Mois : août 2014

  • L’Algérie et les États-Unis coordonnent leurs actions contre le terror

    Après le Maroc et la Tunisie, le général David Rodriguez, commandant de l’Africom, est arrivé hier à Alger, dans le cadre d’une tournée qu’il effectue au Maghreb
    Par Hasna Yacoub
    Après le Maroc et la Tunisie, le général David Rodriguez, commandant de l’Africom, est arrivé hier à Alger, dans le cadre d’une tournée qu’il effectue au Maghreb. 
    Le général David Rodriguez a été reçu par le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale et chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP). Les entretiens, qui ont eu lieu en présence de hauts cadres du ministère de la Défense nationale, de l’état-major de l’ANP et de la délégation qui accompagne le responsable militaire américain, ont porté sur «l’état des relations de coopération militaire et les voies et moyens susceptibles de la consolider davantage, ainsi que les questions d’intérêt commun relatives au contexte sécuritaire dans la sous-région du Sahel et au voisinage pour une meilleure coordination des actions, notamment dans le domaine de l’échange du renseignement et des expériences dans la lutte contre le terrorisme», selon un communiqué rendu public par le ministère de la Défense nationale. Les États-Unis ont, à maintes reprises, évoqué le rôle primordial que l’Algérie doit jouer pour la sécurisation du Sahel et la lutte antiterroriste dans la région. Le chef du Commandement militaire américain pour l’Afrique avait, rappelons-le, loué en 2013 le potentiel de l’armée algérienne estimant, devant le Congrès américain, que «l’Algérie est le leader régional qui dispose des capacités permettant de coordonner les efforts des pays du Sahel face aux menaces de sécurité transnationales». Le patron de l’Africom avait dit vouloir miser sur «la connaissance dont dispose l’Algérie sur la situation dans le nord du Mali». À l’époque déjà, le général Rodriguez avait estimé que l’intervention militaire française a eu un impact pour réfréner la capacité de l’Aqmi à agir sans entrave au nord malien, mais n’allait pas offrir une solution antiterroriste globale et inscrite dans la durée. Il avait ajouté que les terroristes, chassés éventuellement du Mali, avaient les capacités, d’étendre leur présence aux pays voisins, d’autant que ces derniers, sont soit rongés par l’instabilité politique ou militairement faibles pour être d’un apport quelconque dans la stratégie antiterroriste. C’est la raison pour laquelle, les Américains ont préconisé «la tenue de dialogues bilatéraux de haut niveau» avec l’Algérie. D’ailleurs, même le prédécesseur de Rodriguez, le général Carter Ham avait déclaré qu’«il n’y aura pas de solution satisfaisante à la crise du Mali sans la participation de l’Algérie». 
    La visite du chef de l’Africom hier à Alger est donc d’une importance capitale pour les États-Unis qui tiennent à marquer leur influence en Afrique. En fait, le regain d’intérêt pour l’Afrique a été exprimé, en juin dernier, par le président Barak Obama, lorsqu’il a déclaré «au moment où nous regardons vers l’avenir, il apparaît clairement que l’Afrique est plus importante que jamais pour la sécurité et la prospérité de la communauté internationale et pour les États-Unis en particulier». Le président Obama a alors organisé un Sommet États-Unis/Afrique, début août, où il a reçu à Washington une quarantaine de dirigeants africains pour un sommet sans précédent dans l’histoire des États-Unis. Le but est de tisser des liens économiques plus solides entre les États-Unis et l’Afrique, région prometteuse à la croissance supérieure à celle du reste du monde. En contrepartie, Washington a promis la sécurité, la bonne gouvernance et le respect des droits de l’Homme aux Africains. Les États-Unis qui ne pointent qu’à la troisième place au tableau des échanges commerciaux avec l’Afrique, loin derrière l’Union européenne, solidement en tête, et la Chine, ont décidé d’une offensive en offrant, contrairement aux routes et ponts chinois, les moyens de renforcer les capacités africaines dans les efforts de maintien de la paix et de résolution des conflits. Et à l’occasion du Sommet États-Unis/Afrique, Obama a promis une aide militaire à six pays africains dont la Tunisie, le Niger et le Mali. Il a même octroyé des aides militaires d’une valeur de 60 millions de dollars à la Tunisie pour sa lutte antiterroriste. Et afin de réussir son challenge en Afrique, notamment au Sahel, Washington a besoin de l’Algérie comme allié. 
    H. Y.
    http://www.latribune-dz.com/news/article.php?id_article=8122
  • La lutte armée s’il y a échec de l’option pacifique

