Mois : août 2014

  • Hoy Solidaridad Convivencia saharaui y actividades en Rodeiro

    La asociación Galega co Pobo Saharaui celebra hoy en Rodeiro una jornada de convivencia abierta a las familias y al público en general. Las actividades se inician a las 16.00 horas con la inauguración de una muestra de fotografía sobre los campamentos saharauis. 
    En ella se recoge la realidad de los campamentos y la labor de la comisión médica gallega. A las 16.00 horas si el tiempo lo permite estaba previsto que los participantes disfrutaran de la piscina y a las 18.00 horas tendrá lugar una merienda. 
    Cada niño aportará dos euros. A las 18.30, los pequeños disfrutarán de juegos tradicionales, colchonetas y un taller de té saharaui, maquillaje y globoflexia. 
    En caso de lluvia estas actividades tendrán lugar en el pabellón y a las 20.00 se presenta en el centro cultural el documental Vidas torturadas, vidas silenciadas.
    Casa da Cultura de Rodeiro
    Día: hoy
    Horario: Desde las 16.00 horas
    http://www.lavozdegalicia.es/noticia/deza/2014/08/03/hoy-solidaridad-convivencia-saharaui-actividades-rodeiro/0003_201408D3C29916.htm
  • El Sáhara y los saharauis

    GONZALO PARENTE
    Han vuelto. Como anualmente las golondrinas regresan a sus tierras de acogida, así los niños saharauis vuelven a Galicia con unas familias que los acogen con ilusión y cariño, que es correspondido por quienes algún día fueron españoles y hoy no saben lo que son.
    En una ocasión, haciendo un trabajo para la Universidad Complutense, visité a un saharaui que me enseñó su DNI y su carné de conducir españoles de hacía 40 años, pero que estaban caducados. El caso de nuestra antigua provincia del Sáhara, abandonada con la marcha verde marroquí, durante la muerte de Franco, dejó a una población de unos 200.000 saharauis en manos del Frente Polisario y del ejército marroquí. La ONU, el referendo y la guerra en el desierto obligaron a los saharauis a refugiarse en Tinduf (Argelia), donde todavía permanecen.
    Muchos españoles acudieron en su ayuda y no los abandonaron. Desde entonces funcionan en España más de 20 asociaciones de amigos del pueblo saharaui. Una de las actividades es traer niños en verano a disfrutar de la hospitalidad de la gente sencilla que disfruta haciendo felices a unos niños que solo conocen las ardientes arenas del desierto y probablemente no conocen el mar. Los he visto estos días disfrutando de la playa de Pantín (Valdoviño). Iban mezclados con otros niños y niñas gallegos jugando con toda naturalidad. Qué bonito gesto de solidaridad el de esas familias, en tiempos de tantos enfrentamientos raciales.
    La Voz de Galicia, 03/08/2014
  • Discours de Mohamed VI : Le Polisario dénonce une volonté de poursuivre l’occupation

    Le gouvernement de la RASD et le Front Polisario ont fortement condamné le discours prononcé par le roi du Maroc, Mohammed VI, à l’occasion de la fête du Trône. Ce dernier a en effet affirmé que « la question du Sahara (…) est la cause de tous les Marocains. C’est une responsabilité qui nous engage tous ». Il a ainsi réitéré son « attachement à l’initiative de conférer à nos provinces du Sud un statut d’autonomie » dans le cadre d’une régionalisation avancée qu’il projetait de lancer depuis 2006.
    Ce discours traduit, selon les dirigeants du Front Polisario, « une volonté de poursuivre l’occupation illégale du Sahara occidental et la violation de la légalité internationale ».
    Un communiqué du gouvernement de la RASD a en effet estimé que « le roi du Maroc a encore répété les expressions de l’intransigeance et de la politique de fuite en avant concernant la question du Sahara occidental dans une tentative flagrante d’échapper de l’accord qui a été signé par son père, Hassan II, avec la partie sahraouie sous la supervision de l’Organisation des Nations unies et de l’Unité africaine en 1991 ». 
