Mois : septembre 2014

  • Le Maroc veut empêcher Alger de mener à bien sa médiation

    Couacs…
    Par Mohamed Abdoun
    Comme le craignait et le supposait notre journal dans de précédentes éditions, le dialogue inclusif malien, censé avoir repris à Alger depuis le premier de ce mois (après un premier report de près de deux semaines), continue de patiner dangereusement. Les raisons, hélas, en sont multiples, si bien que l’on en arrive à se demander si l’Algérie a eu raison de prendre sur elle de driver ce dialogue, alors que tant d’acteurs ne veulent absolument pas que le Mali sorte enfin de sa crise. Passons en revue tout cela pour comprendre à quel point la situation est compliqué, et se présente sous d’assez sombres augures. 
    La Presse malienne, celle de Bamako, qui exprime tout haut ce que les dirigeants du sud pensent tout bas, n’en finit plus de nous tomber dessus à bras raccourcis. Les griefs sont tout aussi multiples qu’injustifiés. Selon elle, donc, Alger aurait donné asile à Iyad Ag Ghali, le chef d’Ançar Sharia. Sans être sur que l’info que voici soit fondée ou pas, il est vrai que l’Algérie a toujours distingué entre les terroristes criminels d’AQMI (al-Qaïda au Maghreb arabe) et du MUJAO (mouvement pour l’unicité et le Jihad en Afrique de l’Ouest) et les touaregs musulmans qui se sont regroupés sous la bannière de Ghali, lequel avait fait, pendant un temps seulement, cause commune avec les autres islamistes, tant il était dépité par l’attitude de l’ancien président malien, Amadou Toumani Touré (ATT), soutenu en cela par la France. Son successeur, 
    Ibrahim Boubacar Keita (IBK), après toutes les turpitudes traversées par le Mali ne fait guère mieux. La Presse malienne nous reproche également d’imposer à ce dialogue de nouveaux acteurs, sans même en informer Bamako. Or, cela est d’autant plus faux que notre pays, outre son rôle d’hôte en sa qualité de puissance régionale incontestée dans la région sahélo-saharienne, se refuse catégoriquement à s’immiscer dans les affaires internes des autres pays. 
    Ces accusations, qui cherchent à torpiller le dialogue, entrent dans le cadre d’une manipulation française, pour qui la poudrière malienne est le prétexte idoine pour garder ses soldats  » bakhanisés  » autour et au dessus les lieux recélant les plus grandes richesses sous-terraines. Preuve en est que, comme il n’existe pas de hasard en politique, ni en diplomatie, la visite à Alger d’une conseillère élyséenne à quelques jours du début d’  » Alger II « , ne pouvait signifier qu’une chose : Paris cherche à imposer son droit de regard, pour ne pas dire plus hélas, sur ces négociations inclusives. 
    Pour poursuivre avec la série d’éléments négatifs qui font craindre le pire, et qui menacent de torpiller ces négociations qui patinent gravement, il ne faut pas oublier que la France a posé son pied militaire au Mali, et qu’elle n’est pas prête d’en déménager. Alors qu’elle a toujours eu beaucoup d’ascendant sur Bamako, à telle enseigne que c’est sur son instigation que les deux anciens présidents, IBK et Alpha Oumar Conaré, avaient refusé deux précédents accords de paix signés à Alger, l’influence de la France sur le Mali a pris beaucoup plus de poids grâce ou à cause de cette présence militaire, qu’Alger avait toujours dénoncé. 
    Il faut ajouter à tout cela la réunion des groupes rebelles touaregs au Burkina Faso, afin d’accorder leurs violons quelques jours avant la reprise des pourparlers d’Alger. Le jeu double de Ouagadougou a pu influer négativement dans la recherche d’un terrain d’entente entre les deux parties protagonistes, d’autant que les rebelles négocient en position de force, étant entendu que sur le plan militaire ce sont eux qui ont défait et humilié l’Armée malienne en un temps record, avant d’occuper le septentrion malien, qui représente les deux tiers du territoire de ce pays. 