    Par Nadjib Hadded
    Les étudiants dans les territoires occupés ont été conviés à « intensifier » l’action militante, à rester attachés au Front Polisario, tout en préservant l’identité nationale. A noter dans ce sens que la lutte armée, un droit légitime, est souvent évoquée ces derniers temps dans les déclarations des Sahraouis face à une fuite en avant du Maroc qui lui permet de continuer a asseoir sa domination du Sahara Occidental, que ne lui a d’ailleurs jamais reconnu ni l’ONU ni la Cour internationale de Justice, et à poursuivre la dilapidation des richesses sahraouies en toute impunité. Jusque là, la RASD, appuyée dans le conflit qui l’oppose au Maroc, par l’Algérie et l’Union Africaine notamment, a privilégié la solution politique, c’est à dire celle de la cristallisation de la légalité internationale à travers un référendum d’autodétermination juste et équitable sous l’égide des Nations Unies. Mais devant une patience mise à rude épreuve par prés de 40 ans de souffrances et de déchirures et si à l’avenir, il y aura un constat d’échec de la part de l’organisation de Ban Ki-Moon et de la communauté internationale, le recours aux armes n’est pas exclu. En d’autres termes, la base militante du Polisario, notamment si les jeunes, échaudés par l’absence de perspectives liées à la voie pacifique exercent de fortes pressions sur l’instance dirigeante afin de recourir à l’option militaire. Le Président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, avait déclaré dernièrement, que le recours aux armes pourrait intervenir à tout moment. Et d’ajouter, que « nous sommes disposés à arracher notre indépendance par tous les moyens, quoique nous privilégions les voies pacifiques ». Justement, au sujet de ces voies, « meilleur moyen de parvenir à une solution pacifique durable et juste, garantissant la construction d’une relation de bon voisinage avec le Maroc » le Front Polisario précise qu’il n’est pas le seul à leur donner la priorité. La communauté internationale, indique-t-il, partage le même avis c’est-à-dire une résolution définitive de la question sahraouie, mais le manque de sérieux de la part des autorités marocaines a entravé la relance des négociations ». Le Front Polisario déclare de ce fait, être prêt à la résistance et il annoncera celle-ci le jour ou la communauté internationale et les Nations unies déclareront leur échec à trouver une solution juste, garantissant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination conformément à la légalité internationale ». En tout état de cause, souligne encore M Abdelaziz, les jours du colonialisme marocain sont comptés (et) nous sommes optimistes quant à l’avenir de la justesse de notre cause (et) notre retour sur les terres de nous aïeux n’est qu’une question de temps. Rappelons enfin, que les recommandations de la Conférence internationale ont mis en avant le rôle des étudiants pour faire connaître la question sahraouie à travers le monde afin de mobiliser davantage de soutien international en usant de différents moyens, notamment les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Cette démarche permet, d’un autre côté, de s’opposer aux gymnastiques du lobby marocain soutenu par son allié inconditionnel, la France, qui retarde la paix dans la région. N.H.
  • UJSARIO en el Festival Mundial de UIJS de Malta 2014

    La Unión de Jóvenes de Saguia el Hamra y Rio de Oro participó en el Festival de la Unión Internacional de Juventudes Socialistas, del 20 al 26 de agosto en Malta, IUSY es una organización fundada en 1946 con sede en Viena (Austria), formada por más de 100 organizaciones internacionales es reconocida y cuenta con representación dentro de las Naciones Unidas.
     
