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Email de Charai a Mansouri |
Mois : octobre 2014
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Manipulation marocaine au sein de l’Assemblée Nationale française
Pour le Sahara Occidental, ou plutôt pour ses alléchantes richesses naturelles, le Makhzen a remué ciel et terre en vue d’étouffer le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. En vain.Voici Ahmed Charai, un agent très actif qui rapporte sur ses activités à son chef, Yassine Mansouri, le boss de la DGED.Le résultat de toutes ces manigances est évident dans les dernières attaques de Salaheddine Mezouar contre la France. La France n’est plus prête à se brûler la face pour le Maroc. Rabat est en conflit avec l’ONU et la MINURSO risque de contrôler la situation des droits de l’homme au mois d’avril prochain.A. Charai affirme avoir manipulé l’UMP pour soutenir le projet d’autonomie du Sahara Occidental« Cher Monsieur,Je tiens à vous remercier pour le beau coffret que vous avez eu la grande gentillesse de me faire parvenir en souvenir de ma visite à Jérusalem.Sachez que je garde un excellent souvenir de ce séjour et de notre rencontre.En vous renouvelant mes remerciements pour cette délicate attention, je vous prie de croire, Cher Monsieur, à l’assurance de mes sentiments les meilleurs ».Email envoyé par Charai au chef de la DGEDSujet : Fw : Assemblée nationale 18/07/2008Pour : molva_canal@yahoo:frPour Sdi Yassine1- J’avais convenu avec Mr Poniatwski et Mr Copçe, lors de nos rencontres à Jérusalem, soit de parraîner une conférence portant sur le Plan d’autonomie pour le Sahara organiser à L’Assemblée Nationale en présence des médias ; Soit d’organiser pour le Président du CORCAS une séance de travail devant les députés de l’UMP et d’autres partis français, suivie d’une conférence de presse conjointe entre le CORCAS et un représentant de l’UMP. La date serait fin octobre.A vous de me dire quelle formule vous convient ?«2- Comme convenu, notre partenaire le quotidien US « The Washington Posr » nous offre le passage d’un article gratuit, que nous avons prévu la publication entre le 24 et le 28 juillet, un article qui mettra en exergue les grands projets économiques initiés par SM LE ROI et signé par un économiste ou un chercheur marocains, POURQUOI PAS MR LAHLIMI ?D’un autre côté, Dominique Lagarde de l’Express a accepté de venir au Maroc pour la journée du Mardi 22 juillet (elle doit rentrer impérativement le mercredi) afin de rencontrer des responsables qui pourront la briefer sur ses projets. Je propose qu’elle rencontre l’un des Conseiller de SM, en l’occurrence Mr Méziqne Belfquih.Souad Mekenett, responsable du bureau du New York Times en Allemagne sera au maroc le 28 juillet et sera prête, non seulement de faire un papier dans le NYT mais de nous mettre en contact avec un quotidien allemand. Elle est intéressée de revoir Gen Azaoui (pour les questions du Terrorisme) et de rencontrer le Conseiller de SM, Mr Belfquih pour les questions économiques. -
Marruecos utiliza a un periodista español para defender en la ONU su ocupación del Sáhara
José María Gil, presidente del Instituto de Seguridad Global, acusa de terrorismo al Frente PolisarioVarios abogados defienden el derecho a la autodeterminación y denuncian detenciones y torturas« La ayuda humanitaria que llega de España se ha reducido este año un 60% », según Brahim Mojtar, ministro de Cooperación de la RASD .Marruecos cuenta con defensores muy activos de su política en el Sáhara en Naciones Unidas. Entre los que hablan a su favor se encuentra el español José María Gil, presidente del Instituto de Seguridad Global. Trabaja como periodista para redmarruecosy ha autoeditado un libro en el que detalla las ‘víctimas del terrorismo del Frente Polisario’. Sin embargo, otros españoles abogados han defendido en el organismo internacional el derecho a la autodeterminación. “Marruecos está explotando los recursos naturales del Sáhara Occidental, sin consultar con el pueblo”, denunció en la ONU el catedrático Javier A. González, del Observatorio Asturiano para los Derechos Humanos en el Sáhara Occidental (OAPSO). “La potencia ocupante emplea detenciones arbitrarias, desapariciones forzadas y torturas. El incumplimiento del ordenamiento jurídico incluye medidas adoptadas contra los abogados defensores”, acusa la abogada Inés Miranda.La autodeterminación del Sahara en un grave impasseLa autodeterminación del Sahara ha entrado en un grave impasse, según el parecer de los expertos