Mois : décembre 2014

  • L’autre raison de l’annulation par le Maroc de l’organisation de la CAN-2015 de football

    Officiellement, le Maroc s’est désisté de l’organisation de la CAN-2015 par crainte d’une propagation du virus Ebola dans le pays. Mais il y a de plus en plus de faits qui accréditent la thèse selon laquelle le Makhzen, qui poursuit sans répit son escalade verbale contre l’Algérie, ne voulait pas prendre le risque d’un triomphe des Verts sur ses terres. 
    La preuve en est la réaction musclée et démesurée contre ceux parmi les Sahraouis qui ont brandi le drapeau algérien lors de l’annonce de la qualification officielle à la phase finale de la CAN-2015. Un journaliste sahraoui a d’ailleurs été arrêté par la police marocaine pour avoir filmé ces Sahraouis en train de brandir le drapeau algérien à El-Ayoun en guise de soutien à l’équipe algérienne de football. Selon le site «Diaspora saharaui», ce journaliste, Mahmoud El-Haissan, dont les images filmées sont passées à la télévision sahraouie, a été condamné le 3 décembre dernier à 18 mois de prison ferme. 
    Pour ce site, il ne fait aucun doute que le Maroc a refusé d’organiser la CAN-2015 par peur de faire face à de grandes manifestations de soutien à l’équipe algérienne dans les territoires occupés. «Imaginez que le Maroc organise la Coupe d’Afrique des nations chez lui. L’équipe algérienne est donnée candidat favori à remporter la coupe. Des centaines, voire des milliers, de jeunes Sahraouis, vont se déplacer pour encourager l’équipe algérienne et ils vont brandir le drapeau algérien sur le sol du Maroc, un crime impardonnable pour les autorités marocaines. Elles vont devoir réprimer les Sahraouis pour des faits anodins et à 3 mois de la présentation du rapport que le secrétaire général de l’ONU présentera au Conseil de sécurité sur le Sahara Occidental, alors que les relations entre Rabat et l’instance internationale sont déjà très tendues», souligne le site pour lequel l’argument du virus Ebola a été le seul que le Maroc a pu trouver pour motiver sa décision de se désister, dans l’espoir de ne pas subir de graves sanctions. 
    Autrement dit, Rabat semble avoir peur que les manifestations de soutien à l’équipe nationale algérienne se multiplient dans les territoires occupés du Sahara Occidental, ce qui constituerait une gifle pour le Makhzen.
    Rafik Meddour
  • Revelaciones de Chris Coleman sobre la naturaleza del Majzen. Mohammed VI un mendigo rico, con la mano infraganti en el saco.