    Esta particpación, en un evento con tal alcance político y de ámbito internacional es de vital importancia. Con lo cual, de antemano calificamos de éxito dicha participación y si añadimos a ello el trabajo inmejorable de la delegación saharaui liderada por su Secretario General Zain Mohamed y el Responsable de Relaciones Internacionales Hamdi Yusef.
    La delegación saharaui compaginó la programación del IUSY Festival 2014 con encuentros y reuniones con otras organizaciones para dar a conocer la situación del Sáhara Occidental y sellar acuerdos de compromiso y apoyo a la causa justa del Pueblo Saharaui.
    Dentro de la programación del Festival tuvo lugar un espacio titulado por la organización: « Sáhara; la última colonia de África » al que asistió como ponente Ahmed Bujari, embajador del Sáhara Occidental ante Naciones Unidas y otro destacado ponente como es Erik Hagen presidente del Comité de Apoyo para el Sáhara Occidental (Støttekomiteen for Vest-Sahara).
    Por otra parte ha de destacarse la implicación, cada vez mayor, de UJSARIO dentro de IUSY participando en sus escuelas políticas y festivales de modo que la juventud saharaui pueda denunciar y dar a conocer la situación de violaciones de los Derechos Humanos e incumplimiento de la Legalidad Internacional en el Sáhara Occidetal interactuando con otras organizaciones para cambiar puntos de vista mostrando así la disponibilidad de la juventud para encontrar una solución justa, en el marco de la Legalidad Internacional.
    Desde UJSARIO felicitamos a IUSY por el Festival y agradecemos al FZL (Forum Żgħażagħ Laburist), la organización anfitriona, su hospitalidad y su gran labor para hacer posible un sueño que hace que nuestras esperanzas estén mas vivas que nunca para alcanzar un futuro mejor, construido con los sueños de una juventud que desea la paz, porque otro mundo de justicia, de respeto a los Derechos Humanos, de libertad e independencia es posible.
    Fuente : Facebook Abby Athman, 28/08/2014
  • L’Algérie paye les vacances de Mohammed VI et sa familla

    La sœur de Mohammed VI avec la reine d’Angleterre
    dont le budget est cinq fois inférieur à celui du Makhzen.
    L’Algérie prête 5 milliards de dollars au FMI pour payer les vacances de Mohammed VI et sa famille
    Pendant que l’écrasante majorité du peuple marocain ploie sous le poids de la misère et de l’exclusion sociale, Mohammed VI et ses proches s’offrent des vacances royales, qui en Espagne, qui en Croatie, qui aux Etats-Unis. L’affaire de l’arraisonnement du yacht du souverain marocain par la Guardia Civil espagnole avait moins pour but d’humilier le roi que de révéler aux Marocains la présence de leur «commandeur» sur ce bateau de plaisance luxueux à bord duquel il coule des jours heureux loin du tumulte de son pays et des territoires occupés du Sahara Occidental. 
    A New York, c’est son fils de onze ans, Hassan, qui a été aperçu se pavanant flanqué d’une vingtaine de gardes du corps, dans les quartiers les plus huppés de la ville, rapportent les médias américains. Des gardes du corps et un séjour payés par le contribuable marocain. Pendant ce temps, la sœur du roi, Meriem, s’est rendue en Croatie où les médias locaux ont révélé son train de vie mondain et frénétique. La fille de Hassan II s’est déplacée dans un avion privé jusqu’à la côte dalmate pour passer ses vacances, elle aussi, à bord d’un yacht de luxe loué à 200 000 euros par semaine, selon les médias croates qui rapportent que la sœur de Mohammed VI passe souvent ses vacances dans cette région. 
    Cette dilapidation éhontée et impunie de l’argent du peuple marocain est rendue possible grâce à l’augmentation du budget du Palais royal bien que le pays vive des crédits onéreux alloués par les institutions financières mondiales et des prêts et «dons» de certains pays du Golfe et d’Europe qui compromettent chaque jour un peu plus la souveraineté déjà diminuée du voisin de l’ouest. Le budget du roi est passé à près de 310 millions de dollars, tel que spécifié dans la rubrique «Sa Majesté le Roi» de la loi de finances. Les frais de Mohammed VI occupent une part importante de cette manne et échappent à toute reddition des comptes, expliquent nos confrères marocains, indignés par le fait que le budget de la monarchie marocaine soit cinq fois supérieur à celui dédié au palais de Buckingham, en Grande-Bretagne. Le silence qui entoure la distribution de cet argent indu à la famille royale courrouce les opposants à ce régime monarchique fossile. Pour eux, il n’est pas concevable qu’un tel budget soit «voté en deux minutes» par les deux chambres du Parlement sans qu’aucune voix s’élève pour demander des comptes au monarque vorace.
    Karim B.
  • La France se doit d’offrir son soutien aux pays du Maghreb en vue de l’instauration d’un climat favorable à la négociation et à l’apaisement des tensions

