Mois : octobre 2014

  • Encore une provocation de Rabat

    Le Maroc reprend ses provocations en s’en prenant à nouveau à l’Algérie à travers une affaire montée de  » toutes pièces « . 
    Par M. A. Chabane 
    En fait, les autorités du Royaume ont affirmé, samedi dernier, que des tirs de l’armée algérienne avaient eu lieu à la frontière commune entre les deux pays, blessant un citoyen marocain. Rabat a réclamé des » explications  » à Alger sur cet  » incident grave” allant jusqu’à convoquer l’ambassadeur de l’Algérie. Dans un communiqué, le gouvernement marocain a fait état de sa  » vive indignation  » et sa  » très grande inquiétude”. Selon la version marocaine des faits,  » un Marocain de 28 ans a été grièvement blessé au visage. Il serait dans un état « très critique ». L’auteur des tirs doit être traduit en justice », a déclaré le ministre marocain de l’Intérieur. 
    L’Algérie n’a pas tardé de régir, hier, à travers un communiqué du ministère des Affaires étrangères, où elle a rejeté la présentation « fallacieuse » faite par la partie marocaine de la réaction des gardes-frontières algériens, sujets de provocation par un groupe de contrebandiers marocains, ainsi que son exploitation politico-médiatique « abusive ». « Le ministère des Affaires étrangères rejette catégori- quement la présentation fallacieuse d’un incident survenu, le 18 octobre courant à la frontière algéro-marocaine ainsi que l’exploitation politico-médiatique abusive qui en est faite par la partie marocaine », précise le même communiqué. Le ministère a rappelé que « la réalité est qu’une patrouille de gardes-frontières qui a été ciblée, ce jour-là, par des jets de pierres lancés par un groupe de contrebandiers marocains a réagi d’une manière professionnelle, comme d’habitude, par deux tirs de sommation en l’air qui ne peuvent, en aucune manière, provoquer des blessures aux personnes engagées dans l’acte de provocation ». 
    « La manipulation des faits et l’escalade dans le discours des autorités marocaines à des fins, pour le moins inavouables, témoignent d’une attitude irresponsable qui ne sied point aux valeurs de fraternité et de bon voisinage qui lient les deux peuples », poursuit le ministère. « L’Algérie, qui déplore la propension de certains dirigeants marocains à travestir la vérité, rejette, encore une fois, le recours à ces méthodes provocatrices au moment où le contexte inter- national et régional exige une relation sereine et constructive ainsi que de la retenue dans les actes comme dans les propos », a-t-on souligné de même source. 
    « Cette inclination de la partie marocaine à détériorer délibérément le climat des relations bilatérales ne sert ni ses intérêts bien compris ni ceux des peuples de la région », déplore le ministère des Affaires étrangères. 
    Il est à rappeler, par ailleurs, que le Royaume marocain ne cesse d’empoisonner l’Algérie par des tonnes de kif exportées par ses barons vers le territoire algérien. Chaque jour que Dieu fait, les services de sécurité procède à de nombreuses saisies. Ces dernières semaines, des trafiquants marocains ont été même appréhendés sur le territoire nationale. 
    Pis encore, l’année dernière, des Marocains ont eu l’outrecuidance d’attaquer le consulat d’Algérie à Casablanca. Le drapeau national a été arraché de l’en- ceinte consulaire. Cet incident d’une extrême gravité s’est produit en plein jour, bénéficiant de la passivité totale des services de sécurité du Royaume censés assurer la sécurité de cette représentation diplomatique et de son personnel. 
    A cela faut-il ajouter les différentes déclarations de responsables marocains, qui n’hésitaient pas, à chaque fois, de s’acharner contre l’Algérie pour justifier leurs échecs diplomatiques ou couacs économiques. 
     M. A. C.
    Les Débats, 201/10/2014
  • Zones frontalières : L’Algérie dénonce les provocations marocaines

