Mois : août 2014

  • Ejecución masiva en territorio de Gaza controlado por Israel

    Mohammed Abu Sharif muestra los
    casquillos encontrados en su casa
    Alberto Sicilia / KHUZAA (GAZA)
    Una mezcla viscosa de sangre podrida y polvo cubre el suelo del baño. En las paredes podemos contar docenas de balazos alineados a la misma altura. Varios cadáveres, tapados con mantas, acaban de ser sacados de la estancia. Casquillos con la marca “IMI” (Israel Military Industries) aún pueden encontrarse esparcidos por el pasillo.
    Estamos en una casa a las afueras de Khuzaa, una localidad de la Franja de Gaza dentro de la “zona prohibida” instaurada por el Ejército de Israel. Durante semanas ha sido imposible acceder aquí. Una tregua de apenas una hora permite a los vecinos volver a recoger lo que puedan de sus casas.
    Naban Abu Shaar, un joven de 21 años, fue el primero en entrar a la vivienda. “Llegué al baño y encontré los cadáveres apilados uno sobre otro. No sé cuantos había. Sus carnes se estaban deshaciendo y habían comenzado a escurrir”.
    El dueño de la casa, Mohammed Abu Sharif, se sienta en una silla del jardín, con la mirada perdida en la dirección de la cercana frontera hacia donde se han retirado los tanques israelíes.
    “Huí de aquí hace 20 días, cuando comenzaron los combates en la zona. Me llevé a mi mujer y a mis cuatro hijas. Pero en esta casa vivían también otros familiares. Por los girones de ropa entre el montón de cuerpos, creo que son ellos.”
    Minutos después vuelven a tronar la artillería y los morteros. Todo el mundo huye corriendo del barrio. La verdad tendrá que esperar para otra de las atrocidades de esta guerra.
  • Interesante debate en « Fort Apache » sobre el Sáhara Occidental

    Tertulia política del canal HispanTV presentada por el líder de Podemos, Pablo Iglesias. En este programa sobre el conflicto del Sáhara Occidental, titulado « Sáhara Occidental, aún colonia » intervienen Marga Ferré, secretaría de elaboración política y programas de Izquierda Unida; Abuy Nfubea, director Uhuru Africa TV; Rubén Herrero de Castro, profesor de Ciencias Políticas; Willy Meyer, experto en asuntos internacionales y miembro nacional de Izquierda Unida y Abdullah Arabi, delegado saharaui en la Comunidad de Madrid.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=Wl68MnF5qV0?list=PL7-PRrKey3Ht_b5QcxIdHz2ivScTBCyEV]

  • Relations algéro-américaines: Alger vu par la nouvelle ambassadrice US Joan A. Polaschik

