu après que d’autres eurent pris leurs responsabilités. Cela est si vrai que les rares mouvements de résistance marocains contre l’occupant, qu’il soit français ou espagnol, n’ont jamais été le fait de la monarchie mais ceux de résistants généralement opposés à elle. Comme ce fut le cas pour Abdelkrim El-Khettabi qui tenta de créer, à travers une guerre qui dura de 1917 à 1926, un Etat berbère dans le Rif qui rallia à lui tous les nationalistes du Maghreb, algériens compris. Tout comme le combat de l’Emir Abdelkader contre la France bénéficia de son soutien actif.Aussi est-il absolument scandaleux que le palais royal marocain ose une fois encore, à partir de 1975, aller occuper un territoire qui venait d’être libéré par d’autres, exactement comme il le fit en 1963 pour le Sud algérien. Aussi est-il encore plus étonnant que la France prenne la défense d’un pareil Etat qui s’inscrit aussi ouvertement contre toute logique historique et qui tente de se justifier par des arguments qui sont non seulement complètement inconsistants d’un point de vue scientifique, mais de plus expriment une vision impérialiste et expansionniste extrêmement dangereuse pour les équilibres géostratégiques difficilement obtenus dans la région après la fin de la colonisation. La France connaissant parfaitement les risques encourus en pareil cas, elle qui a dû mener deux guerres mondiales particulièrement horribles pour des questions territoriales similaires et qui sait parfaitement en quoi la position marocaine est injuste et dangereuse. Une position qui s’inscrit en réalité dans le cadre de sa politique colonialiste qui consiste à se ménager les meilleurs territoires dans les pays qu’elle tient sous son contrôle. Et il est évident qu’ayant perdu l’Algérie d’un point de vue physique d’abord et politique ensuite, elle a nettement plus à gagner avec un royaume du Maroc qui se met si aimablement à son entière disposition et qui se proclame comme son fidèle vassal dans toutes les grandes et petites affaires du monde. Le soutenir alors dans sa revendication inique de s’approprier le Sahara occidental en dépit du bon sens et au mépris de toute légalité internationale n’est pas qu’un simple signe d’amitié ou de condescendance à l’égard d’un obligé, c’est également l’expression d’un réel appétit colonial pour une région riche en ressources naturelles de toutes sortes. Au point qu’il faille se demander si la démarche marocaine est vraiment marocaine ou si elle n’est pas inspirée par une France désireuse de faire un pied de nez en même temps à l’Algérie, à l’Espagne et à l’Amérique pour rester encore maîtresse du jeu en Afrique du Nord. Un calcul d’autant plus plausible que le soudain réveil du chauvinisme national français ne trouve aucune autre explication dans un climat jusque-là apaisé, pour ne pas dire cordial, entre Paris et Alger. Le seul grand point d’interrogation étant la raison de ce soudain revirement, au lendemain d’une élection présidentielle de 2004 qui avait consacré le principe de la signature d’un traité d’amitié entre la France et l’Algérie, comme si des engagements avaient été pris par l’une des parties au processus qui n’ont pas été tenus. Ce qui expliquerait en tout cas l’écartement de Abdelaziz Belkhadem du poste stratégique de ministre des Affaires étrangères et son remplacement par Ahmed Bédjaoui, qui n’est pas spécialement connu pour être hostile à Paris.Abderrahmane MahmoudiLes Débats, 22-28 juin 2005 -
Mauritania envía una historia real sobre un crimen yihadista
Mauritania apuesta fuerte este año para ganar el Oscar por primera vez en su historia. El país africano ha decidido enviar « Timbuktu », un filme presentado con buenas críticas en el festival de Cannes que cuenta la historia real de un asesinato a manos de islamistas.La cinta, dirigida por Abderrahmane Sissako, nos sitúa en 2012 en la ciudad maliense de Tombuctú. Una joven pareja fue brutalmente lapidada a mano de los islamistas. ¿Su crimen? No estar casados y, a los ojos de sus verdugos, estaban cometiendo un grave delito contra la ley divina.[youtube https://www.youtube.com/watch?v=dGO5_qNnz1M]
http://www.premiososcar.net/2014/09/mauritania-envia-los-oscar-una-historia.html
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Un scénario bien médiocre
L’émergence de l’Algérie en tant que puissance régionale indiscutable a bouleversé l’échiquier en ce qui concerne la question du Sahara Occidental. Même l’allié inconditionnel du Maroc, la France, a changé de vision dans le traitement de ce conflit qui dure depuis 39 ans et qui met en jeu la crédibilité de l’ONU et du Conseil de Sécurité dans une conjoncture rendue extrêmement difficile par la montée de la menace terroriste dans la région et dans le monde.