    Mais, l’élément le plus grave dans cette série de paramètres pouvant faire capoter ces négociations inclusives, réside très certainement dans le parasitage marocain. Rabat, qui a déjà partie liée avec les criminels du MUJAO et qui utilise le Sahel pour écouler sa drogue en quantités industrielles vers l’Europe, tente elle aussi de faire échouer la médiation algérienne afin que l’instabilité, synonyme d’impunité, d’opacité et de poursuite de ces opérations délictueuses, veut empêcher Alger de mener à bien sa médiation. Une preuve ? Sur invitation de Mohamed VI en personne, une délégation du MNLA (Mouvement national pour la libération de l’Azawad), conduite par son secrétaire général, Bilal Ag Cherif, a été reçue par le  » minable  » ministre de la Communication marocain, Salah Eddine Mezouar, en date du 29 août passé. 
    Outre les mauvaises influences, les faux conseils et même les tentatives de corruption que l’on peut subodorer (car la diplomatie marocaine ne  » carbure  » qu’à cela), cette énigmatique et anecdotique audience a eu pour effet de retarder de plusieurs jours la reprise de ce dialogue, étant donné que la délégation du MNLA (groupe armé touareg le plus puissant présent sur le terrain), n’a pu se rendre à Alger dans les délais convenus. 
    Cerise sur le gâteau, la violence ne s’est pas totalement estompée au nord du Mali. La mission d’Alger en devient trop délicate, pour ne pas dire carrément officielle. Preuve en est que, six jours après la  » reprise  » de ce dialogue, les parties antagonistes en sont encore à s’échanger des accusations mutuelles, sans arriver à s’entendre sur un SMIG consensuel, pouvant permettre la reprise effective de ce problématique dialogue inclusif… 
    M. A.
  • Situación de lxs subsaharianxs en Marruecos : cumpliendo las órdenes de quien paga, Europa

    por Confederación General del Trabajo (CGT) Andalucía
    Un joven senegalés Charles Ndour ha asido asesinado en el barrio Al Irfane en Boukhalef (Tánger) tras los enfrentamientos raciales entre subsaharianxs y marroquíes que han provocado también 14 heridos, según fuentes oficiales.
    Durante todo el fin de semana, se han producido fuertes enfrentamientos entre ambas comunidades, con rumores de más muertos y numerosos heridos y con violenta intervención policial especialmente contra lxs subsaharianxs.
    Los enfrentamientos comenzaron en una tienda del barrio por una discusión sobre el precio y se extendieron por toda la zona. Un grupo de marroquíes entró por la fuerza en la casa donde se encontraba Charles Ndour buscando si era un bar clandestino. Tras acuchillarle, le arrastraron hasta la calle, dejándole moribundo en la acera frente al portal de la casa
    Charles Ndour, de 26 años de edad, trabajaba en Rabat en situación regular y se había desplazado a Tánger el fin de semana para visitar a unos amigos.
    El barrio de Boukhalef es el último barrio de Tánger antes de llegar al cruce de la autopista para Rabat y cerca del aeropuerto. Bloques y bloques, con muchas carencias de infraestructuras.
    Respuesta de la comunidad subsahariana y del poder
    La indignación de la comunidad subsahariana ha recibido la respuesta del estado marroquí: 25 personas expulsadas, 10 encarceladas con condena de 1 mes de prisión firme.
    Ante la indignante actuación de las fuerzas policiales marroquíes, reprimiendo las manifestaciones de lxs subsaharianxs, la comunidad senegalesa se negó a entregar el cuerpo del difunto a las autoridades marroquíes a lo que siguió la intervención violenta de la policía. Llevadas ante los tribunales, 25 personas han sido expulsadas y 10 condenadas a un mes de cárcel por concentración y manifestación no autorizada en la vía pública y desobediencia a las órdenes dadas por los agentes policiales.
    En Rabat se han llevado a cabo manifestaciones frente a 7 embajadas de países africanos sin que haya habido enfrentamientos. El Consejo de migrantes subsaharianos en Marruecos también tiene planteado hacer una concentración frente a la delegación de la Unión Europea en Marruecos.
