Mois : septembre 2014

  • Ils ont dit …

    « Rien ne nous dit, en effet, que l’Algérie n’est pas victime d’un complot savamment ourdi par de puissants lobbies étrangers. Tout comme la naissance et la progression de l’EI prêtent à moult équivoques et doutes, il est à se demander si cet enlèvement n’a pas été commis dans le but d’entraîner l’Algérie dans une guerre qu’elle n’a jamais voulue. Il s’agit, bien sûr, d’intervenir militairement en Libye, et peut-être même en Tunisie. Un pareil scénario-catastrophe nous mettrait aux premières lignes des Etats vassaux des Occidentaux, presque au même niveau que le Maroc ou bien le Qatar et l’Arabie saoudite. L’Algérie ne serait pas non plus à l’abri d’un plan visant à la déstabiliser. Ses positions fermes, courageuses et justes concernant plusieurs questions de principe, comme la cause palestinienne, la décolonisation du Sahara Occidental ou bien le refus que des forces armées étrangères s’immiscent dans les affaires internes de pays souverains comme la Libye et le Mali, nous ont sans doute fait plus d’ennemis que d’amis. La phase actuelle, critique sans être désespérée, doit être gérée avec prudence et rigueur extrêmes. L’Algérie, qui a déjà vaincu le terrorisme quand celui-ci était aidé et financé en Occident et qui a passé sans encombres le cap tourmenté des  » printemps arabes  » dispose de pas mal d’atouts (mais pas tous, hélas !) pour s’en sortir cette fois-ci encore… » (Ali Oussi, La Tribune des Lecteurs, 25/09/2014)
    A la mort du président américain Lincoln (la chronique d’alors laisse supposer qu’il a été assassiné par des magnats juifs), Bismark avait fait cette déclaration prémonitoire: » Je crains que les banquiers juifs, avec leurs artifices et leurs tours tortueux, domineront entièrement la richesse surabondante de l’Amérique et l’utiliseront systématiquement pour corrompre la civilisation moderne. Il n’hésiteront pas à précipiter toute la planète dans les guerres et le chaos pour que la terre devint leur héritage. »
    Comme prédit, le monde est, aujourd’hui, totalement à leurs pieds. Et nous n’en voulons pour preuve que leur main-mise sur l’économie mondiale et sur la politique extérieure des Etats-Unis et de beaucoup de pays d’Europe, principalement, la France. (Amirouche Al Hadi, La Tribune des Lecteurs, 25/09/2014)
    Hélas, en ces temps dangereux, où les superpuissances s’amusent à faire s’entretuer des populations en- tières, à pousser au démantèlement de pays aux civilisations si an- ciennes qu’elles ne peuvent qu’être le patrimoine de toute l’humanité, à ranger et à élargir la moindre brèche ethno-religieuse d’une com- munauté fragilisée, la mort est ba- nalisée par des médias aux gains monstrueux. Ce n’est pas par quelques chroniques écologiques humanistes ou sociales, orientées pour l’essentiel, qu’on se dédouane d’une complicité certaine avec les plus démentiels des criminels (Hocine Benmedakhene, Le Provincial, 25/09/2014)
  • Sahara Occidental : L’occupation marocaine à la croisée des chemins

    «L’occupant marocain, qui a échoué aux plans militaire et diplomatique, vit actuellement entre les pressions de la communauté internationale en faveur du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’attachement grandissant des Sahraouis à ce droit».
    C’est le constat établi par le président Sahraoui Mohamed  Abdelaziz. «L’occupation marocaine se retrouve entre les pressions de la communauté internationale et le combat du peuple sahraoui et son attachement à son droit à l’autodétermination», a souligné le secrétaire général du Front Polisario, dans son discours prononcé à l’ouverture des travaux du 2e congrès de l’Union des étudiants de Seguia el-Hamra et Rio de Oro. 
    Il a estimé que la communauté internationale est plus que jamais consciente du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. Le président Abdelaziz a mis en exergue la responsabilité qui incombe aux étudiants sahraouis pour atteindre cet objectif, les appelant à redoubler d’efforts et à préserver le legs des martyrs. 
    Qualifiant leur rôle de «primordial et de central dans la lutte armée», M. Abdelaziz a appelé les étudiants sahraouis à s’armer du savoir et à exploiter les technologies de l’information et de la communication, notamment les réseaux sociaux. Il a présenté à l’occasion une rétrospective sur la création en 1975 de l’Union des étudiants de Seguia el-Hamra et Rio de Oro et la tenue de son 1er congrès, marqué alors par un soulèvement populaire contre l’occupant espagnol, relevant que le présent congrès se tient dans des circonstances similaires, à savoir sous occupation marocaine, faisant fi des décisions des Nations unies. 
    Le président sahraoui a, par ailleurs, condamné l’agression israélienne contre les Palestiniens à Ghaza, exprimant sa solidarité et son soutien à la cause du peuple palestinien «qui fait preuve d’une résistance exemplaire», a-t-il dit.
    F. H.
  • Points chauds : Erreur