    Dans le communiqué, la partie sahraouie a regretté « le refus du roi du Maroc et de son gouvernement de coopérer positivement avec l’ONU et l’UA pour parvenir à une paix juste et définitive entre le royaume du Maroc et la République sahraouie sur la base de l’application du plan de règlement de 1991 signé par les deux parties et approuvé à l’unanimité par le Conseil de sécurité et l’Assemblée générale de l’ONU et l’Unité africaine ».
    Les dirigeants sahraouis ont également dénoncé que le Maroc soit « devenu une source d’instabilité dans la région du nord-ouest de l’Afrique par son occupation d’une partie de la RASD et le non-respect des frontières, ainsi que la production et l’exportation de drogues envers les pays voisins et du Sahel africain à travers les réseaux du crime organisé ».
    Le statu quo dans le dossier sahraoui risque donc de perdurer, en dépit des exhortations des deux parties par le Conseil de sécurité dans sa dernière résolution du mois d’avril d’aller vers des négociations plus substantielles.
    Y.M.
    http://www.jeune-independant.net/article216.html
  • Chaos libyen : Au coeur de l’axe Alger-le Caire

    Par Ammar Zitouni
    La détérioration de la situation générale en Libye n’intéresse plus personne, y compris la coalition occidentale qui a été à l’origine de la chute du régime de Maâmar el Kadhafi.
    Depuis quelques jours, on s’empresse, sous la pression des combats meurtriers entre milices, à quitter ce pays. La France, les Etats-Unis, la Turquie, la Grande-Bretagne, la Belgique, les Philippines et certains pays arabes ont évacué leurs ressortissants et leurs diplomates. A présent, la Libye, se trouve être un pays livré à lui-même et à la merci totale de djihadistes-mercenaires. Ces derniers, profitant du vide institutionnel et du manque cruel de centralisation, sèment désordre sécuritaire et blocage politique. Les pouvoirs locaux et régionaux représentés par les comités locaux, les conseils militaires et les milices fondées sur des identités territoriales et tribales, sont aujourd’hui les principaux freins à l’enracinement d’un Etat centralisé.
    Au lendemain de la première élection législative, la France et ses alliés ayant largement contribué au complot contre la souveraineté libyenne, se sont empressés de qualifier cette échéance de « victoire « de la démocratie libyenne post-Kadhafi. Mais, ce ne fut en réalité qu’une appréciation injuste pour camoufler leur échec dans ce pays. Le pouvoir libyen, jusqu’à preuve du contraire, reste fragmenté par des rivalités héritées de la chute de l’ancien pouvoir, et qui prennent racine dans la propre histoire de ce pays. Un réveil brusque des identités religieuses et communautaires. Celles-ci se conjuguent à présent pour compliquer la restauration de l’ordre sécuritaire et la stabilité politique. Une situation singulièrement complexe pour surtout la recherche simultanée d’un double équilibre: « un équilibre entre les différentes régions et localités et un équilibre entre les différentes mouvances partisanes ».
    Ces graves problèmes qui surgissent à tout moment à Tripoli, Benghazi et d’autres localités, représentent ce qu’on appelle « La guerre de second ordre », la guerre civile locale à l’instigation de l’impérialisme et ses relais dans la région. En la matière, les exemples sont légions, notamment dans le Monde arabe.
    La Libye, un pays aujourd’hui complètement à l’abandon et entre les mains d’un terrorisme aventurier au nom de cette nouvelle conception « djihadiste », est un tourbillon au « diamètre » contagieux.
    En effet, pour nombre d’observateurs, « la guerre en Libye a déstabilisé le Sahel ». Des milliers d’armes, dont des missiles sol-air, circulent dans cette région aux frontières poreuses. Dans ce sillage, le Maghreb et le Sahel n’en finissent pas de subir les conséquences du « printemps arabe ». « Le tremblement de terre géopolitique qui secoue l’espace maghrébo-sahélien a pour épicentre la Libye dont les secousses sont ressenties jusqu’au rivage sud du Sahel. Exception faite de l’Algérie, les fragilités sociopolitiques, territoriales et sécuritaires font tâche d’huile chez les voisins de la Libye, faisant planer un risque sécuritaire transnational, du fait de la prolifération d’armes et de l’infiltration du terrorisme. Les conséquences sécuritaires de cette « guerre de second ordre » en Libye pose problème pour la résilience des Etats et des sociétés qui structurent le rivage sahélien. Il suffit de s’en référer à ce qui se passe au Mali, Niger, Nigeria, Tunisie, Egypte etc… pour comprendre la gravité de cette situation.