    Depuis le départ des Espagnols en 1976, le Sahara Occidental, ancienne colonie, est officiellement devenue un territoire « non autonome » selon les Nations unies[1]. C’est une zone au fort potentiel économique et riche en ressources naturelles (principalement le phosphate et les ressources maritimes).
    Le Maroc y revendique sa souveraineté. En 1975, le roi Hassan II organise « la marche verte » durant laquelle plus de 350 000 volontaires marocains partent s’établir au Sahara Occidental.
    La population locale, les « Sahraouis », fonde dès 1973,le Front Polisario qui revendique depuis 38 ans le droit de cette population à l’autodétermination et rejette l’autorité marocaine. Suite au conflit armé de 1975, résultant de ce désaccord, plus de 165 000 Sahraouis ont fui vers l’Algérie voisine où ils continuent, depuis, à vivre dans des camps de réfugiés, dans l’attente interminable d’un éventuel retour dans leur pays.
    Les perspectives d’autosuffisance dans l’environnement difficile, isolé et désert où les camps se situent sont extrêmement limitées, contraignant les réfugiés à dépendre de l’aide internationale pour leur survie.
    C’est la raison pour laquelle, Oxfam intervient depuis 1975 dans cette région. Nos programmes y fournissent une aide humanitaire vitale, visant à assurer le droit à la vie et à la sécurité de tout un chacun.
    Fermeture de la frontière Algérie / Maroc
    Parallèlement, en 1994 un attentat a eu lieu à Marrakech. Le Maroc en a tenu responsable son voisin l’Algérie et a procédé par la suite à l’expulsion de nombreux Algériens. En réponse l’Algérie décide le 27 août 1994 de fermer sa frontière terrestre avec le Maroc.
    Le 27 août 2014 marquera donc le 20e anniversaire de la fermeture de cette frontière. Cette fermeture symbolise la non-intégration du Maghreb, une absence qui freine considérablement le développement humain, économique et diplomatique de la région, à l’image de la question du Sahara Occidental.
    De nombreuses études ont montré en effet le coût considérable que représente le manque de coopération des pays du Maghreb et le manque à gagner pour l’ensemble des populations maghrébines.
    Le rôle de la France
    Compte tenu du statut de « partenaire privilégié » qu’elle détient dans la région, la France se doit d’offrir son soutien aux pays du Maghreb en vue de l’instauration d’un climat favorable à la négociation et à l’apaisement des tensions.
    Ce qui rendrait possible la réouverture de la frontière et permettrait une intégration effective de la région favorable à l’amélioration des conditions de vie des populations du Maghreb, dont celles du Sahara Occidental.
    Infos complementaires: 
    [1] Ce territoire n’a pas de statut juridique définitif depuis le départ des Espagnols en 1976.
    OXFAM France 
    – See more at: http://www.oxfamfrance.org/actualites/protection-des-civils/conflit-au-sahara-occidental#sthash.DhWFoEKO.dpuf
  • Escalada represiva en Marruecos sobre lxs defensores de los derechos humanos