internacionales. El diplomático Juan Manuel González Linares, embajador adjunto ante Naciones Unidas, mantiene una ‘exquisita equidistancia’ para no entorpecer las buenas relaciones con Marruecos. “Un año más esta Comisión se ve obligada a examinar el asunto del Sahara Occidental, un territorio que hubiera debido de seguir un proceso de descolonización bruscamente interrumpido hace ya 39 años. De nuevo, esta Comisión tiene ante sí el examen de una situación que refleja la palmaria vulneración del capital principio de la libre determinación de los pueblos”, subraya el representante del OAPSO. El catedrático Javier A. González lleva años vinculado a esta causa. A otro asturiano le correspondió defender el tema del Sahara antes de la descolonización por encargo del régimen de Franco.La comparecencia de peticionarios que intervino en la Cuarta Comisión (Política Especial y de Descolonización) de Naciones Unidas arroja una abrumadora mayoría de opiniones favorables a Marruecos. Llamó la atención que no hubiera ningún representante de la fundación Robert Kennedy, que como informó La Celosía, es muy favorable a la causa saharaui. Los defensores de la política de Mohamed VI esgrimen graves acusaciones de terrorismo contra integrantes del Frente Polisario a los que vinculan con los yihadistas. “El Frente Polisario es una dictadura apoyada por la comunidad internacional. La región subsahariana vive una situación muy inestable, con la presencia de grupos armados y el terrorismo yihadista. Un grupo que formaba parte del Estado Islámico en Irak y el Levante / Sham (ISIL / ISIS) fue parte de un grupo involucrado con el Frente Polisario”, es la versión que ha ofrecido el periodista José María Gil, que ya intervino el año anterior.Encarcelados activistas y defensores de los derechos humanosSe han encarcelado a activistas y defensores de los derechos humanos en el Sáhara Occidental, según relató la abogada Inés Miranda. Denunció como acciones legítimas fueron juzgadas “como delitos”. Los observadores legales habían denunciado las detenciones arbitrarias de los saharauis y los juicios sin las debidas garantías, así como la dispersión de los detenidos en todo el territorio de Marruecos. “Marruecos continuó con su política arbitraria de imponer sanciones a los saharauis, como injusta prisión perpetua. Se necesita una acción eficaz para garantizar el cumplimiento del derecho internacional y la protección de los derechos humanos en la región”, subrayó durante su intervención María Dolores Travieso, también abogada.“La ayuda humanitaria que llega de España se ha reducido este año un 60%. Los gobiernos autónomos de Canarias, Murcia, Castilla León o Murcia no han dado ni un euro para ayuda alimentaria a los refugiados saharauis. País Vasco, Navarra y Extremadura han mantenido sus compromisos. Cataluña colabora con una cantidad muy pequeña, y Valencia o Andalucía han reducido sus ayudas a la mitad”, subrayaba ayer Brahim Mojtar, ministro de Cooperación de la República Árabe Saharaui Democrática (RASD), en una conferencia en la que había voluntarios y periodistas españoles. -
Maroc : les enjeux d’un lobbyisme fallacieux
par Khalil Asmar*Les révélations de Chris Coleman ne laissent échapper aucun détail. Le Snowden à la marocaine vient de dévoiler les zones d’ombres autour du lobbying qui se joue sur les terres de l’Oncle Sam, les Etats-Unis d’Amérique. Suite á la publication d’un de ses documents confidentiels, on dirait que les les dieux sont tombés sur les têtes du Moroccan American Center (MAC). L’indiscrétion a été commise par Chris Coleman sur le site de DROPBOX et relayée ensuite par son compte Twitter. Piqué au vif, empêtré, le centre a envoyé un email pour réclamer les droits de propriété, ce qui a contraint le site DROPOX à supprimer le lien du document en question.Histoire d’un lobbying déguisé:Le Maroc s’est lancé dans le lobbying à travers des organisations avec des noms anodins, tels que « The Moroccan American Cultural Center », « Moroccan American Trade and Investement Center » et « The Moroccan American Center for Policy » mais ils ne sont en effet que des rejetons du « Morocco American Center ». Alors que ceux-ci semblent donner l’image d’organismes culturelles ou d’ONG indépendantes, ils sont en fait un véhicule pour orner l’image du régime médiéval du Makhzen et quémander le soutien à son occupation du Sahara Occidental. La société « The Gabriel Company » a eu le gouvernement marocain en tant que client depuis 2002 avec un chiffre d’affaire de 