Mois : août 2014

  • Sahara Occidental : Sentimientos de una anciana militante

    Aquí estoy con las manos llenas de nada y vacías de todo, caminando por caminos inciertos esperando ese instante; abandonada al tiempo y al olvido de aquello que fue mi hogar:. No hay nada aqui que pudiera reclamar como mío.
    He visitado tierras ajenas, y me he sentido ajena a personas y sus ideas…
    He conocido, he visto, y he pensado. He hablado otras lenguas y me he empapado de nuevas ideas,pero mi mayor anhelo es esa tierra, mi tierra.
    Había sido muy feliz en aquellas tierras, lo poco que me acuerdo, es cierto que el tiempo ayuda a cicatrizar las heridas, pero tarda.
    Tengo lo que pedía, lo que mi esfuerzo merecía y mis sacrificios correspondían, y aún siento que me falta algo, ese algo que nos lleva a seguir adelante porque hay que hacerlo.
    Soñé durante años con mi regreso. Incluso llegué a imaginar mi regreso con todos mis conocidos aplaudiendo, como a una héroe. Pero ahora no están, todos ellos desaparecieron y se fueron hace tiempo.
    Sobrevivo como puedo al día; pienso que lo más fácil sería dejarse vencer y caer a merced de las corrientes, sé que dejaría incompleta la promesa, y posiblemente jamás me lo perdonarían, pero es tan dura esta lucha…


    Fuente : https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10203766492301199&set=a.3465861483689.141553.1185598310&type=1
  • Marruecos cierra un tramo de autovía para complacer a Hollywood

    La monarquía bananera de Marruecos muestra por enésima vez que está dispuesta a todo aunque tenga que sacrificar a todo el pueblo marroquí.
    A partir del 30 de agosto se cerrará la autovía en pleno pico de la vuelta de los marroquíes de Casablanca, Rabat, Fez, etc… que pasaban sus vacaciones en Agadir . Todo ello para que se pueda rodar la quinta edición de “Mission imposible”, co Tom Cruise como principal protagonista.
    Hemos oído hablar de cerrar una carretera durante unas horas, pero durante dos semanas es propio de la monarquía bananera de Marruecos y de las dictaduras más sanguinarias. En el país de Mohamed VI, todo está permitido cuando se trata de recolectar fondos para mantener el control sobre el territorio del Sáhara Occidental en un momento crítico para las cajas de la monarquía.
    Esperemos, como dijo Ali Lemrabet que al menos esta nueva edición de “Misión imposible” sea mejor que las precedentes.
  • La gifle : la Justice marocaine mise à nu par un tribunal texan

