Mois : octobre 2014

  • Arabia Saudita reconoce el Sáhara Occidental como territorio no autónomo

    ¡Increíble pero cierto! Arabia Saudita, el país que más apoyó a Marruecos, con armas y dinero, en su guerra contra los saharauis, acaba de transmitir al Secretario General de la ONU su decisión de otorgar becas a estudiantes procedentes de los territorios no autónomos, “el Sáhara Occidental incluido”.
    Une bofetada en plena cara del reyezuelo de Marruecos que soñaba con los acontecimientos de la mal llamada “Primavera árabe” verían a Bouteflika ahorcado por los suyos como le había pasado al pobre Gadafi y veían un nuevo gobierno instalado en Argelia que les entregaría el Sáhara Occidental en una bandeja de plata. Pero al despertarse, se dieron cuenta de que lo que era un sueño se convirtió en una pesadilla. Los tunecinos, cuando se desembarazaron de la dictadura de Benali, no dudan de expresar su solidaridad con los saharauis y visitar a los campamentos de refugiados.
    Mejor todavía, Arabia Saudita empezó a mandar dátiles a los refugiados para el mes de Ramadán. Y ahora, el gobierno saudí declara que aceptará a estudiantes saharauis como procedentes de un territorio no autónomo.
  • Les Américains convaincus que la menace terroriste de Daech vient du Maroc et non de l’Algérie

    Les Etats-Unis d’Amérique redoutent des attentats terroristes contre leurs intérêts et leurs ressortissants au Maroc. S’ils sont rassurés par le niveau de maîtrise de la lutte contre le terrorisme des services de sécurité algériens, les Américains craignent fortement des opérations terroristes de Daech dans le royaume chérifien. Et ce, en dépit des mesures annoncées par le gouvernement marocain. 
    Dans son dernier rapport repris par Fox News, le département d’Etat met en garde les entreprises américaines activant au Maroc contre d’éventuelles représailles contre les opérations militaires menées contre les bases de l’Etat Islamique en Irak et en Syrie. Cette alerte spécifique au Maroc a été lancée le 7 octobre dernier par le Bureau de la sécurité diplomatique et le Conseil consultatif sur la sécurité à l’étranger (Osac) relevant du département d’Etat. Cette mise en garde aux ressortissants américains se trouvant dans le royaume marocain se base sur les données collectées ces dernières semaines sur le terrain, selon lesquelles le risque d’attentats terroristes contre les intérêts américains au Maroc est très élevé en raison notamment de la présence de 2 000 Marocains dans les groupes terroristes opérant sous la bannière de l’Etat Islamique également appelé Daech. 
    En effet, les Américains ont confirmé que le Maroc a le plus important contingent de terroristes en Irak et en Syrie. Parmi eux, il y a des anciens prisonniers de Guantanamo, devenus des chefs terroristes au sein de Daech. Ce qui a accentué les craintes des Américains, c’est la présence confirmée de nombreuses cellules terroristes au Maroc. Certaines ont été démantelées entre juillet et septembre derniers. D’autres arrivent à activer en recrutant des «combattants» au profit de l’Etat Islamique. Des plans d’attaques terroristes sur le territoire marocain ont été également découverts. Les services de renseignement américains ont en effet obtenu des informations crédibles sur le fait que les citoyens et les entreprises américaines peuvent être ciblés au Maroc. Autre motif d’inquiétude du département d’Etat : le Maroc est le dernier pays dans la région à reconnaître publiquement l’existence d’une forte menace terroriste sur son territoire. Pour les Américains, les autorités marocaines sous-estiment la menace venant de l’intérieur, ce qui augmente le risque pour leurs ressortissants. Surtout que trois jours après le rapport de l’Osac, l’Etat Islamique a appelé, par le biais d’une vidéo, ses partisans» à attaquer les étrangers où ils se trouvent en réponse aux opérations américano-européennes contre cette nouvelle internationale terroriste qui infeste l’Irak et le nord de la Syrie. Ce rapport n’évoque pas l’Algérie pour deux raisons, expliquent des experts américains sur Fox News. L’Algérie, pour eux, est un pays résolument porté sur la lutte contre le terrorisme depuis un quart de siècle. Autre raison : il y a très peu d’Algériens enrôlés dans les groupes terroristes de Daech et aucun chef terroriste. Les Marocains sont ainsi appelés à revoir le dispositif anti-Daech en axant sur la menace intérieure, au lieu de cibler l’Algérie dont les frontières sont blindées.
    Rafik Meddour
  • Inédit : l’Arabie Saoudite accepte les sahraouis comme étudiants d’un territoire non autonome