    Por su parte, la policía marroquí ha anunciado la detención de 3 personas que podrían estar implicadas en el asesinato del joven senegalés.
    Una muerte anunciada
    La situación de tensión entre marroquíes y subsaharianxs en el barrio lleva más de un año, con continuos incidentes. Ya en octubre de 2013, murió un senegalés, Moussa Seck, arrojado desde una ventana posiblemente por la propia policía. También a principios de verano se produjeron enfrentamientos. Era cuestión de tiempo que se produjera alguna muerte.
    Una semana antes de los hechos, nos comunicaba un amigo, vecino del barrio, que se estaban creando grupos de marroquíes armados con machetes y palos, preparados para atacar a lxs subsaharianxs. Todo ello con la pasividad y complicidad de la policía. Todo se estaba preparando para atacar a la comunidad subsahariana.
    El racismo, con fuertes raíces en el pueblo marroquí, está potenciado y protegido por las autoridades marroquíes. Sólo hace falta ver en lo cotidiano el trato de la policía con la población subsahariana para comprobarlo.
    El origen del problema: la Unión Europea
    La población subsahariana que habita en Boukhalef son en su mayoría migrantes sin papeles que están esperando para poder pasar a Europa o a Ceuta. Y ahí está la raíz del problema: la Europa fortaleza y el dinero y apoyo político que se paga a Marruecos para cumplir el papel de gendarme de Europa.
    Es decir, si Marruecos despliega miles de soldados y policías a lo largo de la costa desde Larache a Nador, si acosa y persigue a los migrantes subsaharianxs, si azuza a la población para que ataque a la comunidad subsahariana, que malvive en la pobreza esperando poder pasar a Europa, es por orden y mandato de la UE.
    Y Marruecos refuerza su papel de gendarme, dejando a mediados de agosto varios días sin vigilancia en la costa, lo que permitió el paso de más de 1000 migrantes en pateras, dejando claro que quiere contrapartidas por ejercer su trabajo de gendarme de Europa. Rápidamente, el 27 de agosto, se traslada a Tetuán el ministro del Interior español Jorge Diaz Fernandez para garantizar, con el ministro del interior marroquí, Mohamed Assad, que Marruecos cumpla su papel de gendarme a cambio del apoyo político y económico de la UE.
    La colaboración y participación de España en la violación de los derechos humanos de la comunidad subsahariana en Marruecos es evidente como demuestra la continua entrega, violando descaradamente las propias leyes españolas y europeas, de subsaharianos que consiguen saltar la valla de Ceuta y Melilla y que , sin ningún trámite judicial, son entregados a la policía marroquí. No existe ninguna posibilidad de poder entrar legalmente en España. Fácil sería abrir unas oficinas en las fronteras de Ceuta y Melilla donde lxs subsaharianxs pudieran presentar peticiones justificadas de asilo político o como refugiadxs por situaciones de guerra, hambre y violencias. Pero no, son tratados como animales que hay que rechazar y expulsar. No hay derechos humanos que valgan para Marruecos y España.
    Son ya 9 subsaharianos asesinados en Marruecos en el último año, algunos con implicación directa de la policía marroquí. Miles de personas acosadas por la policía, por parte de la población marroquí, por el hambre y la miseria, esperando conseguir su objetivo de alcanzar Europa.
    También queremos señalar la implicación de colectivos marroquíes en la defensa de los derechos de la comunidad subsahariana (En anexo, comunicado en árabe de la AMDH).
    La lucha por la libre circulación de las personas es la única alternativa real a esta situación. Es simplemente defender uno de los derechos humanos que hipócritamente la UE y España dicen defender.
    Mouatamid
    Equipo de trabajo para el norte de África de la S. de RR. II. de la CGT
  • Siete de cada diez franceses no quieren que Sarkozy sea candidato a la UMP

    El hombre que utilizó el tema del Sáhara Occidental como arma para irritar a los argelinos cuando era presidente, Nicolas Sarkozy, sueña con volver al Elíseo, pero su sueño no parece tener terreno favorable.