    Le 13 aout 2014, le Washington Post fait état du refus d’un tribunal américain d’exécuter un jugement rendu par la justice marocaine dont un juge Texan estime, preuves à l’appui, qu’elle est non indépendante, car soumise au roi. Le mot « king » revient pas moins de quarante six (46) fois dans les attendus du jugement. Récit.
    A regarder les images du coup d’envoi des prétendus forages pétroliers de Talsint, ce 23 août 2000, on comprend combien la cupidité de Mohammed VIa inhibé chez lui, la prudence la plus élémentaire.
    Pour en voir de pareilles, il faut remonter au règne d’Hassan II, lorsque le défunt monarque inaugurait les barrages supposés irriguer un million d’hectares, et qui, en réalité, desservaient en priorité le gigantesque butin de terres agricoles sur lesquelles il avait fait main basse,
    Mais au contraire de son géniteur qui tutoyait mètres cubes d’eau et kilowatts, le fils ne tutoyait que du vent, en cette journée torride de l’été 2000. En effet, le roi ne le sait pas encore, mais de pétrole il n’y en a point, dans ce bout de désert. Son discours euphorique du 20 aout 2000, tourne à la farce et le jeune roi est en train de commettre la première d’une longue série de bourdes.
    L’occasion fait les larrons
    L’aventure de Talsint commence par un délit d’initié. Abdallah Alaoui, cousin de Mohammed VI, Mohamed Benslimane, beau-frère de Hicham Alaoui, le cousin du roi, Othman Skiredj, frère du général d’aviation Boubker Skiredj, aide de camp de Mohammed VI et Abdou Saoud, consul honoraire du Maroc en Californie, tous actionnaires de Medi Holding ont vent du futur code des hydrocarbures.
    Le code n’est même pas encore voté que le quatuor, à la recherche de prospecteurs, prend langue avec Skidmore Energy, une compagnie américaine dont les deux actionnaires sont John Paul DeJoria et Michael H. Gustin.
    Un memorandum of understanding conclu en mars 2000, scelle la constitution, de la Lone Star Energy. Moyennant 12% du capital, les marocains de Medi Holding « neutraliseront » les administrations marocaines, assureront aide et protection des autorités et feront bénéficier la société de toutes les facilités (exonérations fiscales, régime préférentiel des changes…). Cerise sur le gâteau, les prospecteurs auront accès aux études géologiques, d’avant et après l’indépendance.
    Dans la culture de la courtisanerie marocaine, on commence par jeter son dévolu sur un investisseur qu’on appâte avec le « parapluie » du pouvoir, la perspective de profits conséquents, avec à la clé, la promesse d’une inauguration en fanfare de son projet par le roi himself.
    Une fois l’investisseur ferré, « on » lui fait dégrossir le travail et transmettre son-savoir-faire et son carnet d’adresses, avant de le vider de sa substance par l’intimidation, ou la « superposition » de nouveaux partenaires, surgis des coulisses du palais royal. L’affaire de Talsint reproduit à l’identique ce scénario, maintes fois dénoncé.
    Quand des cupides croisent des bonimenteurs
    L’histoire qui a commencé au Texas au printemps 2000, s’y est achevée cet été.
    Pitoyablement pour notre pays. Entretemps, deux verdicts rendus par la justice texane façonnent la perception que les américains se font désormais du régime marocain.
    Le premier, est un jugement en appel rendu en 2006. Il déboute les américains qui ont déposé une plainte contre Alaoui, Benslimane, Skiredj et Saoud, qu’ils désignent comme les hommes de paille de Mohammed VI, pour « escroquerie, blanchiment, association de malfaiteurs et aide et assistance à une entreprise terroriste ».
    Derrière leurs gesticulations juridiques, les américains tentent de dissimuler leurs propres turpitudes. Pour rentrer dans leurs frais, ils ont, en effet, facturé une mystérieuse technologie de prospection qui s’apparenterait à une célèbre escroquerie des années 1970, celle des « avions renifleurs. »
    Mais à la décharge des yankees, il faut également souligner le comportement cynique et malhonnête de leurs partenaires locaux qui déploient le répertoire de manœuvres dont « on » est coutumier, pour les évincer du projet.
    Vestiges des installations de Talsint
    Août 2014. L’affaire de Talsint a depuis longtemps tourné au règlement de comptes. Le second verdict signe le refus de la justice texane d’entrer en matière dans l’application d’un jugement émis par la justice marocaine en 2009 et qui a condamné les américains à payer cent vingt-trois millions de dollars (123.000.000) à leurs associés marocains.
    Quarante six fois, plutôt qu’une !
    Ce n’est pas tant le verdict texan qui interpelle mais le ton sarcastique et accusateur qui renvoie nos juges à leurs études, avec des attendus accablants.
    C’est que huit ans séparent les deux jugements, au cours desquels les américains ont eu tout à loisir, d’observer comment la monarchie et ses servants enchaînent les affaires de corruption, s’en prennent aux libertés fondamentales et entravent l’application du droit. Le jugement texan en est une condamnation, avec cette phrase limpide :
    « Un jugement étranger ne peut être reconnu au Texas, s’il émane d’un système aux procédures incompatibles avec le respect de la loi. »
    A quarante-six reprises, le prononcé citera le nom du roi, démontrant l’implication de celui-ci dans les méandres les plus obscurs de cette affaire, comme cette tirade, page 23 :
    « Compte tenu des antécédents du roi en terme de représailles, non seulement contre les juges qui lui déplaisent, mais aussi tous ceux qui mettent en cause sa version relative à son implication dans l’affaire Talsint, la Cour ne peut absolument pas concevoir que le président du tribunal qui a eu à juger cette affaire n’ait pas senti une pression énorme pour se ranger du côté marocain. En effet, le prince avait un intérêt économique et le comportement du roi suggère une forte préférence pour que DeJoria soit dépeint comme le fraudeur qui a trompé sa vigilance (sans quoi, le roi pourrait rétrospectivement apparaître comme malhonnête, incompétent ou les deux à la fois).»
    Corruption, impunité, vengeance et « justice coup de téléphone »
    Et comme on n’est jamais si bien dénoncé que par ses complices, c’est Taïeb Fassi-Fihri, alors ministre des affaires étrangères, qui va reconnaitre en mars 2011 au Brookings Institute à Washington qu’il y avait bien « une justice du coup de téléphone » dont « l’indépendance n’est pas encore une réalité ».
    La page 20 du jugement ne laisse planer aucun doute sur le système judiciaire marocain :
    « Tant le rapport de l’USAID, que les commentaires du ministre des Affaires étrangères, dépeignent un système dont les juges subissent d’énormes pressions qui les contraignent à rendre des verdicts conformes aux vœux de la famille royale et son entourage. Et ce sont les juges eux-mêmes, qui en ont apporté l’illustration la plus éclatante, le 6 octobre 2012, lorsqu’un millier d’entre eux a mené un sit-in devant la cour suprême, réclamant l’indépendance de la justice. »
    L’auteur de l’article du Washington Post, Eugene Volokh, emprunte de larges extraits au rapport de l’USAID « Morocco Rule of Law report ». Il écrit :
    « Il existe une perception largement répandue (parmi les citoyens marocains) que la corruption est tolérée, que les élites politiques et sécuritaires agissent en toute impunité, et que des mesures drastiques sont prises contre tous ceux qui voudraient défier le pouvoir » 
    Le 19 mai 2014, le prestigieux journal avait interpelé en ces termes, le Maroc sur l’affaire Ali Anouzla : « Il est évident que le monarque craint le journalisme libre qui soulève des questions gênantes sur sa gouvernance. Telle est la peur bleue des autocrates partout. Ils craignent une presse libre et un débat ouvert à même de saper leur légitimité. »
    A Talsint, le désert a repris ses droits. Ne subsiste de cette lamentable aventure que quelques dalles de béton, rongées par l’érosion. Les yankees se sont remis de leur mésaventure marocaine. Leurs ex-partenaires marocains aussi. Quant à notre pays il continuera pour un temps à être régi de la même manière. Quant aux bénéfices de cet énième acte de prédation royale, je reprendrais les termes de cet éditorial du journal Al Ittihad, publié au moment même où Mohammed VI paradait à Talsint :
    « La nouvelle de la découverte de pétrole et de gaz nous réjouit : elle va nous fournir l’énergie de l’espoir et de l’optimisme. Cependant, ne nous berçons pas d’illusions : les nombreuses richesses dont Dieu a gratifié ce peuple ont été accaparées par une meute de prédateurs. Les Marocains ont-ils jamais profité des carrières de sable, des ressources halieutiques, des terres arables, des vastes plages et des forêts ? » 
    Salah Elayoubi
    http://www.demainonline.com/2014/08/29/la-gifle-la-justice-marocaine-mise-a-nu-par-un-tribunal-texan/
  • La población legal de Marruecos será publicada antes de finales de 2014