    Nommée par le président Obama en mai dernier, la nouvelle ambassadrice des Etats-Unis en Algérie, Mme Joan A. Polaschik, a été confirmée à ce poste par un vote du Comité des affaires étrangères du Sénat américain, mardi 29 juillet dernier. Il ne reste donc plus que quelques jours de formalités et de procédures propres aux arcanes diplomatiques avant que Mme Polaschik ne vienne occuper officiellement l’ambassade de son pays à Alger. Probablement après le sommet Etats-Unis/Afrique auquel elle doit prendre part en tant que chef de la mission diplomatique US en Algérie. 
    C’est non sans enthousiasme d’ailleurs que cette diplomate de carrière, qui a effectué une partie de sa carrière dans des pays des Proche et Moyen-Orient, s’apprête à « continuer à faire progresser les intérêts de politique étrangère des Etats-Unis en Algérie ». Mais comment voit-elle son pays hôte ? Les déclarations qu’elle a eues à ce sujet et pour dresser l’inventaire des dossiers qu’elle aura à traiter avec l’Algérie sont intéressantes. 
    Au cours d’une première audition par les membres du comité sénatorial, le 17 juin dernier, elle a indiqué qu’elle veut « travailler avec le gouvernement de l’Algérie pour lutter contre la menace du terrorisme et renforcer la stabilité des régions du Maghreb et du Sahel, accroître les liens commerciaux entre les Etats-Unis et l’Algérie […] travailler avec le gouvernement algérien pour soutenir les réformes politiques et économiques nécessaires pour assurer la stabilité à long terme de l’Algérie». 
    Comme ambassadeur des Etats-Unis, a-t-elle poursuivi, «je vais faire de la protection des personnes qui servent dans l’ambassade américaine à Alger et celle de tous les Américains qui vivent et travaillent en Algérie ma priorité ». 
    Dans son intervention, consignée dans une déposition au terme de son tête-à-tête avec les sénateurs du comité, pointe chez la diplomate la certitude de venir «travailler dans une partie dangereuse du monde», qui risque de le devenir encore plus au vu des dernières évolutions de l’actualité sécuritaire en Tunisie, en Libye et au Sahel. «Le gouvernement algérien est profondément attaché à la sécurité de notre personnel et de nos installations et a été très sensible à nos demandes d’appui à la sécurité », a-t-elle précisé dans son appréciation de la situation sécuritaire au Maghreb. 
    Elle a rappelé que « l’Algérie est sur les lignes de front de la lutte contre l’extrémisme, ayant subi le fléau du terrorisme depuis les années 1990, et plus récemment l’attaque du complexe de production de gaz près de In Amenas en janvier 2013 ». «Le gouvernement algérien, s’est-elle adressée aux sénateurs américains, comprend la nécessité de rester vigilant et est un fidèle partenaire dans nos efforts de lutte contre le terrorisme, y compris en tant que participant actif dans le Forum mondial de lutte contre le terrorisme et le Partenariat Trans-Sahel contre le terrorisme. » 
    Sur le rôle régional de l’Algérie, elle a affirmé qu’Alger «travaille avec ses voisins afin de stabiliser la vaste étendue du Maghreb et du Sahel» et « a pris des mesures positives pour aider les forces de sécurité dans des pays comme le Mali et le Niger dans le Sahel». «L’Algérie, a-t-elle rappelé, a fourni un soutien aérien aux troupes de maintien de la paix africaines et a pris des mesures pour sécuriser sa frontière orientale pour combattre la contrebande et la prolifération des armes». «Avec la Tunisie, elle a construit une forte relation de sécurité pour faire face à la menace terroriste.» «La lutte antiterroriste et la sécurité demeurent la pierre angulaire de notre relation au cours des dernières années », précise-t-elle à nouveau. « Mes missions antérieures en Azerbaïdjan et en Libye m’ont fourni une vaste expérience dans les questions de lutte contre le terrorisme et de l’énergie qui sont essentielles à notre partenariat avec l’Algérie», a-t-elle encore ajouté. 
    A ses yeux, «l’Algérie a longtemps eu un statut politique et diplomatique important dans les affaires du Moyen-Orient et d’Afrique – elle est littéralement à la confluence de l’Afrique, de la Méditerranée et du Monde arabe», ce qui lui confère naturellement «un rôle important à jouer dans le renforcement des relations entre le Nord et l’Afrique subsaharienne» ; non sans faire ressortir « son rôle essentiel de médiateur dans les conflits à travers le continent », faisant allusion à la médiation algérienne dans le conflit malien, ramenant les belligérants à la table des négociations. L’«Algérie gagnerait à accroître les échanges commerciaux dans la région dans le sens d’une intégration régionale, y compris avec le Maroc».
    http://www.reporters.dz/relations-algero-americaines-alger-vu-par-la-nouvelle-ambassadrice-us-joan-a-polaschik/15161

  • «La politique d’expansion du trafic de drogue sont une entrave à la réalisation du rêve des peuples du Maghreb», thème de l’Université d’été de Boumerdès