    par Yazid Alilat
    L’Algérie a dénoncé hier dimanche une autre provocation marocaine à la suite d’un incident aux frontières entre les deux pays survenu samedi, et à la suite duquel les autorités marocaines ont convoqué l’ambassadeur d’Algérie à Rabat. Pour Alger, il s’agit d’une présentation «fallacieuse» faite par le Maroc quant à la réaction des gardes-frontières algériens, qui ont été provoqués par des jets de pierres lancées par «un groupe de contrebandiers marocains», et son exploitation politico-médiatique «abusive». Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères «rejette catégoriquement la présentation fallacieuse d’un incident survenu, le 18 octobre courant, à la frontière algéro-marocaine ainsi que l’exploitation politico-médiatique abusive qui en est faite par la partie marocaine». 
    Samedi à Rabat, le ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération Salahedine Mezouar, et celui de l’Intérieur Mohamed Hassad, ancien wali de la ville de Tanger, ont organisé une conférence de presse dans l’urgence pour annoncer que l’ambassadeur d’Algérie à Rabat a été convoqué le jour même pour «s’expliquer sur les tirs» d’un soldat algérien contre des civils marocains du douar de Ouled Salah, dans la commune de Beni Khaled, tout près de la ville marocaine d’Oujda. 
    Selon un communiqué du gouvernement marocain diffusé le jour même, «vers midi de ce jour, un élément de l’armée algérienne a tiré 3 balles sur une dizaine de citoyens civils marocains au niveau du tracé frontalier du douar Oulad Saleh, commune rurale Beni Khaled, située à 30 km au nord-est de la ville d’Oujda». Selon ce communiqué repris par l’agence marocaine MAP, «une personne a été grièvement atteinte au visage». Il s’agirait d’un habitant de ce douar, âgé de 28 ans. L’affaire est ainsi vite montée par les autorités marocaines pour donner lieu à une «protestation vigoureuse contre cette atteinte directe et inadmissible à la vie de citoyens civils marocains par l’armée algérienne». 
    Les autorités marocaines vont plus loin dans la provocation pour «dénoncer un acte irresponsable qui s’ajoute à d’autres agissements provocateurs constatés dernièrement au niveau des frontières», selon ce communiqué. Le Royaume du Maroc condamne «cet acte injustifié qui viole les règles élémentaires de bon voisinage et va à l’encontre des liens historiques et du sang qui unissent les deux peuples frères», ajoute le communiqué du gouvernement marocain. L’incident devient ainsi une affaire d’Etat puisque dans l’après-midi même, le ministre des Affaires étrangères et celui de l’Intérieur, accompagnés du porte-parole du gouvernement Mustapha El Orfi, ainsi que les ministres délégués à la Coopération Mbarka Bouaida et à l’Intérieur Cherki Draïss, donnent une conférence de presse pour donner une tournure de crise politique entre les deux. 
    Le ministre marocain des Affaires étrangères Salaheddine Mezouar a précisé que l’ambassadeur d’Algérie à Rabat a été convoqué pour lui faire part «de notre protestation et notre indignation et pour lui demander des explications sur cet acte malheureux qui a visé des Marocains civils». Mezouar en rajoute pour dire «qu’il s’agit d’un acte qui porte atteinte aux «principes fondamentaux liés aux droits de l’Homme, au bon voisinage et au respect d’un certain nombre de comportements admis et acceptés par nos deux pays pour préserver les conditions favorables toujours, malgré les différentes tensions». Mohamed Hassad, le ministre marocain de l’Intérieur a quant à lui cru bon de qualifier d’»acte frivole» ces tirs. «Il faut que cette affaire soit tirée au clair et le responsable de cet acte soit traduit en justice», a-t-il insisté, appelant les autorités algériennes à assumer pleinement leur responsabilité. 
    RETOUR SUR LES FAITS REELS 
    Pour autant, l’Algérie, par la voix du ministère des Affaires étrangères, dédramatise l’événement et l’impute aux traditionnelles manoeuvres de provocation du Maroc. Le ministère des Affaires étrangères algérien explique ainsi que «la réalité est qu’une patrouille de gardes-frontières qui a été ciblée, ce jour-là, par des jets de pierres lancés par un groupe de contrebandiers marocains a réagi d’une manière professionnelle, comme d’habitude, par deux tirs de sommation en l’air qui ne peuvent, en aucune manière, provoquer des blessures à l’une quelconque des personnes engagées dans l’acte de provocation». 
    «La manipulation des faits et l’escalade dans le discours des autorités marocaines à des fins, pour le moins inavouables, témoignent d’une attitude irresponsable qui ne sied point aux valeurs de fraternité et de bon voisinage qui lient les deux peuples», poursuit le ministère dans son communiqué. Par ailleurs, le ministère ajoute que «l’Algérie, qui déplore la propension de certains dirigeants marocains à travestir la vérité, rejette, encore une fois, le recours à ces méthodes provocatrices au moment où le contexte international et régional exige une relation sereine et constructive ainsi que de la retenue dans les actes comme dans les propos». 
    «Cette inclination de la partie marocaine à détériorer délibérément le climat des relations bilatérales ne sert ni ses intérêts bien compris ni ceux des peuples de la région», déplore encore le ministère des Affaires étrangères. Il y a presque une année, le 1er novembre 2013, un Marocain, durant une manifestation anti-algérienne organisée devant le Consulat général d’Algérie à Casablanca, avait escaladé l’enceinte diplomatique et arraché l’emblème national, sans être le moins du monde inquiété par le service d’ordre, qui encadrait la manifestation. Traduit en justice, ce Marocain a été condamné le 5 décembre dernier à deux mois de prison avec sursis et une amende de 250 dirhams (environ 22 euros).
  • Du calme !, par M. Saadoune

