Mois : août 2014

  • Marruecos lo llama « milicias » para ocultar al pueblo marroquí la realidad del ejército saharaui

    Misiles tierra-aire SAM-6 utilizados por primera vez en la
    batalla de Guelta el 13/10/1981

    Al principio, lo que era el ejército de liberación saharaui, recordaba más bien el ejército de Pancho Villa, sólo que éste estaba mejor armado. Las patrullas secuestradas por los soldados españoles de origen saharaui iban a ser las primeras armas en regla con las que lucharán los combatientes saharauis.

    Cuando España se retiró y los ejércitos marroquí y mauritano empezaron a penetrar en el territorio, miles de hombres saharauis llegaron a los territorios liberados pidiendo armas para luchar contra los invasores.
    La rapidez de los acontecimientos y de la llegada masiva de la población huyendo de las hordas invasoras, obligó el Frente Polisario a proceder a formaciones militares “express” para responder a las exigencias inmediatas : ayudar y proteger a la población civil y contener el avance de los ejércitos invasores.
    El cuartel español de Tropas Nómadas de Mahbes estaba saturado en noviembre y diciembre de 1975. De ahí partieron los primeros contingentes saharauis en dirección de la aldea argelina de Jnien Bou Rzeg, no lejos de Bechar y Figuig. En un antiguo cuartel del ejército colonial francés recibieron su instrucción militar básica las primera unidades que iban a afrontar a los nuevos ocupantes, Marruecos y Mauritania.
    De ahí partieron, en noviembre y diciembre de 1975, las primeras unidades en grupos de 500 hombres llamados “batallón”, armados con fusiles automáticos AK-40, pequeños morteros de 60, 81 y 120 mm, así como lanza-roquetas anti-carros del tipo RPG-2 y RPG-7.
    La victoria registrada, el 14 de febrero del 1976, en la batalla de Amgala alzó la moral de los combatientes saharauis y fue el preludio de una larga epopeya militar.
    La victorias sucesivas de los valerosos guerrilleros saharauis alentaron el Guía Libio, Moamar Gadafi, a dar armas cada vez más sofisticadas. Así, llegaron las ametralladoras 14,5 y 23 mm montadas, al principio sobre camiones, y sobre Vehiculos ligeros Toyota Land Cruiser, después. Los cañones sin retroceso de 75 mm, la batería de misiles que los nazis llamabas el Organo de Stalin y que los rusos llaman Katiusha (pequeña Caterina) y que pueden lanzar hasta 40 salvas a la vez; los vehículos blindados de transporte de infantería BMP, tanques T-55, T-60 e incluso los hyper sofisticados tanques T-62 guiados por laser.
    Gadafi fue siempre el primero en entregar las nuevas armas y sus municiones. Después de percatarse del buen uso de estas armas por parte de los saharauis, los dirigentes argelinos acordaban darlas.
    Durante 16 años, el Sahara Occidental fue escenario de batallas históricas como Guelta Zemmur, Mahbes, Smara, Tan-Tan, Echedería, Hausa, Zak, Leboirat, Bojador y decenas de otras epopeyas militares del ejército de liberación saharaui.
    He aquí una vídeo que les dará una idea del armamento con el que luchaba el ejército saharaui que se convirtió, con el paso del tiempo, en un verdadero ejército regular, disciplinado y bien formado. Los marroquíes lo llaman “milicias” para ocultar la realidad al pueblo marroquí de un país edificacd en pleno exilio y en pleno campo de batalla.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=fw0DzJ4AD_Q]

  • Le Maroc les appelle “milices”

    Bateria anti-aérea SAM-6 introducida en batalla en 1981 en Guelta Zemmour

    L’Armée de Libération Sahraouie a été bâtie sur le champ de bataille. Elle a initié la lutte de libération  contre les espagnols avec des armes récupérées à l’armée espagnole.