    Chris Coleman, Julian Assange Marruecos continúa demostrando impresionantes revelaciones sobre la naturaleza y el funcionamiento del Majzen. En los últimos documentos publicados en su página de Facebook, este hacker da a conocer que el 16 de marzo de 2012, Taieb Fassi Fihri, el asesor del rey de Marruecos, visitó Arabia Saudita, donde fue recibido por el rey Abdullah Ibn Abdelaziz. ¿La razón de este desplazamiento esta bajo sello secreto? Un despacho de la agencia oficial marroquí la MAP publica que el ex ministro de Relaciones Exteriores del Reino de Marruecos visitó a la Península Arábiga para entregar una carta de Mohamed VI al rey saudí de contenido « el fortalecimiento de la asociación estratégica entre los dos países hermanos ».
    Hoy, gracias a las revelaciones de hacker Chris Coleman, la opinión puede hacerse una idea de lo que se entiende por eso de « el fortalecimiento de la asociación estratégica existente entre los dos países hermanos » publicado en el despacho de la MAP. De hecho, entre los documentos publicados por Coleman, una carta enviada el 07 de marzo 2012 por el Embajador de Marruecos en Bahrein y dirigida al Fassi Fihri con un proyecto de una carta que debe escribir el rey Mohamed VI al Rey de Arabia Saudita.
    Esta carta pide una ayuda económica « para superar la crisis, las dificultades económicas en el marco de nuestros esfuerzos para superar la crisis económica y financiera que sufre la economía nacional por factores e influencias internacionales y regionales y consecuencias de condiciones climáticas adversas ». « Estoy seguro de que va a escatimar esfuerzos para ser el mejor y más fuerte apoyo para que podamos superar esta situación excepcional », dice la carta.
    A diferencia de lo que sus líderes nos han hecho creer, Marruecos económicamente está asfixiado. En definitiva, se necesita dinero de nuevo con urgencia para evitar la asfixia y las revueltas sociales. Nueve días después, Fassi Fihri fue a entregar la carta al rey de Marruecos, cuyo contenido sólo ha sido revelado por Coleman.
    Sin embargo, la crisis económica no impide que los miembros de la familia real sigan derrochando. El mismo año, la hermana de Mohammed VI, la Princesa Lalla Meryem, ordenó al embajador de Marruecos ante las Naciones Unidas en Ginebra, Omar Hilal, comprarle « 40 botellas » de un producto especial para el baño de la marca Henri Chenot [Nota: Chenot es un biólogo creador de una marca de alta cosmética; en 2012 abrió un spa en Marrakech, con precios de 4500€ a la semana, según Le Figaro]. El Majzen tampoco repara en gastos cuando se trata de pagar cientos de miles de euros para unas vacaciones de ensueño en Marrakech a personalidades de la política y los medios de comunicación occidentales, todo es para comprar su silencio o complicidad en la colonización del Sáhara Occidental.
    Eso no es todo. Marruecos también se ha convertido en un refugio para los dictadores depuestos. El último que asentado en la capital de Marruecos es el ex presidente de Burkina Faso, Blaise Compaoré, derrocado el pasado 31 de octubre, después de 27 años de poder. Esta es la dura realidad de Marruecos del Mohammed VI.