    Le Maroc vient d’accuser l’Algérie d’avoir tiré sur des sujets marocains et d’avoir grièvement blessé l’un d’eux. L’Algérie a réagi en dénonçant une «présentation fallacieuse» d’un incident survenu le 18 octobre entre des contrebandiers et des gardes-frontières algériens. Le gouvernement algérien affirme que les tirs de sommation ont été tirés en l’air à la suite de «provocations» et qu’ils ne pouvaient «en aucune manière provoquer des blessures à l’une quelconque des personnes engagées dans l’acte de provocation». 
    Alger parle de travestissement, de «manipulation des faits» et «d’escalade» dans le discours des autorités marocaines à des fins «inavouables». On est face à deux versions diamétralement opposées. Ce qu’on peut observer est que la partie marocaine a très rapidement réagi à l’incident avec un maximum de tapage médiatique aux accents quasi martiaux. Même si les deux versions sont diamétralement opposées, cette rapidité avec laquelle les responsables marocains et principalement le ministre des Affaires étrangères, Salah-Eddine Mezouar, à dégainer et à tirer est pour le moins sujette à caution. 
    Dans des affaires plus graves, les Etats prennent le temps de vérifier les informations et de consulter l’autre partie avant de se lancer dans la «guerre médiatique». En moins de six heures après l’incident, les responsables marocains ont enclenché la guerre médiatique. Trop rapide pour que cela ne suscite pas le doute d’une volonté délibérée de créer un incident diplomatique ou de le grossir démesurément. Les relations algéro-marocaines sont compliquées depuis trois décennies au moins, elles ne sont pas «normales». Et il suffit d’un peu de mauvaise foi ou d’un souci personnel, trivial, pour les rendre encore plus détestables. 
    Ces derniers temps, le chef de la diplomatie marocaine a fait l’objet d’une série de révélations sur Internet sur sa double nationalité (franco-marocaine), sur le choix d’un cabinet conseil américain qui emploie «sa propre fille» pour réaliser une étude sur l’économie marocaine. L’authenticité de ces documents diffusés via Twitter reste à vérifier mais il est évident qu’ils ont suscité une nervosité accrue chez le ministre marocain. Et cela s’est traduit, lors d’une réunion des partis marocains membres du gouvernement, par une surprenante attaque en règle contre la France accusée de vouloir exercer une «tutelle» sur le Maroc. 
    Une charge d’autant plus surprenante que la France reste fondamentalement le principal défenseur de la proposition marocaine d’autonomie du Sahara Occidental. Taper sur l’Algérie est une «banalité» venant d’un responsable marocain, mais charger le gouvernement français sur sa prétendue «préférence algérienne» n’a pas de sens. Les responsables marocains savent depuis longtemps qu’ils n’ont pas meilleur défenseur que Paris sur le dossier du Sahara. Pour beaucoup d’observateurs, y compris marocains, la seule explication à donner à ce discours «anticolonialiste» de M. Mezouar est une quête de diversion. Et c’est probablement dans le même sens qu’il faut lire l’empressement à faire d’un incident à la frontière une affaire d’extrême gravité. Presque un casus belli. Mezouar devrait se calmer.
  • 20 de Octubre : Macabras efemérides