Le temps que le Maroc croyait à sa faveur a fini par se tourner contre lui. Le poids de la parole de l’Algérie est incontournable et le Maroc a perdu des points sur le terrain diplomatique à cause de son entêtement à vouloir affirmer sa mainmise sur le Sahara Occidental et ses ressources naturelles.Après avoir épuisé toutes ses cartes aux Nations Unies, au Sahel et dans le monde arabe, le Maroc tente de créer des brouillards en se présentant comme pays à la hauteur de l’Algérie en puissance militaire et économique. Dans ce but, tous les délires sont permis.Ainsi, dès que les médias internationaux ont annoncé que l’Algérie a déployé dans ses frontières avec la Libye des missiles sol-air, le Maroc a sorti ses débris qui ne sont bons que pour la ferraille pour simuler une guerre virtuelle dans le but d’attirer les regards de la communauté internationale vers un péril fantasmagorique qui risque de s’en prendre à leur allié traditionnel dans l’espoir de susciter la pitié et la clémence traduits en cadeaux sur le territoire du Sahara Occidental.Ainsi, le Maroc, avec une artillerie vétuste déployée au Sahara Occidental et dans la côte de Casablanca veut offrir l’image d’un pays en guerre au moment où il s’apprête à recevoir l’envoyé onusien Christopher Ross en prétendant vouloir contrer toute menace provenant de la Libye. Un scénario bien médiocre et ridicule qui ressemble au pire des polars de science-fiction que le Maroc avance comme stratégie géopolitique. Ainsi, le Maroc, après avoir épuisé les annonces de démantèlement de cellules terroristes et de recrutement de terroristes, le voilà encore vivement attaché à l’instrumentalisation de la menace terroriste pour réaliser ses desseins hégémoniques sur le Sahara Occidental. Une stratégie d’intimidation spécialement destinée à l’Espagne, pays considéré encore comme la puissance administrative d’un territoire non-autonome aux yeux de la légalité internationale.Pour rappel, l’Espagne a été largement manipulée par Rabat depuis l’attentat du 11 mars 2004 dont la responsabilité est largement attribuée par une grande partir de l’opinion publique marocaine aux services secrets marocains.Après la volte-face de Paris, le Maroc concentre ses attaques la partie la plus faible du dénommé Groupe des Amis du Sahara Occidental, l’Espagne, dont les frontières méridionales connaissent un harcèlement constant des immigrés subsahariens. -
Trípoli acusa a Sudán de apoyar a grupos ‘terroristas’ en Libia
Trípoli (AFP) –El gobierno libio acusó este domingo a Sudán de apoyar a grupos ‘terroristas’ en Libia con el envío de municiones, acusaciones desmentidas por Jartum.En un comunicado enviado a la AFP, el gobierno libio denunció la entrada de un avión sudanés en su espacio aéreo sin la autorización previa de la oficina libia de aviación civil, ‘lo que se considera como un atentado a la soberanía nacional’.Tras el aterrizaje del avión en el aeropuerto de Kufra (sur) para reponer combustible, el gobierno indicó haber descubierto una carga de municiones en su interior.Según el comunicado, el avión se dirigía al aeropuerto de Mitiga, en Trípoli, controlado por milicianos islamistas, en su mayoría. Estas milicias controlan la capital libia desde el 22 de agosto tras violentos combates.El gobierno, que no precisa la fecha del incidente ni ofrece detalles sobre el paradero del avión sudanés, acusó a Sudán de ‘injerencia en los asuntos del Estado libio’ y de ‘armar a grupos terroristas’.‘Sudán no tiene ningún interés en intervenir en los asuntos internos de Libia’, respondió el ministerio de Relaciones Exteriores sudanés, citado por la agencia oficial SUNA. Según la cancillería, el avión se encontraba en misión de aprovisionamiento de la fuerza libio-sudanesa, que controla su frontera en común y no se dirigía a Mitiga. -
El PCP de Portugal reafirma el apoyo al derecho de autodeterminación del pueblo saharaui.