    Après l’invasion du Sahara Occidental par le Maroc et la Mauritanie, des milliers d’hommes ont regagné les territoires libérés pour s’engager dans l’armée sahraouie et se battre contre les envahisseurs.
    La vitesse des évènements a obligé la direction du Front Polisario à les envoyer pour des formations rapides en vue de contenir l’avancement des troupes ennemies. Ainsi des milliers de combattants ont reçu leur première instruction dans l’ancienne caserne militaire française dans le village de Jnien Bou R’zeg, pas très loin de la ville frontalière marocaine de Figuig.
    De là sont parties, en novembre et décembre 1975, les premières unités sahraouis avec des fusils automatiques AK-40 (Kalachnikoff), des petits mortiers calibre 60, 81 et 120 mm. 
    La victoire enregistrée, le 14 février 1976, dans la deuxième bataille d’Amgala allait remonter le moral des combattants sahraouis et ce sera le prélude d’une longue épopée militaire. 
    Les succès enchaînés par les valeureux guerriers sahraouis vont encourager le guide libyen à fournir des armes chaque fois plus sophistiqués. Ainsi, sont arrivés les mitrailleuses 14,5 et 23 mm montés, au début, sur des camions, ensuite sur des Toyota Land Cruiser. Les canon sans rétraction de 75 mm, et la batterie que les nazis ont appelée l’Orgue de Staline et que les russes appellent Katiusha (petite Katherine) et qui peut enchaîner 40 salves à la fois ; les engins pour le transport de l’infanterie, BMP, des chars T-55, T-60 et même les hyper sophistiqués chars T-62 à guidage par laser.
    Gadafi était toujours le premier à fournir les nouvelles armes et leurs munitions. Devant l’excellent usage dont font preuve les sahraouis, les algériens commencent, eux de leur côté, à fournir les mêmes armes. 
    Pendant 16 ans, le Sahara Occidental a été scénario de batailles historiques telles que Guelta Zemmour, Mahbes, Smara, Tan-Tan, Jdeiria, Farsiya, Haouza, Zak, Leboirat, Boujdour, et des centaines d’autres batailles qui ont écrites avec un encre d’or.
    Voici une vidéo qui vous donnera une idée de l’armement avec lequel se battait l’armée sahraouie et qui est devenue, au fil du temps, une véritable armée régulière, disciplinée et bien formée. Le Maroc parle de « milices du Polisario » pour cacher la réalité au peuple marocain, la réalité d’une nation bâtie dans l’exile et la champ de bataille.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=fw0DzJ4AD_Q]

  • Algérie – Maroc – Sahara Occidental : Frontière et enjeux

    PAR MEZIANE CHAREF
    Cela fait désormais vingt ans que la frontière algéro-marocaine est fermée. En dépit des appels incessants des autorités du Royaume pour sa réouverture, poussés sans doute par des considérations économiques internes, Alger refuse pour l’heure d’accéder à cette demande. Non pas que l’Algérie n’est pas intéressée par une éventuelle réouverture, d’autant qu’elle reste le souhait de beaucoup d’Algériens, de par les opportunités qu’elle présente pour les échanges autant humains qu’économiques, mais parce que dans le contexte actuel elle charrie beaucoup de risques. D’abord, au plan économique : l’Algérie aura beaucoup à perdre avec la contrebande, notamment à travers l’écoulement de produits algériens subventionnés, comme le blé, le lait ou encore le carburant. Ensuite, sur le plan sécuritaire : outre les risques de transferts de produits prohibés, comme les armes, il y a aussi le risque d’inondation du marché national par la drogue marocaine et dont des quantités sont quotidiennement saisies par les services de sécurité à nos frontières Ouest. 
    Mais au-delà de cette double considération, la fermeture de la frontière obéit à des considérations politiques. A ce jour, l’Algérie n’a toujours pas digéré l’accusation marocaine, à l’origine de la fermeture, selon laquelle l’attentat de Marrakech serait l’œuvre des services algériens. Aucune excuse officielle marocaine n’a été présentée à ce jour. A cela s’ajoute l’épineuse question sahraouie. Le Maroc ne cesse depuis de longues années d’accuser Alger d’aider le mouvement du Polisario et de torpiller la solution d’autonomie préconisée par la partie marocaine. Cette question d’ailleurs plombe même la construction du Maghreb. Alors que le Maroc en fait un préalable, l’Algérie plaide pour une autre démarche en laissant la gestion du dossier sahraoui par les instances onusiennes. 
    La fermeture de la frontière, au-delà qu’elle a constitué une mesure de réciprocité de la part d’Alger, demeure dans le contexte actuel une mesure de sécurité, de principe et de pression politique. Contrairement à Rabat, étouffée par une crise économique, qui cherche une bouée de sauvetage pour sa population.
    /
    ReportersDZ, 26/08/2014
  • Anonymous hackea las webs del gobierno de Israel