    BOUMERDÈS : Ouverture de la 5euniversité d’été du Polisario
    L’université d’été des cadres du Front Polisario et de la République arabe sahraouie démocratique (Rasd) s’est ouverte hier à Boumerdès,et se poursuivra jusqu’au 21 août prochain. L’allocution d’ouverture de cette 5e université d’été a été faite par son président, Boulahi Sid, lequel a rappelé la lutte du peuple sahraoui pour son indépendance et n’a pas omis de citer le soutien de toute la communauté internationale et surtout de celui de l’Algérie qui reste indéfectible et cela depuis le déclenchement de la lutte armée pour le recouvrement de notre autodétermination, dira-t-il en remerciant les organisateurs pour la tenue de cette rencontre importante pour les cadres de la RASD, dont l’objectif est de leur inculquer une meilleure formation afin de gérer au mieux les affaires du peuple sahraoui et surtout poursuivre la lutte pour l’indépendance. «La politique d’expansion du trafic de drogue sont une entrave à la réalisation du rêve des peuples du Maghreb» est le thème choisi pour cette 5e université. d’été, selon . 
    Salem Labser, membre du secrétariat national du Polisario en présence des autorités locales, ainsi que des organisations nationales et interna tionales de soutien au peuple sahraoui. Ainsi, plus de 450 cadres et dirigeants de la Rasd ont pris part à cette rencontre pour débattre de la situation qui prévaut dans les territoires occupés et mettre en avant les moyens et les stratégies susceptibles d’accélérer le recouvrement de l’independence du peuple sahraoui. 
    Dans son intervention, Salem Labser, membre du secrétariat national du Polisario n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour fustiger le palais royal qui persiste dans la répression du peuple sahraoui en bafouant ses droits légitimes. En poursuivant la politique de colonisation, le Makhzen se distingue par ses pratiques inhumaines, notamment en favorisant le trafic de drogue vers l’Algérie entravant de fait le rêve des peuples du Maghreb, dénoncera-t-il. Au contraire , notre peuple est plus déterminé que jamais pour réaliser son autodétermination, lancera-t-il sous les applaudissements de l’assistance. 
    Intervenant à son tour, le président de la Commission nationale algérienne de soutien au peuple sahraoui (Cnasps), le Docteur Said Ayachi a réitéré le soutien du peuple algérien au peuple sahraoui dans sa lutte pour son indépendance. Il indiquera que cette ‘université d’été «constitue une action de solidarité avec les Sahraouis dans leur juste combat pour la dignité et la liberté et qu’elle permettra également d’apporter aux participants les dernières connaissances sur des sujets divers et variés et de susciter une réflexion en adéquation avec l’actualité afin d’accélérer le processus d’autodétermination du peuple sahraoui en lutte contre l’occupant marocain depuis des décennies. 
    B.Khider
    Le Courrier d’Algérie, 04/08/2014
  • Sahara occidental : Laura Boldrini réaffirme son soutien à l’autodétermination

    LA PRÉSIDENTE du Parlement italien, Laura Boldrini, a réitéré son soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à la liberté, lors d’une réception au siège la Chambre des députés d’un groupe d’enfants sahraouis. 
    La présidente de la Chambre des députés a rappelé qu’elle connaît bien les souffrances des réfugiés sahraouis, espérant que l’ONU remplisse ses obligations afin d’assurer les besoins de ces enfants. Mme Boldrini, journaliste et ancienne porte-parole du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés, a été élue députée pour la Sicile lors des élections générales de février 2013 et présidente de la Chambre des députés par ses pairs le mois suivant. 
    La cérémonie de réception s’est déroulée en présence du représentant du Front Polisario en Italie, Amih Omar Buzeid, le conseiller des affaires politiques au Parlement italien, M. Carlo Leone, les associations italiennes de solidarité avec le peuple sahraoui, les maires des municipalités qui accueillent les petits ambassadeurs sahraouis. 
    Il est à rappeler que le Parlement italien a appelé le gouvernement à reconnaître la République arabe sahraouie démocratique (RASD) suite à une grande confrontation diplomatique entre les partisans de la cause sahraouie et ceux qui soutiennent la thèse marocaine. 
    Lamia K./Agence
    Le Jour d’Algérie, 04/08/2014
  • Marruecos: El Majzén prepara un atentado terrorista de gran envergadura