    Les Occidentaux, responsables potentiels de ce tourbillon libyen, osent à l’heure actuelle prendre le large et osent aussi dénoncer cette guerre civile locale, qu’ils ont eux-mêmes provoqué, et d’en faire une propagande politique sans la moindre honte. Une stratégie en ligne d’évolution pour se déjuger de ce chaos. Tout Arabe sensé, peut comprendre ce que signifie cette « stratégie machiavélique » et à quoi elle tend. Que signifie donc le climat malsain actuel qui prévaut à Tripoli, Benghazi et presque dans tout le pays ? Cela signifie qu’on est en train de réduire en cendres toute la Libye et qu’on se tient loin de ce théâtre des opérations des milices.
    Ces questions sécuritaires préoccupent actuellement l’Algérie, l’Egypte et la Tunisie. L’Algérie voisin occidental et l’Egypte voisin oriental de la Libye, suite à la récente visite du président al-Sissi à Alger et sa rencontre avec le président Bouteflika, semblent coordonner leurs actions face à cette évolution dangereuse, dans toute la région. Les deux présidents Bouteflika et al-Sissi semblent apparemment sur la même ligne, décidés à mettre en oeuvre des mesures pour résorber le chaos libyen. Il n’est pas impossible que cette volonté sécuritaire des deux chefs d’Etat, se traduise par une intervention armée conjointe.
    A. Z.
    http://www.tribunelecteurs.com/fichier/3_8_2014/coeur.html
  • El Gobierno de la RASD condena la “voluntad” de Mohamed VI de seguir vulnerando la legalidad internacional

    Mohamed VI y los Reyes de España
    Sáhara Occidental
    espacioseuropeos (2/8/2014)
    Una Nota de Prensa del gobierno de la RASD (República Árabe Saharaui Democrática) informa que el gobierno saharaui condena la “voluntad” del rey de Marruecos de seguir vulnerando la legalidad internacional: El comunicado dice que la “parte saharaui lamenta la “incapacidad” del rey y el gobierno marroquíes para colaborar de forma “positiva y responsable” con la ONU y la UA “para lograr una paz justa y definitiva”, expresada de nuevo en su discurso de aniversario de acceso al trono”.
    “Marruecos es la principal fuente de inestabilidad en el norte de África mediante su ocupación de partes de la RASD, violación de las fronteras, productor y fuente de drogas hacia los países de la región”, afirma el comunicado del gobierno saharaui.
    El Gobierno de la República Árabe Saharaui Democrática (RASD) y el Frente POLISARIO expresaron el pasado miércoles su condena a la “voluntad” del rey de Marruecos para continuar la ocupación ilegal del Sáhara Occidental y la violación de la legalidad internacional, manifestada en su discurso con motivo de la llamada fiesta de su llegada al trono, según un comunicado del Ministerio de Información de la RASD, según informa el Servicio de Comunicación Saharaui en Canarias (SCSC).
    “El rey de Marruecos volvió a repetir expresiones de intransigencia y de Política de huida hacia delante en lo relacionado con la cuestión del Sahara Occidental, nos ha acostumbrado durante mucho tiempo a absurdos intentos de evadir lo firmado por su padre, Hassan II, con la parte saharaui bajo los auspicios de las Naciones Unidas y de la Unidad Africana en 1991″, indica el comunicado del Ministerio de Información saharaui.
    En la nota, la parte saharaui lamenta la “incapacidad” del rey y el gobierno marroquí para colaborar de forma “positiva y responsable” con la ONU y la UA “para lograr una paz justa y definitiva entre el Reino de Marruecos y la República Saharaui sobre la base de la aplicación del plan de arreglo de 1991, que fue firmado por ambas partes y aprobado por unanimidad por el Consejo de Seguridad y la Asamblea General”.
