Mois : octobre 2014

  • Erase una vez el 12 de octubre de 1975

    El día 12 de octubre de 1975, Marruecos se hacía cada vez más agresivo conforme iba empeorándose el estado de salud del General Franco. Sus unidades militares empezaban a infiltrarse en la región de El Farsía y Hausa, desertadas por el ejército español. El Tribunal Internacional de Justicia dará su dictamen cuatro días después contra las pretensiones de Rabat. La tensión monta en la región. El Gobierno de Madrid había dado señales positivas al Frente Polisario para que liberara a los prisioneros españoles.
    Ante la inminencia de la invasión marroquí, el Frente Polisario convocó los principales actores de la escena política saharaui : los miembros de la Asamblea General saharaui, formada por los chejs de tribus y los responsables del Partido de Unión Nacional Saharaui, creado por las autoridades españolas.
    El encuentro tuvo lugar en Ain Bentili, en la frontera entre el Sáhara Occidental y Mauritania. El entonces secretario general y fundador del Frente Polisario, El Uali, conocido como Lulei, recibió al secretario general del PUNS, Dueih Noucha y Jatri Yumani, presidente de la Yemaa. El objetivo de la reunión era presentar un frente común para afrontar todo tipo de eventualidad y repulsar las amenazas marroquíes. Todos los presentes acordaron unirse bajo el lema del Polisario como único representante legítimo del pueblo saharaui. El PUNS había sido desprestigiado por la deserción de su presidente a Marruecos.
  • L’animosité marocaine contre l’Algérie remonte à 1963