3,7millions de dollars.Pourtant, le MAC n’a été enregistré auprès du FARA (Foreign Agents Regitration Act) qu’en 2004, et depuis lors il a commencé à chercher par tous les moyens à engranger le soutien sur le dossier le plus délicat pour le royaume, le Sahara Occidental occupée. Après l’enregistrement, le Maroc a commencé immédiatement à prodiguer les fons sur les lobbyistes pour rester dans les bonnes grâces de l’administration américaine. Selon les registres de FARA, le Maroc a employé lui seul neuf cabinets de lobbying américains et depuis 2007, il a dépensé environ 20 millions de dollars sans compter les enveloppes bourrés de pognon passés sous la table comme c’était le cas avec Ahmed Charai. La somme que le régime de Rabat débourse aux cabinets de lobbyisme américains le positionne dans les sommets des pays qui sollicitent de tels services, dépassant même les pays de pétrodollars.Le MAC : défendre l’occupation à tous prixDans le document classifié confidentiel, on comprend bien pourquoi le Maroc fait usage de neuf cabinets de lobbying. C’est, en effet, pour cibler un tel objective dont un tel centre se considère son point de force. Cette tactique, comme il parait sur le document, est une recommandation d’une certaine boite d’étude ayant l’expertise dans les enjeux lobbyistes qui prennent lieu à Washington DC.Le Sahara Occidental se trouve au cœur de la stratégie du MAC de 2012 qui devrait être suivie ultérieurement à travers quatre campagnes. La première campagne c’était la ‘Campagne des Faits Accomplis’ qui avait pour objectif la mise en œuvre de l’aide financier que le USAID a octroyé au gouvernement marocain incluant le territoire occupée du Sahara Occidental. En revanche, cette compagne était prématurée vue que le département des affaires étrangères américain devrait accorder la décision de sa validité dans un délai de 90 jours.La deuxième campagne a porté le nom de ‘Campagne pour la fermeture des camps’ qui visait à créer une dynamique à Washington pour la fermeture des camps des réfugiés sahraouis pour des raisons sécuritaires et pour le conditionnement des fonds américains au HCR et le PAM. Le lobbyisme devrait se pencher sur une propagande à grande échelle pour but calomnier le Front Polisario dans les medias, presse et à travers des membres du congrès américain on y collant frauduleusement le ticket de liaisons fatales avec le terrorisme djihadiste. En dépit, Daniel Benjamin, coordinateur du département d’état américain de lutte contre le terrorisme a démenti ces allégations accréditant les rapports de lien entre le Polisario et AQMI de ‘fallacieux’La troisième campagne c’était de continuer à positionner le Maroc comme modèle dans la région sur toutes les questions allant des droits de l’homme à la coopération en matière de sécurité et réforme démocratique pacifique. Autrement dit, rendre le visage répugnant d’un régime dictatorial à un havre de démocratie pour dissimuler ses crimes hideux commis au Maroc et au Sahara Occidental, tandis que la quatrième campagne s’est remis sur le déploiement du nouvel ambassadeur on lui préparant la voie aux relations publiques pour promouvoir les campagnes convenables aux groupes ciblés afin qu’ils puissent soutenir les thèses expansionnistes du Maroc.A travers ces campagnes, on peut conclure que la stratégie marocaine de lobbyisme aux USA vise surtout à défendre son occupation du Sahara Occidental ; l’épine douloureuse dans les fesses du régime de Rabat. La stratégie du MAC de 2012 mette en évidence l’obsession centralisée et maladive de la politique extérieure Marocaine qui cherche à maintenir à tous prix une occupation qui s’avère couteuse et contreproductive. Cependant, ces millions de dollars que le régime makhzenian dilapide font l’objet de doute quant à sa source toujours controversée.* Ecrivain sahraoui
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Sahara occidental : La 4e commission de l’ONU appelle à un règlement rapide du confl it