    El comunicado denuncia, asimismo, que “Marruecos es la principal fuente de inestabilidad en el norte de África mediante su ocupación de partes de la RASD, violación de las fronteras, productor y fuente de drogas hacia los países de la región y la zona del Sahel a través de las redes del crimen organizado”,según la misma fuente.
    Por otro lado, constatar los continuos apoyos que recibe el pueblo saharaui, entre otros países de su vecino argelino. Así, el ministro de Asuntos Exteriores de Argelia, Ramatan Lamamra, ha reafirmado una vez más la postura de su país de seguir apoyando a la “legalidad internacional en el Sáhara Occidental y el derecho de su pueblo a la autodeterminación”, de acuerdo con la noticia publicada porSPS (Sahara Press Service) .
    Esas manifestaciones fueron hechas por el jefe de la diplomacia argelina en el canal de televisión‘Ennahar TV’. Además el político afirmó que las “declaraciones marroquíes para involucrar a Argelia en el conflicto del Sáhara Occidental que enfrenta al Frente POLISARIO y el Reino de Marruecos, no van a cambiar la posición de Argelia sobre la cuestión del Sáhara Occidental, o su política hacia la Unión del Magreb Árabe”.
    Con contundencia afirmó que “existe una causa saharaui legítima que debe conducir a la autodeterminación (…) Ningún país reconoce la soberanía de Marruecos sobre el Sáhara Occidental”, para continuar: “existe un dictamen que deja en claro la responsabilidad de España como potencia administradora del Sáhara Occidental hasta su descolonización”.
    Actitud que contrasta con la posición de España que, por ejemplo, va a abrir una “sucursal” del Instituto Cervantes en El Aaiún, en concreto en el Colegio La Paz de esa localidad. Dicho centro depende de la Consejería de Educación de Marruecos, aunque es uno más de los “centros de enseñanza españoles oficiales”, que subvenciona España en Marruecos.
    Y una prueba más de la desvergüenza en la que se mueven las instituciones internacionales, además de la que mantiene España, Francia, Estados Unidos y algún que otro país más, es que Marruecos no se recata lo más mínimo en propalar que el Sáhara Occidental pertenece al reino alauita, como lo muestra –por ejemplo- un mapa de la Oficina de Información Diplomática de Marruecos en el que aparece “El Aaiún-Bojador-Sakia el Hamra”, una de las “divisiones administrativas”, sin que España proteste, ya que legalmente sigue siendo la potencia administradora del Sáhara Occidental.
    ¿Acordó algo sobre esto el Rey Felipe VI? Mucho nos tememos que sí Y, además, con el apoyo del PP y PSOE.
  • La police hollandaise dénonce le blanchiment d’argent illégal au Maroc

    Mort d’un homme victime de réglement de comptes
    entre groupes mafieux á Amsterdam
    Les gangs financent de 25% à 33% des logements en construction à Tanger (police hollandaise)
    D’après une enquête réalisée par les services de police des Pays Bas, entre 25% et 33% des logements en construction à Tanger sont financés par des méthodes criminelles, a rapporté jeudi le journal digital DutchNews.nlse basant sur des informations par le journal Volkskrant
    Les détectives néerlandais ont visité le Maroc pendant une semaine dans le cadre de leur enquête et ont, jusqu’à présent, saisi des propriétés et d’autres bien immobiliers pour une valeur de 100 millions d’euros, a ajouté la même source.
    Selon les enquêteurs, des centaines de jeunes néerlando-marocains sont impliqués dans au moins six affaires d’assassinats et de vol avec arme commis par des gangs aux Pays Bas.
    Le groupe comprend des trafiquants de drogue, des hommes armés et des « facilitateurs » tous liés les uns aux autres et vivent dans les Pays-Bas et au Maroc.
    Ainsi, le blanchiment de l’argent de la drogue constitue une nouvelle source de financement illégale au Maroc qui s’ajoute au tourisme sexuel et la prostitution.
