Mois : septembre 2014

  • Pescadores: Las tensiones en el caladero marroquí han « empeorado »

    CÁDIZ, 29 Sep. (EUROPA PRESS) –
       El presidente de la Federación Andaluza de Asociaciones Pesqueras (Faape), Pedro Maza, ha alertado de que la situación de tensión en el caladero marroquí « ha empeorado » en los últimos días, por lo que urge soluciones a las autoridades españolas para que la flota pueda faenar con normalidad en el marco al acuerdo pesquero entre la Unión Europea (UE) y Marruecos.
       En declaraciones a Europa Press, Maza ha explicado que la situación es « cada vez peor » y afirma que « ya está habiendo enfrentamientos » entre las flotas. De hecho, según apunta, « algún barco marroquí se ha metido incluso en aguas españolas en el Estrecho ».
       Afirma el presidente de los armadores andaluces que están en « permanente contacto, sábados y domingos incluidos », con la Administración española dando cuenta de todo lo que acontece y de lo « insoportable » de la situación.
       Indica Maza que los pescadores españoles siguen acudiendo al caladero conjunto con intención de pescar, cosa que « impiden » los marineros marroquíes.
       Finalmente, señala que continúan « a la espera » de que se concrete fecha para la reunión anunciada para esta semana en la que se prevé que las cofradías de pescadores españolas y marroquíes puedan intercambiar opiniones y criterios en aras del cumplimiento y buen desarrollo del acuerdo pesquero.
    http://www.europapress.es/andalucia/cadiz-00351/noticia-pescadores-afirman-tensiones-caladero-marroqui-empeorado-urgen-soluciones-gobierno-20140929114242.html
  • Le mari de M’barka Bouaida sombre dans l’alcoolisme à cause des absences de sa femme

    Mbarka Bouaida et son mari lors de leur mariage
    La conjoncture particulièrement sensible traversée par le Maroc dans la question du Sahara Occidental a fait que l’agenda de travail de M’barka Bouaida soit assez chargée pour dédier plus de temps au politique qu’au familier.
    En effet, Mme Bouaida est obligé de bouger sur plusieurs fronts à la fois dans une tentative désespérée de remettre la balance en faveur du Maroc. En d’autres mots, M’barka est devenue le James Bond du Maroc dans une « Mission impossible » qui est la colonisation du Sahara Occidental.
    Le protagonisme donné à Mme Bouaida est expliqué par ses origines sahraouies. Sa famille qui a toujours habité à la ville de Guelmim, dans le Oued Noun, dénomme porte du Sahara par les marocains, est connu par son allégeance au palais. Son père, Ali Bouaida était le consul du Maroc à Nouadhibou.
    Mais son apparition au devant de la scène risque de bousiller sa famille. Son mariage célébrée en grandes pompes le 28 juillet 2013 avec avec Monsieur Abdelkrim Mehdi, né le 14 novembre 1969 à Marrakech est menacé.
    Selon une page facebook, le couple traverse des moments difficiles, depuis la nomination de Mme BOUAIDA au poste de Ministre. 
    Le mari reproche à son épouse d’être une mauvaise mère et d’avoir privilégié sa carrière professionnelle au détriment de sa vie familiale. 
    Mehdi Abdelkrim vivait un calvaire. Ce dernier, attristé et se sentant de plus en plus seul, a sombré dans l’alcoolisme, pour combler le vide laissé par son épouse, fréquemment absente de chez elle.
  • Sahara Occidental : La famille du défunt Hassanna Louali exige une autopsie du corps

    Le défunt Hassanna Louali dans sa cellule de prison
    La famille du défunt Hassanna Louali refuse d’accueillir le cadavre de son fils avant qu’une enquête indépendante soit réalisée pour mettre la lumière sur les raisons de sa mort, a informé, aujourd’hui, l’agence espagnols EFE se basant sur des sources de l’Organisation Sahraouie contre la Torture, dont la victime était membre actif.
    La ville de Dakhla, au sud du Sahara Occidental, a connu hier soir plusieurs manifestations pour protester contre les circonstances qui ont causé la mort de Hassanna Louali.
    Pour rappel, Louali est décédé suite aux négligences médicales dont il a été victime. Les autorités pénitentiaires ont refusé son hospitalisation avant de tomber dans un état comateux.
  • Fallece el preso político y activista saharaui Hassana Eluali Aaleya