Les Etats membres des Nations unies réunis dans le cadre de la quatrième commission chargée entre autres de la question de la décolonisation dans le monde ont adopté mardi dernier une résolution réitérant l’engagement de l’ONU pour le parachèvement du processus de décolonisation au Sahara occidental.Aux yeux du ministre sahraoui des Aff aires étrangères, Mohamed Salem Ould-Salek, la résolu- tion adoptée par la quatrième commission constitue « un rejet catégorique aux tergiversations et aux manœuvres de l’occupant marocain visant à impo- ser la politique du fait accompli à la communauté internationale ». Selon lui, « cette résolution constitue aussi un sou- tien fort aux eff orts louables que les Nations unies et l’Union africaine ne cessent de déployer pour hâter la décolonisation du Sahara occidental ».« Les débats de cette année, qui ont eu lieu à l’Assemblée géné- rale et à la quatrième commission, et auxquels ont pris part un grand nombre d’Etats et Groupes régio- naux, ainsi que des représentants de la société civile internationale, ont montré, a-t-il indiqué, que l’ob- tention de la liberté et de la souveraineté par le peu- ple sahraoui et la satisfaction totale de ses droits, constituent le chemin incontournable vers la paix, la stabilité et la concorde dans le nord-ouest de l’Afri- que ».Dans les faits, ce n’est pas la première fois que la quatrième commission agit de la sorte et défend le principe d’une résolution rapide du confl it sahraoui. Il n’empêche que cette année, les thèses relatives à l’autodétermination telles qu’elles sont défendues par le Polisario ont eu davantage d’audience que cel- les avancées par le Maroc, qui, lui, défend le principe de l’autonomie des territoires sahraouis dans le cadre de la souveraineté du royaume. Ce regain d’audience est un marqueur des points importants marqués par la diplomatie sahraouie sur la scène internationale depuis 2013, année durant laquelle le Centre Robert F. Kennedy, présidé par Kerry Kennedy, la fi lle de l’ancien ministre de la Justice, frère du président Kennedy, a publié un rapport accablant sur la situation des droits de l’Homme dans les territoires sous domination marocaine.Depuis, le terrain s’est davantage ouvert aux Nations unies comme ailleurs dans de nombreuses capitales occidentales au poids déterminant dans le dossier sahraoui – dont Washington – aux thèses indépendantistes. APPEL À BAN KI-MOON Revigorés par la résolution de la Quatrième commis- sion, le gouvernement sahraoui et le Front Polisario lancent aujourd’hui un appel au secrétaire général des Nations unies et son envoyé personnel « pour accélérer le processus de négociations en cours, dont l’objectif final est de garantir l’exercice par le peuple sahraoui de son droit inaliénable à l’autodétermina- tion et l’indépendance ».« Nous saisissons cette même occasion pour lancer un appel très pressant au gouvernement marocain, au nom de l’intérêt de tous les peuples de notre région, de cesser de naviguer à contre-courant de l’histoire et de mettre fi n à son agression et ses crimes inqualifi ables contre le peu- ple sahraoui », a affi rmé pour sa part le chef de la diplomatie sahraouie, M. Ould-Salek. De son côté, l’Algérie a accueilli hier avec « satisfaction », la résolution de la commission onusienne chargée de la question de la décolonisation. Selon le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Chérif, le texte « réaffirme, clairement, l’attachement total de la communauté internationale au strict respect du droit inaliénable du peuple du Sahara occidental à l’autodétermination et à l’indépendance conformément aux principes de la Charte des Nations unies et à la résolution 1514 (XV) du 14 décembre 1960, portant déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux, ainsi que les résolutions pertinentes de l’Assemblée générale et du Conseil de sécurité ».En sa qualité de pays voisin et d’observateur offi ciel du processus de règlement, l’Algérie, « qui continue- ra d’apporter sa contribution au processus de décolonisation du Sahara occidental, renouvelle son sou- tien aux efforts déployés par le secrétaire général de l’ONU et son envoyé personnel pour une solution fondée sur le libre exercice par le peuple du Sahara occidental de son droit à l’autodétermination », a-t-il ajouté.L’Algérie réitère son appel aux deux parties au conflit, le Maroc et le Front Polisario, « pour continuer à œuvrer sous l’égide des Nations unies afi n de parvenir, à travers des négociations directes et sans préalables, à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable de ce conflit dans l’intérêt des deux peuples marocain et sahraoui frères et de l’ensemble des peuples du Maghreb », a conclu le porte-parole du MAE. -
Tourisme : Le Maroc ne peut pas vouloir le beurre et l’argent du beurre
Depuis des années, les autorités marocaines ne cessent de crier au loup. Des dizaines d’annonces de démantèlements de cellules présumées qui n’ont jamais été présentées à la presse ni jugées. La question est exagérée et amplement diffusée grâce à une presse soumise au régime.