    La haine que le Makhzen marocain voue à l’Algérie et au peuple algérien ne date pas de 1975, date du soutien d’Alger au Front Polisario pour lutter contre l’invasion marocaine. L’animosité du Maroc remonte très loin vers la guerre des sables que le Maroc a imposé à l’Algérie tout juste après son indépendance et qui avait des visées expansionnistes comme c’est le cas aujourd’hui pour le Sahara Occidental. 
    Unique conflit armé direct entre l’Algérie et le Maroc
    Il était une fois la guerre des sables
    Dans l’histoire récente des deux jeunes pays, aux fondements historiques et socioculturels quasiment liés, il aura fallu qu’une guerre jalonne leur parcours commun.
    Au cœur du problème, la question lancinante des frontières.
    La guerre des sables fait partie de ces escarmouches qui n’ont heureusement ni fait beaucoup de morts ou de blessés ni occasionné de dégâts importants (a contrario des guerres sanglantes que se sont livrés le long de leur histoire les pays européens) mais qui sont comme des points de repères sur les limites des crises que vivent deux pays de manière cyclique.
    Les combats avaient débuté le 8 octobre 1963. Des troupes de la jeune Armée nationale populaire issue de la glorieuse Armée de Libération nationale – longtemps soutenue par le royaume du Maroc – avaient attaqué des détachements des Forces armées royales (elles aussi héritières directes de l’Armée de Libération du Maroc). Avant cela, au mois de septembre, le roi Hassan II avait déployé des troupes en plusieurs points de la zone désertique qui s’étendait entre le Hamada du Draâ et Béchar. Les forces marocaines n’avaient eu aucun mal à occuper ces lieux, l’armée algérienne étant absente de ces endroits, ses troupes les mieux équipées étant occupées en Kabylie face aux militants du FFS.
    En apprenant que les troupes marocaines occupaient une partie du territoire national, le président Ben Bella lança son fameux “hagrouna”.
    Dès le début des combats, l’armée algérienne, qui avait excellé dans la guérilla face à l’armée d’occupation française, a du mal à faire face à des troupes marocaines entraînées à la guerre des axes. Les combats sont acharnés durant trois jours alors que des renforts arrivent du nord pour renforcer l’armée algérienne et que la France envoie du matériel au Maroc (des véhicules, du plasma, des rations de combats, des casques et quelques mitrailleuses ainsi que des mortiers). L’armée marocaine aurait pu pénétrer plus avant sur territoire algérien sans rencontrer de résistance importante.
    Mais les bons offices sont engagés ; que ce soit ceux de la Ligue arabe, refusés par le Maroc, et ceux de l’ONU, mais sans obtenir l’aval des deux parties.
    Ce sera l’OUA qui réunira Algériens et Marocains autour d’une table, à Bamako, le 29 octobre, moins de vingt jours après le début des combats. La conférence convoquée d’urgence par Haïlé Sélassié, l’empereur d’Ethiopie, agissant en tant que président de l’Organisation de l’unité africaine, regroupe le roi du Maroc, le président Ben Bella et Modibo Keita, président de la République du Mali.
    Un accord de cessez-le-feu sera signé le 2 novembre et les combats cesseront réellement le 4 novembre. L’accord aboutit aussi à un modus vivendi soulignant qu’il n’y avait ni vainqueur ni vaincu.
    Une guerre non voulue
    S’il ne fait aucun doute que cette guerre n’était pas voulue par l’Algérie et d’ailleurs même pas attendue, elle est née à l’instigation du roi du Maroc. Mais le souverain marocain pariait plus sur les pressions qu’il pouvait ainsi exercer sur le gouvernement algérien que sur l’issue du conflit lui-même. Car de toute évidence, l’affrontement armé ne pouvait être à l’avantage d’aucune des deux parties, d’autant que le roi Hassan II savait que la prise de territoires sur l’Algérie équivaudrait à un conflit permanent. D’ailleurs, il le reconnaissait lui-même dans Le Défi : “La première attitude (se raidir et continuer la guerre, ndlr) faisait courir au Maghreb tout entier le risque d’une immense guerre civile. Nous n’eûmes pas une minute d’hésitation, préférant un voisin fort et amical à un voisinage hostile et rancunier.”
    De plus, l’intense émotion soulevée par le conflit rendait le Maroc plus vulnérable puisque isolé. Finalement, à quoi rimait l’incursion ? En fait, le souverain du Maroc s’impatientait de régler les questions frontalières laissées en suspens au moment de la Guerre de Libération, alors que Ben Bella traînait des pieds pour s’asseoir autour d’une table et discuter. L’offre faite par la France de créer quelques départements du Sud au Maroc et en garder d’autres n’avait pas plu au roi Mohamed V, qui préférait régler le problème avec l’Algérie indépendante (1). D’ailleurs, faut-il croire à la grandeur d’âme du monarque ou bien privilégier un calcul froid en prévision de l’avantage qu’aurait un Maroc indépendant depuis plusieurs années face à un pays nouvellement indépendant ? Hassan II en avait touché un mot au président Ben Bella, mais celui-ci lui demandait du temps ; il fallait mettre sur pied les institutions algériennes pour ensuite parler des frontières.
    Dans le même temps l’accord secret Hassan II – Ferhat Abbas du temps de la Guerre de Libération (en 1961) devenait caduc alors que Abbas est évincé du système politique algérien.
    Le Maroc, après le conflit, gagnait toutefois la mise en place d’une commission spéciale pour trouver une solution au problème frontalier. Il reste que si la solution militaire a été un échec, l’issue diplomatique débouchait sur une impasse.
    Dès lors apparaît aux yeux de Hassan II la possibilité de forcer la main aux Algériens en multipliant les possibilités de coopération économique, si bien qu’on en vient aussi à se demander si finalement le but ultime n’était pas l’exploitation du minerai de fer de Ghar Djebilet. Un minerai qui serait très concurrentiel sur le marché mondial s’il était exploité en commun par les Algériens et Marocains. C’était du moins la thèse marocaine. L’exploitation se ferait en Algérie et l’acheminement par un port marocain (La Gazelle ou Tarfaya). Une démarche qui a abouti sur le néant, la mine étant à ce jour fermée.
    Si pour ce qui est des relations bilatérales apaisées, seuls les accords de 1969 ont abouti à une paix régionale qui dure avec beaucoup de tumulte (les deux pays ne se sont plus jamais affronté militairement directement), au plan interne marocain, le roi Hassan II a bénéficié d’une grâce inespérée. La monarchie, bousculée par les idées de gauche prônées notamment à l’époque par l’UNFP (opposition gauche) et que les projets socialisant de l’Algérie séduisaient largement les populations rurales marocaines (2), celle-ci se voyait renforcée alors que le roi avait collaboré directement et de manière étroite avec les militaires. Le conflit a en outre éprouvé largement le sentiment national des Marocains, qui se sont ralliés autour du roi, symbole de l’unité nationale. De même, la monarchie pouvait prétendre tirer ainsi sa légitimité du nationalisme marocain (3) et de ce fait l’opposition se trouvait réduite à une action politique qui ne pouvait aspirer au partage du pouvoir. 
    Amine Esseghir
    (1)- De toute évidence, la Guerre de Libération s’est poursuivie plus longtemps et a coûté plus de morts et de souffrances à cause justement du refus de la France d’inclure tout de suite le Sud algérien dans les territoires en négociations avec le FLN.
    (2)- Dans un télégramme de l’ambassade de France à Rabat de février 1963, l’ambassadeur De Leusse indique que les autorités marocaines ont demandé aux autorités algériennes de ne plus émettre sur les ondes de la radio locale de Tlemcen des programmes sur la réforme agraire. Des lettres du Rif demandaient à ce que ces programmes reprennent.
    In Les Trois rois – Ignace Dalle
    (3) – Rémy Leveau et Abdallah Hammoudi : Monarchies arabes, transitions et dérives dynastiques – La documentation française (Paris, 2002)
    Références :
    Ignace Dalle : Les Trois rois – La monarchie marocaine de l’indépendance à nos jours – Fayard (Paris, 2004)
    Benoit Méchin : Histoire des Alaouites Librairie Académique Perrin (Paris,1994)
    Etranges similitudes
    La guerre des sables a été précédée par un réchauffement des relations qui ne présageait aucunement de l’évolution dramatique des événements. Le roi Hassan II était en visite à Alger du 13 au 15 mars 1963. Puis, début mai, devait se tenir à Marrakech un rassemblement des chefs d’Etat dits “du groupe de Casablanca”, un ensemble de chefs d’Etat africains progressistes que le souverain marocain voyait d’un très mauvais œil. Cette conférence sera ajournée.
    La presse marocaine menait aussi une campagne virulente contre l’Algérie, mais on ajoutait aussi un certain zèle à malmener les Algériens de Oujda, Ahfir, Saïdia. Alors que les frontières sont ouvertes, des Algériens sont refoulés et les cafés de Oujda tenus par des Algériens sont fermés. Coté algérien, les autorités interdisent aux ressortissants des deux pays de se rendre au Maroc.
    A. E.
    LES DEBATS, 29 JUIN-5 JUILLET 2005
  • La Unidad Nacional y la gesta de Gdeim Izik