    Los ataques del 11 de septiembre del 2001 constituyen un giro decisivo en las relaciones entre Estados Unidos y Argelia, un país hasta entonces diabolizado por Occidente a causa de su lucha contra el auge islamista en el país.
    Las respuestas de Argelia a las observaciones del Comité contra el Terrorismo basadas sobre la resolución 1373 (2001) del Consejo de Seguridad servirán para justificar un partenariado privilegiado con los Estados Unidos.
    « Argelia es uno de los pocos países que han establecido, desde la aparición del fenómeno terrorista, un dispositivo jurídico amplio para prevenirlo y combatirlo. El marco legislativo y reglamentario ha sido progresivamente mejorado y adaptado para seguir mejor la evolución de las actividades terroristas y su carácter transnacional. El arsenal jurídico existente abarca cubre el conjunto de las actividades relacionadas con el terrorismo y satisface las necesidades de la cooperación internacional « , según el informe de Argelia.
    En una entrevista concedida al diario La Tribune, el 06/18/2003, Janet Sanderson, embajadora de EE.UU. en Argel, dijo: « Desgraciadamente, ustedes tienen más experiencia en materia de terrorismo. Es difícil encontrar a un argelino que no haya sido afectado por el terrorismo. En Estados Unidos, los acontecimientos del 11 de septiembre fueron un choque y no quiero subestimar el impacto de estos eventos en nuestro país y en el vuestro. Habéis perdido a tanta gente en una década. Es lamentable que nosotros y otros países hayamos entrado en esta lucha, en este conflicto, más tardíamente ».
    La comunidad internacional finalmente reconoció los méritos de la lucha de Argelia contra la plaga del terrorismo. 
    Este acercamiento entre Estados Unidos y Argelia y el estatuto acordado a ésta como país pionero en la lucha contra el terrorismo fue mal visto en Rabat que se presentaba hasta entonces como un aliado indispensable y baluarte contra el terrorismo. 
    Es en esos momentos que EE.UU. nombraron al ex presidente James Baker Enviado Especial para el Sáhara Occidental. Una designación que no era del gusto de las autoridades marroquíes.
    El apoyo de España al plan Baker y al censo realizado por la MINURSO para la celebración del referéndum de autodeterminación en el Sáhara Occidental provocaron la ira del gobierno marroquí. A esto se añade la cancelación del acuerdo de pesca. Marruecos pidió la misma compensación económica (90 M €), al mismo tiempo que reducía del 80% los barcos y el cambiaba la forma de los contratos de estos barcos. El 11 de julio del 2002, Rabat decide ocupar la isla de Perejil. La reacción del presidente Aznar, respaldado por Washington, fue firme. Soldados de la Marina Española fueron enviados a la isla para desalojar a los marroquíes.
    España pagará un año después la humillación infringida al gobierno marroquí. En la noche del 16 de mayo de 2003, los atentados de Casablanca se cobrarán 45 muertos y cincuenta heridos. El más sangriento de ellos tuvo lugar en la Casa de España, donde varios clientes cenaban o jugaban al bingo. Se saldó con la muerte de 20 personas. Lo inverosímil de la historia es que por la baraka de Mohammed VI, dos atacantes suicidas renunciaron a hacerse reventar, lo cual permitió a la policía llegar hasta la red e impedir la ejecución de otros planes terroristas en las ciudades de Marrakech, Tánger, Fez y Agadir.
    De esta manera, el Majzén llevó a cabo su golpe. El mensaje transmitido es que Marruecos también participa en la lucha contra la nebulosa terrorista, tiene servicios de seguridad tan eficaces como los argelinos y aplica una ley antiterrorista. Rabat insinua también que el peligro oscurantista también puede provenir de Marruecos, sobre todo si se le despoja de las tierras del Sahara Occidental. Este es el mensaje que Marruecos quiere transmitir al Consejo de Seguridad que se pronunciará dos meses más tarde sobre el Plan Baker II, que el Frente Polisario aceptó pero fue rechazado por Marruecos.