    Las declaraciones del ministro del Interior Mohamed Hassad, señalando como cómplices del terrorismo y de intereses extranjeros a lxs defensores de los derechos humanos, está justificando una escalada represiva contra lxs mismxs.
    “Los servicios de seguridad se encuentran cuestionados por las actuaciones de ciertas asociaciones y entidades nacionales que, con el pretexto de la defensa de los derechos humanos, no dudan en acusar con inquina a los servicios de seguridad…su objetivo es debilitar la vigilancia del aparto de seguridad y minar la moral de los agentes de las fuerzas del orden”, expuso el ministerio del Interior ante el parlamento marroquí. A esto añadió, siguiendo el argumento habitual de que quien critica al estado marroquí daña la imagen de la nación: “Estas actuaciones (financiación extranjera) entran en el campo de una campaña estudiada, al servicio de ciertas agendas extranjeras, y empujando a las organizaciones internacionales a adoptar posiciones contrarias a los intereses nacionales”.
    Es decir, denunciar la tortura, los malos tratos, las detenciones ilegales, los juicios amañados, la muerte en prisión,etc., es dañar la marca Marruecos cuando son precisamente esos hechos, más el paro, la desigualdad, la injusticia, quienes lo hacen.
    A raíz de estas declaraciones, realizadas el 15 de julio, se han producido los siguientes hechos: . 
    Tras estas declaraciones, una serie de actividades programadas por la Asociación marroquí de derechos humanos (AMDH) durante los meses de julio y agosto, especialmente conferencias, concentraciones y campamentos de vacaciones han sido prohibidos por las autoridades marroquíes (ver versión anterior:http://amdhparis.org/wordpress/?p=1458).
    el 22 de julio, el recurso de la Asociación ‘Libertad ahora’ es rechazado por el tribunal administrativo de Rabat. El registro de la Asociación ha sido rechazado de forma abusiva por las autoridades. La asociación tiene fijado como objetivo la defensa de la libertad de opinión y de prensa.
    el 26 de julio, Osama Hosni, de 22 años, militante del movimiento 20 de febrero y la AMDH, ha sido condenado a 3 años de prisión y a 100 mil Dirhams por daños y perjuicios a la policía marroquí por « declaraciones falsas ».
    el 31 de julio, rechazo de las autoridades a inscribir en el registro a la Unión Marroquí del trabajo -Tendencia democrática.
    El 4 de agosto, se ha celebrado la primera sesión del juicio de Hamid Mehdaoui, fundador de la página web Badil.info. Está juzgado por una denuncia de la Dirección General de seguridad nacional que pide su suspensión del ejercicio de la profesión de periodista por 10 años y una multa de 25.000 Dirhams. Lo que se le reprocha a este periodista es la cobertura del caso de Karim Lachkar, muerto bajo tortura policial.
    el 11 de agosto, la detención arbitraria de Michèle Decaster, activista de derechos humanos y secretaria general de la AFASPA, en una concentración organizada ante el Tribunal de primera instancia de Tánger cuando se encontraba allí en su condición de observadora internacional del juicio de Wafaa Charaf y Boubkar El Khamlichi
    El 12 de agosto, Wafaa Charaf, de 26 años, activista de la AMDH y del movimiento 20 de febrero, ha sido condenada a un año de prisión y 1000 dh de multa así como 50 mil Dirhams que deberá pagar a la policía marroquí por « difamación ». (Comunicado de prensa de Amnistía Internacional: http://www.amnesty.org/fr/for-media… debe-ser-liberado-inmediatamente-201)
    el 13 de agosto, muerte de Mustapha Meziani, de 31 años, activistas del sindicato estudiantil Unión Nacional de estudiantes marroquíes (UNEM), tras una huelga de hambre que duró 72 días. A pesar de las advertencias urgentes la AMDH y otras organizaciones de la situación de Mustapha Meziani, las autoridades no han querido reaccionar.
    Se pretende acallar todas, silenciar a las víctimas de la tortura y a las asociaciones que apoyan. En vez de responder a las decenas de denuncias de tortura, encarcela a las víctimas. En vez de juzgar a los torturadores, ataca a quienes luchan contra la tortura.
    La solidaridad con el pueblo marroquí se hace más necesaria que nunca. Y sobre todo cuando el estado marroquí cuenta con el apoyo incondicional de la UE, especialmente de España y Francia
    En anexo, en árabe y francés, el comunicado del Comité central de la AMDH del 22 de agosto y de la AMDH-Paris IDF del 21 de agosto.
    Equipo de trabajo para el norte de África de la S. de RR. II. de la CGT
  • Amenaza terrorista: Porqué España ?