    Los hacktivistas atacaron seis páginas gubernamentales en protesta por la ofensiva israeli en Gaza y el cierre de varias cuentas de Anonymous en Israel.

    El colectivo de ciberactivistas Anonymous ha hackeado las principales páginas del gobierno de Israel, en una acción llevada a cabo en solidaridad con los palestinos que sufren los ataques israelíes en Gaza. La acción se ha lanzado bajo la etiqueta #Tangodown, utilizada con anterioridad por Anonymous.

    Los objetivos de los hacktivistas fueron las Fuerzas de Defensa de Israel (IDF), el Banco de Israel, la oficina del primer ministro Benjamin Netanyahu, el Ministerio de Finanzas, la Embajada de Israel en Estados Unidos y la Oficina Central de Estadística e Inmigración israelí.

    Los sitios atacados permanecieron fuera de serviciohasta las primeras horas de hoy lunes, según informa RT. En su lugar aparecía el mensaje: “El sistema no puede comunicarse con el servidor http://www.index.gov.il. El servidor puede estar ocupado, caído permanentemente o inaccesible debido a problemas de red”.

    Además de un modo de protestar contra la operación Margen Protector del ejército israelí, este ciberataque también constituye una represalia por el cierre de varias cuentas de Anonymous en varias redes sociales en Israel. Estas cuentas denunciaban las acciones de los militares israelíes en la Franja de Gaza.

    Desde que Israel iniciara su ofensiva militar en Gaza el pasado 8 de julio, Anonymous ha venido lanzando varios ciberataques contra el Gobierno de Tel Aviv. Los ataques se intensificaron después de que un palestino muriera a tiros cuando llevaba puesta una máscara de Guy Fawkes, símbolo del movimiento hacktivista.

  • Le Maroc doit son indépendance à la Révolution algérienne de 1954

    1912: signature du traité de Fès, Le Maroc devient un protectorat français
    Maroc : Faire flèche de tout bois
    Par Ammar Zitouni
    Le passage du message adressé à la Nation par le président Bouteflika à l’occasion de la Journée du Moudjahid, consacré à l’indépendance du Maroc et qui est en partie la conséquence de la Révolution de Novembre 54, a été une autre occasion pour la presse marocaine, partie intégrante du Makhzen dans ses « clameurs » contre l’Algérie. Décidément. Des « cachés » couvées au Palais royal sont distillées par cette presse. Comprendre n’est plus possible. Mais dans quel but? La haine de la presse marocaine est mise cette fois pour s’attaquer au président Abdelaziz Bouteflika. 
    « Al-Wihda- info », dans son édition du 24 Août dernier sous le titre aveugle « Mystification effrontée de l’Histoire du Maroc par un chef d’Etat ». Une imbécillité de plus qui ne peut aucunement faire recette. Le commun des Maghrébins sait que l’indépendance du Maroc, n’est tout autre qu’une conséquence de la Guerre de libération en Algérie. Une affirmation soulignée par le président Bouteflika, le 20 Août dernier: « l’indépendance du Maroc est en partie la conséquence de la guerre de libération algérienne qui a mis fin à l’exil du Roi du Maroc et sa famille à Madagascar ». 
    Ce fait historique que personne ne peut nier, est mal passé au sein de la rédaction de « Al-Wihda-info » qui, dans son article relatif à ce message du chef de l’Etat, contribue à créer de nouveaux faux repères pour s’en prendre à l’Algérie, le problème du Sahara occidental, oblige. Cela fait partie des « ruines » politiques du Makhzen. Comme toujours. On voue aux gémonies, une Nation et une Histoire dont l’empreinte est encore vivace quant à l’indépendance de la monarchie marocaine. Une vérité qu’aucun journaliste, aucun historien ou autre ne peut occulter, « l’indépendance du Maroc est en partie la conséquence de la Révolution de Novembre 54 » n’en déplaise à nos confrères marocains. 
    Ces derniers à travers leur acharnement contre la vérité, mieux encore pour affaiblir la portée de cette Grande Révolution, ne trouvent rien à écrire: « Cette affirmation, digne d’un fabulateur de haut vil, est une insulte faite au peuple marocain et à la mémoire de ses martyrs qui ont consenti au sacrifice suprême pour exiger le retour de leur Souverain et libérer leurs pays, le Maroc, du joug du protectorat ». (Lisez-bien protectorat au lieu de colonialisme). En réalité, le Maroc, mis en embarras par la vraie Histoire du Grand Maghreb dont la lutte de libération algérienne a été le catalyseur, tient à justifier son attitude en reniant le rôle des Algériens dans son indépendance, tout en faisant état d’une poursuite régulière des attaques contre l’Algérie et ses dirigeants. Cette fois, c’est le président Bouteflika qui est directement visé. Qu’on en juge de l’article d’Al-Wihda:

    « Les assertions de Bouteflika prouvent, si besoin est, qu’il est un mythomane, ignorant de l’Histoire de son propre pays, reniant le sacrifice de milliers de marocains qui sont morts pour l’Algérie, l’aide du Maroc à la construction de la résistance algérienne, les fournitures d’armements et la protection de l’armée des frontières en l’accueillant sur son territoire ». 

    Et pourtant, le Maroc a été le complice avéré de la France lors de la séquestration de l’avion transportant les cinq historiques de la Révolution algérienne, et juste, après l’indépendance du pays, il a tenté sans résultat d’envahir les frontières ouest de l’Algérie. L’histoire retiendra que l’Algérie officielle a toujours évité de dévoiler les trahisons marocaines envers la lutte de libération nationale afin de ne pas jeter de l’huile sur le feu au moment où le voisin de l’Ouest cherche par tous les moyens à provoquer une guerre afin de faire oublier celle qu’il mène contre le peuple sahraoui.
    Au vrai, cette campagne odieuse menée contre l’Etat algérien et ses dirigeants est censée concrétiser les desseins du Makhzen. Il pense que ce qu’il avait commencé au Sahara occidental devait être terminé à Tindouf. 
    Pour preuve, il appelle à « rendre l’indépendance » au peuple algérien et de « réhabiliter » les Kabyles, les Mozabites, les Touaregs, les Chrétiens et les Juifs dans leurs « droits que de s’adonner à des boniments ».
    Le Maroc, dévoile ainsi ses complots visant à déflorer l’unité nationale du peuple algérien et se porte l’avocat des Chrétiens et des Juifs. C’est tout à fait raisonnable, pour une monarchie qui entretien d’excellentes relations politiques, militaires et économiques avec l’Etat sioniste. A la lumière ce plan visant la déstabilisation de l’Algérie, le moment est venu pour les autorités algériennes, de faire dans le concret vis-à-vis de ce pays et de dévoiler à l’opinion nationale et internationale son implication dans les événements de la Vallée du M’zab et sa complicité avec d’autres cercles internes algériens.
    Il faut que Rabat sache que l’Algérie vit aujourd’hui des étapes exaltantes. L’Algérien qui jette un regard en arrière pour évaluer le chemin parcouru, notamment depuis l’avènement de la Réconciliation nationale, ressent une grande fierté, car il constate que l’Etat, sous la direction du président Bouteflika n’a failli ni à la mémoire des martyrs, ni aux principes de la Révolution de Novembre 54. Ailleurs, c’est l’inverse avec ce statut de colonisateur que toute la planète dénonce et stigmatise.
    L’Algérie, faut-il le rappeler n’a aucune revendication à faire concernant le Sahara occidental, qu’elle soit d’ordre territoriale, économique ou autre. Elle défend seulement un principe d’autodétermination, du droit d’un peuple à disposer de lui-même. L’Etat algérien le fait de la même façon que de nombreux autres membres de l’Unité africaine, des Non-alignés ou de l’ONU. Ce conflit ne constitue donc pas un problème entre Alger et Rabat. Il oppose le Maroc et le peuple sahraoui légitimement représenté par le Front Polisario. L’Algérie encourage toutes les initiatives allant dans le sens de l’application du principe de l’autodétermination, toutes les initiatives d’aboutir à la paix par un règlement politique. Malheureusement, le Makhzen privilégie le langage de la force. Et ce n’est pas là l’aboutissement à une solution politique.
    A. Z.
  • Sahara Occidental : Violation du cessez-le-feu par le Maroc