    La población legal de Marruecos, según las distintas subdivisiones territoriales, no tardará en ser publicada en comparación con los censos anteriores, es decir antes de finales de 2014, afirmó, el miércoles en Casablanca, el Alto Comisario para la Planificación, Ahmed Lahlimi Alami.
    « La población legal del Reino que emanará del sexto censo general de la población y de la vivienda 2014, previsto del 1 al 20 de septiembre, será publicada antes de finales de 2014 », aseguró Lahlimi, quien intervenía en una rueda de prensa sobre el lanzamiento de esta gran operación nacional, recordando que los datos de los censos de 1994 y de 2004 fueron publicados respectivamente en 1996 y en 2005.
  • Mujer marroquí flagelada en Arabia Saudí por prostitución

    Cincuenta latigazos, prisión y expulsión es la pena dictada por el Tribunal de Tayef, en Arabia Saudí, contra una ciudadana marroquí que vive en ese país, por prostitución, informó el miércoles el diario digital marroquí Hespress.
    Según la misma fuente, la mujer, divorciada de unos años, fue encarcelada después de haber sido sorprendida por la “Estancia del bien y lucha contra el Mal” cuando subía en el coche de un cliente que la había contactado por Whatsapp.
    Marruecos, país en sí convertido en una gran destinación del turismo sexual, tiene también la reputación de uno de los países que más prostitutas tiene en el extranjero.
  • Fernandez Díaz viajó a Marruecos para calmar a un Mohamed VI enfadado por el abordaje de su barco