  • Maroc : le Royaume ne recule devant rien pour déstabiliser l’Algérie

    Les patrons de la DST et de la DGED marocaines
    Au grand dam du Makhzen et faisant fi des intimidations et des menaces, le hacker Chis Coleman continue ses révélations. La dernière en date est celle d’un avocat français qui veut se spécialiser dans les opérations de déstabilisation de l’Algérie contre espèces sonnantes et trébuchantes du Maroc. Ralph Boussier, puisque c’est de lui qu’il s’agit, un avocat au barreau de Paris, conseil en France d’Abdellatif Hammouchi, le patron de la DST (Direction générale de la sécurité du territoire, la police politique marocaine) dans l’affaire des plaintes en France pour «tortures», aurait proposé à l’autre patron des services secrets marocains, Mohamed-Yassine Mansouri, directeur général de la DGED (Direction générale des études et de la documentation), un ambitieux projet visant à poursuivre pénalement l’Algérie en Espagne, et même aux États-Unis. Rien que ça. 
    Dans un mail en forme de mémorandum daté de 2010 et publié dimanche par Coleman sur son compte twitter, il est question de cet «avocat, pas comme les autres», qui bouillonne de ressources et notamment la création d’associations en France et aux États-Unis, d’un travail d’approche vers plusieurs personnalités, dont Susan Rice, ex-représentante des États-Unis auprès de l’Onu (2009-2013), «Miss Obama» (probablement Mme Obama), et un certain Kim, qui est sûrement le secrétaire général des Nations unies, depuis 2007, Ban Ki-moon, etc. Mais parmi ces propositions en vrac deux attirent l’attention. La première est le lancement «d’une plainte à l’initiative d’une association mauritanienne en Espagne contre l’Algérie». Et la deuxième est le dépôt d’une autre plainte d’une association, cette fois-ci américaine, toujours contre l’Algérie. Le mail n’explique pas le but poursuivi par ces deux plaintes ni leur base légale. 
    En 2010, le principe de justice universelle, terriblement restreint cette année par le gouvernement du Parti populaire espagnol, permettait alors aux tribunaux espagnols d’enquêter sur des actes commis à l’étranger. «Coleman» n’a pas publié que ce courriel. Une vingtaine d’autres documents postés sur Twitter laissent à penser que Me Boussier, du cabinet Normand & Associés, s’occupe également du conflit du Sahara occidental, qu’il fait du lobbying, qu’il a défendu pour le compte de la DGED une certaine Filali dans une affaire criminelle à Paris, et surtout qu’il a suivi, en 2009, le procès des faux dinars bahreïnis pour encore une fois le compte de la DGED, une affaire qui date de 1998 mais qui, officiellement du moins, ne concerne pas le Maroc. 
    L’histoire des faux dinars bahreïnis est une ténébreuse affaire dans laquelle est impliqué Hassan Fadoul, ancien ministre et ex-conseiller spécial du président tchadien Idriss Deby, le Marocain Hicham Mandari, qui fut mystérieusement assassiné en 2004 dans un parking de Mijas, un petit village de la province de Malaga, ainsi que plusieurs sous-fifres. Des journalistes qui ont enquêté sur le sujet estiment néanmoins que l’assassinat de Mandari a un lien direct avec cette affaire, dans laquelle seraient impliqués deux princes héritiers de deux États arabes, à l’époque. 
    Chaque jour qui passe apporte son lot de révélations sur les campagnes haineuses de certains médias français contre l’Algérie, menées par des journalistes français grassement payés par le Maroc. Un scandale qui ne semble pas trop émouvoir en France, du moins pour le moment.
    Mokhtar Bendib
  • ADALA UK denuncia el acoso de la policía marroquí a la familia Daoudi

    La organización de Derechos Humanos ADALA UK denuncia en un comunicado que los días 4 y 5 de diciembre varios miembros de la entidad en Europa y de los territorios ocupados del Sáhara Occidental trataron de hablar con la familia Daoudi, a fin de conseguir documentos firmados por ellos para la adopción de medidas urgentes para salvar la vida del preso político Embarek Daoudi, que se encuentra en estado crítico tras permanecer en huelga de hambre desde el 1 de noviembre de 2014, en la prisión marroquí de Salé (Rabat).
    Después de varios intentos fallidos de contactar con ellos por teléfono, la hermana de un miembro de ADALA UK que se encontraba en Guelmim, al sur de Marruecos, fue a la casa de la familia Daoudi, donde encontró un fuerte dispositivo policial. Fue interrogada al entrar, pero le permitieron acceder a la vivienda familiar. Juntos redactaron los documentos de la acción a emprender -un llamamiento internacional para abogar por la liberación del preso para que sea atendido en un centro hospitalario-, pero la defensora de ADALA UK no quería salir con ellos en la mano, por temor a que fueran incautados por la policía. Fue uno de los hijos de Embarek Daoudi quien fotografió los documentos y los envió por correo electrónico.
    Las autoridades marroquíes impiden a la familia de Embarek Daoudi hacer sus vidas con normalidad. Sus teléfonos están bloqueados, su calle y la casa están bajo vigilancia constante, con una camioneta de la policía estacionada en la puerta con el fin de intimidar a la familia y a quienes acuden a visitarles para expresarles su solidaridad. Varios agentes vestidos de civil patrullan el vecindario, vigilan y fotografían todos los movimientos de cualquier miembro de la familia. También los activistas de ADALA UK en el Sáhara Occidental están siendo seguidos y vigilados por las autoridades marroquíes, tanto en Guelmim como en territorios ocupados. Por ello, ADALA UK expresa su preocupación por la seguridad de sus miembros y sus familias en el Sáhara Occidental, así como hace un llamamiento en particular sobre la situación de acoso policial a la familia Daoudi.
    Fuente y original en ingles: adalauk.org
  • Le hacker Chris Coleman répond à ses détracteurs