    Según EFE, siete de cada diez franceses no quieren que el exjefe de Estado Nicolas Sarkozy se presente como candidato a la presidencia de la conservadora Unión por un Movimiento Popular (UMP), el principal partido de la oposición.
    El sondeo realizado los pasados 4 y 5 de septiembre por el instituto demoscópico LH2 para « Le Nouvel Observateur » destacó hoy que entre los militantes de esa agrupación un 33 % de encuestados no quiere que vuelva a la política.
    Estas reservas sobre su hipotético retorno más de dos años después de perder las presidenciales contra el socialista François Hollande refleja, según el instituto, una ligera desconfianza hacia quien hasta ahora aparecía en los sondeos de forma sistemática como la personalidad central de su partido.
    Entre los simpatizantes de derechas en general, a un 49 % le gustaría que volviera, porcentaje que se reduce al 14 % entre los que se dicen cercanos al centrista MoDem y al 31 % entre los que se identifican con la Unión de Demócratas e Independientes (UDI).
    Según afirmó hoy al digital « Presse-Océan » Franck Louvrier, uno de sus consejeros más cercanos, Sarkozy se está tomando todavía « un poco de tiempo » para madurar su decisión de volver o no a la primera línea política, y la dará a conocer antes del 30 de septiembre, fecha en la que concluye el plazo de las candidaturas a la UMP.
    Se recuerda que, según informaciones reveladas por Wilikeaks, el presidente argelino actual, Abdelaziz Bouteflika, declaró a un responsable norteamericano que « Francia se sirve del conflicto del Sáhara Occidental para vengarse de Argelia ».
    Sarkozy pasaba a menudo sus vacaciones en uno de los palacios de Mohamed VI en Marruecos.
  • El documental « Legna »:presentado en XIII Congreso Antropología Tarragona

    El documental ‘Legna: habla el verso saharaui’, mejor película FISAHARA 2014, presentada en XIII Congreso Antropología Tarragona
    *Fuente: Antropología en Acción
    La proyección tuvo lugar en el Aula Magna de la Universidad Rovira i Virgil de Tarragona. El acto se celebró en el marco del XIII Congreso de Antropología organizado por la Federación de Asociaciones de Antropología del Estado Español.
    El acto contó con la presencia de dos de los directores de la película, los antropólogos Juan Robles y Juan Carlos Gimeno, profesores de antropología social de la Universidad Autónoma de Madrid. Durante una hora y media la recitación hasania de los poetas y poetisas nacionales saharauis fueron protagonistas de este congreso nacional que reúne cada dos años a los más relevantes investigadores, profesores y profesionales de la antropología española.
    La película fue vista con emoción, recibiendo una cerrada ovación del público por la profundidad, rigor y belleza de la narración. Llamó especialmente la atención una estructura argumental en la que la lucha del pueblo saharaui por su soberanía nacional se desarrollada sobre el telón de fondo de una cultura material enraizada en su historia y su territorio ahora cercenado.
    El público valoró la poesía, como una de las grandes contribuciones del pueblo saharaui al patrimonio cultural mundial. Gustó especialmente la interacción entre las poesías en hasania y castellano que van hilvanando las diferentes partes del documento, la cultura material, el movimiento en la geografía saharaui, el nacimiento de la identidad nacional saharai, la revolución y la guerra contra Marruecos, la intifada en los territorios ocupados y la nostalgia por un territorio cercenado.
    “Legna: habla el verso saharaui” fue presentado como paradigma de una antropología de Orientación Pública, implicada y comprometida con los intereses y objetivos políticos de los protagonistas. Un tipo de antropología compartida que pone en valor el encuentro, el diálogo y el compromiso sostenido entre poetas saharauis e investigadores convertidos ya en hijos del pueblo saharaui. Un tipo de antropología que no rehúye las emociones y que entiende que el conocimiento riguroso y el análisis en profundidad de la cultura, no está reñido con los sentimientos. Como apuntó uno de los participantes en el debate: la poesía, la emoción, los sentimientos, llegan –a veces- a espacios de conocimiento y entendimiento que la investigación positivista clásica no puede alcanzar.