    Dajla, Sahara Occidental.- Hassana Eluali Aaleya, preso político y activista de derechos humanos saharaui, ha fallecido este domingo en el hospital militar de Dajla, donde denuncian que fue trasladado tras permanecer varios días en estado grave y sin haber recibido atención médica.
    Según la información recogida en la web de Sahara Press Service y a través de «Equipe Media», Hassana Eluali Aaleya tuvo que pasar varios días en estado de gravedad en prisión hasta que fue trasladado a un centro hospitalario en la ciudad ocupada de El Aaiún.
    La citada fuente añade que se le negó el tratamiento adecuado para las complicaciones de la diabetes y el dolor de la úlcera que sufría, por lo que su estado empeoró.
    Así, y ya en estado de coma, fue trasladado al hospital militar de Dajla, donde pasó sus últimos días con respiración artificial. Han denunciado que se negó a la familia del preso el permiso para poder verle.
    Hassana Eluali Aaleya era un preso político y activisa de derechos humanos, miembro de la asociación saharaui contra la tortura.
    Estaba encarcelado desde 2012 y cumplía una condena de tres años por su participación en unas manifestaciones que ese año hubo en Dajla, principal ciudad de la región sur del Sáhara Occidental. Las torturas han sido «constantes» durante su estancia en prisión.
  • Sahara Occidental : nuevo crimen marroquí

    Una vez más, el Sáhara Occidental es testigo de los crímenes cometidos por Marruecos en los territorios ocupados de la antigua colonia española.
    Esta vez es la población saharauis de la ciudad de Dajla que vive el drama de la muerte de uno de sus queridos hijos, el preso político Hasana El Uali, fallecido a causa de negligencia médica. 
    A pesar de los numerosos llamamientos de sus camaradas de la cárcel, Hasana no fue trasladado al hospital hasta que su estado se hizo crítico a causa de su diabetes. Una vez en el hospital, le inyectaron una bolsa de suero de glucosa en lugar de un medicamento que le baje el nivel de azúcar que tenía en la sangre. Es que se trata de una muerte deliberada? Una investigación detallada debe realizarse para esclarecer los hechos e imputar las responsabilidades.
    La víctima sufría también de una úlcera de estómago.
  • Communiqué du Groupe de prisonniers politiques sahraouis de Dakhla