    Et dire que le régime de Rabat comptait tirer de grands profits du dénommé « Printemps Arabe » ! Il y voyait le président algérien Abdelaziz Bouteflika suivre la même voie que le guide de la Jamahiriya, Mouamar Gadhafi comme il imaginaitdes nouveaux gouvernants en Algérie en train de lui offrir le Sahara Occidental dans un plateau d’argent. Ah, que c’est beau de rêver ! Mais le problème c’est que quand Mohammed VI s’est réveillé, il a trouvé un panorama qui n’a rien à voir avec ce qu’il a vu dans son rêve.
    La société tunisienne, libérée du joug de Benali, n’a plus de crainte à manifester sa sympathie pour la lutte du peuple du Sahara Occidental. L’Egypte est devenu un allié de l’Algérie. L’Arabie Saoudite a commencé à envoyer des dattes aux réfugiés sahraouis pour le mois du Ramadhan et maintenant elle vient d’annoncer au Secrétaire Général de l’ONU que Riyadh est prête à accepter et à donner des bourses en faveur des étudiants des territoires non-autonomes, y compris ceux du Sahara Occidental. Une gifle en plein visage du roi Mohammed VI, reçu en plus d’un pays qui a toujours été son allié dans sa guerre contre les sahraouis. Mauvaise nouvelle pour les marocains qui ont opté pour le silence pour ne pas manifester leur penchant makhzénien envers les sahraouis y qui ont du mal à accepter qu’aucun pays ne reconnaît la souveraineté du Maroc sur notre cher Sahara que nous avons défendu avec bec et ongles.
  • HRW ve pocos abusos en campos de Sáhara Occidental

    En contra de lo que sostiene Marruecos, hay pocas violaciones de los derechos humanos en los campos de refugiados gestionados por el Frente Polisario, el movimiento independentista del Sáhara Occidental, dijo el sábado Human Rights Watch en un nuevo informe. 
    Tras dos semanas de investigación en el asentamiento, que incluyó entrevistas con residentes, la organización detectó casos aislados de acoso a críticos y de uso de tribunales militares contra civiles y, en general, vio que quienes viven en los campos pueden expresarse libremente o salir. 
    « Hay casos de abusos, pero han sido exagerados por algunas partes », dijo Sarah Leah Whitson, directora de Human Rights Watch en el norte de África, en una clara referencia a las acusaciones de Marruecos de violaciones de derechos persistentes. 
    Los campos en la remota región de Tinduf, en Argelia, acogen a unos 90.000 refugiados del Sáhara occidental, que fue anexionado por Marruecos en 1975. Marruecos libró una Guerra de 15 años contra el Frente Polisario, hasta que un alto el fuego auspiciado por Naciones Unidas en 1991 allanó el camino para celebrar un referéndum que decida el destino del territorio. Marruecos ha bloqueado la consulta y, en su lugar, ofreció conceder amplia autonomía. 
    Grupos de derechos humanos acusan a Marruecos de utilizar la violencia para reprimir a los disidentes y restringir la libertad de expresión en el Sahara occidental. A lo largo de los años ha habido varios intentos de conceder a poderes a una misión de la ONU para controlar la situación humanitaria en los campos y el territorio saharaui controlado por Marruecos, pero el reino alauí se ha opuesto por considerarlo una violación de su soberanía. 
    Las visitas de las agencias de supervisión de derechos a los campamentos son esporádicas debido, en parte, a su remota ubicación, según el informe de Human Rights Watch. 