    Los autores del atentado del 11-M, la mayoría marroquíes

    El nuevo monstruo que da miedo a todo el mundo, el Estado Islámico, ha lanzado amenazadas contra España.

    En un español torcido (ver vídeo) dijeron : “España es tierra de nuestros abuelos y la vamos a abrir (reconquistar), inchallah”
    Los que hablaban eran dos marroquíes. Porqué amenazan a España y no otro país europeo o “cristiano” como dicen los extremistas? Y porqué los que la amenazan son marroquíes y no tunecinos, iraquíes, argelinos o sirios?
    La respuesta está clara. Hasta ahora, Marruecos manipuló a los servicios secretos españoles con la amenaza terrorista. 
    Hace años los marroquíes inventaron un movimiento para la liberación del Andalus que sólo existe en los despachos de la MAP, la agencia de prensa oficial marroquí.
    Está claro que Marruecos tienen a España en la mira por ser la potencia administradora de jure del Sáhara Occidental. Para Marruecos, la colonización del territorio saharaui es el objetivo número uno de la diplomacia marroquí y todos sus esfuerzos van encaminados hacia esta meta.
    El conflicto del Sáhara Occidental está atravesando una etapa crucial. Marruecos no quiere que Madrid siga defendiendo el principio de autodeterminación.
    Por ello, todo este escenario de la amenaza terrorista montado por la prensa y los servicios secretos marroquíes.
    Ahora bien, cabe preguntarse, seguirán el CNI y el gobierno español mordiendo el anzuelo? Puede que sí, gracias a los atentados del 11-M.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=kAsvVzE_Nd4]

  • Conflicto entre Marruecos y Egipto sube al ring

    La propaganda del gobierno marroquí que consiste en avivar los sentimientos del pueblo marroquí contra los países que se oponen a apoyar sus aspiraciones colonialistas en el Sáhara Occidental acaba creándoles problemas a los propios ciudadanos marroquíes.
     
    Últimamente, la prensa de Marruecos emprendió una fuerte de campaña de odio contra Egipto después de que una presentadora de televisión egipcia haya dicho que el presupuesto de Marruecos está basado en la prostitución y que el rey Mohamed VI accedió a la formación de un gobierno islamista bajo la presión de la Primavera Arabe.
    Un boxeador marroquí fue llevado por su sentimientos durante el combate con un egipcio. Pero su acto le costó una grave sanción.
    Jamal Ben Saddik, peleador marroquí de kixkboxing, fue suspendido indefinidamente por su patrocinador GLORY por golpear en el suelo al peleador Egipcio Hesdy Gerges en su último combate el pasado 29 de Junio en el evento QABALA FIGHT SERIES en el prospero país de Azerbaijan.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=AIYHqtEoyEo]

  • Suenan los tambores de guerra en África del Norte (I)