    Les prisonniers politiques sahraouis, Groupe Dakhla 
    Communiqué* 
    Dakhla, Sahara Occidental, 27 septembre 2014.- Dans une pertinente, sale et bien manigancée opération d’intrigue, l’autorité Makhzénienne marocaine a achevé, aujourd’hui, le processus de liquidation physique de l’activiste des droits de l’homme sahraoui et , actuellement, prisonnier politique dans la ville occupée de Dakhla, Hasanna El Wali. Les autorités pénitentiaires marocaines de la prison de Tawerta de Dakhla l’ont empêché de son droit humanitaire le plus élémentaire à bénéficier d’un soin médical alors qu’il souffrait dans sa cellule dans l’indifférence totale, sans pitié et sans le moindre souci pour son état ​​de santé critique.
    Il est resté dans cet état jusqu’à ce que nous, ses trois camarades de prison, avons mis de la pression sur administration pénitentiaire pour qu’il soit transporté à l’hôpital civil de Dakhla. Lors son arrivée à l’hôpital, il n’a pas eu droit à un check-up pré-médicale, il a été immédiatement transféré dans une salle spéciale, entouré par des agents de police, et comme ils savaient qu’il était diabétique, au lieu de œuvrer à diminuer son taux de sucre, ils lui ont injecté un « sérum glucose » pour faire monter davantage le taux de sucre dans le sang et mettre sa vie en danger réel !! Et c’est ce qui est arrivé. Son taux de sucre est monté jusqu’à 7 degrés provoquant un état de coma mortel.
    Sous la pression des masses qui ont suivi de près son état avec indignation et colère, les autorités oppressives l’ont transféré à l’hôpital militaire local de la ville. Par conséquent, il s’agit d’une liquidation politique claire et lâche qui exige une position ferme en vue de responsabiliser les autorités d’occupation marocaines de cet acte et mettre fin au mépris infligé à la vie de nos citoyens et de nos héros nationaux.
    Par conséquent, nous les prisonniers politiques sahraouis de la prison locale de Dakhla exigeons: 
    1 – L’ouverture d’une enquête urgente sur les détails du crime 
    2-Nous appelons tous les citoyens, personnalités publiques et organisations internationales à le soutenir et faire pression sur l’Etat marocain pour sauver sa vie. 
    3-Nous appelons toutes les personnes de conscience vivante de rester au côté de notre peuple dans la bataille de l’autodétermination et de la liberté. 
    Les prisonniers politiques sahraouis, le groupe de Dakhla.
    *ce communiqué a été publié avant l’annonce du décès de Hassana Louali
  • Alors que Mohamed VI a renoncé à son voyage à New-York : Benkirane à la place du prince Rachid

    Par Rafik Bakhtini
    En effet, pour des raisons qui n’ont pas été explicitées à l’opinion publique marocaine, le roi Mohammed VI a décidé de laisser tomber son déplacement à New York, pourtant annoncé de longue date, pour se rendre à Tétouan dans le cadre d’une banale inauguration de projets au bénéfice de la commune de Oued Laou.
    Cette reculade serait due à la décision prise par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, de ne pas lui accorder la  » séance de travail  » de deux heures qu’il avait demandée afin de tenter de  » désamorcer  » le rapport de Christopher Ross sur le Sahara Occidental, incriminant directement le Maroc et précisément que la tenue d’un référendum d’autodétermination était absolument inéluctable. L’autre fait qui a attiré l’attention de marocains, mais aussi de tous les observateurs qui suivent de près la scène politique mondiale, est le fait que le souverain marocain ait confié la lecture de son discours à son premier ministre et non pas à son frère le prince Moulay Rachid, comme ce fut le cas en 2012. Selon des commentaires parus dans les réseaux sociaux marocains, Mohammed VI n’a pas voulu envoyer son frère à sa place pour éviter qu’il ridiculise de nouveau le royaume chérifien en  » massacrant  » honteusement la belle langue d’El-Moutanabbi.
     
    Les mêmes sources rappellent en effet que lors du discours lu par le prince Rachid en 2012, celui-ci a méchamment maltraité la belle langue arabe avec une lecture qualifié de  » catastrophique « , ce qui l’a rendu la risée des marocains, et de tous les arabophones à travers la planète, à cause de ce qui a été qualifié comme une attaque fulgurante contre les règles élémentaires de la grammaire arabe. Beaucoup ont estimé que même les enfants des écoles primaires n’auraient pas fait autant de fautes.
    R. B.
  • MARRUECOS: escalada liberticida