    http://www.20minutos.com/noticia/b53040/hrw-ve-pocos-abusos-en-campos-de-sahara-occidental/#xtor=AD-1&xts=513357

  • Inédit : l’Arabie Saoudite accepte les sahraouis comme étudiants d’un territoire non autonome

    Et dire que le régime de Rabat comptait tirer de grands profits du dénommé « Printemps Arabe » ! Il y voyait le président algérien Abdelaziz Bouteflika suivre la même voie que le guide de la Jamahiriya, Mouamar Gadhafi comme il imaginaitdes nouveaux gouvernants en Algérie en train de lui offrir le Sahara Occidental dans un plateau d’argent. Ah, que c’est beau de rêver ! Mais le problème c’est que quand Mohammed VI s’est réveillé, il a trouvé un panorama qui n’a rien à voir avec ce qu’il a vu dans son rêve.
    La société tunisienne, libérée du joug de Benali, n’a plus de crainte à manifester sa sympathie pour la lutte du peuple du Sahara Occidental. L’Egypte est devenu un allié de l’Algérie. L’Arabie Saoudite a commencé à envoyer des dattes aux réfugiés sahraouis pour le mois du Ramadhan et maintenant elle vient d’annoncer au Secrétaire Général de l’ONU que Riyadh est prête à accepter et à donner des bourses en faveur des étudiants des territoires non-autonomes, y compris ceux du Sahara Occidental. Une gifle en plein visage du roi Mohammed VI, reçu en plus d’un pays qui a toujours été son allié dans sa guerre contre les sahraouis. Mauvaise nouvelle pour les marocains qui ont opté pour le silence pour ne pas manifester leur penchant makhzénien envers les sahraouis y qui ont du mal à accepter qu’aucun pays ne reconnaît la souveraineté du Maroc sur notre cher Sahara que nous avons défendu avec bec et ongles.

  • Le compte Twitter du Wikileaks marocain suspendu

    Document publie par Coleman sur des paiements aux journalistes français
    Il y a à rappeler que presque toutes les informations publiées jusqu’à maintenant par Coleman ont relation avec le Sahara Occidental. Cela dans un moment d’extrême tension entre le Maroc et l’ONU et entre le Maroc et la France, son principal soutien et sponsor dans la question du Sahara Occidental. Il y a quelques jours, le ministre des affaires étrangères marocain, Salaheddine Mezouar avait accusé Paris d’être derrière ces filtrations.
    Il n’a pas pu rester une semaine sur Facebook. Il n’a même pas eu le temps de goûter la sensation de publier le plus grand réseau social de la planète. Le Makhzen a embrigadé ses hordes aveuglées par la machine de propagande du palais royal jusqu’au point de voir le Maroc en rose. A coup de dénonciations, FAcebook a été contraint de supprimer la page de Coleman.
    Sur le site Dropbox, Coleman a dénudé la méthode du lobby makhzénien aux Etats-Unis, le Moroccan American Center. Dans un rapport classé confidentiel, cette institution créée par l’ancien ambassadeur au Maroc, Gabriel Kaplan, traçait une feuille de route pour attirer le soutien du président Obama aux thèses expansionnistes du Maroc. Le Makhzen a mobilisé le Centre et celui-ci a réclamé les droits d’auteur. Le rapport a fini par disparaître du site.
    Hier, Coleman a mis à notre disposition un email envoyé par Ahmed Charai au chef de cabine de Yassine Mansouri, Morad El Ghoul. Il y détaillait les paiements faits aux journalistes français dominique Lagarde, Vincent Hervouet et Mireille Duteil. Un montant de 6000 euros pour chacun. Le même jour son compte Twitter a été suspendu.
    Le Maroc suit de près les publications de Coleman et il mène une intense campagne contre lui. Cela délatte un état de extrême nervosité allant jusqu’au panique. Selon Carlos Ruiz Miguel, professeur en droit constitutionnel à l’Université de Saint-Jacques de Compostèle, le lobby pro-marocain en Espagne a de quoi s’inquiéter. Coleman pourrait dévoiler des informations risquant de gêner quelques makhzéniens espagnols.
    Il y a à rappeler que presque toutes les informations publiées jusqu’à maintenant par Coleman ont relation avec le Sahara Occidental. Cela dans un moment d’extrême tension entre le Maroc et l’ONU et entre le Maroc et la France, son principal soutien et sponsor dans la question du Sahara Occidental. Il y a quelques jours, le ministre des affaires étrangères marocain, Salaheddine Mezouar avait accusé Paris d’être derrière ces filtrations.
  • Le cauchemar du Makhzen