    Faouzia Mahmoudi
    Ceux qui ont immédiatement opposé au retour de Nicolas Sarkozy ses ennuis judiciaires, ne devraient pas être ravis par la décision de la cour d’appel de Paris qui a suspendu hier l’en- quête qui vaut à l’ancien président d’être mis en examen pour corrup- tion depuis juillet. 
    Soupçonné d’avoir tenté d’obtenir auprès d’un magistrat des informations dans un dossier judiciaire le concernant, Nicolas Sarkozy s’était vu épinglé par la justice à la grande joie de tous ses opposants. Mais si la justice a suspendu cette enquête-là, l’ex-chef de l’État est encore visé par d’autres affaires qui ont toutes potentiellement les moyens de le détruire politiquement. 
    L’Affaire Bygmalion étant certainement l’une des plus importantes, avec des millions d’euros détournés pour financer sa campagne présidentielle de 2012, qui avait pris des dimensions pharaoniques. Mais l’ancien président malgré de nombreux faits qui le relaient à ce dossier a tou- jours nié toute implication dans cette affaire. 
    «J’ai appris le nom de Bygmalion longtemps après la campagne présidentielle», a déclaré Nicolas Sarkozy lors de son passage sur le plateau de France 2, dimanche soir. Ce serait justement le point que les policiers qui enquêtent sur l’affaire tentent d’éclaircir, selon le quotidien français Le Monde, qui suit cette affaire de près. 
    Les adversaires de l’ex-dirigeant n’ont de leur côté de cesse d’affirmer qu’il est impossible pour ce der- nier de ne pas être impliqué dans ce trafique de fausses factures dont le chiffre s’élève à plus de 18,5 millions d’euros. Or, une telle somme , qui a été utilisée pour financer la campagne de 2012, ne pouvait pas- ser inaperçue, surtout pour Nicolas Sarkozy qui aime avoir un œil sur tout. Néanmoins, ce dernier va continuer de nier jusqu’à ce que la jus- tice soit en mesure d’apporter une preuve solide et incontournable de sa participation dans l’entreprise de fausse facturation. Reste à savoir si les militants de droite, très largement en sa faveur, continueront à le soutenir en cas de preuve d’agissements suspects ou si leur dévoue- ment est prêt à pardonner une «erreur» qu’aurait commise leur cham- pion.
    Le Jour d’Algérie, 25/09/2014
  • Aislamiento de Marruecos a nivel internacional

    *Fuente: Alifpost.com, 24/09/2014
    En un hecho sin precedentes, el monarca marroquí, Mohammed VI canceló su visita a Nueva York para participar en los trabajos de la Asamblea General de las Naciones Unidas, una visita que había sido anunciada y por la que apostaba Marruecos para defender su posición respecto al conflicto del Sahara, que se encuentra en una situación difícil para el reino alauí.
    *Fuente: Alifpost.com, 24/09/2014
    La escena de marginación se repite para Marruecos en las conferencias internacionales sobre la seguridad y en la región del Magreb árabe. El último episodio de esta marginación sistemática ha sido la cumbre de Washington, que se llevó a cabo el lunes de esta semana para abordar la situación de seguridad en Libia con la participación de los supuestos aliados de Rabat en el ámbito internacional, tanto en el mundo occidental como el mundo árabe.
    Estos acontecimientos están teniendo lugar en un momento en el que no se dan explicaciones oficiales sobre la eliminación de Marruecos en estas cumbres. 