    Desde principios de julio de 2014, el gobierno marroquí avanza en una escalada contra las libertades denunciada por observadores tanto nacionales como internacionales.
    Esta escalada tiene cono blanco particularmente la Asociación Marroquí de Derechos Humanos, creada en junio de 1979 y que siempre, de manera pacífica, ha reivindicado los derechos humanos más elementales. Bajo el reinado de Hassan II, los activistas de la asociación habían experimentado la intimidación, los acosos que disminuyeron desde los años 90 cuando Hassan II quería mejorar su imagen y justificar su reinado a nivel internacional tras las diversas reacciones del mundo a su política represiva, en particular la tortura, las cárceles existentes, los juicios injustos … Con la llegada al trono de Mohammed VI, algunos alimentaron la esperanza de un cambio más importante en la práctica de gobierno del poder, esperando de que el gobierno sea más independiente del rey. Es verdad que los primeros años podían reconfortar a esa esperanza, pero el retorno gradual a prácticas anteriores hace que sea escéptica la posibilidad para que este régimen evolucione hacia un clima de justicia, libertad y dignidad a pesar de los subterfugios del momento.
    Es cierto que el régimen ya no puede recurrir a las cárceles, a condenas de 20 incluso 30 años de prisión, a desapariciones forzadas en gran número … por miedo a ser puesto en el banquillo de los acusados en el plano internacional. Pero sobre todo el pueblo marroquí, una población a la que se creía incapaz de reaccionar muestra, sobre todo desde el 20 de febrero 2011 que tiene su voz y voto. Esta toma de conciencia que se lee a través de diversos medios de comunicación va a provocar, en reacción, un ataque bien orquestado por parte del régimen.
    El Movimiento 20 de febrero será el que, particularmente, pagará la factura ya que se trata de intimidar y desmovilizar a los jóvenes que, sedientos de libertad, expresaron en la calle las verdaderas causas de la situación de degradación en Marruecos: un sistema autocrático que traza líneas rojas para cualquier protesta. Estas líneas rojas son, por supuesto, amovibles y según el momento son simplemente anticonstitucionales. El rey reina, gobierna y tiene el derecho de hacerlas avanzar o retroceder adelante a su antojo … El gobierno no es más que seguir la trayectoria real, y a veces tendrá « posiciones más papistas que el papa ». En cuanto a la constitución, no es más que un decoro para la opinión extranjera.
    De esta manera, seis meses antes de la organización de la segunda edición del Foro Mundial de Derechos Humanos a finales de noviembre en Marruecos, el régimen marroquí empezó una escalada contra las libertades con el fin de prohibir la Asociación Marroquí de derechos Humana y reprimir a sus militantes activos.
    Se prohibieron varias conferencias en Safi, Azrou, Eljadida que debían organizar una sentada para denunciar las violaciones sufridas por niñas; según un comunicado de la AMDH {a la pregunta « en qué os basáis para prohibir la sentada? « Las autoridades responsables (un chico) dijo que » en cualquier cosa, así es como. « }. A Tahla, cerca de la ciudad de Fez, donde fue prohibida una reunión, el Pacha de la ciudad, se atrevió incluso a decir a los responsables de esta sección de la AMDH que había « recibido instrucciones de altos mandos para prohibir todaactividad de la AMDH en lugares públicos  » y habría dicho que  » se trata de directivas a nivel nacional. « 