    Occidente se alegró de ver este escenario. « Por los derechos humanos »
    1975.- Empieza la “Marcha verde” de miles de marroquíes sobre las posiciones españolas en el Sáhara Occidental. De verde no tenía nada porque detrás estaba las unidades del ejército. De marcha tampoco, porque ni siquiera hasta la línea que separaba las fronteras del Sáhara Occidental con Marruecos.
    Hasan II había prometido a la horda de locos súbditos que respondieron al llamamiento de la Marcha Verde un paraíso que les sacaría de la miseria. 39 años después, el pueblo marroquí sigue viviendo en la miseria y el rey de Marruecos se acaparó de las riquezas del país para matar de hambre a todo el que ose levantar la voz para protestar.
    Hasan II también les dijo: “Si encontráis a los españoles, tratadlos bien y compartir con ellos vuestros víveres. Si os encontráis con otros, dejad paso a las fuerzas armadas reales para que se encarguen de ellos”. Las instrucciones eran muy claras desde el principio: Liquidar todo lo que era saharaui.
    La Marcha Verde no era más que una mascarada para presentar al rey Hasán II como un genio en un momento en que afrontaba los días los peligros de un golpe de Estado.
    2011: Gadafi es asesinado por los rebeldes
    Por orden del presidente francés Nicolas Sarkozy, Muamar al Gadafi es asesinado a manos de los llamados rebeldes durante la toma de Sirte, su ciudad natal, tras un asedio de dos meses. « Ha ganado su revolución », declaró el presidente estadounidense Barak Obama. Desde entonces, el pueblo que vivía en la abundancia, la paz y el progreso con Gadhafi, vive en un infierno cotidiano en país que ya no tiene cabeza ni pies.
    Marruecos festejó la muerte del Guía libio para contentar a sus amos occidentales. Meses antes, el gobierno marroquí mentía a su pueblo sobre un supuesto apoyo de Gadafi a la “maroquinidad” del Sáhara Occidental.
  • El Polisario pide a España que “lidere” una solución para el Sáhara en el Consejo

    Eduardo González. Madrid
    La entrada de España en el Consejo de Seguridad de la ONU debería ser una oportunidad para que se empiecen a solucionar algunos conflictos internacionales en los que nuestro país tiene alguna incidencia histórica, como el del Sáhara Occidental. Por ello, el Frente Polisario ha pedido al Gobierno español que “lidere” la búsqueda de una salida al conflicto y deje de ir “a remolque de Francia”.
    España asumirá su escaño en enero de 2015 y, en abril del mismo año, el Consejo de Seguridad revisará la misión en el Sahara Occidental en función del informe que presente el secretario general de Naciones Unidas, Ban Ki Moon, sobre el proceso de paz. A juicio del Polisario, España debería desempeñar un papel clave en las futuras votaciones del Consejo de Seguridad a favor del derecho de autodeterminación del pueblo saharaui.
    “España tiene que hacer lo que le corresponde, que hasta ahora no lo ha hecho”, declaró este viernes el delegado del Frente de la República Árabe Saharaui Democrática en España y miembro de la ejecutiva del Frente Polisario, Bucharaya Beyun, a The Diplomat in Spain.