    Mohamed Abdelaziz met en garde contre les préparatifs militaires du Maroc
    Le président sahraoui Mohamed Abdelaziz, à exprimé sa préoccupation quant à l’état d’alerte dans lequel se  trouve l’armée marocaine dans les territoires occupés du Sahara occidental, mettant en garde contre les conséquences « dangereuses » d’une éventuelle agression marocaine. 
    Dans une lettre adressée au secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, publiée par l’agence de presse sahraouie SPS , le Président Abdelaziz a fait part au responsable onusien de sa « profonde préoccupation » quant aux développements que connaissent les territoires occupés du Sahara occidental, mettant en garde contre les conséquences de ces développements non seulement pour le peuple sahraoui mais aussi pour les Nations unies et la communauté internationale ». 
    Le Président sahraoui a rappelé que « le Maroc déploie depuis une semaine son armée dans les territoires occupés, appuyée par ses forces terrestres et aériennes qui sont en état d’alerte maximal ».
    Il a estimé dans ce sens « qu’il s’agit d’une mobilisation sans précédent de l’armée marocaine depuis la signature du cessez-le-feu entre les armées sahraouie et marocaine le 6 septembre 1991 ». Le Président sahraoui a par ailleurs souligné que ce déploiement suspect de l’armée « touche le mur de l’occupation avec une concentration dans certains axes comme Guelta Zemour et Ousserd. » 
    Le président Abdelaziz a mis en garde contre « une éventuelle offensive marocaine contre les territoires libérés du Sahara occidental où se concentrent l’armée, l’administration, les civils sahraouis et les centres de l’ONU ». Une telle offensive serait, a-t-il prévenu, « une violation du cessez-le-feu conclu entre les deux parties en conflit, le Front Polisario et le royaume du Maroc ». Le Président sahraoui a enfin sollicité l’ONU pour intervenir « en urgence et à prendre toutes les mesures nécessaires pour empêcher le Maroc de perpétrer un tel acte qui aura des conséquences néfastes sur les efforts des Nations unies et sur la paix, la sécurité et la stabilité de la région ». 
    L’inquiétude est grande chez les dirigeants sahraouis d’autant que les responsables marocains et notamment la monarchie peuvent tenter un coup d’éclat pour torpiller les efforts de l’ONU à la veille d’échéances importantes fixées par le Conseil de sécurité et qui pousse à la panique le Makhzen. Les petits calculs de Rabat lui laissent croire que l’Armée algérienne est trop occupée à ses frontières et se désintéresse de son flanc ouest .
    Il peut tabler aussi dans le cas d’une aventure militaire dont il n’a pas en réalité les moyens sur la bienveillance des États-Unis, mis sous pression par le Lobby israélien a Washington, furieux de l’action en pointe de l’Algérie en faveur des palestiniens et plus particulièrement de la population de Ghaza , victime d’un véritable génocide .
    M. B.
    —————————————————–
    Prochaine parution d’un livre au vitriol sur M6
    Selon une information parue dans l’hebdomadaire français L’Express, qui a vraisemblablement eu accès à l’ouvrage d’Omar Brouksy sur le roi Mohamed VI, l’ancien journaliste du bureau de l’AFP à Rabat ne serait pas tendre avec l’autocrate alaouite dans son livre. 
    Dans un papier publié dans la rubrique «Les Exclusifs» et intitulé «Mohammed 6 au pilori», L’Express explique à ses lecteurs que le livre de Brouksy s’intitule «M6, le fils de notre ami», et qu’il est préfacé par Gilles Perrault, auteur de «Notre ami le roi», le best-seller paru en 1990 et consacré à Hassan II.Il faut rappeler que «Notre ami le roi» avait ébranlé les ciments de la monarchie marocaine en révélant le côté sanguinaire et cruel du défunt monarque . Il est à l’origine de la libération de plusieurs centaines de prisonniers politiques qui croupissaient, certains sans procès, dans les geôles de tazmamart. 
    Dans «M6, le fils de notre ami», Brouksy ne garde pas sa langue dans sa bouche. Le journaliste dit tout haut
    ce que beaucoup de journalistes et d’écrivains marocains disent tout bas. Que «Sidna» junior est un «faux démocrate», un vrai «potentat», qu’il est mal entouré, et qu’il «n’oublie pas de se servir». Dans la grande caisse de son pays s’entend. Et L’Express de conclure que «le roi n’en sort pas grandi». Le livre sera mis en vente dans les librairies le 18 septembre prochain. Il est édité par Nouveau Monde Editions et il comporte 240 pages. 
    M. B.
  • El Sahara, un pueblo en busca de su independencia y su libertad (Conferencia)