Le Maroc n’est pas le premier à instrumentaliser la menace terroriste. Le but est de quémander un soutien à ses prétentions sur le Sahara Occidental.La multiplication de faux communiqués et de déclarations a fini par faire peur aux européens en particulier en France après l’assassinat de Hervé Gourdel. Les pays européens ont fini par inclure le Maroc dans la liste de destinations dangereuses pour leurs ressortissants. Et ce sont les mêmes pays qui fournissent l’écrasante majorité des touristes arrivés chaque année au Maroc pour passer leurs vacances.A présent, Rabat se plaint de la diminution de nombres de visites et par conséquent des recettes touristiques. C’est la consternation du côté des professionnels marocains qui parlent de « psychose » des pays occidentaux. Ils dénoncent les amalgames véhiculés par les médias. Les marocains doivent savoir pertinemment qu’ils ne peuvent avoir le beurre et l’argent du beurre.Ils ont voulu convaincre le monde que leur régime est menacé par Daech, il ont réussi, mais ils doivent en assumer les conséquences. Il faut plus compter sur les revenus traditionnels du tourisme, comme il ne faut pas non plus croire que les pays occidentaux vont soutenir la colonisation du Sahara Occidental. Le Makhzen peut en rêver. Enfin de compte, rêver ne coûte rien. -
Un ministre minable!
MINABLE!Le chef de la diplomatie marocaine quémande un service personnel à son homologue françaisDire que ce Salahaddine Mezouar, qui n’hésite pas à » mendier » un permis de travail en France pour sa fille, avait osé qualifier de » minable » la diplomatie algérienne à cause de ses positions tranchées et légalistes, en ce qui concerne la question du Sahara occidental !Par Ali OussYa-t-il de pire, ou plus minable, qu’un ministre qui dirige la diplomatie de son pays, de quémander les services d’un autre ministre pour intervenir en faveur de sa fille ? Sans doute non. Cela se passe dans un pays où les sujets du roi se croient dans » le plus beau pays du monde « , le plus démocratique, le plus développé, etc. Oui, cela arrive au Maroc, le pays du roi Mohammed VI. Son ministre des Affaires Etrangères, Salaheddine Mezouar, devenu très célèbre, dans le sens le plus négatif du terme, à cause de ses trop nombreux écarts de langage, a demandé à son homologue français, Laurent Fabius, d’intervenir en faveur de sa fille pour que celle-ci obtienne un permis de travail et rejoigne l’équipe de la société Mc Kinsey France. Le trafic d’influence dans cette affaire est tel qu’il s’agit là de la même société qui avait été engagée par les autorités marocaines, afin d’élaborer un rapport sur la situation économique au Maroc et présenter un plan de redressement de celle-ci.Cela arrive dans le pays qui veut coloniser le Sahara occidental depuis bientôt 40 ans. Un pays dont les responsables n’hésitent pas à se couvrir de ridicule pour réaliser leurs desseins personnels. Le seul pays musulman où existe le tourisme sexuel. Le seul pays où l’on parle de » contribution de la prostitution à l’économie « . Cet apport, selon le journal marocain Akhbar Alyoum, draine de fortes rentrées d’argent en devises, essentiellement en provenance des pays du Golfe. Ce quotidien va même plus loin pour affir- mer que la prostitution des Marocaines constitue l’un des principaux apports, sinon le plus important, quand il s’agit de transferts en devises des Marocains résident à l’étranger.Cela arrive dans un pays où le roi est proclamé par la Constitution Commandeur des Croyants. Ridicule ! Il donne ainsi le mauvais exemple à son ministre des Affaires étrangères qui, à son tour, a réussi à faire bien pire…A.O.La Tribune des Lecteurs, 15/10/2014 -
¿España en el Consejo de Seguridad? ¿para hacer qué?