    Le hacker Chris Coleman24 vient d’apporter une preuve irréfutable de l’authenticité des documents qu’il publie sur la toile depuis le 2 octobre 2014.
    « Pour répondre à ceux qui doutent de l’authenticité des documents », a-t-il écrit dans le message qui accompagne sa preuve : Une liste détaillée du personnel travaillant au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération du Maroc. Une preuve consistante et de grande valeur.
    Il a posté son message et ce document pour tout le public, mais il y a mis en exergue le compte twitter de France24 et de Jean-Marc Manach, journaliste qui se qualifie d’envoyé spécial sur Interne. Autant France24 que M. Manach ont semé le doute sur l’authenticité de certains documents publiés par Coleman. La réponse était destinée spécialement à eux. 
    Jusqu’ici, France24 et Arrêt sur Images sont les seules médias français à avoir parlé du travail de Coleman24. Sur le champ médiatique français, c’est le silence radio sur les révélations sur certains journalistes français recrutés par la DGED marocaine.
    Vincent Hervouet, de LCI, Domique Lagardère, de L’Express, Mireille Duteil, de Le Point, José garçon: ex Libération, actuellement à Medi1 sat et chroniqueur à La Revue « Stratégie », sont les noms les plus cités, entre autres, dans les emails pendus par Coleman sur la toile. 
    Malgré cela, la presse française refuse de parler d’une affaire qui relève carrément de l’espionnage. Car, malgré la couverture offerte par la collaboration avec le journal d’Ahmed Charai, l’Observateur du Maroc, il y a des informations fournies sur l’impact de certaines publications sur le Maroc et sur le roi Mohammed VI.
    Le silence de la France sur ses journalistes corrompus par le Maroc a été signalé aussi par le journaliste espagnol Ignacio Cembrero, de El Mundo et ancien correspondant de El Pais au Maghreb. « C’est peut-être parce chien ne mange chien », dit-il.
    Selon le journaliste Eric Zemmour, « On a l’impression que le roi du Maroc, pour ne pas le nommer, « achète » toute la classe politique et médiatique française…en les recevant à la Mammounia ! 
    La presse algérienne a, maintes fois, dénoncé l’acharnement de la presse française contre l’Algérie au moment où elle n’a que des compliments pour le royaume de Mohammed VI. L’explication l’a apportée Coleman24 dans ses révélations sur les agissements du service du renseignement marocain dans les milieux journalistiques français.
  • El wikileaks marroquí descubre la actuación de Carmen Fraga a favor del acuerdo de pesca UE-Marruecos