    Fuentes de Interior aseguran que el incidente de la Benemérita con el soberano marroquí en aguas próximas a Ceuta ha enfurecido al monarca, hasta el punto de llevar a una de las peores crisis diplomáticas en los últimos años, si bien ha sido ‘sotto voce’.
    Siete de agosto a las 5 de la tarde. Una lancha de la Guardia Civil se prepara para un control rutinario en aguas internacionales próximas a Ceuta. Los agentes del instituto armado no saben que dentro de la embarcación de lujo a la que van a pedir identificarse se encuentra el rey de Marruecos,Mohamed VI. El soberano alauí se dirige personalmente a los agentes y les pregunta si no saben quién es, y ante la negativa de éstos se quita las gafas de sol, tras lo que uno de ellos lo identifica finalmente como el rey de Marruecos. Mohamed VI se mostró muy contrariado porque le hubieran dado el alto, afirmando que había avisado a las autoridades españolas de que estaría por esa zona. Cuenta ‘El Mundo’ que llamó a Felipe VI para quejarse por lo ocurrido, tras lo que el rey español telefoneó a Jorge Fernández Díaz, ministro del Interior, para que tratara de solventar el malentendido, algo que hizo previa llamada a la Subdelegación de Gobierno en Ceuta.
    Altos cargos del Ministerio del Interior han asegurado a Vozpópuli que al monarca alauí le ha sentado muy mal este incidente, hasta el punto de que se ha provocado, ‘sotto voce’, « una de las peores crisis diplomáticas de los últimos años ». El ejército del país árabe y la propia casa real marroquí lo consideran una provocación sin precedentes, lo cual ha llevado al ministro del Interior a realizar un viaje que en principio era de incógnito a Tetuán para reunirse con su homólogo Mohamed Hassad y tratar de templar gaitas. Sin embargo, el viaje a África del político popular se filtró y finalmente ambos ministerios del Interior publicaron una nota conjunta, en la que se aseguraba que los temas tratados fueron la lucha contra el terrorismo, el narcotráfico, la inmigración irregular o la operación Paso del Estrecho 2014.
    Los marroquíes, además, están enfadados porque creen que en este aspecto ya llueve sobre mojado. Mohamed VI veranea todos los veranos por Alhucemas y ya hace dos años hubo otro incidente con él porque un helicóptero de la Guardia Civil sobrevoló su embarcación. Además, el jefe de Estado marroquí aseguró a los propios agentes de la Benemérita que había avisado a las autoridades españolas de que andaría por la zona para que estuvieran prevenidos. Y este aviso, efectivamente, se dio a la embajada, aunque las órdenes de ser cuidadoso no llegaron al eslabón más bajo de la cadena, el de los agentes que debían de patrullar la zona.
    La Guardia Civil se defiende
    Los marroquíes creen que ya llueve sobre mojado. Hace dos años, un helicóptero de la Benemérita sobrevoló la embarcación del rey alauí
    Como es lógico, desde el instituto armado se defiende la actuación de sus agentes y que en todo momento trataron con máxima educación y respeto a Mohamed VI. Desde la Dirección General de la Guardia Civil se niega que haya habido ningún tipo de expediente o represalia a los agentes que abordaron la embarcación real y se preguntan por qué habría de haber represalias. Por su parte, fuentes de la Asociación Unificada de Guardias Civiles se defiende la actuación de sus afiliados: « Vieron un buque y como está de moda que en narcotráfico se utilicen las lanchas y yates de lujo, como no conocieron el barco fueron a identificarlo y salió el propio rey y si te sale el rey de Marruecos parece un follón. Pero no tenemos conocimiento de que a los guardias civiles los vayan a expedientar, aunque no sabemos si más adelante, a lo mejor en unos días, pasará algo ».
    La asociación de la Benemérita recuerda que no se dio el aviso correctamente y lo compara con los casos en los que los presidentes del Gobierno acuden en verano a la residencia presidencial de Doñana: « Por ejemplo cuando acudían Aznar o Zapatero a Doñana el servicio marítimo tenía conocimiento » de aquello.
    http://vozpopuli.com/actualidad/48512-fernandez-diaz-viajo-a-marruecos-para-calmar-a-un-mohamed-vi-enfadado-por-el-abordaje-de-su-barco
  • Libia está al borde de la guerra civil, alerta la ONU