  • La ONU celebra la liberación de diplomáticos argelinos secuestrados en Mali

    Naciones Unidas, 6 sep (EFEUSA).- El Consejo de Seguridad de la ONU expresó hoy su satisfacción por la reciente liberación de los dos últimos diplomáticos argelinos que continuaban secuestrados en Mali desde abril de 2012 y condenó el asesinato de otro de ellos.
    En un comunicado, el Consejo subrayó que los responsables del secuestro y de la muerte deben ser juzgados y llamó al Gobierno de Mali a investigar rápidamente los sucesos.
    Los dos diplomáticos fueron puestos en libertad la pasada semana, tras permanecer retenidos desde abril de 2012, cuando habían sido secuestrados junto a otros cinco diplomáticos, entre ellos el cónsul argelino en la ciudad maliense de Gao, Boualem Sias.
    Sias falleció como consecuencia de una enfermedad crónica durante el cautiverio, mientras que otro de los diplomáticos fue asesinado y otros tres fueron liberados en julio de 2012.
    Ese secuestro fue reivindicado por el Movimiento para el Monoteísmo y la Yihad en África Occidental (MUYAO), un grupo terrorista que también ha perpetrado atentados en las provincias argelinas de Tamanrasset y Uargla.
    Los miembros del Consejo de Seguridad subrayaron hoy la necesidad de combatir la amenaza para la paz que suponen los grupos terroristas y reiteraron su total apoyo a la misión de la ONU en Mali (Minusma) y a las fuerzas francesas que operan en el país.
  • Anniversaire d’une arnaque onusienne: le cessez le feu au Sahara occidental

    Il a failli passer presque inaperçu, s’il n’y avait pas un tweet du grand ami des Sahraouis, Carlos Ruiz Miguel. Aujourd’hui, 6 Septembre, c’est le 23e anniversaire du cessez-le-feu et par conséquent du déploiement de la MINURSO dans les territoires du Sahara occidental.
    Six mois après la cessation des hostilités entre le Maroc et le Front Polisario un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui devait être tenu, seule solution en conformité avec la légalité internationale et les dizaines de résolutions de l’Assemblée générale et du Conseil de sécurité de l’ONU.
    Selon Carlos Ruiz Miguel, professeur à l’Université de Saint-Jacques de Compostèle, accepter le cessez-le feu en échange seulement d’une promesse a été la plus grande erreur commise par le Front Polisario.
    En effet. Le Polisario a trop fait confiance à l’ONU et celle-ci s’est avérée être une organisation inutile à cause d’une moquerie appelée droit de veto dont la France a trop abusé pour défendre la colonisation du Sahara occidental par le Maroc. France, le même pays qui a encouragé le Maroc à envahir le Sahara, a fait pression sur l’Espagne pour signer l’accord tripartite de Madrid du 14 Novembre 1975 et a fournir au royaume alaouite pendant plus de 15 ans toutes sortes d’armes pour combattre les aspirations du peuple sahraoui à la liberté et l’indépendance.
    23 ans après la mise en place effective du plan de paix dans ce territoire, le Maroc, grâce au soutien de Paris, continue à se moquer de la communauté internationale.
    Les sahraouis déplorent unanimement le jour où l’ONU les a trompés avec de fausses promesses d’un secrétaire général, Javier Perez de Cuellar, qui s’est avéré être un corrompu qui avait été acheté par les Marocains. La même ONU qui est aujourd’hui incapable d’empêcher que le Maroc continue à violer les droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés.
    SOURCE : DIASPORA SAHARAUI, /06/09/2014
  • Anniversaire d’une arnaque onusienne: le cessez le feu au Sahara occidental

    Il a failli passer presque inaperçu, s’il n’y avait pas un tweet du grand ami des Sahraouis, Carlos Ruiz Miguel. Aujourd’hui, 6 Septembre, c’est le 23e anniversaire du cessez-le-feu et par conséquent du déploiement de la MINURSO dans les territoires du Sahara occidental.