  • El Aaiún : Sitiada por la policía marroquí la morada de un preso político saharaui

    El Aaiún, capital ocupada del Sáhara Occidental.- La morada familiar del preso político saharaui Ghali Bouhella en la ciudad ocupada del Aaiún fue sitiada por la policía marroquí que prohibió a su familia organizar la ceremonia de bienvenida a su hijo liberado el pasado martes de la prisión local de Ait Melloul, informó el viernes la agencia de noticias saharaui SPS.
    « A pesar del cerco policial, decenas de ciudadanos saharauis intentaron llegar hasta el domicilio de la familia del prisionero liberado para participar en la ceremonia, pero fueron impedidos por la policía marroquí », añadió la misma fuente.
    « Se trata de la segunda vez en menos de un mes que las autoridades marroquíes prohíben a una familia de un preso político saharaui liberado organizar una ceremonia de recibimiento » precisa la fuente. El 12 de julio, las autoridades marroquíes prohibieron en El Aaiun ocupado una ceremonia de bienvenida celebrada con motivo de la liberación de los presos políticos Sidi Sbaï y Mohamed Djemmour « , recuerda la misma fuente.
  • Las medias tintas de Amnistía Internacional con Israel

    Por Ángel Guerra Cabrera. La organización ‘progresista’ pide que la ONU imponga un embargo de armas a ‘todas las partes’ en conflicto
    El bárbaro ataque de Israel contra Gaza argumentando flagrantes mentiras como la del secuestro y asesinato por Hamas de tres jóvenes judíos tiene un solo calificativo: genocidio.
    Edificios, casas de familia, campos de refugiados, hospitales, escuelas, industrias, la única termoeléctrica –ahora inutilizada para largo–, han sido bombardeados desde el aire u objeto del fuego de la artillería pesada o de los tanques. El número de muertos supera los mil 300, la mayoría civiles, de ellos 239 niños, y el de heridos en 7 mil tras 22 días de la operación Borde Defensivo. El ejército israelí no respeta ni los refugios bajo bandera de la ONU, de los cuales han sido atacados seis, a pesar de haberle dado previamente las coordenadas de esos 
    sitios, denuncia Pierre Krähenbhül, comisionado de la agencia de la ONU para los refugiados palestinos.
    No son sólo las organizaciones de la resistencia, sino todo el pueblo de Gaza el que está rechazando la embestida y también una tregua que no les traiga una vida mejor. El gazatí Um Al Ramlawi lo explica: “Nos están matando a todos de todos modos –ya sea de una muerte lenta, por el bloqueo, o de una muerte rápida por los ataque militares. No tenemos nada más que perder– debemos luchar por nuestros derechos, o morir intentándolo.” O Fadil Hussein Sharqui: « Simplemente están decididos (los israelíes) a matar a todo el pueblo. Sólo rogamos al cielo sobrevivir hasta que esto termine. »
    A la vez en toda Cisjordania y Jerusalén este se han producido las más grandes protestas de los últimos años en solidaridad con sus hermanos de Gaza, que han costado 11 muertos por disparos de soldados israelíes. El lunes, fiesta de Eid, tras el fin del Ramadán, más de 45 mil palestinos, la mayoría jóvenes, se reunieron en la Explanada de las Mezquitas para apoyar a la resistencia en Gaza. Es muy elocuente la consigna cantada allí: « Una nación, un pueblo, un sueño », lo que reafirma el apoyo en Cisjordania a la unidad de Al Fatah con Hamas y demás organizaciones de la resistencia.
    Una encuesta reciente revela que la mayoría en Cisjordania apoya la postura de Hamas de no aceptar una tregua si cuando menos no se levanta el criminal bloqueo y se pone en libertad a los presos políticos vueltos a apresar.
    En medio de estas pruebas de barbarie israelí y heroica resistencia palestina me llega una insólita carta dirigida a John Kerry, secretario de Estado de Estados Unidos cuyo endoso es promovido por Amnistía Internacional (AI), en sus páginas web oficiales. En ella se pide a Estados Unidos “que suspenda urgentemente las trasferencias de armas a Israel y contribuya a asegurar que la ONU impone (sic) un embargo a ‘todas las partes’ en conflicto”.