    Reclama al Gobierno que actúe como “potencia administrativa”

    y no “a remolque de Francia”

    “España sigue siendo la potencia administrativa y es miembro del Grupo de Amigos del Sáhara”, formado por Francia, Reino Unido, EE UU, Reino Unido y España. Por ello, su entrada en el Consejo de Seguridad de la ONU debería ser “una buena oportunidad para que haga algo”, prosiguió Beyun, aunque para ello es necesario, advirtió, que España “lidere la búsqueda de una solución para el Sáhara, en vez de ir a remolque de la potencia francesa”. “No creo que cambie mucho”, lamentó.
    Al respecto, el delegado saharaui recordó que en 2013 España se unió a Rusia y Francia en su oposición a una propuesta de Estados Unidos para que el mandato de la misión de la ONU (MINURSO) incluyera una labor de observación de los derechos humanos. En su campaña para conseguir los votos necesarios para entrar en el Consejo de Seguridad, el Gobierno español se comprometió a contribuir “eficazmente al mantenimiento de la paz y seguridad internacionales, al desarrollo sostenible y a la defensa y promoción de los derechos humanos”.
    El presidente de la RASD y secretario general del Frente Polisario, Mohamed Abdelaziz, instó el miércoles a Ban Ki Moon a adoptar medidas “urgentes” contra Marruecos para “poner fin” a los ataques de “las fuerzas de ocupación marroquíes, compuestas por el Ejército, la Policía y las fuerzas auxiliares”, contra la población saharaui, en especial contra los manifestantes partidarios de la autodeterminación.
  • Diáspora Saharaui se convierte en el “certificado de autenticidad para la DGED marroquí”.

    Tres de los huevos majzenianos
    En este blog denunciamos varias veces la tendencia de los servicios secretos marroquíes a clonar las webs y blogs saharauis o pro-saharauis, inclusive la controvertida web Futuro Saharaui.
    Desde la aparición del hombre que se hace llamar Chris Coleman, el clonaje incluye ahora las cuentas Twitter. Cuando su primera cuenta fue suspendida, Coleman creó otra bajo el nombre de @chris_coleman27. Declaró que todavía tiene un acceso limitado a su antigua cuenta y que dispone todavía de documentos que prometió revelar. Ese anuncio creó la zizanía en los medios del Makhzen que procedieron inmediatamente a la creación de varias cuentas con ese profil, pero con número distinto. Así, tenemos ahora @chris_coleman25, @chris_colemn28, @chris_coleman28, @chris_coleman29, @chris_coleman30.
    Todos se apresuraron hacia mis tweets para certificar su autenticidad dada la estrecha relación creada por Coleman con el blog Diáspora Saharaui. Yo fui la primera persona contactada por Coleman después del cierre de su Twitter. Me dejó en un comentario la dirección de su nuevo blog, Les Nouvelles du Makhzen (Las Noticias del Majzén). Lo mismo hizo el día que creó la página Facebook que en menos de una semana fue suprimida. Ahora, los clones de Coleman retweetean todos mis publicaciones para certificar que son los verdaderos Coleman. De repente, Diáspora Saharaui se convirtió en el certificado de autenticidad de la identidad del Snowden marroquí.
    Los perros del Majzén están nerviosos, como si esperaran una bien gorda que les va a caer encima. Y lo peor es que casi todos los documentos que publicó están relacionados con el tema del Sáhara Occidental, desde la ministra de origen saharaui y el alcoholismo de su marido hasta las centenas de millones de dólares gastados en lobbying para atraer la simpatía de Obama a la ocupación del Sáhara Occidental por Marruecos, hasta los periodistas americanos, franceses, americanos y mauritanos reclutados para denigrar al Polisario y su aliado argelino.
    La DGED se convirtió en una gallina que pone huevos. Todas la cuentas clonadas llevan un huevo como perfil y cuelgan los tweets de Diáspora Saharaui. Pero no conseguirá engañar a nadie porque sabemos quién es el verdadero Chris Coleman. Es el que lleva el número 27 y tiene un cuenta abierta desde el 25 de noviembre del 2012 en el foro de una página española especializada en servicios secretos y que lleva el nombre de Intelpage.
  • Francia y la ONU están detrás de la vulnerabilidad de los refugiados saharauis