    Un documento filtrado por un hacker evidencia que la excomisaria de pesca de la Unión Europea María Damanaki no quiso que se renovara el acuerdo de pesca entre UE y Marruecos, debido a las violaciones de derechos humanos en el Sáhara Occidental, pero fue supuestamente presionada por José Manuel Durâo Barroso, que era presidente de la Comisión Europea.
    Según Western Sahara Resource Watch (WSRW), entidad que integran organizaciones de más de treinta países que investigan y realizan campañas hacia empresas que colaboran con intereses marroquíes en los territorios ocupados del Sáhara Occidental, en esta operación tuvo una intervención destacada la eurodiputada del Partido Popular Carmen Fraga Estévez (León, 1948), hija de Manuel Fraga Iribarne.
    WSRW ha publicado que en la cuenta de twitter del hacker que actúa con el nombre de Chris Coleman, que filtra documentos oficiales marroquíes, se ha desvelado una correspondencia del exembajador de Estados Unidos en Marruecos Edward Gabriel, de 10 de mayo de 2010, destinada al más alto nivel del gobierno marroquí en la que se describe una conversación de uno sus aliados con Carmen Fraga Estévez, que entonces era presidenta de la Comisión de Pesca del Parlamento Europeo.
    Edward Gabriel dirige un lobby en Washington que tiene a Marruecos como cliente desde 2002. Según los registros archivados bajo la agencia estadounidense FARA (Foreign Agent Registration Act), se pagó a la empresa de Gabriel más de 3,7 millones de dólares solamente con la finalidad de fomentar y potenciar la agenda marroquí en EEUU.
    En el momento de dicha correspondencia, la Comisión Europea había presentado al Parlamento Europeo la propuesta de extender por un añoel acuerdo de pesca entre UE y Marruecos. En la conversación filtrada se cita a Carmen Fraga admitiendo que esto es « lo máximo que se puede conseguir » porque « es muy improbable que haya una revisión del acuerdo de pesca con Marruecos ». Se cree que Fraga aducía varias razones de esa improbabilidad. Una de ellas, que la comisaria de pesca, María Damanaki, « no está por la labor de un nuevo acuerdo de pesca con Marruecos ».
    « La señora Fraga me dijo que el presidente de la Comisión [José Manuel Barroso] presionó a Damanaki para que prolongara el Protocolo de pesca un año; la comisaria alega violaciones de derechos humanos por parte del gobierno marroquí », describe la correspondencia filtrada.
    Carmen Fraga espera la presión de Durâo
    Supuestamente, Carmen Fraga « continuó diciendo que el portavoz del grupo parlamentario liberal (ALDE), el señor Haglund, no está a favor de la extensión del Protocolo, y que la comisaria Damanaki tampoco ayuda. No obstante, la señora Fraga espera un poco de presión por parte del presidente de la Comisión, y cree que puede movilizarse a una pequeña mayoría a favor de prolongar el Protocolo de pesca ». Además, Carmen Fraga supuestamente dio consejos al informante de Gabriel sobre cómo hacer lobby, explicando sobre qué grupos podía tratar de presionar.
    Es igualmente destacable lo convencida que parecía Carmen Fraga, según la fuente anónima de Gabriel, en cuanto a la posición marroquí en el Sáhara Occidental. « Algunos adversarios suyos [de Fraga] declaran que Marruecos no está respetando los derechos humanos de la población saharaui ni que los beneficia económicamente. La señora Fraga no cree este argumento. Ella acepta la posición del gobierno marroquí de que todo aquel que vive en el Sáhara Occidental pertenece a la población saharaui. El gobierno marroquí puede demostrar que invierte mucho de su dinero en mejoras en los puestos del Sáhara Occidental, además del dinero de la UE », continúa la conversación filtrada.
    Esa « demostración » de inversión no era más que una presentación enpowerpoint, en la que Marruecos presentaba sus planes de reformar su sector pesquero, y la cual fue insistentemente presentada una y otra vez por la Comisión Europea en 2010. Sin embargo, la Comisión no había solicitado una presentación de sus planes a Marruecos, sino más bien un documento detallado que demostrara inequívocamente de qué forma se benefician los saharauis del acuerdo de pesca UE-Marruecos.
    La petición de la Comisión fue otro ejemplo de esta grave malinterpretación de la Opinión Legal de la ONU sobre las actividades económicas en el Sáhara Occidental, la cual concluye que dichas actividades deben respetar los deseos y los intereses del pueblo saharaui. La comisión, escogiendo ignorar el derecho de autodeterminación de los saharauis, escogía dar prioridad únicamente a los potenciales beneficios de la pesca. Lo que es más, la Comisión consideró apropiado pedir a Marruecos, la potencia ocupante, un informe que demostrara cómo su robo de los recursos saharauis realmente beneficia a este pueblo. Una práctica que fue tumbada por el autor de la Opinión Legal de la ONU, el embajador Hans Corell, por ser otro uso incorrecto de su trabajo.
    Sin embargo, Marruecos, ofendido porque tuvo que demostrar cómo invierte el dinero de la UE en sus « provincias del sur », no presentó dicha documentación durante largo tiempo. Después de repetidas solicitudes por parte de la Comisión Europea, el 13 de diciembre de 2010 Marruecos finalmente produjo una presentación powerpoint (de 44 páginas) que ni siquiera daba respuesta a la cuestión original. En su lugar, daba información general sobre planes de desarrollo portuario tanto en Marruecos como en el Sáhara Occidental, territorios que no distinguía entre sí.
    WSRW señala que no ha consultado a las personas citadas en esta filtración y recuerda que en diciembre de 2011 el Parlamento Europeo rechazó la extensión por un año del acuerdo de pesca UE-Marruecos.