    “El Sahara, un pueblo en busca de su independencia y su libertad” es una conferencia que estará a cargo de D. Olegario Moreno Rodríguez, coronel de Infantería. Autor de las novelas Mektub (Estaba escrito…) y El Corral de Las Gacelas. Exposición de algunas de sus obras publicadas que tratan el tema del Sahara.
    La conferencia que tendrá lugar el próximo 4 de septiembre en la sala ámbito cultural (sexta planta) de El Corte Inglés a partir de las siete de la tarde.
    Lugar del evento : 
    El Corte Inglés-Badajoz
    Pl.Conquistadores s/n
    06004
    Badajoz
    Badajoz
    España
  • Argelia suspende liga por muerte de jugador

    ARGEL, Argelia.- La Federación Argelina de Fútbol suspendió los partidos de liga del próximo fin de semana en señal de duelo por un jugador que murió tras ser golpeado por un objeto que los aficionados lanzaron a la cancha.
    La policía empezó a investigar el hecho el lunes.
    Aficionados furiosos lanzaron piedras a jugadores del JS Kabylie luego de que perdieron un partido de liga como locales en Tizi Ouzou. Un golpe causó la muerte de la estrella de la escuadra, el atacante camerunés Albert Ebosse, de 25 años.
    El gobierno local de Tizi Ouzou informó el lunes en un comunicado que la muerte fue causada por « un objeto pesado y filoso que provocó una hemorragia interna » al jugador y el fiscal pidió a la policía que revise un video de las gradas para tratar de encontrar al responsable.
    También se investiga por qué se permitió que los hinchas entraran con piedras y otros proyectiles al estadio.
    La muerte de Ebosse ha conmocionado al país, que ha sufrido varios problemas por violencia de los hinchas. En 2012 un jugador fue apuñalado y murió en un ataque protagonizado por seguidores de un equipo rival.
    La decisión de la federación se tomó el domingo por la noche e incluye un pago de 100.000 dólares a la familia de Ebosse, que también recibirá el resto del salario que le correspondía por la temporada.
    El comunicado de la federación no descarta la aplicación de penas más rigurosas, entre ellas la exclusión del club de la competencia.
    El cadáver de Ebosse, que se encontraba en el hospital militar de Argelia, será llevado a Camerún vía París el jueves.
    Ebosse jugó en 2009 con la selección sub20 de Camerún. Había sido convocado también a la selección « B ».
  • La trahison pérenne de la monarchie alaouite