    Ricardo Sánchez Serra
    El tiempo se acaba para la paz, estamos ya en la cuenta regresiva para solucionar de una vez por todas la cuestión saharaui, y que las Naciones Unidas pongan fecha y hora para la celebración del referendo de autodeterminación del Sáhara Occidental, que está esperando ya 22 años porque Marruecos lo está bloqueando.
    El feudal rey marroquí, Mohamed VI, se encuentra colocando en vilo la paz por su obstruccionismo de lograr un acuerdo con la ONU y con los saharauis. Es más, está –ante la pasividad internacional- asumiendo posiciones cada vez más agresivas, como por ejemplo: primero, amenazando que está evaluando dar por terminada a la Misión de las Naciones Unidas para el Referéndum del Sáhara Occidental (Minurso), establecido por Resolución del Consejo de Seguridad.
    Segundo, obstaculizando continuamente la labor de Christopher Ross, Enviado Personal del Secretario General de la ONU, Ban Ki-moon e intentando vetarlo, pero que tuvo que retroceder ante la presión de las potencias.
    Tercero, insinuando con mayor frecuencia que se anexionará el Sáhara Occidental invadido, obrando contra todas las resoluciones de la ONU, que consideran a ese territorio como “No Autónomo” pendiente de descolonización y desconociendo el dictamen de la Corte de La Haya, que señala que no existe ningún vínculo territorial entre Marruecos y el Sáhara Occidental.
    Cuarto, aumentando la brutal represión a los saharauis en los territorios ocupados por Marruecos y aplicando la tortura, que ha sido condenado por todas las organizaciones de derechos humanos del mundo, provocando las continuas protestas del Frente Polisario, legítimo representante del pueblo saharaui reconocido por la ONU, alentando así a no solo una insurrección, sino también el empuje de los jóvenes saharauis –que viven en los campamentos de refugiados- a irse la guerra.
    Quinto, ignorando el reclamo de dar a conocer lo sucedido con más de 600 saharauis desaparecidos durante la guerra y asimismo, el mantener a 70 presos políticos saharauis en situaciones degradantes.
    Sexto, expulsando de Marruecos a continuas delegaciones de eurodiputados, periodistas y organizaciones de derechos humanos que pretenden ingresar al Sáhara Occidental ocupado para informarse sobre cómo viven los saharauis.
    Séptimo, acelerando el genocidio étnico y cultural contra el pueblo saharaui en los territorios ocupados, evidenciado esto último en la prohibición de costumbres religiosas, idioma, uso del nombre tradicional, construcción de jaimas (carpas), cambiando la historia, etc.
  • El Principado refuerza la ayuda a Palestina y mantiene la del Sahara

    J. A. A. El Principado ha decidido reforzar la ayuda que concede anualmente a la Agencia de Naciones Unidas para los refugiados palestinos (UNRWA) por la situación de conflicto que atraviesa esa zona de Oriente Medio. Asturias destinó en 2013 más de cinco millones de euros para proyectos de cooperación al desarrolo y ayuda humanitaria en una treintena de países, según los datos que contiene la memoria presentada ayer por la consejera Esther Díaz.
    La directora de la Agencia de Cooperación al Desarrollo, Graciela Blanco, anunció el refuerzo en 70.000 euros de la subvención de este año para los refugiados palestinos; el pasado año la ayuda para Palestina había ascendido a 80.000 euros, que se repartieron en dos proyectos. También precisó que se mantiene la ayuda para el Sahara en acción humanitaria, un capítulo que repartió, en total, un millón de euros « ante desastres naturales como el tifón que asoló Filipinas y conflictos bélicos como el de Siria ». El campo de refugiados de Za’atari recibió 130.000 euros.
    El Principado destinó el pasado ejercicio 5,4 millones de euros que permitieron financiar 95 proyectos de cooperación en una treintena de países. La zona geográfica con mayor número de proyectos subvencionados ha sido América Central, el Caribe y América del Sur, a donde han ido más de la mitad de los fondos. El Salvador fue el país que recibió la mayor cantidad de dinero. El África subsahariana se benefició de un 27,7 por ciento de los fondos, más de 1,3 millones de euros, siendo Malí y Chad los países con más fondos.