    http://www.elespiadigital.com/index.php/noticias/historico-de-noticias/7719-el-wikileaks-marroqui-descubre-la-actuacion-de-carmen-fraga-a-favor-del-acuerdo-de-pesca-ue-marruecos

  • Abdelaziz appelle le peuple sahraoui à adhérer au plan d’alerte établi par le Polisario

    TERRITOIRES SAHRAOUIS LIBERES – Le Président sahraoui et Secrétaire général (SG) du front Polisario, Mohamed Abdelaziz, a appelé, lundi depuis les territoires sahraouis libérés, le peuple sahraoui à adhérer pleinement au plan national d’alerte tracé par le secrétariat général du front.
    S’exprimant en clôture des travaux d’un séminaire sur les communautés du Sud, le Président sahraoui et SG du Polisario a indiqué que « cette rencontre constitue une des étapes de ce plan national d’alerte qui ne concerne pas uniquement l’armée nationale, mais implique toutes les composantes de la société sahraouie ».
    M. Abdelaziz a souligné, dans ce contexte, que « le peuple sahraoui va entrer dans une année 2015 très importante », à la lumière du « signal fort » donné par l’ONU « qui estime nécessaire, en cas d’une absence d’avancée dans la question sahraouie d’ici au mois d’avril 2015, d’opter pour une nouvelle approche dans le traitement de ce dossier ».
    « Seulement, aucune évolution de la question n’est à relever face à l’intransigeance de la partie marocaine qui continue à rejeter le référendum, les négociations, le contrôle de l’ONU des droits de l’Homme, à piller les richesses du Sahara Occidental, à entraver les efforts de l’envoyé onusien Christopher Ross, en plus de ne pas accueillir la nouvelle représentante personnelle du SG de l’ONU », a soutenu M. Abdelaziz.
    De son côté, le ministre sahraoui de la défense, Mohamed Amine Ould El-Bouhali, a indiqué que « l’armée nationale sahraouie ne craint pas le retour à la lutte armée contre le régime marocain », renouvelant, à cette occasion, « la confiance en l’ONU pour résoudre le conflit concernant le Sahara occidental ».
    Dans une déclaration à l’APS, à la veille d’une man£uvre militaire devant être exécutée par l’armée de libération nationale Sahraouie au niveau de la 7ème zone militaire, M. Ould El-Bouhali a affirmé que « l’ONU porte toute la responsabilité historique de l’organisation d’un referendum libre, démocratique et propre, devant permettre l’autodétermination du peuple sahraoui ».
    « Le front Polisario soutient, à ce titre, les résolutions et textes de l’ONU », a souligné le même responsable.
    Organisé dans la région d’Ahouinit, en territoires libérés, le séminaire des communautés a été mis à profit pour réitérer « l’attachement du peuple sahraoui à sa juste cause et de renforcer l’expérience nationale sahraouie et d’en consolider les mécanismes ».
    Lors de cette rencontre d’une journée animée par des militants des droits de l’Homme et des associations sahraouies, les participants ont appelé les jeunes générations « à se structurer au sein des instances organiques des communautés, au service de la juste cause sahraouie ».
  • El Español en África: Las huellas del castellano en el dialecto del hassaniya saharaui