    Le sultan Hafid, attablé avec des notables français,  à gauche
    et avec le Maréchal Lyautey, à droite
    Accords de pêche, le bal des hypocrites
    Les accords de pêche ont ceci de méritoire qu’ils nous rappellent la sordide réalité de la monarchie marocaine, qui, au moindre péril qui la menace, n’hésite jamais à avoir recours aux pires réflexes de défense, quitte à entraîner pour notre pays, une perte de souveraineté.
    La trahison toujours
    Ce fut le cas, lorsque le sultan Hafid signa le traité instituant un protectorat français sur le Maroc, le 30 mars 1912. A force de campagnes militaires contre le Bled Siba, de brutalités fiscales envers les plus pauvres, d’incompétence et de train de vie fastueux, les sultans avaient progressivement asséché les sources de revenus, précipité la faillite économique du pays, induit la mise progressive sous tutelle de l’administration marocaine et ligué contre eux une bonne partie du pays. Le traité de Fez sauvera la monarchie, in extremis, du péril intérieur, mais aura pour conséquence le dépeçage du Maroc et la perte de son indépendance. Assimilé à une trahison, il suscita plusieurs soulèvements, dont les épisodes les plus célèbres furent la révolte des tribus Zaïans de Mouha Ou Hammou et celles du Rif sous la férule de Abdelkrim El Khattabi, au cours de laquelle la monarchie marocaine se rangea aux côtés de l’occupant français, accouru au secours des troupes espagnoles, après leur défaite àAnoual en 1923 et la proclamation de la république du Rif.
    Indépendance, mais pas trop s’en faut
    L’indépendance acquise, le Maroc aurait pu, dans la foulée, revendiquer la souveraineté pleine et entière, sur tous les territoires qu’on lui avait ravis, à l’époque coloniale, d’autant que leur réintégration à la mère patrie n’aurait soulevé aucune objection de la part des populations concernées. Mais à l’intérêt suprême, le régime alaouite a préféré « sauver sa peau », en s’alliant une fois de plus, aux puissances occupantes, afin d’écraser les mouvements nationalistes et républicains qui menaçaient son existence. C’est ainsi que l’Espagne put conserver, l’enclave d’Ifni, jusqu’en 1969, leSahara occidental, jusqu’en 1976 et qu’elle occupe, à ce jour les présides de Ceuta et de Melilla et un certain nombre d’îlots au large des côtes marocaines, ou empêche, à tout le moins Rabat, d’y exercer sa légitime souveraineté, comme ce fut le cas lors de l’affaire de l’îlot Persil.
    La France qui pensait durer en Algérie conservait, quant à elle, jusqu’en 1962, la majeure partie des terres, dont elle avait amputé le Maroc sur sa façade Est, au profit de ce qu’elle considérait alors, comme un territoire d’Outre-mer. L’Algérie indépendante ne voulut jamais entendre parler de rectification des frontières. On connaît la suite, « la guerre des sables » de 1963 et ses conséquences, dont le seul souvenir participe encore, pour grande part, de l’ « inimitié cordiale » et de la méfiance réciproque que se vouent les deux régimes.
    « Pax Economica »
    Soixante ans après l’indépendance, la monarchie marocaine reproduit donc, à l’identique, les mêmes travers, entre un train de vie fastueux, des monopoles indécents pour elle-même, des passe-droits insupportables pour ses affidés, des atteintes aux libertés fondamentales et une protection des intérêts européens, dont elle sait que dépend sa survie.
    Et à l’heure où grandit la contestation des méthodes brutales et prédatrices de son régime, Mohammed VI, pallie incompétence politique et indigence diplomatique, par une sorte de « Pax Economica » avec l’Europe, espérant s’acheter le silence et l’indulgence du vieux continent, en matière de droits de l’homme et sa complaisance, dans l’affaire du Sahara occidental.
    Et si leurs défenseurs prétendent que les accords de pêche ne sont pas tant affaire de souveraineté nationale, il en est clairement question, dans l’imaginaire collectif, dès lors qu’une flottille étrangère s’autorise à « envahir » les eaux territoriales, pour y exercer la même activité ravageuse qui a entraîné une raréfaction des ressources halieutiques en Europe.
    Bien plus grave, en s’impliquant dans la pêche au large des côtes sahraouies, Bruxelles, non contente de faire le jeu de la dictature marocaine, remise au placard les principes élémentaires qui fondent sa démocratie, pour s’assimiler, aux yeux des adversaires du Maroc à son complice, dans le pillage d’un territoire contesté. Ce faisant, elle s’exclue de facto, de toute chance d’intermédiation future, dans un conflit qui aurait pourtant grandement besoin de sa neutralité.
    Des légendes douteuses et des réalités cruelles
    La légende hypocrite véhiculée par les promoteurs des accords, voudrait que seuls les excédents soient soumis aux prises européennes. Pure affabulation, destinée à faire mentir les études menées par les organisations de protection de la nature et qui pointent du doigt la raréfaction des espèces et les ravages de la pêche intensive, menée de concert par des navires battant pavillon marocain, appartenant à des proches du pouvoir et les bateaux européens.
    En outre, s’il est question de cotas débarqués pour être traitées dans des usines employant de la main-d’œuvre marocaine, nul protocole ne mentionnera jamais tous les « sur-cotas » qui échappent à tout contrôle et que s’autorisent les armateurs « bien nés » ou « bien accompagnés », en toute impunité. Ils sont à l’origine de la disparition du poisson de nos étals et la mort de la pêche artisanale.
    Enfin, si certains montent au créneau pour évoquer les quarante (40) millions d’Euros d’aide européenne mâtinée d’hypocrisie, ils seraient bien inspirés, de s’interroger si tous ces pays auxquels bénéficient ces accords, seraient prêts à prendre intégralement en charge, sur leur sol, le destin de ces milliers de familles de pêcheurs que leur intrusion a largement contribué à ruiner et en faire des parias dans leur propre pays.
    Une réponse qui coule de source, en ces temps où l’Europe serait plutôt tentée par les discours protectionnistes, voire xénophobes de tant de ses femmes et hommes politiques.
  • Vecinos de Libia temen desborde de violencia