    AI intenta tomar una postura equidistante ante una situación en la que no caben medias tintas. Su propuesta descontextualiza histórica, jurídica y políticamente el conflicto palestino-israelí donde los primeros derechos humanos a enarbolar son los del pueblo palestino a tener una patria y a defenderla con las armas en la mano.
    AI no menciona la ocupación israelí, el hecho central del que se derivan la masacre actual y, en consecuencia, habla de « grupos armados palestinos que han lanzado una ola de ataques indiscriminados con cohetes contra Israel » utilizando un léxico y una vara de medir semejante a los de CNN y Fox News. Sólo le faltó llamarlos terroristas.
    Desde esa óptica es lógico que pida un embargo de armas por igual cuando es inadmisible la comparación entre una fuerza ocupante dotada por Washington de las armas más modernas y mortíferas y otra de resistencia como la palestina con recursos bélicos sumamente precarios y deficientes.
    ¿Por qué AI no pide el fin de la ocupación israelí en Palestina en cumplimiento de varias resoluciones de la ONU? ¿Por qué no pide el desarme nuclear de Israel, poseedor ilegalmente de un considerable arsenal de ese tipo? ¿Por qué no defiende el derecho de los palestinos a rechazar la ocupación por todos los medios, incluyendo la lucha armada, si ese derecho lo reconoce la Carta de la ONU?
    http://pravdainternacional.blogspot.com.es/2014/08/las-medias-tintas-de-amnistia.html
  • La gente sin país : El Sáhara Occidental

    En ediciones pasadas escribí sobre las personas que habitan en territorios no reconocidos oficialmente como países o dentro de países con una cultura dominante que no siempre les garantiza sus derechos humanos básicos. Unas semanas después, me topé con un fotoreportaje sobre la situación en el Sahara Occidental y pensé “¿cómo pude haberlo olvidado?”, pero así pasa, el conflicto en esta zona al oeste de África es tan ignorado que, incluso, a quienes dizque nos interesan las relaciones internacionales, se nos llega a pasar.
    A diferencia de Ucrania, Irak, Siria, Palestina y otras zonas con conflictos violentos, el Sahara Occidental está más bien atrapado en un conflicto congelado, producto de la desidia de la comunidad internacional. Algo que no se soluciona, pero tampoco estalla en otra cosa diferente, similar a los mensajes de “Not responding”, de Windows, cuando no puedes cerrar un programa, pero tampoco abrir uno nuevo.
    El territorio actual del Sahara Occidental fue una de las zonas colonizadas por España en África (los otros fueron la Guinea Española, actual República de Guinea Ecuatorial, y una zona al norte de Marruecos). En la región siempre habían habitado los saharauis (pronunciado /sajarawis/), una tribu beduina nómada mezcla de árabes y otras etnias como bereberes y africanos negros. Estas personas vivían pacíficamente moviéndose por toda la región.
    En 1885, en la Conferencia de Berlín, las potencias europeas se repartieron África, como cuando se reparte un pastel cumpleañero de oficina, y de un momento a otro establecieron fronteras aleatorias por todo el continente. El pueblo saharaui quedó entonces encerrado dentro del Sahara Español, donde aprendió a convivir con la autoridad colonial, mientras ésta explotaba los recursos naturales del territorio.
    Hacia finales de los años 50 comenzó un movimiento anticolonialista por todo el mundo y las instituciones internacionales empezaron a promover el “derecho de los pueblos a la soberanía y autodeterminación”. En la resolución 1514 de la Asamblea General de la ONU se aprobó la declaración de concesión de la independencia a los países y pueblos coloniales, y en 1961 se creó el Comité de Descolonización de la ONU, encargado de supervisar el cumplimiento de esta declaración.
    Por las mismas fechas ya estaba surgiendo en el pueblo saharaui, como en otras colonias, un sentimiento nacionalista.