    Por: Elsa Besson
    Esta entrada es el resultado de la lectura de un libro en el que explica la presencia léxica del español en un dialecto árabe africano denominado hassaniyya saharaui. Libro está publicado por Aache Ediciones. Su autor, Abdurrahaman Budda, ha recopilado la mayoría de las voces del hassaniyya saharaui originarias del castellano.
    EL HASSANIYYA SAHARAUI
    El hassaniyya saharaui es un dialecto del árabe que en la actualidad hablan 5 millones de personas en el Sahara Occidental, Mauritania, este de Argelia, sur de Marruecos y zonas del norte de Mali.
    Este dialecto contiene muchas voces procedentes del español, que se fueron introduciendo durante finales del siglo XIX y principios del XX debido a la presencia española en la zona. El mayor caudal de estas voces pertenece al ámbito de la mecánica, del automóvil y son numerosas también en alimentación, agricultura y sanidad.
    Se conservan además una gran cantidad de palabras en castellano en la memoria de las generaciones que vivieron los tiempos del colonialismo español. En la actualidad el vocabulario hassaniyya saharaui sigue enriqueciéndose de préstamos españoles gracias a los estudiantes que cursan sus estudios en países hispanohablantes y regresan después a su tierra natal.
    LA LENGUA ESPAÑOLA EN EL SAHARA OCCIDENTAL
    El castellano ha mantenido su presencia en la administración y en la sanidad y en el segundo grado de primaria su estudio es obligatorio. En algunos periódicos y en la radio saharaui del Sahara se emiten programas en castellano. El libro recoge la mayoría de las voces del hassaniyya de origen español, transcritas según las normas de transliteración del árabe al castellano para trabajos lingüísticos. Todas son de uso oral corriente entre los saharauis. En su adaptación a la pronunciación árabe algunas palabras presentan leves cambios, otras han permanecido intactas de generación en generación. Su significado es, en la mayor parte de los casos, el mismo que en la lengua de origen.
    Las voces aparecen agrupadas de acuerdo con su ámbito semántico en:
    –Productos alimenticios
    –Hogar
    –Utensilios
    –Vestimentas
    –Material escolar
    –Deporte y juegos
    –Medicina
    –Transporte
    –Herramientas
    –Construcción
    –Mecánica
    –Otras palabras
  • «Le Maroc ne peut pas être garant de démocratie à l’égard des Sahraouis»

    De notre envoyé spécial à Bruxelles, Mehdi Mehenni 
    Pour le vice-président du Parlement européen, Fernando Maura Barandiaran, le Maroc ne peut offrir aux Sahraouis ce qu’il ne peut assurer à son propre peuple : le principe de la démocratie. 
    Rencontré au siège du Parlement européen, le député espagnol Fernando Maura Barandiaran s’est montré particulièrement inquiet quant à la question du Sahara occidental. Il craint, en effet, que la situation de blocage qui prévaut sur ce dossier ne pousse les jeunes Sahraouis à l’option des armes contre le Maroc. 
    «Il faut savoir que les jeunes Sahraouis avec lesquels nous avons discuté ont une perception différente de celle de leurs aînés sur le conflit avec le Maroc. Depuis quelque temps, ils poussent leurs chefs vers l’option militaire. La force plutôt que le dialogue diplomatique qui n’avance pas», a-t-il signifié. Une option qui, de son point de vue, n’arrange pas les affaires de l’Algérie : «Vu ses intérêts dans la région, l’Algérie ne veut pas d’un autre conflit armé à ses frontières. Elle favorise plutôt l’option diplomatique internationale. En clair, le dialogue.» 
    En se voulant plus explicite sur la question de blocage qui pèse sur le dossier sahraoui, le vice-président du Parlement européen considère que la France tout comme l’Espagne en ont une grande responsabilité.
     