Como todos los años una delegación del F. Polisario invitada a participar en el Festival del Partido Comunista de Portugal “Festa Do Avante” 2014. La 38. Edición del Festival Avante , se celebra entre el 5 y el 7 de septiembre en Seixal, la fiesta del partido comunista portugués ( PCP) , es el evento político-cultural más importante del país.
Tras la apertura del evento a cargo de Alexandre Araújo, miembro del Comité Central del PCP, La delegación del F. Polisario toma la palabra en el seminario internacional “ La revolución portuguesa y la situación en Europa y el mundo 40 años después” presidido por el secretario general del PCP Jerónimo Sousa y miembros del Comité Central del partido, Manuela Vernardino y y Álvaro Núnez Comisión política del PCP y de Pedro Guereo, responsable de relaciones internacionales de PCP.Durante los encuentros bilaterales que la dirección del PCP lleva a cabo con las diferentes delegaciones invitadas , la delegación saharaui es recibida por Joao Oliveira, miembro del Buró político y del Comité central del PCP y de la Comisión Política de la Asamblea de la República de Portugal y el cual reiteró el compromiso del PCP y de sus militantes en la defensa del derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación. Por su parte la delegación saharaui hizo una exposición detallada de la situación actual del conflicto, destacando la necesidad de presionar a Marruecos para que cumpla con la legalidad internacional y ponga fin a la represión que desencadena cada vez que los saharauis se manifiestan en demanda de sus legítimos derechos de libertad e independencia y por el fin de la ocupación ilegal de su territorio y del expolio de sus recursos naturales.
En la declaración política de clausura del Seminario Internacional, la dirección del PCP reafirmó su apoyo al derecho de autodeterminación del pueblo saharaui y la necesidad de que se cumpla con las resoluciones internacionales. Así mismo se manifiesta en la declaración de clausura de La Festa Do Avante pronunciada por su secretario general Jerónimo Sousa ante miles de militantes y simpatizantes y de las delegaciones extranjeras que representan a los partidos políticos, sindicatos y movimientos de jóvenes de todo el mundo.
La delegación saharaui también tuvo la oportunidad de transmitir el mensaje de lucha del pueblo saharaui al alcalde de la ciudad de Almada y al presidente de la Cámara Municipal de la ciudad de Barreiros durante una visita al Auditorio Municipal “Augusto Cabrita” .Así mismo, la delegación saharaui que componen Ahamed Fal Yahadih, delegado del F. Polisario para Portugal y Jadiyetu El Mohtar, miembro de la delegación del F. Polisario y responsable de la UNMS en España desarrollan una ronda de contactos con las diferentes delegaciones extranjeras invitadas al evento, entre las que se citan: PC de Holanda, PC de Vietnam, Cuba, Nicaragua, Chile, Bélgica, Francia, Mozambique, Angola, Palestina, Brasil ,Timor del Este, Italia, Francia, Guinea Bissau ,partidos comunistas de los pueblos de España , de Cataluña y del Bloque Nacionalista Gallego.Cabe citar que asisten al evento el partido del progreso y socialismo y Partido de Alianza democrática socialista de Marruecos y cuyos delegados abandonaron el seminario Internacional durante la intervención de la delegación saharaui.Por otra parte la asociación de amigos del pueblo saharaui en Portugal organizó un Stand en la zona internacional donde expuso materiales de difusión de la lucha del pueblo saharaui y diverso material artesanal que también permitió a los visitantes de la Festa participar en los debates sobre la lucha del pueblo saharaui que se organizaron a lo largo de los tres días de intensa actividad cultural y política que el evento ofrece a las organizaciones sindicales, partidos políticos y movimientos de liberación en un espacio pensado para la solidaridad y la lucha por los derechos políticos y sociales y que esta tarde tuvo su acto de solidaridad con la lucha del pueblo saharaui a la que acudieron las decenas de delegaciones asistentes y numeroso público y militantes del PCP que estuvieron presentes en el discurso de agradecimiento que corrió a cargo de representante del F.Polisario que destacó la posición firme del PCP durante todos estos años de apoyo al derecho del pueblo saharaui .