    La ONU expresó hoy su alarma por el grave deterioro de la situación en Libia y por el peligro de que la intervención de naciones vecinas exacerbe aún más un conflicto que corre el riesgo de convertirse en una guerra civil.
    El Consejo de Seguridad de la ONU se reunió hoy para analizar las medidas que puede adoptar ante el deterioro de la situación en Libia y el proceso democrático que ha quedado truncado tras la revuelta del 2011 que terminó con la dictadura de Muamar el Gadafi. Hay un “peligro creciente” de que el conflicto que se desarrolla en esa nación se extienda “más allá de las fronteras libias”, afirmó ante el consejo el representante especial de la ONU ante Libia, Tarek Mitri.
    Los enfrentamientos armados entre grupos políticos rivales, el papel de organizaciones radicales islamistas y la debilidad de las instituciones conforman un cóctel que, según Mitri, está desatando una situación de una “gravedad sin precedentes”.
    En una decisión unánime, el Consejo de Seguridad aprobó una resolución en la que pide un “alto el fuego inmediato” en ese país y convoca a los grupos políticos rivales a entablaren un diálogo para garantizar el rumbo de la transición democrática.
    PELIGRO DE GUERRA CIVIL 
    En la reunión de hoy quien dio las peores pinceladas del panorama fue precisamente el embajador de Libia ante la ONU, Ibrahim Dabbashi, en la única intervención pública en la sesión, además de la de Mitri: “Personalmente siempre he excluido una guerra civil (en Libia), pero la realidad ha cambiado. Los enfrentamientos en Trípoli y en lugares aledaños son algo nuevo”, afirmó Dabbashi. 
    “La situación en Libia es complicada”, dijo Dabbashi. “Sin embargo, la situación desde el 13 de julio se ha vuelto más complicada aún y la situación podría llevar a una guerra civil de gran escala si no somos muy cuidadosos e inteligentes en nuestras acciones”, agregó.
    COMPLETO DESGOBIERNO 
    Hoy mismo han renunciado seis ministros acusando al gobierno interino de tomar partido en el conflicto entre las milicias rivales en el país, informó la agencia oficial de noticias LANA. La lucha de poder entre el antiguo y el nuevo Parlamento de Libia continúa así. “Las renuncias se llevaron a cabo debido a la parcialidad del gobierno hacia una de las partes contendientes”, dijo el ministro de Industria.
    A él se unieron en su renuncia los de Educación, Planificación, Trabajo, Recursos Hídricos y Salud al gobierno interino encabezado por Abdullah al-Thinni, agrega la información. “Los seis ministros trataron de permanecer dentro de un gabinete coherente, pero el jefe del gobierno tomó decisiones sin su conocimiento”, añadió, sin dar más detalles.
    Al menos cuatro personas han muerto hoy, y un número indeterminado han resultado heridas, en la ciudad de Bengasi, en el este del país, en nuevos enfrentamientos entre fuerzas del general sublevado Jalifa Hafter y milicias islamistas, informaron a Efe fuentes de seguridad de esa ciudad.
    Vía Deutsche Welle 
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  • Margallo traslada a Ban Ki Moon el compromiso de España con Libia y O.Medio