    La ONG estadounidense Human Rights Watch ha publicado un estudio sobre la situación de los Derechos Humanos en los campamentos de refugiados saharauis en Tindouf.
    Los investigadores de Human Rights Watch que visitaron los campamentos de refugiados pudieron circular libremente y entrevistar a los refugiados de manera discrecional y en privado, en árabe y en hassanía. Hablaron con al menos 40 refugiados en los campamentos y otros 12 fuera de estos, así como con funcionarios del Gobierno saharaui y extranjeros que trabajan para organismos de la ONU y organizaciones no gubernamentales. El informe contiene respuestas escritas de las autoridades del Polisario y de Argelia a preguntas planteadas por Human Rights Watch.
    El inform echa por tierra la propaganda de tantos años fabricada por el régimen marroquí que quiere hacer creer que los saharauis están secuestrados por el Polisario en los campamentos de Tindouf.
    El informe también detecta casos aislados de acoso a críticos, pero concluye que en general el Frente Polisario respeta los derechos de los refugiados. Sin embargo, el informe no dice ni mu sobre la causa de la vulnerabilidad tanto de los refugiados como de los ciudadanos que viven en las zonas del Sahara Occidental ocupadas por Marruecos. Ni una palabra sobre la responsabilidad de Francia en las violaciones contra los saharauis. Ni la responsabilidad de la ONU que permite desde hace más de 23 años que su misión de paz, la MINURSO, sea la única en el mundo que no tenga una componente para informar sobre la situación de los derechos humanos en el Sáhara Occidental ocupado y en los campamentos de la región de Tindouf.
  • La DGED marocaine devient une poule qui pond des œufs

    Trois des derniers oeufs de la poule makhzénienne
    Je vous l’ai dit, les chiens de Mohammed VI font dans leurs frocs. Depuis que le compte Twitter de Chris Coleman a été suspendu, ils sont maintenant quatre à avoir des comptes avec ce nom. La seule différence est le numéro qui va avec le nom. Par conséquent, vous allez trouver Chris Coleman 25, 28, 29, et 30. Tous abonnés à mon compte Twitter, avec un œuf comme photo de profil et ils ont tous retwitté mes tweets.
    Du coup je suis devenu le chouchou de la DGED, j’ai gagné leur sympathie. Tant mieux, puisque je n’arrive à gagner la sympathie du citoyen lambda du Maroc, même s’il est déclaré contre la politique du Makhzen. Mais il ne faut pas se tromper, ils sont contre la politique du Makhzen si elle n’a pas trait au Sahara Occidental. Dès qu’il s’agit d’un territoire envahi par l’armée du Maroc sous couvert d’une fausse marche verte qui n’a pas dépassé la frontière, le marocain devient plus makhzénien que le Makhzen, plus agressif que la police marocaine. 
    De ce fait, Chris Coleman ne peut pas avoir des sympathisants marocains parce qu’il s’est déclaré sympathisant de la cause sahraouie et en plus il reprend tous mes tweets, moi la bête noire du grand et du petit Makhzen. Du coup, tous ses clones ont repris mes tweets, je suis devenu un gage d’authenticité.
    Décidemment, les agents de la DGED sont des imbéciles ou bien ils prennent les gens pour des imbéciles. Ils savent très bien ou bien ils devraient savoir que le vrai Coleman est celui qui a été le premier á créer le nouveau compte, même s’ils partagent l’œuf. C’est-à-dire, Chris_coleman27, le premier à avoir apparu après la suppression de son dernier compte.
    Pour dissiper les doutes, voici quelques informations intéressantes. Le vrai Chris Coleman est chris_coleman27 et il existe sur la web avec ce nom depuis le 25 novembre 2012. A cette date, il a ouvert un compte dans un forum sur les services d’espionnage avec le nom profil de Coleman. Il vient de publier sur ce compte pour la premières fois. Et là, personne ne peut se faire passer pour lui. Il a aussi créé un blog dans Blogspot.com sous le titre de « Les Nouvelles du Makhzen » et j’étais le premier à en avoir été averti de ce blog.
  • Droits de l’homme : La France derrière la vulnérabilité des sahraouis