    A los héroes y heroínas de la lucha pacífica del levantamiento y la resistencia en la patria ocupada, en el sur de Marruecos ,en las universidades y en la diáspora.
    La Unión Nacional de Mujeres saharauis felicitan es este doble aniversario, el cuarto aniversario de la épica histórica de Gdeim Izik “ 10 de octubre de 2010” y la conmemoración del Día de la Unidad Nacional “12 de octubre de 1975! bajo el lema « movilización para fortalecer la identidad ante los desafíos » y elogian sus sacrificios y su perseverancia inquebrantables y su lucha contra la tiranía de la y por la libertad y la independencia. La Unión Nacional de Mujeres Saharauis y en nombre de todas las mujeres saharauis reafirma su presencia y solidaridad con la lucha del pueblo saharaui y con los manifestantes con los desaparecidos y prisioneros. Al mismo tiempo expresa su enérgica condena y su firme condena de la represión ,la tiranía y la persecución y violación de los derechos humanos y las violaciones que se ejercen contra los ciudadanos saharauis indefensos y los manifestantes pro-democracia y la plena independencia del pueblo saharaui y la salida de los invasores marroquíes.
    Rendimos tributo y homenaje al enorme sacrificio que ofrecen y siguen ofreciendo. Prueba de ello es el asesinato del mártir Hasan Wali el 28 de septiembre y enterrado el 4 de octubre en ausencia de su familia que exigió a las autoridades de ocupación esclarecer las circunstancias del crimen a través de una autopsia llevada a cabo por médicos especialistas.
    En este contexto de conmemoración las mujeres saharauis queremos reafirmar:
    Nuestro apego al frente popular para la liberación de Saguia el-Hamra y Río de Oro como único representante del pueblo saharaui.
    Nuestra incondicional solidaridad con las luchas de nuestro pueblo y el repudio del feroz ataque contra nuestra gente en los territorios ocupados.
    Exigimos:
    Un referéndum libre e imparcial para que el pueblo saharaui ejerza el derecho a la autodeterminación.
    -La liberación de todos los presos políticos saharauis y presos de Gdeim Izik.
    -Un mecanismo internacional para la protección de los derechos humanos en el Sáhara Occidental.
    -Conocer el paradero de los secuestrados y desaparecidos saharauis.
    -Levantar el bloqueo militar y el bloqueo informativo sobre el Sahara Occidental ocupado.
    -El cese del saqueo de las riquezas naturales de forma ilegal en la parte ocupada del Sáhara Occidental.
    La Unión Nacional de Mujeres Saharauis únen fuerzas para enfrentar los desafíos y para reforzar los principios y valores de la paz, así como para denunciar todas las violaciones que cometen las fuerzas marroquíes contra nuestra población y que no saben sino utilizar la violencia y la fuerza frente a la razón.
  • Recepción del cuerpo diplomático en el Parlamento Panafricano