    «La France bloque toujours l’initiative de la mission des Nations-Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso). L’Espagne suit les idées de la France», a-t-il relevé tout en avouant qu’«il y a des conflits larvés sur la question». 
    Et c’est justement pour cette raison que Fernando Maura Barandiaran estime que l’Union européenne devrait se pencher sérieusement sur le dossier : «La question sahraouie ne doit pas rester entre le Maroc, l’Algérie, la France et l’Espagne. L’Union européenne doit traiter de ce problème en tant qu’institution.» Parallèlement, et sur la question de l’organisation d’un référendum pour l’autodétermination du peuple sahraoui, par le Maroc, le député espagnol estime que ce pays ne peut offrir ce qu’il n’a pas. «Un pays qui n’assure pas le principe de la démocratie à son propre peuple ne peut le faire avec le peuple sahraoui. 
    Ce n’est pas un pays démocratique, et par conséquent, il ne peut faire des promesses démocratiques. Sur ce plan, le Maroc n’a pas de crédibilité pour offrir une autonomie aux Sahraouis.» 
    Par ailleurs, et sur la question des prisonniers sahraouis à El Ayoun, le même interlocuteur considère que le Maroc a menti. La représentation marocaine sur les droits de l’Homme qui est passé devant le Parlement européen a menti sur les 10 cas de condamnations à mort à El Ayoun et qui existent réellement», a-t-il affirmé. 
    Enfin, aux accusations marocaines portées contre l’Algérie, sur le cantonnement des Sahraouis dans des camps de concentration à Tindouf, Fernando Maura Barandiaran conclut : «Jamais on ne m’a présenté une situation concrète vis-à-vis de ces accusations. Je ne peux donc affirmer une telle histoire car on parle en termes vagues sur parfois une personne qui a pu souffrir dans un camp sahraoui à Tindouf.» 
    M. M.
  • Por qué Marruecos renunció a la organización de la CAN 2015

    Mahmud El Haisan, con los refugiados saharauis
    Mucha tinta se vertió intentando explicar las razones que se encuentran detrás de la decisión marroquí de renunciar a la organización de la Copa Africana de Naciones del 2015. Sin embargo, ningún argumento era convincente. El de la amenaza del virus Ebola evocada por Marruecos lo era mucho menos.
    El motivo podría estar en las calles del Aaiún ese 30 de junio del 2014 cuando el equipo de Argelia fue seleccionado para los octavos de final del Mundial de Futbol de Brasil. Decenas de jóvenes saharauis salieron a la calle para celebrar la victoria de los aliados. La bandera argelina ondeó en las calles del Aaiún, capital ocupada del Sáhara Occidental. Un crimen imperdonable para las autoridades marroquíes que lanzaron sus fuerzas de represión para castigar a los jóvenes saharauis por haber expresado su simpatía por el equipo argelino.
    Mahmud El Haisan, reportero de RASD-TV filmó la manifestación de los hinchas saharauis y las imágenes llegaron a Argelia a través de la televisión saharaui.
    El 4 de julio del 2014, El Haisan fue arrestado por la policía marroquí y el 3 de diciembre fue condenado a 18 meses de prisión por delitos completamente falsos.
    Imagínense que Marruecos organiza la CAN 2015. Centenas, incluso miles de jóvenes saharauis acudirán para apoyar al equipo de Argelia, considerado como candidato favorito para ganar la copa. Los saharauis alzarán de nuevo la bandera argelina sobre suelo marroquí y eso los marroquíes lo considerarán como crimen de lesa-majestad y sus porras caerán sin piedad sobre los saharauis a 3 meses de la presentación por el SG de la ONU de su informe sobre el Sáhara Occidental. Ello, en un momento en que las relaciones entre Marruecos y la instancia internacional se caracterizan por una alta tensión.
    Esa es la razón por la que Rabat decidió renunciar a la CAN 2015 invocando el ridículo motivo de la amenaza del Ebola.