    Six mois après la cessation des hostilités entre le Maroc et le Front Polisario un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui devait être tenu, seule solution en conformité avec la légalité internationale et les dizaines de résolutions de l’Assemblée générale et du Conseil de sécurité de l’ONU.
    Selon Carlos Ruiz Miguel, professeur à l’Université de Saint-Jacques de Compostèle, accepter le cessez-le feu en échange seulement d’une promesse a été la plus grande erreur commise par le Front Polisario.
    En effet. Le Polisario a trop fait confiance à l’ONU et celle-ci s’est avérée être une organisation inutile à cause d’une moquerie appelée droit de veto dont la France a trop abusé pour défendre la colonisation du Sahara occidental par le Maroc. France, le même pays qui a encouragé le Maroc à envahir le Sahara, a fait pression sur l’Espagne pour signer l’accord tripartite de Madrid du 14 Novembre 1975 et a fournir au royaume alaouite pendant plus de 15 ans toutes sortes d’armes pour combattre les aspirations du peuple sahraoui à la liberté et l’indépendance.
    23 ans après la mise en place effective du plan de paix dans ce territoire, le Maroc, grâce au soutien de Paris, continue à se moquer de la communauté internationale.
    Les sahraouis déplorent unanimement le jour où l’ONU les a trompés avec de fausses promesses d’un secrétaire général, Javier Perez de Cuellar, qui s’est avéré être un corrompu qui avait été acheté par les Marocains. La même ONU qui est aujourd’hui incapable d’empêcher que le Maroc continue à violer les droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés.
  • El régimen de Marruecos no quiere que los españoles se enteren que las oleadas de emigrantes africanos las provocan en Rabat

    Dicen los colectivos de apoyo a los emigrantes subsaharianos que desde Marruecos intentan llegar por tierra o por mar a España, que las agresiones sufridas en Tánger por la investigadora en movimientos migratorios Helena Maleno, se deben a la labor que están haciendo las organizaciones defensoras de derechos humanos para denunciar la violencia que pasan los inmigrantes que intentan cubrir la última etapa hacia Europa. Sin embargo, el colectivo de derechos humanos con el que esta española colabora en Tánger, Cruzando Fronteras, al igual que otras muchas organizaciones similares, viene realizando su trabajo del lado marroquí de la valla desde 2002 sin que nunca se hubiese tenido noticias de que allí hubiesen hostigado sus actividades.
    El cambio de tercio se produjo cuando Maleno empezó a denunciar que las autoridades marroquíes estaban contribuyendo con alevosía y premeditación a que este verano diese una cifra récord de pateras de sin papeles africanos dispuestos a jugarse la vida en la arriesgada travesía hacia España. Sus informaciones contribuyeron así al importante cambio que este verano se ha producido en el relato periodístico sobre los asaltos a las vallas en Melilla y Ceuta y el flujo de las pateras que, hasta ahora, se solían limitar al dato escueto de que se habían producido avalanchas y oleadas de supuestos invasores y, por lo general, sólo denunciaban las violaciones de los derechos humanos y los malos tratos cometidos en el lado español de la frontera.
    Por ejemplo, pocos días antes de ser brutalmente agredida por un grupo de marroquíes, Helena Maleno contó en numerosos medios que las autoridades marroquíes no sólo habían dejado de vigilar la frontera sino que habían filtrado a los colectivos de emigrantes subsaharianos en Tánger los días y franja horaria en la que podían echarse a la mar sin peligro a ser detenidos.
    Otro dato importante que hizo público Helena Maleno es que en el barrio de Bujalef, donde se concentran los emigrantes que aspiran a dar el salto a la orilla norte del Mediterráneo, supuestos grupos de ciudadanos marroquíes ebrios de racismo estaban atacando a golpe de machete a los subsaharianos para forzarles a subirse a las pateras. Hay analistas que han sugerido que estas agresiones son consecuencia del descontento que le ha creado al propio majzén la política con la que ha consentido la acumulación de sin papeles en la ciudad. Pero la activista española, a través de su twitter, dejó clara la connivencia de la policía marroquí con estas acciones y reprodujo testimonios de las víctimas como éste: “Quieren que nos echemos al agua como locos, eso es lo que quieren, o eso o vivir agredidos constantemente ». 