    Un punto común que caracteriza todos los atentados en Marruecos es el hecho de que siempre coinciden con las reuniones del Consejo de Seguridad que serán decisivas para la resolución del conflicto en el Sáhara Occidental. Además, es sabido que el pueblo marroquí es uno de los pueblos más tolerantes y más abiertos de todo el mundo árabo-musulmán. Incluso Driss Basri, ex jefe de seguridad de Marruecos expresó sus reservas acerca de los autores de los atentados cometidos en Marruecos.
    Según él, Hassan II quería que su pueblo sea un ejemplo de tolerancia y un puente entre las civilizaciones europea y musulmana. Que estas historias de ataques surjan después de su muerte, « me extraña », declaró el que fuera máximo jefe de los servicios de seguridad marroquíes. « Marruecos no ha vivido nunca bajo un sistema de partido único y siempre tuvo un sistema político liberal y plural. Me pregunto, al igual que muchos expertos del islamismo en Marruecos, si este anuncio dramatizado no sería una manipulación para uso internacional « , concluye.
    En este atentado, los españoles fueron los más castigados. Venganza por el caso de la Isla de Perejil? De todos modos, pocos meses después y justo antes de que el Enviado Especial de Baker dimita, la estación de Atocha en Madrid, fue víctima de un ataque que fue calificado como el « 11 de septiembre español »cuyos autores eran mayoritariamente marroquíes. ¿Es esto una coincidencia? Nada es menos seguro, ya que el ataque fue ejecutado tres días antes de las elecciones generales que hicieron caer al gobierno de José María Aznar, considerado por Marruecos como el enemigo jurado.
    El 12 de marzo del 2007, otra historia incoherente: Un suicida marroquí murió al hacer explotar una bomba escondida bajo su ropa en un cyber-café de Casablanca, mientras que un segundo suicida que había huido fue detenido por la policía.
    La Dirección General de Seguridad Nacional (DGSN), citada por la Agencia Marroquí MAP, explica que el 12 de marzo del 2007, alrededor de las 22:00, dos marroquíes se introdujeron en el cyber-café de Sidi Moumen para « tratar de consultar sitios web que hacen la apología del terrorismo « . El hijo del dueño del café impidió consultar las páginas web y « una de las dos personas fue arrasado por un artefacto explosivo escondido bajo su ropa y murió en el acto ».
    El 14 de abril del 2007, siempre en Casablanca: Dos hermanos se inmolaron cerca del Consulado General de los Estados Unidos y una escuela americana de idioma. 15 días más tarde, el Consejo de Seguridad se pronunció a favor de las negociaciones entre las partes « con el fin de lograr una solución política justa, duradera y mutuamente aceptable que permita la autodeterminación del pueblo del Sáhara Occidental ».
    El 28 de abril del 2011, un atacante suicida se inmoló en el Café Argana, situado en la muy tur´sitica plaza Jemaa el Fna, matando al menos a catorce personas, entre ellos ocho franceses. Gran parte de la opinión pública marroquí piensa este ataque fue cometido por los círculos oficiales con el fin de detener la marcha de la primavera marroquí. Este ataque utiliza como servirá también como coartada para frenar la marcha del movimiento 20 de febrero, agitando el espantajo de la « guerra preventiva contra el terrorismo », con su corolario de detenciones arbitrarias y regresión en las libertades civiles.
    Hoy en día, el Consejo de Seguridad se prepara para pasar al Capítulo VII a fin de adoptar una resolución vinculante para poner fin al conflicto del Sáhara Occidental. Marruecos agita de nuevo la amenaza terrorista. Se teme que el Majzén repita escenarios que los marroquíes conocen ya.
    La amenaza terrorista es uno de los medios más utilizados por el gobierno marroquí para atraer el apoyo de sus antiguos aliados. Para ello, Marruecos ha hecho todo para incriminar a los saharauis y ensuciar su nombre. Ahora que la ONU se muestra decidida a pasar a la velocidad superior para resolver la cuestión saharaui, es muy probable que el Makhzen recurra a una acción de gran envergadura. Prueba de ello es el constante anuncio de desmantelamiento de células terroristas.
  • Una delegación de los TTOO en la Universidad Estival de Boumerdess