  • EEUU considera « afrenta a la humanidad » muerte de rehén francés en Argelia

    Naciones Unidas, 24 sep (EFEUSA).- El Gobierno estadounidense calificó hoy de « afrenta a toda la humanidad » la muerte del francés Hervé Gourdel, secuestrado el pasado domingo en Argelia por un grupo vinculado con el yihadista Estado Islámico (EI).
    « Es un acción horrenda que supone una afrenta a toda la humanidad », indicó un alto funcionario estadounidense, que pidió el anonimato, a los periodistas que acompañan al presidente Barack Obama durante su participación en la Asamblea General de Naciones Unidas.
    El funcionario remarcó que « EE.UU. obviamente muestra su total solidaridad con nuestros aliados franceses ».
    Por último, el alto cargo de la delegación estadounidense apuntó que « el grupo responsable afirma estar vinculado al EI, pero esto no significa que esté bajo control directo o sea dirigido por el EI ».
    La muerte de Gourdel fue confirmada por el presidente de Francia, François Hollande, quien también se encuentra en Nueva York para asistir a la Asamblea General de Naciones Unidas.
    Gourdel « fue asesinado vil y cruelmente », señaló el presidente de Francia.
    Francia es uno de los países que forma parte de la coalición internacional liderada por EE.UU. que ha lanzado ataques aéreos contra posiciones del EI en Irak.
    El grupo terrorista Yund al Jilafa (Soldados del Califato), vinculado al EI, amenazó ayer, martes, con matar al rehén galo si, en un plazo de 24 horas, Francia no cesaba sus operaciones contra los yihadistas en Irak, que se iniciaron el pasado viernes.
  • « Soldados del Califato », la « marca » del Estado Islámico en Argelia

    EFE
    Argel, 24 septiembre 2014.- El grupo yihadista « Yund al Jilafa » o « Soldados del Califato », que decapitó hoy al rehén francés Pierre Hervé Gourdel, es la aparente nueva « marca » en Argelia del Estado Islámico (EI), a su vez una escisión de Al Qaeda.
    El grupo yihadista, que secuestró al ciudadano francés el pasado 21 de septiembre en la región montañosa de la Cabilia, está dirigido por el autoproclamado « emir » Abdelmalek Guri, conocido como Jaled Abu Salman, de 36 años y originario de la ciudad de Bumerdés.
    Abu Salman había anunciado diez días antes del secuestro su alianza con el EI y su obediencia a su líder, Abubaker al Bagdadi, con lo que ponía al servicio del EI la « experiencia acumulada » durante años en la región por Al Qaeda en el Magreb Islámico (AQMI, la filial magrebí de Al Qaeda) en la comisión de atentados, secuestros y extorsiones.
    El Estado Islámico, que controla amplias zonas de Siria e Irak, ha anunciado en diversos foros de su muy cuidada red de propaganda su intención de expandirse por el Magreb, y aunque se suponía que Túnez sería su prioridad, han elegido Argelia para salir a la luz.
    Abu Salmán se unió a Al Qaeda a fines de los años 90, antes de que la policía argelina lo detuviera y encarcelara.
    Tras cumplir su pena, en 2001 salió en libertad y tardó muy poco en regresar a las filas de AQMI, poniéndose a las órdenes de Abdelmalek Drukdel, el escurridizo líder de la organización que aún sigue en libertad y que teóricamente obedece a Al Qaeda y no al EI.
    Los grupos terroristas han encontrado uno de sus principales refugios en las montañas boscosas de la Cabilia, la conflictiva región argelina llena de grutas donde fue secuestrado el guía francés.
    El turista francés de 55 años, experto montañero, había sido invitado por un grupo de argelinos y albergado desde su llegada a Argelia, sólo un día antes, en un chalet cerca del complejo de Tikeyda, situada en la provincia de Buira, también en la Cabilia.
    Los terroristas de Yund al Jilafa sorprendieron al grupo de Gourdel, en el que había varios montañeros argelinos, pero no mostraron el menor interés por estos últimos, a los que dejaron libres, y solo se llevaron a Gourdel, al que llevaron hacia un destino desconocido.
    El Ministerio argelino de Defensa aseguró al día siguiente del secuestro que las fuerzas de seguridad buscaban activamente a Gourdel en la región de Tizi Uzu.
    La captura de Gourdel pone en entredicho la eficacia de las fuerzas argelinas para doblegar al terrorismo, como quedó también de manifiesto en la toma de la planta gasística de In Amenas en enero de 2013.
    Aquel secuestro, que duró varios días y terminó con la irrupción del ejército argelino en las instalaciones, se saldó con 38 trabajadores de la planta muertos (37 de ellos extranjeros), además de 29 asaltantes.
  • Felipe VI habla del Sahara Occidental con Ban Ki-moon