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Trípoli espera que LA se centre principalmente en ayudar a Libia
El ministro libio de Asuntos Exteriores, Mohamad Abdulaziz, ha pedido este domingo a la Liga Árabe (LA) que respalde la iniciativa de Egipto para estabilizar Libia y desarmar a las milicias que operan en el país árabe.« Esperamos que la Liga Árabe se centre principalmente en ayudar a Libia en cuanto a la preparación de un verdadero plan que refleje cómo apoyar a Libia, además del establecimiento de un mecanismo para la aplicación del citado plan », ha señalado el canciller libio, citado por el diario saudí ‘Asharq al-Awsat’.Estas declaraciones se producen un día después de que el secretario general de la LA, Nabil al-Arabi, mantuviera una reunión con Abdulaziz, encuentro durante el cual ambas partes abordaron la crisis libia y el encuentro ministerial del organismo panárabe que tiene lugar este domingo en la capital egipcia, El Cairo.Tras haber sido preguntado por la presunta presencia militar de la Organización del Tratado del Atlántico Norte (OTAN) en el país norteafricano, el jefe de la Diplomacia libia aseguró que el pueblo, el Gobierno y el Parlamento libios se oponen a cualquier intervención militar en su país.« Estamos haciendo un llamado a una participación más efectiva por parte de la comunidad internacional, incluida la ampliación de la misión de la ONU (Organización de las Naciones Unidas) para proporcionar estabilidad », afirmó.En este sentido, expresó su esperanza de que la LA, la Unión Africana (UA), así como la Unión Europea (UE) y el Consejo de Cooperación del Golfo (CCG-integrado por los países árabes ribereños del Golfo Pérsico) logren un consenso político en cuanto al apoyo a Libia.Los ministros de Exteriores del organismo panárabe se reúnen este domingo en El Cairo para discutir particularmente la situación en Libia.Después de la caída del régimen del exdictador Muamar Gadafi, en 2011, el país árabe está sumido en el caos debido a las constantes ofensivas lanzadas por las milicias, que se niegan a entregar las armas y unirse a las fuerzas regulares.http://globedia.com/tripoli-espera-centre-principalmente-ayudar-libia -
Le Maroc veut empêcher Alger de mener à bien sa médiation
Couacs…Par Mohamed AbdounComme le craignait et le supposait notre journal dans de précédentes éditions, le dialogue inclusif malien, censé avoir repris à Alger depuis le premier de ce mois (après un premier report de près de deux semaines), continue de patiner dangereusement. Les raisons, hélas, en sont multiples, si bien que l’on en arrive à se demander si l’Algérie a eu raison de prendre sur elle de driver ce dialogue, alors que tant d’acteurs ne veulent absolument pas que le Mali sorte enfin de sa crise. Passons en revue tout cela pour comprendre à quel point la situation est compliqué, et se présente sous d’assez sombres augures.La Presse malienne, celle de Bamako, qui exprime tout haut ce que les dirigeants du sud pensent tout bas, n’en finit plus de nous tomber dessus à bras raccourcis. Les griefs sont tout aussi multiples qu’injustifiés. Selon elle, donc, Alger aurait donné asile à Iyad Ag Ghali, le chef d’Ançar Sharia. Sans être sur que l’info que voici soit fondée ou pas, il est vrai que l’Algérie a toujours distingué entre les terroristes criminels d’AQMI (al-Qaïda au Maghreb arabe) et du MUJAO (mouvement pour l’unicité et le Jihad en Afrique de l’Ouest) et les touaregs musulmans qui se sont regroupés sous la bannière de Ghali, lequel avait fait, pendant un temps seulement, cause commune avec les autres islamistes, tant il était dépité par l’attitude de l’ancien président malien, Amadou Toumani Touré (ATT), soutenu en cela par la France. Son successeur,Ibrahim Boubacar Keita (IBK), après toutes les turpitudes traversées par le Mali ne fait guère mieux. La Presse malienne nous reproche également d’imposer à ce dialogue de nouveaux acteurs, sans même en informer Bamako. Or, cela est d’autant plus faux que notre pays, outre son rôle d’hôte en sa qualité de puissance régionale incontestée dans la région sahélo-saharienne, se refuse catégoriquement à s’immiscer dans les affaires internes des autres pays.Ces accusations, qui cherchent à torpiller le dialogue, entrent dans le cadre d’une manipulation