    Par Kamel Moulfi
    Une fin de mois difficile s’annonce pour le Makhzen. Le mercredi 29 octobre, le Maroc sera paralysé par une grève nationale de 24 heures, à laquelle ont appelé les trois plus importantes organisations syndicales du pays. 
    Tous les secteurs d’activité, en premier lieu la fonction publique, sont concernés par ce débrayage destiné à faire entendre la protestation contre la hausse des prix et le projet de réforme du système des pensions, qui comprend notamment le recul de l’âge de départ à la retraite, des mesures prises sous l’injonction du FMI et des bailleurs de fonds qui exigent du Maroc la réduction de ses dépenses publiques. 
    Les policiers marocains seront-ils de la partie ? La question n’est pas déplacée si on n’exclut pas une éventuelle contamination à partir de l’exemple donné par les policiers de notre pays. Le Makhzen s’en inquiète-t-il ? Il devrait y penser, car la police marocaine a plus de raisons de grogner que la nôtre et elle pourrait saisir l’occasion de la grève générale du 29 octobre pour revendiquer, elle aussi. 
    Au Maroc, les policiers vivent dans une misère totale, sous-équipés, mal fagotés, «sous-instruits, peu formés». Comme salaires, ils touchent des clopinettes, pour reprendre un terme utilisé par les observateurs marocains qui sont au fait des réalités de ce corps de sécurité défavorisé et pourtant essentiel au royaume. 
    Les policiers marocains sont, en outre, traumatisés par les cas d’abus et d’impunité dont sont victimes, dans leurs locaux, les personnes interpellées. Mais le Makhzen fait mine d’ignorer ce qui s’apparente à un cauchemar, et regarde ailleurs. Il semble «nourrir» le désir irrépressible de voir la protesta des policiers algériens dépasser les hommes en bleu pour atteindre les militaires. Ce rêve est raconté dans les médias marocains aux ordres. Ils ne veulent pas voir dans ce mouvement des policiers le signe que la société algérienne avance à grands pas sur le chemin de la démocratie grâce à la vivacité de son peuple. De même que la réaction du pouvoir, même si elle est encore insuffisante, confirme cette tendance au dialogue et à la concertation sans violence aucune. Au Maroc, la moindre étincelle de ce genre serait fatale pour le pays.
    K. M.
  • La cuenta Twitter del Wikileaks marroquí suspendida