    Según un comunicado difundido por la oficina del portavoz de las Naciones Unidas, Ban y don Felipe hablaron también sobre la situación en Irak y sobre el conflicto en el Sahara Occidental, punto en el que el secretario general de la ONU agradeció a España su apoyo a las negociaciones.
    Felipe brindó con ambos y con el resto de comensales que compartían la mesa principal, entre ellos el presidente mexicano, Enrique Peña Nieto El rey Felipe VI asistió hoy al almuerzo oficial del plenario de alto nivel de la Asamblea General de la ONU como invitado en la mesa principal, junto al secretario general de las Naciones Unidas, Ban Ki-moon, y muy cerca del presidente de Estados Unidos, Barack Obama.
    Ban Ki-moon estaba acompañado a su izquierda por Obama y a su derecha por Felipe VI, con quien mantuvo antes del almuerzo un encuentro en el que le pidió que España apoye los esfuerzos que despliega la ONU para luchar contra la epidemia de ébola en África.
    Según un comunicado difundido por la oficina del portavoz de las Naciones Unidas, Ban y don Felipe hablaron también sobre la situación en Irak y sobre el conflicto en el Sahara Occidental, punto en el que el secretario general de la ONU agradeció a España su apoyo a las negociaciones.
    La reina Letizia acompañó a don Felipe en el saludo a Ban Ki-moon, a quien obsequiaron con una fotografía enmarcada y dedicada de su retrato oficial como Reyes de España y con una segunda imagen tomada el día de la proclamación del monarca, el pasado 19 de junio, cuando saludaban juntos a los madrileños desde el balcón principal del Palacio Real de Madrid.
    El secretario general de la ONU felicitó entonces al nuevo rey y le mostró su interés por conservar una fotografía de aquel día histórico.
    Antes de su entrevista con Ban Ki-moon, don Felipe fue el cuarto jefe de Estado en tomar la palabra ante la Asamblea General de la ONU y su intervención fue seguida por doña Letizia desde la tribuna de invitados, donde coincidió con la reina Máxima de Holanda, con la que conversó en algún momento.
    Después de reunirse con Ban y mantener un encuentro bilateral con el presidente de Polonia, Bronislaw Komorowski, el rey de España acudió al salón donde el secretario general de la ONU ofrecía el tradicional almuerzo anual a los participantes en el plenario de alto nivel de la Asamblea General.
    Allí, tras escuchar las palabras de bienvenida de Ban Ki-moon y de Obama -en calidad de presidente del país anfitrión, Estados Unidos-, don Felipe brindó con ambos y con el resto de comensales que compartían la mesa principal, entre ellos el presidente mexicano, Enrique Peña Nieto, sentado a la derecha del rey de España.
    El rey Abdalá de Jordania, el emir de Catar y los presidentes de Turquía, Egipto, Chile y Corea del Sur completaban la mesa principal en este almuerzo, tras el que los reyes ofrecerán una recepción a las delegaciones asistentes a la Asamblea General y a los funcionarios españoles de la ONU con la que pondrán fin a su visita de tres días a Nueva York.
  • El Partido Laborista británico reafirma su apoyo a la autodeterminación del pueblo saharaui y el respeto de los derechos humanos