française, pour qui la poudrière malienne est le prétexte idoine pour garder ses soldats » bakhanisés » autour et au dessus les lieux recélant les plus grandes richesses sous-terraines. Preuve en est que, comme il n’existe pas de hasard en politique, ni en diplomatie, la visite à Alger d’une conseillère élyséenne à quelques jours du début d’ » Alger II « , ne pouvait signifier qu’une chose : Paris cherche à imposer son droit de regard, pour ne pas dire plus hélas, sur ces négociations inclusives.Pour poursuivre avec la série d’éléments négatifs qui font craindre le pire, et qui menacent de torpiller ces négociations qui patinent gravement, il ne faut pas oublier que la France a posé son pied militaire au Mali, et qu’elle n’est pas prête d’en déménager. Alors qu’elle a toujours eu beaucoup d’ascendant sur Bamako, à telle enseigne que c’est sur son instigation que les deux anciens présidents, IBK et Alpha Oumar Conaré, avaient refusé deux précédents accords de paix signés à Alger, l’influence de la France sur le Mali a pris beaucoup plus de poids grâce ou à cause de cette présence militaire, qu’Alger avait toujours dénoncé.Il faut ajouter à tout cela la réunion des groupes rebelles touaregs au Burkina Faso, afin d’accorder leurs violons quelques jours avant la reprise des pourparlers d’Alger. Le jeu double de Ouagadougou a pu influer négativement dans la recherche d’un terrain d’entente entre les deux parties protagonistes, d’autant que les rebelles négocient en position de force, étant entendu que sur le plan militaire ce sont eux qui ont défait et humilié l’Armée malienne en un temps record, avant d’occuper le septentrion malien, qui représente les deux tiers du territoire de ce pays.Mais, l’élément le plus grave dans cette série de paramètres pouvant faire capoter ces négociations inclusives, réside très certainement dans le parasitage marocain. Rabat, qui a déjà partie liée avec les criminels du MUJAO et qui utilise le Sahel pour écouler sa drogue en quantités industrielles vers l’Europe, tente elle aussi de faire échouer la médiation algérienne afin que l’instabilité, synonyme d’impunité, d’opacité et de poursuite de ces opérations délictueuses, veut empêcher Alger de mener à bien sa médiation. Une preuve ? Sur invitation de Mohamed VI en personne, une délégation du MNLA (Mouvement national pour la libération de l’Azawad), conduite par son secrétaire général, Bilal Ag Cherif, a été reçue par le » minable » ministre de la Communication marocain, Salah Eddine Mezouar, en date du 29 août passé.Outre les mauvaises influences, les faux conseils et même les tentatives de corruption que l’on peut subodorer (car la diplomatie marocaine ne » carbure » qu’à cela), cette énigmatique et anecdotique audience a eu pour effet de retarder de plusieurs jours la reprise de ce dialogue, étant donné que la délégation du MNLA (groupe armé touareg le plus puissant présent sur le terrain), n’a pu se rendre à Alger dans les délais convenus.Cerise sur le gâteau, la violence ne s’est pas totalement estompée au nord du Mali. La mission d’Alger en devient trop délicate, pour ne pas dire carrément officielle. Preuve en est que, six jours après la » reprise » de ce dialogue, les parties antagonistes en sont encore à s’échanger des accusations mutuelles, sans arriver à s’entendre sur un SMIG consensuel, pouvant permettre la reprise effective de ce problématique dialogue inclusif…M. A. -
La policía marroquí detiene y agrede a un joven saharaui en Bojador / Sáhara Occidental
El 04 de septiembre de 2014 aproximadamente a las 16:00 horas, agentes de la policía marroquí agredieron al joven saharaui “Sidi Brahim Lahssaini” de 31 años en la avenida principal de la ciudad de Bojador / Sáhara Occidental.Según el testimonio del joven saharaui, él estaba a bordo de una moto y al pararse fue sorprendido por un policía de tráfico quien le pidió entregarle los documentos de su moto para ser posteriormente obligado a subir a un coche de patrulla.Más tarde “Sidi Brahim Lahssaini” fue trasladado a la sede de la policía judicial en la ciudad en cuestión, donde fue sometido a amenazas y prácticas humillantes y degradantes de la dignidad humana, debido a una serie de denuncias que anteriormente había presentado contra oficiales y agentes de la policía marroquí