    Nusa Dua (Indonesia), 29 ago (EFE).- El ministro español de Asuntos Exteriores, José Manuel García-Margallo, transmitió hoy al secretario general de Naciones Unidas, Ban Ki-moon, el compromiso de España con la Alianza de las Civilizaciones y con el mantenimiento de la paz en Colombia, Libia y Oriente Medio en general.
    García-Margallo hizo estas declaraciones a los periodistas tras reunirse con Ban Ki-moon después del acto de inauguración en la isla indonesia de Bali del VI Foro de la Alianza de Civilizaciones de las Naciones Unidas (UNAOC, por sus siglas en inglés).
    El ministro explicó que Ban Ki-moon le pidió un « protagonismo activo » en Colombia debido a la historia y a las relaciones entre ambos países.
    Ambos hablaron además de la reunión sobre Libia que el Gobierno español ha convocado el próximo 17 de septiembre en Madrid, a la que acudirán países de las dos riberas del Mediterráneo.
    « Libia es un tema capital para España, por la proximidad geográfica, el impacto en las migraciones desde África a Europa y por la significación económica que España tiene en ese país », dijo, antes de añadir que se trata de un conflicto que puede « desestabilizar » a toda la región.
    Gaza también estuvo presente en la reunión entre García-Margallo Ban Ki-moon, un asunto en el que el ministro volvió a defender la solución de los dos Estados. « Le he dicho al secretario general que puede contar con nosotros », agregó.
    Ban Ki-moon por su parte agradeció a García-Margallo la presencia de las tropas españolas en Líbano, una misión que acaba de ser renovada, apuntó el ministro, quien explicó que también intercambiaron sus puntos de vista sobre Irak, Siria y Ucrania.
    El responsable de la diplomacia española trasladó al secretario general de la ONU ese apoyo a la Alianza y más en esta etapa en la que los conflictos tienen importantes componentes religiosos y culturales.
    « Se trata de dar un nuevo impulso a la Alianza de las Civilizaciones en una situación en la que es más necesaria que nunca, dados los conflictos en el mundo y el componente cultural, religioso y a veces étnico que tienen », señaló.
    El ministro propuso así en su intervención en el foro la creación de una asamblea de parlamentarios del Grupo de Amigos de la Alianza -en el que participan más de un centenar de países y una veintena de organismos internacionales- « para ir dando más músculo democrático ».
    También apostó por crear una plataforma de líderes religiosos que « puedan discutir el papel de la religión como elemento de paz y no como elemento de discordia ».
    García-Margallo abogó asimismo por la existencia en las operaciones de mantenimiento de la paz y humanitarias de la ONU de un grupo de expertos en cuestiones interreligiosas e interculturales, así como que en los márgenes de la Asamblea General de la ONU se aborde el secuestro el pasado abril de 200 niñas en Nigeria.
    Desde una perspectiva mas general, el jefe de la diplomacia española propuso que se aborde el papel de las mujeres, principalmente de las jóvenes, en la religión y la educación. EFE
  • Dimite el gobierno interino de Libia

    El gobierno interino de Libia, encabezado por el primer ministro Abdulá al Thani, presentó su dimisión ante el Parlamento del país.
    En un comunicado, el gabinete saliente dijo que la decisión tiene como objetivo permitir al Parlamento la formación de un gobierno que represente a todos los sectores de la sociedad libia.
    El Parlamento se ha trasladado a la ciudad oriental de Tobruk por razones de seguridad dado que las facciones armadas están combatiendo por el control de la capital, Trípoli, que está sumida en el caos.
    Grupos islamistas establecieron un parlamento alternativo en Trípoli esta misma semana.
  • Mauritania convoca la tercera edición de su Conferencia y Exposición Minera de Petróleo y Gas

    Mauritania convoca su tercera edición de la Conferencia y Exposición Minera de Petróleo y Gas, Mauritanides 2014, que tendrá lugar en la capital del país, Nuakchot, entre los días 13 y 15 del próximo mes de octubre, una cita que se ha convertido ya en una referencia para las empresas multinacionales del sector en África Occidental.
    El acontecimiento anual minero lo organiza el ministerio de Petróleo, Energía y Minas junto al grupo británico AME Trade Limited, especializado en la organización de eventos en el continente africano, y ofrecerá, como en anteriores ocasiones, tres días de sesiones plenarias, talleres técnicos, exposiciones y visitas a yacimientos locales.
    Asimismo, los organizadores esperan reunir a nuevos inversores internacionales, así como a expertos, gerentes de instituciones financieras, autoridades locales, entidades especializadas en el desarrollo y países donantes, además de otros actores y socios de las industrias del sector.
    Los recursos mineros de Mauritania van desde el gas y el petróleo hasta los diamantes, pasando por minerales dehierro, cobre o uranio, en diferentes proporciones extractivas, que atraen progresivamente a grandes compañías internacionales, como, entre otras, la canadiense Kinross o la luxemburguesa ArcelorMittal.
    Mauritanides actúa como una plataforma de intercambio de experiencias, debates y proyección de alianzas comerciales y de cooperación, con el fin de obtener conclusiones y recomendaciones para una mejor explotación de la riqueza del subsuelo del país y de su desarrollo sostenible.
    Las cifras de anteriores convocatorias alcanzaron la presencia de 800 delegados y 105 expositores de una treintena de países de todo el mundo.
    http://www.africainfomarket.org/actualidad/noticias/item/16667-mauritania-convoca-la-tercera-edicion-de-su-conferencia-minera-y-de-petroleo-y-gas