    En 1968 inició el Movimiento de Liberación de Saguia el Hamra y Río de Oro*, liderado por Sidi Brahim Bassiri. El movimiento se apagó en 1970, luego de una manifestación en El Aaiún (la capital colonial), que fue reprimida violentamente y en la que hubo varios muertos; Bassiri fue arrestado y desaparecido. Luego, en 1973, se creó el Frente Popular para la Liberación de Saguia el Hamra y Río de Oro (POLISARIO), que comenzó la lucha armada contra España.
    La ONU, como en otros casos, recomendó a España que otorgara la independencia al Sahara Español; sin embargo, el Reino de Marruecos, que había sido un protectorado franco-español hasta 1956, comenzó a reclamar derechos históricos sobre el territorio.
    En 1975 Marruecos envió 25 mil soldados y 350 mil ciudadanos marroquíes dentro del Sahara Español, en una estrategia conocida como la Marcha Verde, con el objetivo de ocupar el territorio o “recuperar lo que es nuestro”, en palabras del sultán Hassan II. Está documentado que el ejército marroquí utilizó contra la población civil armas prohibidas por el Derecho Internacional, como fósforo blanco, napalm y bombas de fragmentación (algunos testimonios hablan de personas enterradas vivas en fosas comunes y líderes saharauis, atados de pies y manos, arrojados desde helicópteros en vuelo).
    Una España débil, con Franco en sus últimos meses de vida (chulada de persona él) firmó con Marruecos y Mauritania los llamados Tratados de Madrid, en los que España transfería la administración del Sahara Español a una entidad tripartita conformada por la yemáa (asamblea) saharaui, Marruecos y Mauritania, quien también reclamaba derechos sobre la parte sur del territorio. De esta manera, España, poco a poco, aplicó el peñanietazo, es decir, se escondió en el baño, se hizo la que la Virgen de Cantabria le hablaba y dejó a los saharauis a su suerte.
    Marruecos controla la mayor parte del territorio del Sahara Occidental desde 1975. Los saharauis viven algunos dispersos en las zonas ocupadas, otros en una franja al oeste del territorio controlada por el Frente Polisario y en calidad de refugiados en campamentos en la provincia de Tinduf, Argelia. En 1975, el Frente Polisario proclamó, en el territorio que administra, la República Árabe Saharaui Democrática (RASD), una nación sin estado, reconocida sólo por unos 80 y tantos países (México, entre ellos) y que desde hace casi 40 años aspira a recuperar el control de las tierras que cree que legítimamente le corresponden. En 1991 el Polisario acordó una tregua con Marruecos y el fuego cesó.
    Los saharauis dependen de la ayuda humanitaria del exterior para vivir. Un muro de unos dos mil 700 kilómetros de piedras y arena, vigilado por 100 mil soldados marroquíes y rodeado de minas, recorre el territorio de norte a sur, con el objetivo de mantener a los saharauis fuera de las zonas controladas por Marruecos. Asimismo, distintas organizaciones internacionales han expresado su preocupación por las condiciones en las que viven los saharauis y han denunciado constante hostigamiento por parte de Marruecos contra la población: Desplazamientos, desapariciones, encarcelamientos y represiones violentas de manifestaciones.
    A pesar de que ningún país, ni la ONU, aprueba la ocupación del Sahara Occidental, el conflicto no se ha podido solucionar. La ONU ha pedido a Marruecos que lleve a cabo un referéndum entre la población saharaui para que puedan decidir sobre su futuro, pero aunque existe incluso una Misión de las Naciones Unidas para el Referéndum en el Sahara Occidental esto no ha ocurrido.
    ¿Por qué si casi toda la comunidad internacional condena la ocupación marroquí del Sahara Occidental nadie ha ofrecido una solución concreta? Pues parece que, como en otros conflictos internacionales, hay intereses económicos en la zona (qué pinchecasualidad).
    El Sahara Occidental tiene recursos naturales que Marruecos quiere para sí y sobre los que muchas compañías transnacionales desean obtener una concesión. El territorio cuenta con una de las reservas de fosfatos más grandes del mundo, así como abundantes bancos de peces. Además, hace unos años una compañía canadiense concesionada por el gobierno marroquí encontró reservas de oro, diamantes y uranio, pero eso no es todo, ya que en la zona también hay (oh yes!, oh yes!) petróleo. La organización Western Sahara Resource Watch, que busca defender los derechos de los saharauis a disfrutar sus recursos naturales, ha denunciado la presencia de compañías estadounidenses y suecas, que ya se encuentran extrayendo el preciado recurso y buscando nuevos yacimientos.