    El Partido Laborista británico reafirma su apoyo a la autodeterminación del pueblo saharaui y el respeto de los derechos humanos en respuesta a las preguntas de algunas delegaciones participantes en el Simposio internacional celebrado en Mánchester.Douglas Alexander, responsable de relaciones exteriores laborista habló sobre la posición del partido laborista británico partidario del derecho a la autodeterminación y del respeto de los derechos humanos en el Sáhara Occidental durante el encuentro con las delegaciones extranjeras participantes y los medios de prensa, además del cuerpo diplomático acreditado en el Reino Unido y en la que hizo una presentación de su propuesta en política exterior que será adoptada por el partido laborista británico si gana las próximas elecciones presidenciales en mayo de 2015
    Esta posición fue reiterada durante la respuesta a las preguntas formuladas por el representante de la ANC en Sudáfrica, Phatse Justice Piitso, que planteó la sobre la posibilidad del apoyo y solidaridad con Cuba y el pueblo saharaui al mismo nivel que el apoyo a la causa palestina, especialmente después de la agresión contra Gaza. Por su parte la secretaria general de la UNMS, Fatma Mehdi, recalcó la necesidad de ampliar las competencias de la MINURSO con la creación de un mecanismo para vigilar y proteger los derechos humanos ,además de presentar al Consejo de Seguridad informes periódicamente, especialmente después del informe de la Comisión británica compuesta por parlamentarios y miembros de la sociedad civil bajo el título “Vivir bajo la ocupación” presentado tras su visita a los territorios ocupados en febrero pasado y en el que exigían al Consejo de Seguridad de la ONU crear un mecanismo para que la MINURSO tenga estas competencias.
    El Ministro de relaciones exteriores del gobierno británico insistió en su apoyo y defensa de los derechos humanos como algo sagrado para el partido laborista británico además de la solidaridad con las causas justas en el mundo ,necesarias para construir las relaciones económicas internacionales basadas en el respeto de los derechos humanos..El responsable de Asuntos Exteriores estuvo acompañado por Jim Murghy, miembro del Parlamento británico encargado de la cooperación internacional del partido y el respomsable de defensa Vermon Coaker.
    http://mujeressaharauisunms.blogspot.com.es/2014/09/el-partido-laborista-britanico-reafirma.html
  • Extorsionados en Marruecos ‘revientan’ un debate sobre inversión en el país vecino

    La consejera económica de la Embajada marroquí en Madrid, sorprendida con las denuncias de expropiaciones de la AAEM.
    Dos de los empresarios que denuncian haber sufrido expropiaciones y extorsiones en Marruecos por parte de una inmobiliaria (Immolog) participada en un 50% por el Gobierno de Rabat ‘reventaron’ la semana pasada una jornada informativa sobre inversiones en Marruecos.
    Al encuentro, que se celebró en Sevilla, asistieron los constructores Rodrigo Rodríguez y Manuel Dueñas, que hace dos años perdieron todas sus inversiones en Marruecos tras sufrir una supuesta expropiación. Los inmuebles que estaban construyendo finalmente fueron terminados y vendidos sin que ninguno de ellos recibiera indemnización alguna.
    Los dos empresarios forman parte de la Asociación de Afectados por la Extorsión en Marruecos (AAEM), que agrupa a un centenar de pymes españolas que han pasado por la desagradable experiencia de perder todo lo invertido en el país vecino.
    Según han explicado a El Faro fuentes de la AAEM, en cuanto un empresario asistente a la jornada de Sevilla preguntó por la seguridad jurídica de las inversiones en Marruecos, los dos constructores de la asociación aprovecharon la oportunidad para contar su amarga experiencia.
    Tanto Rodríguez como Dueñas abordaron la negativa de Marruecos de reunirse con España para tratar el tema de las expropiaciones de sus empresas.
    En la propia charla, un técnico de Extenda, la Agencia Andaluza de Promoción Exterior, terminó admitiendo en su intervención que no pueden garantizar seguridad jurídica a las empresas que decidan invertir en Marruecos.
    Una promesa de solución
    En ese momento se acercó a Rodríguez y Dueñas la consejera de Economía de la Embajada de Marruecos en Madrid, Houda Benghazi, para interesarse por los casos que estaban denunciando.
    Benghazi se mostró sorprendida con las críticas de los empresarios españoles a la desaparición de sus denuncias de los juzgados marroquíes. La consejera de Economía de la Embajada de Marruecos en Madrid reconoció que la justicia de su país es lenta, pero afirmó que también es segura. Una vez al tanto de todo lo ocurrido, se quedó con los datos de los dos empresarios extorsionados y prometió estudiar sus denuncias e intentar buscar soluciones.
    Mientras Rodríguez y Dueñas hablaban con Benghazi, todos los ponentes de la jornada se marcharon de la sala, pese a que antes del inicio de la charla habían prometido intervenir y responder las preguntas que les hicieran.
    A las jornadas de Sevilla sobre inversiones en Marruecos estuvieron invitados Fernando Rodríguez Villalobos, presidente de la Diputación de Sevilla; José Carlos Ruiz Bermejo y Sigurta, presidente de la Asociación del Cuerpo Consular de Sevilla; Mohammed Yebari, cónsul general de Marruecos en Sevilla; Elvira Saint Geron, directora de la Fundación Tres Culturas del Mediterráneo; Vanesa Bernard González, consejera delegada de Extenda y Jorge Robles del Salto, presidente de la Asociación de Jóvenes Abogados de Sevilla.
  • Ser saharaui y de ninguna parte