    Son directivas sin ningún fundamento y en contradicción con la ley. Intervienen « después de las declaraciones del ministro del Interior ante el Parlamento y del Ministro de Turismo donde acusan a las organizaciones de derechos humanos de empañar la reputación del país, de poner trabas a la acción de las fuerzas de seguridad en su lucha contra el terrorismo y de trabajar para agendas extranjeras; parece ser que el hecho de reivindicar el respeto de la ley y denunciar las violaciones (detenciones arbitrarias, torturas, juicios injustos …) cometidas por las autoridades se ha convertido en sinónimo de apoyo al terrorismo y de traición a la patria. « . (Comunicado de la Oficina Central de la AMDH del 04 de agosto 2014).
    La última, el 24 de septiembre de 2014, fue la prohibición, en la capital Rabat, de la conferencia que la AMDH quería organizar el 27 de septiembre después de haber respetado todas las formalidades administrativas sobre el tema « Medios de Comunicación y Democracia ». Esta prohibición, sin embargo, llegó después de que el ministro de Justicia hay confirmado en una reunión el 24 de septiembre con las asociaciones de derechos humanos, que era ilegal prohibir la organización en las salas públicas de las actividades de la asociación. En su último comunicado de prensa con fecha de 26 de septiembre. La AMDH declara que « esta inoportuna decisión, sin ninguna fundamento legal, que refleja el abuso de poder, debe interpelar todas las instancias gubernamentales para que se apeguen a la estricta aplicación de la ley en el respeto de los compromisos de Marruecos en materia de derechos humanos y sobre todo el respeto del trabajo de los defensores de los derechos humanos y su protección ».
    Estas sucesivas prohibiciones que nos trasladan a la atmósfera de los llamados « años de plomo » se han añadido a los arrestos arbitrarios y condenas injustas, como fue el caso de la del rapero MOURAD que, a causa de la difusión de su canción « Perros del Estado » fue encarcelado por tercera vez y condenado a 4 meses de prisión a principios de julio.
    Fue también el caso de la detención de OUSSAMA housni así como la de Wafae CHARAF activista del Movimiento 20 de febrero y de la AMDH, transportada al hospital después de su agresión por las fuerzas del orden y encarcelada el de julio. Según la AMDH, el desarrollo del juicio de sus defensores, “muestra, de manera categórica, una serie de violaciones y de grandes disfunciones en cuando a las condiciones de equidad e independencia de las investigaciones, en las sanas medidas en cuanto a la aplicación de los procedimientos legislativos durante el juicio y el establecimiento de bases para un justo juicio ».
    Fueron condenados, uno a tres años de prisión y el otro a un año. 
    Esta testaruda política, a pesar de algunos subterfugios, está lejos de lo que se llama « excepción marroquí » encaminada hacia la democracia. Incluso la sede del AMRVT (Asociación Médica para la Rehabilitación de las Víctimas de la Tortura) fue devastado por segunda vez este 13 de septiembre 2014 : los militantes « constataron el registro de las oficinas que no fueron el blanco de la primera efracción, la dispersión de los expedientes de la asociación y de las víctimas en el suelo, y sin tocar el material médico y electrónico. « (Comunicado AMRVT de 13 de septiembre de 2014).
    Todo esto es una clara señal de la renovación de las prácticas que creíamos pasadas al pretérito pero que la impunidad de los responsables de las múltiples exacciones durante los años de plomo permite reaparecer. Esta recurrencia es constitutiva de la impunidad. 
    Esto nos confirma en la posición del movimiento progresista marroquí y de las asociaciones de derechos humanos en la necesidad de que todos los amantes de la libertad, la democracia y la dignidad humana sigan siendo vigilantes de manera unitaria para continuar la lucha contra todas las formas de impunidad . 
    Hayat-Berrada Bousta 
    Antigua exiliada política 
    28 de septiembre 2014
  • La doctrina de la ONU sobre descolonización debe consolidarse (MAE argelino)