    El jueves se ha celebrado la reunión del Parlamento Panafricano para embajadores africanos acreditados en Johannesburgo Sudáfrica, con la participación de la embajada saharaui.
    La reunión fue presidida por el vicepresidente del Parlamento Panafricano, la diputada saharaui Suelma Bertuk junto y al decano de los embajadores africanos en Sur África además del Secretario General de del Parlamento Panafricano.
    La reunión de embajadores africanos se centró en las actividades y programas de la quinta sesión ordinaria del Parlamento Panafricano, que comenzará el lunes y también estuvo dirigida para informar a los embajadores del protocolo del Parlamento Panafricano y la firma y ratificación del mismo.
    Según fuentes de la embajada saharaui, la sesión que preside la vicepresidenta saharaui contará con la presencia del Presidente de Malí y Presidente de Sudáfrica .Cabe señalar que en la sesión anterior los invitados de honor fueron el presidente de la RASD, Mohamed Abdelaziz y el presidente de Mauritania Mohamed Ould Abdel Aziz
    También está previsto organizar los días 16 y 17 de octubre un seminario sobre la mujer y su papel en las políticas de los Estados de África y otro sobre mujeres y los derechos humanos.
  • Diputados se lían a puñetazos en el pasillo del Parlamento marroquí

    El viernes 10 de octubre, el rey Mohamed VI inauguró la sesión parlamentaria con un solemne discurso en el que pretende que Marruecos suscita los celos de los demás por su modelo de desarrollo. Dos horas después, el máximo responsable del Partido Istiqlal y un diputado del PAM se líaba a puñetazo limpio en los pasillos de la sede del Parlamento marroquí.
    Una escena digna de las viejas películas del Oeste americano donde los bandoleros sobrevivían gracias a la rapidez con la que desenfundaban sus revólveres.
    De esta manera, el rey Mohamed VI fue desmentido por sus propios diputados. El Rey de Marruecos, en necesidad de disimular sus múltiples fracasos tanto a nivel interno como externo, quiso que discurso fuera una lección de demagogia para dar a su país una decoración diferente de la que ofrece la realidad de la situación política, social y diplomática. Su Majestad no dijo ni mu sobre el Sáhara Occidental, “la causa por excelencia de la monarquía”, debido a la carencia de argumentos para justificar la cólera de la comunidad internacional contra Marruecos a causa de su posición tendente a alimentar un conflicto que prevalece desde hace casi 40 años.
    El soberano marroquí quiso presentar su política como un éxito que suscita los celos de los demás. Para dar solidez a sus palabras atribuyó al profeta Mahoma una citación que nunca dijo. Según el que la Constitución designa como Comendador de los Creyentes, el profeta musulmán pidió a Dios “que sean muchos los que sean celosos de nosotros” porque, según él, Marruecos alcanzó tal grado de prosperidad que muchos países desearían.
    Sus diputados dieron un buen ejemplo de ese Marruecos del que habla su rey.
  • Mohammed VI et la masseuse du hammam