    Email sobre los pagos a los periodistas franceses
    Ni siquiera una semana en Facebook. Seguramente, las hordas de sujetos ignorantes que gracias a la maquinaria de propaganda del Makhzen ven las cosas en rosa en Marruecos hicieron campaña para denunciar a la página Facebook de Chris Coleman y fue suprimida. Acto seguido, emigró a Twitter y menos de diez días después, su cuenta acaba de ser suspendida.
    Publicó un documento confidencial del lobby promarroquí en Estados Unidos, el American Moroccan Center. Dicho documento fue suprimido porque el propietario había reclamado los derechos de copyright.
    Ayer publicó un email expedido por el agente de la DGED marroquí, Ahmed Charai, al jefe de gabinete del patrón de los servicios de inteligencia exterior de Marruecos, Morad El Ghoul. En el precisaba que había pagado a los periodistas franceses Dominique Lagarde, Vincent Hervouet et Mireille Duteil la cantidad de 6000 euros para cada uno.
    Marruecos y sus amigos llevan a cabo una intensa campaña contra Chris Coleman. Lo cual indica que en Rabat están viviendo un estado de pánico avanzado. Según Carlos Ruiz Miguel, catedrático de Derecho Constitucional de la Universidad de Santiago de Compostela, el lobby promarroquí de España tiene razones para inquietarse. Coleman podría desnudar a unos cuántos majzenianos españoles.
    Cabe recordar que casi todos los documentos hasta ahora publicados por Coleman están relacionados con el Sáhara Occidental. Llama la atención que esto pasa en un momento de extrema tensión entre Marruecos y la ONU y entre Marruecos y Francia, su principal aliado y sponsor en el asunto del Sáhara Occidental. Hace unos días, el ministro de asuntos exteriores acusó a París de estar detrás de estas filtraciones.
  • Conferencia sobre la mujer en El Parlamento Panafricano presidida por la representante de la RASD

    La cuestión saharaui estuvo presente en las discusiones y cuyo posicionamiento es unánime en el apoyo a las aspiraciones legítima y justa de libertad e independencia del pueblo saharaui. Así lo ha declarado a la TV nacional en la sesión de la mañana en el Parlamento Panafricano Habiba Bahloul, miembro del Parlamento Panafricano .
    Los trabajos de la conferencia de parlamentarias africanas se celebra bajo el lema” las mujeres diez años de las existencia del Parlamento Panafricano” .Activistas de derechos humanos asisten a la Conferencia procedentes de los territorios ocupados, además de la invitada de honor, la ex Ministra de Salud y Asuntos Sociales de en Mauritania y la ex miembro del Senado y miembro del Comité de mujeres de las Naciones Unidas, BA Day. 
    La conferencia celebrada en la sede del Parlamento Panafricano se divide en dos sesiones, la primera centrada en el empoderamiento de las mujeres, social, económico y político de transición de la teoría a la práctica y participación en la toma de decisiones y la segunda reunión sobre la salud materna en África.
  • Presos políticos saharauis corren riesgo de contagio por tuberculósis

    El joven saharaui de 20 años Brahim Daoudi permanece en estado grave en la prisión marroquí de Inzegan, enfermo de tuberculosis. La familia denuncia que “pese a que fue trasladado al hospital hace 3 días, regresó sin tratamiento médico alguno a la cárcel, donde comparte una celda con otros 72 presos”. El caso de Daoudi es el segundo de tuberculosis entre los presos saharauis, junto al de Abdeslam Ellomadi, actualmente en la prisión de Ait Melloul.
    El hecho de que ambos presos permanezcan sin tratamiento específico para esta enfermedad y continúen compartiendo celdas con otros presos en condiciones de hacinamiento y pésima higiene, supone un grave riesgo para el resto de los internos. La tuberculosis es una enfermedad bacteriana muy contagiosa, por lo que los enfermos deben ser inmediatamente separados del resto de la población reclusa y tratados convenientemente con fármacos específicos, ya que el contagio se produce por vía aérea cuando el enfermo tose, escupe o estornuda. La tuberculosis es curable pero requiere de un diagnóstico temprano, ya que es una enfermedad grave si no se sigue el tratamiento adecuado, porque empeora rápidamente.
    Corresponde a las autoridades penitenciarias de las cárceles de Ait Melloul e Inzegan adoptar las medidas oportunas para aislar y medicar convenientemente los dos pacientes hasta su completa recuperación, así como someter a revisión médica a los presos y funcionarios que hayan permanecido junto a los dos enfermos, a fin de evitar que se propague la enfermedad.
    Fuente: E.P.M.