    Hay algunas naciones, pueblos o grupos humanos, con características comunes que se sienten geográficamente adscritos y cohesionados por razones culturales, históricas y sentimentales y que tienen una mala suerte casi endémica. Habitualmente sus problemas pueden resultar incómodos por ubicación, por diferencia, por idiosincrasia, para uno o más de sus vecinos. Y estos son de mayor tamaño y peso específico, por lo que tampoco consiguen mucho apoyo real por parte de las demás naciones, que temen a la ira de los vecinos. El tiempo pasa, los conflictos se enquistan….
    Uno de los pueblos, naciones, grupos que se enfrentan a esta situación son los saharauis. Antigua colonia española, por cierto. España tiene una postura ambigua con respecto a ellos, ya que no reconoce a la República Árabe Saharaui Democrática, por lo que no da valor jurídico a ningún documento oficial que emita dicha autoridad.
    Tampoco considera expresamente al Sahara Occidental como parte de Marruecos. Probablemente porque tenemos una enorme responsabilidad histórica en la situación, horrendamente resuelta por nuestra parte. En 1992 debió celebrase, por mandato de la ONU un referéndum de autodeterminación que nunca se celebró. Parece que hay determinadas votaciones que se consideran de segunda categoría. A Mauritania y, sobre todo a Marruecos, no les interesa que haya otro país ocupando una franja con acceso al mar y control sobre el rico caladero.
    Los saharauis refugiados ubicados en los campamentos de la región de Tinduf están en Argelia. No reclaman el territorio en el que se asientan, están de paso en un éxodo que ya dura 30 años. Pero si quieren viajar, necesitan un pasaporte, que tiene que estar emitido por una administración nacional reconocida por el país de destino. Esto es, un saharaui no puede entrar como tal en España.
    Argelia es consciente del problema y emite un pasaporte argelino, pasaporte que se puede utilizar como título de viaje pero que no supone en ningún caso el reconocimiento como argelino. El titular del pasaporte, recordemos, es saharaui, si bien no puede ejercer legalmente tal condición. No quiere ser de Argelia, y mucho menos, de Marruecos.
    Si consigue llegar a España gracias a su pasaporte-puente de Argelia, se ha convertido en un apátrida. Y a un apátrida hay que documentarle y darle un permiso de residencia, asunto que al Estado español no le hace mucha gracia. Una reciente sentencia de la Audiencia Nacional recoge el enésimo caso de solicitud negada a un saharaui.
    Se la deniegan porque tiene un pasaporte argelino y no tiene certificado de “saharauicidad” del MINURSO, organismo peculiar donde los haya que lleva 22 años intentando –con escaso éxito- organizar un referéndum para el Sahara Occidental. No debe ponerle mucho empeño, porque les ha dado tiempo a preguntar uno por uno a todos los implicados.
    La Audiencia Nacional reconoce al demandante su condición de apátrida, reprochando a la Administración su excesivo formalismo. Apátrida involuntario, ya que le gustaría ser reconocido como saharaui. Pero para España, no es de ninguna parte.
    No te quedes con ninguna duda: consulta con tu gestor administrativo.
    Busca el logo , garantía profesional.