    Par Salah Elayoubi
    Mohammed VI n’en finit plus de se fourvoyer. Dans son dernier discours, il a prié la Providence pour qu’elle accroisse le nombre de ceux qui nous jalousent !
    Vous ne rêvez pas, c’est bien un chef d’État qui a prononcé ces paroles indignes qui feraient honte à la dernière masseuse de Hamman et qui plus est, devant un hémicycle bondé de parlementaires serrés en rang d’oignons. 
    Vous me direz que ni l’un, ni les autres ne méritent la place qui est la leur. Le premier parce qu’il n’arrête pas de donner une piètre image de sa fonction en évitant soigneusement tous les rendez-vous avec l’histoire et se contentant d’amasser une fortune colossale, en usant de son pouvoir. Les seconds en applaudissant aux exploits du premier et en donnant leur blanc seing à la répression qui permet à ce dernier de perpétuer les pratiques ignominieuses, héritées d’un autre temps.
    Que pourraient bien envier d’autres pays, au Maroc qui flirte avec le fond du classement de toutes les agences de notation ? Entre une éducation détruite au point que l’enseignement privé est devenu le business lucratif par excellence, un urbanisme qui, à force de corruption, fait ressembler nos cités à des villes sinistrées, des infrastructures misérables qui frappent d’ostracisme et de misère des régions entières, des hôpitaux et des centres de santé sur lesquels quelques bandits de grands chemins en blouses blanches ont jeté leur dévolu, pour rançonner jusqu’aux citoyens les plus misérables, une santé publique si approximative que même le chef de l’état et ses proches sont obligés d’aller se faire soigner à l’étranger, une famille royale et des courtisans qui ont fait main basse sur les rares pans de l’économie sur lesquels le roi a omis de mettre la main, des services de sécurité entièrement dévoués à la défense de la monarchie et ses courtisans. 
    Je me demande donc ce qu’on pourrait bien nous envier, sauf peut-être la beauté naturelle de notre pays, qui fort, heureusement ne doit rien à la monarchie !
    Solidarité Maroc, 11/10/2014
  • Mohammed VI tente de dissimuler ses échecs

    L’orgueil dont parle le roi du Maroc est en réalité une couche de peinture sur les échecs de sa politique à tous les niveaux.
    Dans son discours, Mohammed VI n’a pas osé parler du Sahara Occidental, où sa politique expansionniste a échoué face à la détermination du peuple sahraoui à défendre ses droits légitimes. Il n’a rien dit sur le colère de la communauté internationale contre lui. Celle-ci lui a donné toutes les chances de sortir de ce guêpier avec la tête en haut, mais son arrogance et sa soumission au diktat de ses conseillers lui ont valu la dégringolade autant sur le plan intérieur que sur le plan extérieur.
    Mohammed VI tente de cacher son échec avec un discours démagogue prétendant qu’il est fier de son pays et que ses sujets doivent l’être. De quoi le Maroc est-il fier ? D’être la maîtresse de la France ? d’être le paradis de la perversion et le tourisme sexuel ? Des enfants violés quotidiennement sur la terre du Maroc ? Des femmes qui accouchent devant les hôpitaux sans aucun secours ? De la misère que vivent les familles dans l’Atlas et le Souss ?
    Mohammed VI, au lieu d’écouter les conseils de la communauté internationale et de son cousin Hicham El Alaoui, a préféré suivre le discours de ceux qui l’ont hypnotisé avec leurs mensonges. Des mensonges qui n’épargnent même pas les sacrés paroles du prophète de l’Islam (QSSL). Celui qui est censé être le Commandeur des Croyants, selon la Constitution marocaine, foule aux pieds la sacralité de l’Islam en attribuant au prophète Mohammed des hadiths qu’il n’a jamais prononcés. Il prétend que le prophète a prié la Providence pour qu’elle accroisse le nombre de ceux qui nous jalousent ! Qu’est-ce qu’ils vont jalouser dans un pays qualifié de maison close avec des dimensions géantes?