    La delegación de los territorios ocupados en Boumerdass
    Foto : CNASPS

    Llegó ayer a Boumerdess una delegación de los territorios ocupados del Sáhara Occidental a la ciudad argelina de Boumerdass para participar en la 5a Universidad Estival de cuadros del Frente Polisario y de la RASD celebrada entre el día 3 y el 23 de agosto.

    La participación de esta delegación contribuye a romper el cerco mediático impuesto por Marruecos sobre las zonas ocupadas de la RASD.

    Fuente : CNASPS (Facebook)

  • Maroc : Le Makhzen prépare un attentat terroriste de grande envergure

    Les attaques du 11 septembre 2001 constituent un tournant dans les relations entre les Etats-Unis et l’Algérie, pays jusque-là diabolisé par l’Occident en raison de sa lutte contre la montée islamiste dans le pays.
    Les réponses de l’Algérie aux observations du Comité contre le terrorisme bâties sur la résolution 1373 (2001) du Conseil de Sécurité serviront à justifer un partenariat privilégié avec les États-Unis.
    « L’Algérie est l’un des rares pays à avoir mis en place, dès l’apparition du phénomène terroriste, un dispositif juridique étoffé en vue de le prévenir et de le combattre. Le cadre législatif et réglementaire a été progressivement amélioré et adapté pour mieux prendre en charge l’évolution des activités terroristes et leur nature transnationale. L’arsenal juridique existant couvre l’ensemble des activités liées au terrorisme et répond aux besoins de la coopération internationale», selon le rapport de l’Algérie.
    Dans un entretien accordé au quotidien La Tribune, le 18/6/2003, Mme Janet Sanderson, ambassadrice des États-Unis à Alger, a déclaré : « Vous avez malheureusement plus d’expérience en ce qui concerne le terrorisme. Il est difficile de trouver un Algérien qui n’ait pas été touché par le terrorisme. Aux États-Unis, les évènements du 11 septembre étaient un choc et je ne veux pas sous-estimer l’impact de ces évènements chez nous et chez vous. Vous avez perdu tellement de gens en une décennie. Il est dommage que nous et les autres pays soyons entrés dans cette lutte, dans ce conflit, plus tardivement».
    La communauté internationale reconnaissait enfin les mérites du combat de l’Algérie contre la fléau du terrorisme.
    Ce rapprochement entre les Etats-Unis et l’Algérie et le statut accordé à celle-ci en tant que pays pionnier dans la lutte antiterroriste étaient mal vu à Rabat qui se présentait jusque-là comme allié incontournable et bastion contre le terrorisme. 
    C’est à ce moment-là que les USA ont désigné l’ancien président James Baker Envoyé Spécial pour le Sahara Occidental. Une désignation qui n’était pas du goût des autorités marocaines.
    Le soutien de l’Espagne au plan Baker et au recensement réalisé par la MINURSO pour la réalisation du référendum d’autodétermination au Sahara Occidental ont provoqué la colère du gouvernement marocain. A cela s’ajoute l’annulation de l’accord de pêche. Le Maroc demandait la même rémunération économique (90 millions d’euros) tout en réduisant 80% des bateaux et en changeant la forme des contrats de ces bateaux. Le 11 juillet 2002, Rabat décide d’occuper l’Ile de Persil. La réaction du président Aznar, soutenu par Washington, a été ferme. Des marins espagnols ont été envoyés vers l’Ile pour déloger les marocains.
    L’Espagne payera un an plus tard l’humiliation faite au gouvernement marocain. Dans la nuit du 16 mai 2003, des attentats feront 45 morts et une cinquantaine de blessés, L’attentat le plus sanglant survient dans le restaurant Casa de España, où plusieurs clients soupaient ou jouaient au bingo. Il fait 20 morts. L’histoire à dormir debout, c’est que par la baraka de Mohammed VI, deux des kamikazes, ont renoncé à se faire exploser, ce qui a permis à la police de remonter la filière et de déjouer des attentats prévus par la suite dans les villes de Marrakech, Tanger, Fès et Agadir.
    Voilà, le coup a été donné. Il n’y a pas que les services de sécurité algériens qui sont efficaces dans la lutte contre la nébuleuse terroriste. Le danger obscurantiste peut aussi venir du Maroc, surtout si vous lui arrachez les terres du Sahara Occidental. C’est le message que le Maroc veut transmettre au Conseil de Sécurité qui va se prononcer deux mois plus tard sur le Plan Baker II que le Front Polisario va accepter mais que le Maroc repoussera.
    Un point commun qui caractérise tous les attentats commis au Maroc est le fait qu’ils coïncident toujours avec des réunions du Conseil de Sécurité qui s’avéreront décisives pour la résolution du conflit du Sahara Occidental. Et puis, il est connu que le peuple marocain est l’un des peuples les plus tolérants et les plus ouverts aux autres du monde arabo-musulman. Même Driss Basri, ancien patron des services de sécurité du Maroc a exprimé ses réserves sur les auteurs présumés de ces attentats commis au Maroc. 