    La prensa en España ya venía haciéndose eco desde julio de que el nuevo flujo de pateras contaba con la complicidad de las autoridades marroquíes en un intento por “recordarle” a Mariano Rajoy lo importante que es que en Rabat se tomen en serio la labor de freno a los subsaharianos que le evita al Gobierno la mala imagen que dan los reportajes de los Centros de Internamiento y centros deportivos de Tarifa atestados de nuevos llegados o, peor aún, las fotos de los reporteros retratando a los efectivos de la Guardia Civil y la policía mientras repelen a los emigrantes en Melilla a mamporrazo limpio. A Rabat, ya se le había visto suficientemente el plumero como para que incluso el diario norteamericano New York Times publicase una larga informacióncon un titular más claro que el agua: “España sospecha que Marruecos permitió una breve oleada de emigrantes”
    El mismo día en que salía publicada esta información, Helena Maleno fue agredida por un grupo de cincuenta supuestos xenófobos que se habían lanzado a rematar su labor disuasoria con los emigrantes que no habían seguido sus advertencias. Hubo un muerto y, según la propia Maleno, a ella la salvó el auxilio recibido por los propios emigrantes atacados. En su relato, hay que destacar que los agresores marroquíes fueron a por ella siguiendo las indicaciones de un comisario de policía que se rió a gusto mientras a ella le gritaban lindezas como: “cristiana de mierda » “Sáhara marroquí” o “puta española, véte a Tinduf » (sur de Argelia, donde se encuentra los campos de refugiados saharauis). Tampoco hizo nada cuando a ella la golpearon, medio desnudaron y vejaron sexualmente. Es evidente que a las autoridades marroquíes no les ha gustado nada que Maleno diga cosas como que los inmigrantes no deben ser una “mercancía a sacrificar en medio del juego político de Marruecos y el Estado español”. A las españolas tampoco les ha debido gustar porque la decisión del Gobierno español de no pedirle explicaciones a Rabat por lo ocurrido, tiene el aroma de una advertencia del tipo: “no cuentes con nuestra protección si sigues por ese camino”. 
    Otro herido en los ataques xenófobos marroquíes.
    Que el aumento de pateras y de las avalanchas contra las vallas no tienen que ver, como ha dicho el delegado del gobierno en Melilla, con una “moda”, era una verdad que hasta ahora sólo barajaban una muy reducida minoría de españoles: especialistas en el norte de África, diplomáticos y, por supuesto los vigilantes españoles de la frontera en Ceuta y Melilla que siempre han visto como sospechoso que las ONG y periodistas sensibilizados con los sufrimientos de los subsaharianos, dispusiesen oportunamente de la información necesaria para poder hace la foto al pie de la valla, justo en el momento en que los subsaharianos se lanzaban a la carga contra el lado español.
    Pero la voz de Maleno, reproducida por varios medios, ha hecho que buena parte de la opinión pública española tenga ahora también claro que estos movimientos tienen mucho que ver con las ganas del monarca alauita por apretarle las tuercas al Gobierno español de turno. Por cierto, fue una gran alegría que TVE le diese cancha a Maleno en sus telediarios. Me ha resultado en cambio sorprendente no haber encontrado ni rastro de una noticia que se hiciese eco del ataque a Maleno. a la que desde luego conocen, como se puede comprobar en artículos anteriores al incidente en que reproducían sus declaraciones para apoyar las críticas a la actuación española. Hoy en el twitter @HelenaMaleno leo que la activista tiene bronca con el diario al que no le ha querido dar una entrevista a toro pasado con la que hubiesen podido disimular la omisión. No me extraña.
  • Aniversario de una burla onusina : el alto el fuego en el Sáhara Occidental

    Casi pasa desapercibido si no fuera por un tweet del gran amigo de los saharauis, Carlos Ruiz Miguel. Hoy, 6 de septiembre, se cumple el 23 aniversario del alto el fuego y la consiguiente implantación de la MINURSO en los territorios del Sáhara Occidental.