    Une clase à  Zaouïa Sidi Ben Hamza, à Errachidia, avec des
    caisses de légumes comme mobilier

  • Les relations de Abdalahi Ould Mohamedi avec le Maroc dévoilées par un document secret

    Beaucoup d’encre a coulé sur les relations avec le Maroc du président exécutif du réseau Saharamédias, Abdallahi Ould Mohamedi. L’un des indices qui ont été dévoilés c’était ses attaques incessantes contre l’Algérie et les sahraouis qu’il s’appliquait à diaboliser comme il pouvait. Un travail très bien rémunéré par Rabat, selon les documents récemment révélés dans une affaire qui ressemble à un Wikileaks marocain.
    En effet, un homme qui se fait appeler Chris Coleman a publié sur la toile une série de documents secrets du DGED marocain, les services de renseignements du royaume alaouite. Parmi eux des chèques en argent liquide pour des journalistes américains recrutés par un agent marocain dans le but de s’en prendre à l’Algérie et au Polisario. Le même travail que Ould Mohamedi continue de faire dans Saharamedias.

    Les documents dévoilent en plus que Abdalahi est l’administrateur de l’Agence de Presse Africaine (APA), une agence fantôme créée par les services secrets marocains pour masquer l’isolement du Maroc dans le continent africain en raison de ses velléités expansionnistes et donner un semblant de profondeur du royaume du Maroc en Afrique. L’agence a été décrite par Coleman comme l’arrière boutique de la DGED. Sur son site, il est indiqué que son siège se trouve à Dakar, mais pas un mot sur son personnel. 

    Mourad Bekkouri, avocat originaire de la ville de Rabat est le président de son Conseil composé d’un autre marocain, Hakim El Ghissassi, administrateur, Sidy Gaye, administrateur directeur général et Abdallahi Ould Mohamedi, administrateur. 
    Plus de détails sur l’APA dans les documents secrets publiés sur le site DROPBOX
  • Entrega del Premio a la Solidaridad « Juan Antonio González Caraballo » a D. José Chamizo

    Acto de Entrega del Premio a la Solidaridad « Juan Antonio González Caraballo » concedido por la Asociación de Amistad con el Pueblo Saharaui de Sevilla a D. José Chamizo, el pasado jueves 9 de octubre en Casa SAHARA Aminetu Haidar (Sevilla).
    Entre los participantes, además de los ponentes Bucharaya Beyun (Delegado de la RASD de España), Fernando Peraita (presidente de la AAPSS) y Diego Cañamero (SAT), Jadiyetu Mohtar (representante de la UNMS en España), se pueden ver el defensor saharaui de derechos humanos Ali Salem Tamek, quien dio el premio al galardonado José Chamizo, el vicepresidente del Parlamento Andaluz Ignacio García, el director de la Agencia Andaluza de Cooperación Internacional al Desarrollo Enrique Centella, el adjunto al Defensor del Pueblo Andaluz Luis Pizarro y los hijos de Juan Antonio González Caraballo Álvaro y Mohamed que entregaron un pergamino honorífico a José Chamizo.
    La Asociación de Amistad con el Pueblo Saharaui de Sevilla concede cada año el Premio a la Solidaridad « Juan Antonio González Caraballo y que cosiste en la Rosa del Desierto “ símbolo de la resistencia y la solidaridad”, que concede a tod@s los que han dejado su “ granito de arena” en la solidaridad.
    En esta edición, la AAPSS otorgará el premio a D. José Chamizo de la Rubia, defensor del Pueblo Andaluz entre 1996 y 2013, en reconocimiento a su trayectoria personal en defensa de los Derechos Humanos, de las libertades individuales y colectivas y en especial por su solidaridad y apoyo a la lucha pacífica del Pueblo Saharaui.
    Entre las intervenciones se pudo contar con la presencia de representantes de la sociedad civil y defensores de derechos humanos.
    Pueden ver la galería de foto pinchando en este enlace:
  • Los ataques americanos galvanizan el Estado Islámico (ISIS)