    AP.- El canciller de Egipto llamó el lunes a un esfuerzo para desbandar milicias en Libia, donde semanas de combates entre esos grupos han causado caos en el país, y añadió que la situación podría motivar una internación internacional. 
    Hablando en El Cairo en una reunión de líderes de países vecinos de Libia, el canciller Sameh Shukri dijo que la escalada de violencia en ese país representa una amenaza para toda la región, especialmente con « la presencia y movimiento de grupos extremistas y terroristas cuyas actividades no están limitadas a los territorios libios, sino que se extienden a otros países vecinos ». 
    Acompañado por sus contrapartes de Túnez, Argelia, Sudán y Chad, además de jefes de la Liga Árabe y la Unión Africana, Shurki llamó a la comunidad internacional a trabajar para desmantelar todas las milicias, « sin distinción y simultáneamente » como parte de la iniciativa de Egipto para poner fin a la violencia en Libia y « restaurar el papel del estado ». Dijo que la reunión busca respaldar las gestiones del gobierno libio en « el combate al terrorismo y el crimen organizado, la protección de las fronteras de los peligros representados por los grupos terroristas y drenar los recursos de finanzas y armamentos de grupos terroristas ». 
    La reunión se produce en momentos en que milicias islamistas en la capital Libia dicen que han consolidado el control de Trípoli y su aeropuerto internacional, expulsando a sus rivales a las afueras de la ciudad tras batallas que mayormente han destruido la terminal. Es la peor violencia desde la caída en el 2011 del dictador Moamar Gadafi. 
    Muchos en Libia, incluyendo el parlamento, han pedido la intervención de la ONU, considerándola la única opción restante para poner fin a la espiral de violencia luego de que tanto el gobierno de transición como el parlamento se viesen incapaces de controlar las milicias, ante la debilidad de las fuerzas armadas y policiales.