    L’ONG américaine Human Rights Watch vient de faire public un rapport sur la situation des droits de l’homme dans les camps des réfugiés sahraouis situés en Algérie.
    Un rapport minutieux élaboré après une enquête réalisée en toute liberté et transparence.
    Le rapport, mais il conclue que, en général, le Front Polisario, respecte les droits humains des réfugiés.
    Ainsi, le rapport met à nu 40 ans de propagande et de mensonges marocains sur l situation des sahraouis dans la région de Tindouf.
    Le rapport fait état de cas isolés de harcèlement à des personnes critiques, mais l’ONG HRW a oublié de rappeler que si les sahraouis sont vulnérables et exposés aux violations autant dans les territoires occupés du Sahara Occidental c’est parce que la France, avec son veto, empêche la MINURSO de surveiller la situation des droits de l’homme dans la région. Et parce que l’ONU permet que sa mission soit la seule dans le monde à ne pas avoir une composante pour rapporter les violations des droits de l’homme dans les camps des réfugiés, dans les territoires libérés et dans les zones du Sahara Occidental occupées par le Maroc.
    Le Sahara Occidental est une ancienne colonie espagnole envahie par le Maroc avec le soutien de Paris.
  • Un incident fabriqué de « toutes pièces », Que cherche le Maroc ?

    Que cherche le Maroc ? Selon les autorités marocaines, des tirs de l’armée algérienne ont eu lieu à la frontière commune entre les deux pays, blessant un citoyen marocain.
    L’Algérie a minimisé l’importance de l’incident qui s’est produit, samedi 18 octobre, sur la frontière avec le Maroc, accusant le Maroc de l’avoir fabriqué de « toutes pièces ».
    En donnant de l’importance plus qu’il n’en faut à un incident mineur, le Maroc veut-il provoquer une escalade dangereuse dans les relations entre les deux pays.
    Où tentet-il de « rentabiliser » à son profit la situation qui règne en Algérie ? Ou bien c’est la panique qui gagne le Maroc au vu des rapports émis par les organisations internationales critiquant les atteintes aux droits dans les territoires occupés au Sahara Occidental ? Tout semble indiquer que le Maroc joue un jeu dangereux. Après avoir fait parler le langage des mots, le Maroc franchit une autre étape : selon Rabat un Marocain de 29 ans aurait été blessé par ces tirs.
    Le ministre de l’Intérieur Mohamed Hassad a affirmé qu’en visant l’oeil et le nez de la victime, le soldat algérien avait l’intention de tuer le citoyen marocain. Il a rappelé qu’il ne s’agit pas d’un acte isolé. Dure, dure a été, sur le plan politique, la semaine dernière pour le palais royal marocain. Des organisations internationales se sont penchées dernièrement sur les questions relatives à la situation des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés par le Maroc.
    Les rapports de celles-ci ne sont pas tendres envers notre voisin de l’Ouest. Aux yeux des autorités marocaines, le responsable qui a « activé » ces organisations : le voisin de l’Est c’est-à-dire, l’Algérie. C’est devenu une habitude chez les officiels marocains de mettre en cause l’Algérie dès que les organisations internationales mettent en cause la politique du Makhzen au Sahara occidental, notamment sur les violations des droits de l’homme.
    S’en suit alors une campagne médiatique conduite par des hauts responsables politiques marocains et des médias qui multiplient les déclarations et les communiqués de presse qui ne sont qu’une fuite en avant que la partie marocaine remet au goût du jour à chaque fois que le processus du parachèvement de la décolonisation du Sahara occidental enregistre une avancée.
    C’est ce qui s’est passé, le week-end dernier. L’organisation non-gouvernementale (ONG) Human Rights Watch (HRW) a appelé les Nations unies à élargir le mandat de la Minurso aux droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés et dans les camps de réfugiés sahraouis en Algérie, lit-on dans un rapport de cette Ong rendu public samedi à Alger.
    Le Sahara occidental est un « territoire non autonome», et le Maroc est de fait une autorité administrante » , a indiqué mercredi, de son côté, le commissaire pour l’élargissement et la politique européenne de voisinage, Stefan Füle, Pour sa part, l’organisation américaine (US-Western Sahara Foundation) a lancé un appel urgent à la communauté internationale afin de garantir le respect de la situation des droits humains au Sahara occidental occupé par le Maroc, rapporte l’agence de presse sahraouie SPS.
    C’est trop pour le Maroc qui cherche la diversion pour induire en erreur la communauté internationale : un incident à la frontière des deux pays « occuperait » les médias et focaliserait l’attention sur «la tension» entre les deux Etats. Un scénario qui a peu de chance de réussir.
    Sadek Belhocine