La votación para decidir si España tendrá un puesto en el Consejo de Seguridad de la ONU se celebrará, por una ironía de la historia, el 16 de octubre. Ese día constituye el aniversario del importantísimo dictamen del Tribunal Internacional de Justicia de Naciones Unidas sobre el Sahara Occidental. Y es que éste será uno de los asuntos, por no decir « EL » asunto en el que España más tendría que decir en dicho órgano. La cuestión por tanto es: ¿para qué exactamente quiere España estar en el Consejo de Seguridad?@Desdelatlantico.I. LAS GRANDES CUESTIONES DE NUESTRA POLÍTICA EXTERIOREn principio, el puesto de miembro (permanente o no permanente) del Consejo de Seguridad (CS) se atribuye para participar en el ejercicio de las competencias que la Carta de las Naciones Unidas atribuye a este importantísimo órgano y que no necesariamente pueden coincidir con los intereses particulares de un Estado. Ahora bien, no cabe duda de que un ejercicio leal y de buena fe de la responsabilidad de miembro del CS no excluye que, en el ejercicio de la misma se pueda también hacer una defensa de los intereses particulares del Estado cuando éstos son conformes con los principios de la Carta de las Naciones Unidas.A mi juicio, no hay duda de que los intereses primarios y secundarios de nuestra política exterior presentan la característica de ser plenamente conformes con los principios de la Carta de las Naciones Unidas. Otra cuestión es si la política exterior que se está ejecutando en España sirve a nuestros intereses o no.¿Cuáles son las grandes cuestiones de nuestra política exterior?En primer lugar, claramente, la defensa de la integridad territorial del Estado, tanto frente a las pretensiones de cercenarla (Marruecos) como frente a quienes se oponen (Reino Unido) al restablecimiento de la misma negándose a la devolución del territorio que nos corresponde (Gibraltar)En segundo lugar, la necesidad de honrar nuestros compromisos internacionales, públicos y solemnes, de culminar la descolonización del territorio del que legalmente somos administradores (Sahara Occidental).A mayores, naturalmente, hay otros intereses, importantes, pero secundarios, aunque ligados con los principales. Así, por ejemplo, en materia de descolonización, son varias las cuestiones donde el interés de España exigiría una mayor implicación (casos de Malvinas y Guam, fundamentalmente).De entre estos asuntos, el de Gibraltar es materia del que se ocupa la Asamblea General de Naciones Unidas, mientras que la del Sahara Occidental es una cuestión en la que se ocupan, cada uno en su esfera competencial propia, la Asamblea General y el Consejo de Seguridad.II. EL SAHARA OCCIDENTAL, PRINCIPAL RAZÓN DE SER DE NUESTRA EVENTUAL PRESENCIA EN EL CONSEJO DE SEGURIDADComo he comentado antes, de todos los asuntos de los que se ocupa el Consejo de Seguridad, el del Sahara Occidental es aquel donde la defensa del Derecho Internacional (que corresponde a todo miembro del Consejo) mejor se articula con nuestro interés en solucionar el conflicto de acuerdo con el Derecho Internacional.Y resulta, por una ironía de la historia, que el día en que se producirá la votación para saber si España obtendrá el puesto de miembro no permanente del CS, el 16 de octubre, es el aniversario del día en que las Naciones Unidas aprobaron el documento más importante de la historia del Sahara Occidental, a saber, el dictamen del Tribunal Internacional de Justicia de 16 de octubre de 1975 tras un proceso en el que España tuvo una intervención brillantísima y exitosa.En aquel dictamen, el Tribunal declaró (parágrafo 70 del dictamen) que
le processus de décolonisation qui doit être accéléré et que l’Assemblée générale envisage dans cette disposition est un processus qui respectera le droit des populations du Sahara occidental de déterminer leur statut politique futur par la libre expression de leur volonté. Ce droit n’est modifié ni par la présente requête pour avis consultatif ni par la résolution 3292 (XXIX) qui le réaffirme expressément au contraire. Le droit de ces populations à I’autodétermination constitue donc un élément de base des questions adressées à la Cour.TRADUCIDO:El proceso de descolonización que debe ser acelerado y que la Asamblea General contempla en esta disposición (se refiere a la resolución 3292) es un proceso que respetará el derecho de las poblaciones del Sahara Occidental a determinar su futuro estatuto político mediante la libre expresión de su voluntad. Este derecho no está modificado por la presente demanda de una opinión consultiva ni por las resolución 3292 (XXIX) que, antes bien, lo reafirma expresamente. El derecho de estas poblaciones a la autodeterminación constituye, por tanto, un presupuesto de las cuestiones planteadas al Tribunal