    El ministro argelino de Asuntos Exteriores, Ramtane Lamamra, llamó el sábado en Nueva York al Secretario General de las Naciones Unidas, Ban Ki-Moon, a honorer la doctrina de la ONU en lo que concierna a la descolonización en el Sáhara Occidental, informó hoy la agencia de prensa saharaui SPS.
    « La evaluación general que el Sr. Ban Ki-Moon debe presentar en 2015 sobre la cuestión del Sáhara Occidental que opone el Reino de Marruecos al Frente Polisario debería ser capaz de honrar a la doctrina de la ONU en materia de descolonizaciónal igual que a la efectividad de las resoluciones del Consejo de Seguridad y de la Asamblea general de la ONU « , argumentó el jefe de la diplomacia argelina que se expresaba ante la 69 ª sesión ordinaria de la Asamblea general de la ONU.
    Lamamra añadió que « Argelia, cuyo apoyo al derecho inalienable del pueblo del Sáhara Occidental a la autodeterminación está bien establecido, alienta al Secretario General de Naciones Unidas y a su Enviado Personal, Christopher Ross, para que intensifiquen sus esfuerzos en aras de garantizar el éxito de su labor”.
  • Cómo Ban Ki-moon mandó al rey de Marruecos a freír espárragos

    La prensa marroquí había informado, al principio, la participación del rey de Marruecos en la Asamblea General de las Naciones Unidas, antes de anunciar la cancelación del viaje sin ninguna explicación. Algeriepatriotique se enteró de fuentes seguras en Nueva York, que la única razón de la cancelación en el último minuto del viaje de Mohammed VI a los Estados Unidos para participar en la 69 ª sesión de la Asamblea general de la ONU es la negativa del Secretario general Ban Ki-moon a acordarle una sesión de trabajo de dos horas, como lo había pedido con insistencia a través de su ministro de asuntos Exteriores Salah Eddine Mezouar, que fue enviado a Manhattan como explorador.
    La preparación de esta visita fue anunciada con a bombo y platillo por los canales oficiales marroquíes, entre ellos la agencia de noticias MAP y el hilarante embajador marroquí ante las Naciones Unidas antes de que un cambio de tendencia súrjala víspera del desplazamiento de Mohammed VI a Nueva York. Un cambio de última hora que ha obligado al la MAP a retirar un despacho que anunciaba la ida del rey a los Estados Unidos al día siguiente. La participación de Mohammed VI en la Asamblea General de la ONU tenía como objetivo presentar esta sesión de trabajo como si se inscribiera en un marco de cooperación y de « apoyo a los esfuerzos » del secretario general de la ONU, en un momento en que Rabat pone trabas a la misión de Christopher Ross, el representante especial de Ban Ki-moon, para el Sáhara Occidental, que aún está a la espera de poder visitar a Marruecos.
    El encuentro de Mohamed VI con el secretario general de la ONU tenía como objetivo hacer inútil el desplazamiento de Christopher Ross a Marruecos para discutir con las autoridades del país sobre la cuestión saharaui. El Majzén quería presionar a Ban Ki-moon con el fin de negociar ciertos contenidos del próximo informe que el Secretario General de la ONU tendrá que presentar al Consejo de Seguridad « anticipándose a toda propuesta pertinente que pueda ser formulada por Christopher Ross habida cuenta del impasse en el que se encuentra el problema saharaui a causa de las dilaciones marroquíes « , explican nuestras fuentes.
    Mohammed VI esperaba, de esta manera, « pasar la goma » a todas las referencias contenidas en el informe del 2014, referencias que culpan a las autoridades políticas marroquíes del bloqueo, al mismo tiempo que intenta implicar a Argelia como parte interesada que « no asume sus responsabilidades en la búsqueda de una solución definitiva AL conflicto marroquí-saharaui.
    El otro objetico no declarado de Rabat es el de llevar al Secretario General de la ONU para atentar contra la credibilidad de Ross en la cuestión de la autodeterminación que éste último considera ineludible « sea cual sea la solución que pueda lograrse », revelan nuestras fuentes, que explican que este apego de Ross a la forma de la autodeterminación que obligatoriamente debe acompañar a la solución política « lo hace prácticamente persona non grata en Marruecos ».
    Caído en su propia trampa, Marruecos quería finalmente intentar disuadir a Ban Ki-moon, de poner en práctica la recomendación contenida en el informe de 2014 que estipula que si el bloqueo persiste en la cuestión del Sahara Occidental, invitará a los miembros del Consejo de Seguridad a reexaminar el conjunto del marco establecido en abril de 2007 para el proceso de negociación.
    Presintiendo esta emboscada, el Secretario General de las Naciones Unidas se negó a entrar en este juego, con el pretexto de tener « muchas » reuniones de alto nivel. Ban Ki-moon propuso, entonces, a Mohammed VI una simple audiencia circunstancial.
    Dolido y frustrado por no poder imponer su criterio al Secretario General de la ONU, el Rey de Marruecos no tuvo más remedio que retirarse penósamente y sin explicar a su pueblo y a la clase política marroquí las razones que llevaron a la cancelación de su visita a Nueva York, después de que la prensa marroquí hayan hinchado el evento durante semanas. 
    Karim Bouali