    Seis meses después del cese de hostilidades entre Marruecos y el Frente Polisario debía celebrarse el referéndum de autodeterminación del pueblo saharaui, única solución conforme a la legalidad internacional y a las decenas de resoluciones de la Asamblea General y el Consejo de Seguridad de la ONU.
    Según Carlos Ruiz Miguel, Catedrático de la Universidad de Santiago de Compostela, aceptar el alto el fuego a cambio de sólo una promesa fue el mayor error cometido por el Frente Polisario. 
    Efectivamente. El Polisario confió demasiado en la ONU y ésta resultó ser una organización inútil a causa de una burla llamada derecho de veto del que Francia abusó para defender la colonización del Sáhara Occidental por Marruecos. Francia, el mismo país que alentó a Marruecos para que invada el Sáhara, presionó a España para que firme el Acuerdo Tripartito de Madrid del 14 de noviembre de 1975 y proporcionó al reino alauita durante más de 15 años armas de todo tipo para combatir las aspiraciones del pueblo saharaui a la libertad y la independencia.
    23 años después de la instauración efectiva del plan de paz en este territorio, Marruecos, gracias al apoyo de París, sigue burlándose de la comunidad internacional. 
    Los saharauis, unánimemente, deploran ese día en que la ONU les engañó con falsas promesas de un Secretario General, Javier Perez de Cuellar, que resultó ser un corrupto que había sido sobornado por los marroquíes. La misma ONU que hoy resulta incapaz de impedir que Marruecos siga violando los derechos humanos en los territorios saharauis ocupados.
  • L’ETAT marocain continue d’interdire, de manière informelle, les activités des organisations « qu’il n’apprécie pas ».

    Il y’a un mois l’ASSOCIATION MAROCAINE DES DROITS HUMAINS (AMDH) a publié un communiqué où elle rapporte l’interdiction informelle de plusieurs de ses activités (conférence publique et colonies des droits humains).
    Le 30 aout 2014 l’ASSOCIATION DES DROITS NUMERIQUES, en partenariat avec l’AMDH, n’a pu tenir une conférence à l’hôtel MERCURE du fait que les autorités ont interdit, toujours de manière informelle, l’activité
    Du 1er au 7 septembre 2014, AMNESTY INTERNATIONAL comptait organiser sa 16ème colonie internationale au profit de ses jeunes ; cette manifestation a été interdite, de manière informelle (ce n’est que plus tard qu’un communiqué des autorités, publié par l’agence de presse marocaine (MAP), a tenté de justifier l’interdiction illégale).
    Ce jeudi, 4 août 2014, l’AMDH vient d’être informée par téléphone, c’est-à-dire de manière informelle, que le local du centre BOUHLAL ( centre sous tutelle du ministère de la jeunesse ), qu’elle a réservé pour une formation des membres de sa commission administrative est interdit ; le 5 aout 2014 les membres de l’association se sont présentés devant le centre BOUHLAL avec l’autorisation écrite de l’utiliser ; la porte du centre était cadenassée et le responsable du centre les a informé que ce n’était pas lui le responsable de cette interdiction ; à signaler que des estafettes des forces auxiliaires étaient stationnées devant le local
    Les exemples suscités montrent clairement que l’ETAT marocain s’achemine vers une interdiction de fait ( sans base juridique) et en ne prenant même pas la peine de justifier par écrit son interdiction) des activités des organisations qui « ne sont pas à son goût » c’est-à-dire des associations qui continuent à faire leur travail de défense et de promotion des droits humains tels que reconnus universellement
    Nul besoin de souligner que ces pratiques liberticides (liberté d’expression, de manifestation, de réunion…) vont à l’encontre des engagements internationaux de l’ETAT et même à l’encontre de laconstitution qui reconnait plusieurs libertés soulignées dans les déclarations, pactes et conventions internationaux
    Compte tenu de ce qui précède l’AMDH compte recourir à tous les moyens légaux pour faire face à cette dérive liberticide qui va à l’encontre d’un ETAT de droits et des libertés
    Le 5/9/2014
    Le Bureau Central de l’AMDH.