involucrados en someterle a tortura física y psicológica dentro y fuera de sedes de la policía.Durante más de 5 horas, “Sidi Brahim Lahssaini” se mantuvo con las manos esposadas y amenazado con perseguirle con cargos de agresión a un funcionario durante el ejercicio de su trabajo, para ser luego dejado en libertad con efectos visibles de agresión física en partes de su cuerpo, especialmente una hemorragia en la nariz por lo cual al día siguiente se dirigió al hospital regional en la mencionada ciudad donde se sometió a pruebas médicas, y le indicaron que debería realizar una prueba de rayos X en el Hospital Hasan ibn al-Mahdi en El Aaiún/ Sáhara Occidental.Cabe recordar que “Sidi Brahim Lahssaini” ya había sido víctima de un asalto grotesco el 2 de abril de 2014 por oficiales y agentes de la policía marroquí, quienes le agredieron en público y le sometieron a tortura física y psicológica en la sede de la policía judicial en Bojador / Sáhara Occidental, motivos por los cuales él presentó quejas ante el poder judicial marroquí y algunas organizaciones internacionales de derechos humanos, para posteriormente entrevistarse con el Relator Especial contra la Tortura durante su visita a la ciudad de El Aaiún / Sahara Occidental. -
Un escenario bastante mediocre
La emergencia de Argelia como potencia regional indiscutible ha cambiado el panorama de la situación en lo que concierne a la cuestión del Sáhara Occidental. Incluso el aliado incondicional de Marruecos, Francia, cambió de visión en el tratamiento de este conflicto que lleva ya 39 años y que pone en juego la credibilidad de la ONU y el Consejo de Seguridad en una coyuntura altamente dificultada por el auge de la amenaza terrorista en la región y en el mundo.
El tiempo que Marruecos creía a su favor terminó volviéndose en contra de él. El peso de la palabra de Argelia es inevitable y Marruecos perdió puntos en el terreno diplomático a causa de su obstinación en querer afirmar su control del Sáhara Occidental y sus recursos naturales.Después de haber agotado todas sus cartas en las Naciones Unidas, en el Sahel y en el mundo árabe, Marruecos está tratando de crear interferencias presentándose como un país a la altura de Argelia en potencia militar y económica. Con este fin, todos los delirios están permitidos.Por ello, en cuanto la prensa internacional anunció que Argelia había desplegado a lo largo de sus fronteras con Libia un contingente de misiles tierra-aire, Marruecos sacó lo que tiene de escombros que sólo valen para el desguace para simular una guerra virtual en aras de atraer la atención de la comunidad internacional hacia un peligro fantasmagórico que podría atacar a su tradicional aliado y así suscitar la piedad y misericordia traducidos en regalos en el territorio del Sáhara Occidental.Por lo tanto, Marruecos, con una vetusta artillería desplegada en el Sáhara Occidental y en la costa de Casablanca quiere dar la imagen de un país en guerra justo en el momento en el que se dispone a recibir el enviado de la ONU Christopher Ross pretendiendo querer ripostar a cualquier amenaza proveniente de Libia. Un escenario muy mediocre y ridículo que se asemeja a las peores películas de suspense o de ciencia ficción que Marruecos avanza como estrategia geopolítica. Así, Marruecos, después de haber agotado los anuncios de desmantelamiento de células de acción y de reclutamiento de terroristas, helo aquí agarrándose con fuerza a la instrumentalización de la amenaza terrorista para realizar sus designios hegemónicos sobre el Sáhara Occidental. Una estrategia de intimidación destinada particularmente a España, país considerado todavía como potencia administradora de un territorio no autónomo a los ojos de la legalidad internacional.Cabe recordar que el gobierno y el CNI españoles fueron ampliamente manipulados por Rabat desde el atentado del 11 de marzo del 2004, cuya responsabilidad es en gran medida atribuida por un amplio sector de la opinión pública marroquí a los servicios secretos marroquíes.Después del cambio de actitud de París, Marruecos concentró sus ataques sobre la parte más débil del llamado Grupo de Amigos del Sáhara Occidental, España: Por eso, sus fronteras meridionales llevan algún tiempo diariamente acosadas por los asaltos de los inmigrantes subsaharianos.