Precisamente por eso NO PUEDE HABER SOLUCIÓN que no pase por el referéndum de autodeterminación salvo, claro está, la retirada unilateral de la potencia ocupante de la mayor parte del territorio seguida del reconocimiento de la República Saharaui.III. ESPAÑA EN EL CONSEJO DE SEGURIDAD EN EL BIENIO 2003-2004 Y EL « PLAN BAKER »La última vez que España fue miembro no permanente del Consejo fue en el bienio 2003-2004. Y en aquel momento, al margen de la cuestión de la guerra de Iraq, la intervención más importante de España fue en relación, precisamente, con el Sahara Occidental.En julio de 2003, los Estados Unidos presentaron un proyecto de resolución mediante el cual el Consejo aprobaba (endorse) el llamado « plan Baker » que contemplaba unos años de autonomía tras los cuales se celebraría el referéndum de autodeterminación. Dato este que conviene recordar a los que por ignorancia o mala fe dicen que los EE.UU. « siempre » se han alineado junto al majzen.España apoyó en principio ese proyecto de resolución provocando el pánico en la corte de Mohamed VI que inmediatamente activó su lobby en Madrid. Poco después, en el último momento, en una actuación sorprendente y lamentable, aún no del todo explicada, la ministra de Exteriores, Ana Isabel de Palacio y del Valle Lersundi (más conocida simplemente como « Ana Palacio ») ordenó al embajador español en Naciones Unidas que hiciera gestiones en Naciones Unidas para que el proyecto en lugar de « aprobar » el « plan Baker » lo « avalara ». Una actuación que esperemos que algún día se sepa si se hizo con o contra el presidente que la nombró ministra de Exteriores, José María Aznar López.En abril de 2004, el gobierno de Rodríguez surgido tras el atentado del 11-M tomó su primera medida de política exterior (anterior a la retirada de Iraq): dejar de apoyar el « plan Baker ». Meses después, en junio de 2004, Baker dimitió.IV. EL EVENTUAL ESCENARIO PARA 2015-2016¿Qué va a hacer España en relación con el Sahara Occidental si resulta elegida miembro del Consejo de Seguridad?Sorprende, y mucho, el absoluto silencio de nuestro gobierno (y de la oposición) sobre este punto.Y sorprende porque a nadie se le oculta que, como en 2003-2004, el Sahara Occidental, por más que los medios españoles lo silencien, va a ser la cuestión más importante en la que vamos a tener que pronunciarnos.Y sorprende, porque está muy claro lo que España, desde esa responsabilidad, PUEDE Y DEBE hacer. Sobre todo porque, después de abandonar el « plan Baker », no cabe ya duda de que los argumentos utilizados en su día para rechazarlo y separarse de lo que determina el Derecho Interncional, diez años después se han demostrado falsos.DESDE EL ATLANTICO, 15/10/2014 -
Guerra cibernética con el Sáhara de por medio
Las interrogantes sobre la identidad del Snowden marroquí siguen el aire. Su conocimiento del tema del Sáhara es sorprendente. Y todos los documentos secretos que saca son relacionados con el tema del Sáhara Occidental. Su diana principal es la DGED (Dirección General de Estudios y Documentación) los servicios de inteligencia exterior marroquíes. Es decir, todo lo relacionado con la diplomacia. Esta última tiene como príncipe objetivo afirmar la colonización del Sáhara por Marruecos. Por ello se dice que es la “causa nacional número uno” del reino alauita.Coleman aportó pruebas de un hecho ya conocido por todos : los millones de dólares gastados en lobbying. Un lobbying que se reveló inútil y sin resultado positivo alguno. Millones de dólares fueron ofrecidos a periodistas para escribir simples artículos que pretenden que Marruecos es el aliado más fiable y sus servicios son indispensables en Estados Unido o que quieren vincular el Frente Polisario con el terrorismo. El cheque de 60.000 dólares para Richard Miniter es un ejemplo vivo de esta inútil malversación.Coleman no descubre todo lo que tiene en una sola vez. Saca a la luz los documentos que tiene uno por uno. Despacio y con buena letra. Como si quisiera matar a sus enemigos de angustia. Y cada vez trae algo más interesante. Los dela Majzén se están comiendo las uñas. La tensión sube y los nervios cada vez más en punta.La bomba que hizo estallar ayer no es ni más ni menos que un documento muy confidencial que contiene la hoja de ruta del llamado Moroccan American Center, uno de los lobbies marroquíes más grandes en Estados Unidos.Email enviaro por el sitio web anunciando la supresión de ese documento El documento revela que su objetivo principal es el de hacer que la administración Obama apoye a Marruecos en la cuestión del Sáhara Occidental.