    Con todo esto, no extraña “nada, nada, nada” (diría Sasha Sökol), que ningún país desarrollado reconozca a la RASD y que no haya mucho interés por resolver el conflicto, porque aunque todos acepten, aunque sea muy en su interior, que la ocupación marroquí es ilegal y que la situación del pueblo saharaui es crítica, a muchos países ricos les conviene quedar bien con Marruecos mientras les den chancecito de explotar los recursos de la zona. Como en otros conflictos, los derechos humanos pueden esperar; si los saharauis ya aguantaron cuatro décadas viviendo en tiendas y comiendo agua y harina, ¿qué tanto es tantito más?
    A pesar de todo, los saharauis intentan vivir con optimismo. Se aferran a la fe y a sus tradiciones culturales para seguir resistiendo. No han querido dejar su estatus de refugiados para construir asentamientos permanentes, porque eso significaría reconocer que han perdido la batalla por su tierra. Sin embargo, al ser un pueblo tradicionalmente pacifista, que no comete actos terroristas (aunque los marroquíes así quieran hacer creerlo) su movimiento llama poca atención en los medios y en la comunidad internacional en general.
    Lo preocupante es que el Frente Polisario ha dejado entrever que, si Naciones Unidas no ofrece una solución concreta al conflicto, el pueblo saharaui se preparará para tomar las armas de nuevo a partir de 2015 ; y si algo le sobra a este planeta es violencia.
    MÁS INFORMACIÓN
    VIDEOS E IMÁGENES:
    http://www.comasuspensivos.com.mx/internacional/la-gente-sin-pais-ii-el-sahara-occidental/
  • Mensonges sans frontières

    Par Kamel Moulfi
    Au moment où Mohammed VI appelle à la réouverture des frontières par l’Algérie dans un esprit soi-disant d’apaisement, le Makhzen et ses médias continuent de miner tout espoir de rapprochement entre les deux pays. 
    Il y a quelques jours encore, notre ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, réaffirmait le souci de l’Algérie d’établir des relations «normales» avec le Maroc. Evidemment, sans sortir de la légalité internationale qui garantit le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination. C’est cette précision, systématiquement incluse dans les déclarations officielles des responsables algériens, qui dérange le royaume voisin. Alors, le Makhzen actionne ses médias, mais comme les journalistes aux ordres ne trouvent rien en leur faveur dans la réalité et parmi les faits concrets, ils sont contraints de faire dans la manipulation et la désinformation, qui sont une spécialité du Makhzen. 
    Un de ces journalistes, qui a déjà à son actif une série d’articles, tous bâtis sur des mensonges, s’en prenant à l’Algérie, a commencé le mois d’août par un écrit qui dépasse la manipulation la plus pure pour verser carrément dans le délire le plus profond. Il suffit de lire la première phrase pour s’en convaincre : «Les dirigeants du Polisario déclarent ne plus vouloir de la médiation infructueuse de l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, Christopher Ross.» Où ont-ils fait cette déclaration ? Nulle part. Par contre, ce que l’on sait officiellement, par l’agence de presse sahraouie (SPS), c’est que le Front Polisario a condamné le refus par le Maroc de poursuivre les négociations et rounds de Christopher Ross pour trouver une solution juste à la question sahraouie. 
    L’agent du Makhzen, converti en journaliste, invente un «vif débat» entre les dirigeants du Polisario qui auraient exprimé un «vif mécontentement» et blablabla… La vérité est que le Maroc est isolé au plan international sur la question sahraouie et le sera plus encore avec l’initiative de l’Union africaine qui a nommé un envoyé spécial pour le Sahara Occidental, en la personne de l’ancien président mozambicain Joaquim Chissano.
    K. M.
    http://ds.algeriepatriotique.com/content/mensonges-sans-frontieres