    En vez de diezmar al grupo Estado Islámico, los ataques estadounidenses en Siria e Irak parecen más bien galvanizar s los yihadistas que están concatenando las adhesiones de otras organizaciones extremistas como símbolos de la resistencia a América, destacan los expertos.
    Casi desconocido antes de su fulgurante ofensiva a principios de junio en la ciudad iraquí de Mosul, la organización armada ultra-radical sunnita actúa ahora como un potente imán que atrae a los islamistas de todo el mundo forzando los Estados Unidos a implicarse de nuevo militarmente en el mundo musulmán.
    « Primero fue Afganistán y los talibanes, luego Al-Qaeda e Irak, y ahora tenemos el EI considerado como una de las más importantes organizaciones islámistas », constata la investigadora Marina Ottaway, del Centro Wilson de Washington. 
    Los yihadistas, que controlan grandes extensiones de territorio en Siria e Irak en las que declararon un « califato », « se convirtieron en símbolo de la resistencia contra las potencias occidentales, contra los Estados Unidos », prosigue la especialista.
    De hecho, otros grupos extremistas islámicos ya se han unido a la causa del odio hacia Estados Unidos, constatan expertos. 
    Así, los talibanes del Pakistán afiliados a Al Qaeda, un rival del EI, anunció el sábado su intención de « seguir enviando Muyahidín para apoyar a los combatientes del EI ».
    « Les apoyamos plenamente porque creemos que esta organización fue creada para servir al Islam », dijo el portavoz del Movimiento Talibán del Pakistán (TTP), el grupo que había intentado matar a la adolescente Malala Yousafzai, co-ganadora del Premio Nobel de la paz. 
    A los ojos de Salman Shaikh, director de la antenta de Doha del Centro Brookings, esta adhesión se explica: el TTP « es menos popular en Pakistán que el Daesh », el acrónimo árabe del Estado Islámico. EI encarna « una forma de éxito de los sunitas », analiza el Sr. Shaikh. Incluso ve entre dos grupos radicales armados « una simetría ideológica (…) una galvanización común, ya que los dos son atacados por los Estados Unidos ».
    Despertar el antiamericanismo 
    Su colega Yezid Sayigh, del Carnegie Middle East Center de Beirut, también advierte a Washington contra el riesgo de despertar el antiamericanismo en el mundo musulmán, a pesar de los esfuerzos de diálogo y apaciguamiento de la administración Obama después de la era de George W. Bush. 
    « El impacto fundamental del EI que tenemos que vigilar de cerca no es el Pakistán, sino lo que está empezando a pasar en Jordania, incluso en el Líbano, donde la opinión pública es extremadamente receptiva », analiza.
    Y « si la campaña aérea continúa sin una estrategia política clara, sin resultados concretos, Irak y Siria no serán los únicos países que van a sufrir las consecuencias », predice el Sr. Sayigh. 
    Uno de los cinco « pilares » de la estrategia del presidente Obama para « debilitar » y « destruir » el grupo del EI es « deslegitimar » su « ideología extremista », declara el investigador. Washington también busca apoyarse en dignatarios musulmanes moderados para tratar de demostrar que esta potente organización « no es ni un Estado ni islámico ».
    El Departamento de Estado, mientras la opción militar de los bombardeos aéreos, reconoce sin embargo que « el EI ha logrado crecer, fortalecerse, reclutar y financiarse ». 
    Otros especialistas piensan que esta intervención americana, apoyada por aliados europeos y árabes contra los yihadistas, podría hacer estos últimos indispensable « sargentos de reclutamiento ».
    Así, escribe Nick Witney, del centro del Consejo Europeo de Relaciones Exteriores, « la principal amenaza es ideológica: el grupo autoproclamado campeón del Islam es extremadamente seductor para psicópatas, radicales, oportunistas y aquellos que están llenos de resentimientos contra Occidente » . (AFP)