Para ello, el MAC presentará como argumento « la relación estratégica entre Marruecos y Estados Unidos” y se aplicará en el objetivo de ensuciar la imagen del Frente Polisario colándole vínculos con el terrorismo.Este documento ha sido suprimido por el sitio web que lo hospedaba. La causa son derechos de propiedad reivindicado por el MAC.Si los marroquíes esperan angustiados lo que Coleman va a publicar en los días venideros, nosotros lo esperamos con mucho anhelo. -
L’Algérie accueille avec « satisfaction » l’adoption d’une résolution onusienne sur la décolonisation du Sahara occidental
L’Algérie accueille avec « satisfaction » l’adoption mardi par la Commission des questions politiques spéciales et de la décolonisation (4ème Commission) de l’Assemblée générale de l’ONU de la résolution sur le Sahara occidental, réitérant l’engagement des Nations unies au parachèvement du processus de décolonisation au Sahara occidental, a indiqué mercredi le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif.Dans cette résolution, la 4è Commission « réaffirme, clairement, l’attachement total de la communauté internationale au strict respect du droit inaliénable du peuple du Sahara occidental à l’autodétermination et à l’indépendance conformément aux principes de la Charte des Nations unies et à la résolution 1514 (XV) du 14 décembre 1960, portant déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et aux peuples coloniaux, ainsi que les résolutions pertinentes de l’Assemblée générale et du Conseil de sécurité », a souligné le porte-parole du MAE dans une déclaration à l’APS.En sa qualité de pays voisin et d’observateur officiel du processus de règlement, l’Algérie, « qui continuera d’apporter sa contribution au processus de décolonisation du Sahara occidental, renouvelle son soutien aux efforts déployés par le secrétaire général de l’ONU et son envoyé personnel pour une solution fondée sur le libre exercice par le peuple du Sahara occidental de son droit à l’autodétermination », a-t-il ajouté.L’Algérie réitère son appel aux deux parties au conflit, le Maroc et le Front Polisario, « pour continuer à oeuvrer sous l’égide des Nations unies afin de parvenir, à travers des négociations directes et sans préalables, à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable de ce conflit dans l’intérêt des deux peuples marocain et sahraoui frères et de l’ensemble des peuples du Maghreb », a conclu le porte-parole du MAE.(Aps) -
Le lobby pro-marocain touché par les révélations de Chris Coleman
Email de DROPBOX annonçant la supression
du lien du rapport du MACChris Coleman, le Snowden marocain, sème la zizanie non seulement au Maroc mais aussi au-delà des océans.En effet, aux Etats-Unis, une institution fétiche qui se fait appeler « Morocan American Center » a protesté contre la présence d’un de ses rapports confidentiels sur le mur du site DROPBOX. Arguant les droits de copyright, le MAC a contraint ce site de désactiver le lien concernant ce rapport.Le MAC est un groupe de lobbying destiné à donner une impression de soutien américain au Maroc, alors que les USA l’ont lâché en 2004, après que le Maroc a fait échouer les bons offices de leur ancien président James Baker.Tous les efforts diplomatiques du Maroc sont destinés à affirmer son contrôle du territoire et des richesses du Sahara Occidental.Par conséquent, tel qu’affirmé dans son rapport confidentiel, le but principal du MAC était «d’obtenir le soutien explicite de l’administration Obama au Maroc dans la question du Sahara Occidental ».