    Selon lui, Hassan II voulait que son peuple soit un exemple en tolérance et un pont entre les civilisations européenne et musulmane. Que ces histoires d’attentats surgissent après sa mort, « cela me surprend », a déclaré l’ancien patron des services de sécurité.
    « Le Maroc n’a jamais vécu sur un régime de parti unique et a toujours connu le système politique pluriel et libéral. J’en viens à me demander, comme le pensent les spécialistes de l’islamisme au Maroc, si cette annonce dramatisée ne serait pas une manipulation à usage international », conclura-t-il.
    Dans cet attentat, les espagnols étaient les plus punis. Vengeance de l’affaire Ile de Persil ? En tout cas, quelques mois plus tard et juste avant que l’Envoyé Spécial Baker ne démissionne, la gare d’Atocha de Madrid a été victime d’un attentat qui a été qualifié du « 11 septembre espagnol » dont la grande majorité des auteurs étaient marocains. Est-ce un hasard ? Rien n’est moins sûr, l’attentat a été exécuté trois jours avant les élections générales qui feront tomber le gouvernement de José María Aznar, considéré par le Maroc comme l’ennemi juré.
    Le 12 mars 2007, encore une histoire incohérente : Un kamikaze marocain est mort en actionnant une bombe qu’il dissimulait sous ses vêtements dans un cybercafé de Casablanca, alors qu’un deuxième kamikaze qui avait pris la fuite a été arrêté par la police. 
    La Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), citée par l’agence marocaine Map, explique que le 12 mars 2007, vers 22H00 locales (et GMT), deux Marocains se sont introduits dans le cybercafé de Sidi Moumen pour «essayer de consulter des sites internet faisant l’apologie du terrorisme». Le fils du propriétaire du cybercafé les a empêchés de consulter les sites internet et «l’un des deux individus a été emporté par une charge explosive dissimulée sous ses vêtements et est décédé sur le champ», selon la DGSN, citée par la Map.
    14 avril 2007 à Casablanca : Deux frères se sont fait exploser près du consulat général des Etats-Unis et d’une école de langue américaine. 15 jours plus tard le Conseil de Sécurité se prononça pour des négociations entre les parties « en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui permette l’autodétermination du peuple du Sahara occidental ».
    28 avril 2011 : Café Argana Un kamikaze s’est fait exploser dans un café situé sur la très touristique place Jemaa el Fna, faisant au moins quatorze morts dont huit Français. Une grande partie de l’opinion publique marocaine pense que cet attentat a été commis par des milieux officiels dans le but de stopper la marche du Printemps Marocain. Cet attentat servira d’alibi pour bâillonner le mouvement du 20 février en ressuscitant le phantome de «la guerre de prévention contre le terrorisme» avec son corolaire de détentions arbitraires et de régression au niveau des libertés publiques. 
    Aujourd’hui, le Conseil de Sécurité se dispose à passer au Chapitre VII dans le but d’adopter une résolution contraignante en vue de mettre fin au conflit du Sahara Occidental. Le Maroc agite de nouveau, la menace terroriste. Il est à craindre que le Makhzen répète des scénarios que les marocains connaissent déjà.
    La menace terroriste est l’un des moyens les plus utilisés par le gouvernement marocain pour attirer le soutien de ses anciens alliés. Dans ce but, le Maroc a tout fait pour incriminer les sahraouis et salir leur nom. Aujourd’hui que l’ONU s’est montrée décidée à passer à la vitesse supérieure pour résoudre la question sahraouie, il est fort probable que le Makhzen fasse recoure à une action de grande envergure. L’annonce constante de démantèlement de cellules terroristes en est une preuve irréfutable.
  • Oasis zamorano en el desierto saharaui Destacado

    Cuatro decenas de niños saharauis que habitualmente viven en los campamentos de refugiados saharauis han cambiado este verano la arena del desierto por el oasis de abundancia que supone su estancia durante dos meses con familias de acogida de la provincia.
    Para salvar las distancias físicas y culturales que les separan de su hogar, los pequeños asisten durante estos dos meses a diversas actividades grupales como la jornada de convivencia de niños saharauis y familias de acogida que hoy se celebra en Castronuevo de los Arcos.
    En esta ocasión, en la que ese encuentro provincial cumple su decimoquinta edición, los pequeños disfrutan de diversas actividades de ocio y, como novedad, asisten a una exhibición de ralis. Aprovechando que en Castronuevo existe un circuito y un piloto zamorano campeón de España en la localidad ha permitido a los pequeños sentir por un día el vértigo de la velocidad.
    En la jornada de convivencia no han faltado los juegos infantiles, el deporte o una refrescante fiesta de la espuma. El Ayuntamiento de Castronuevo ha ofrecido la comida a base de paella que ha tenido un precio simbólico de tres euros por comensal que irán destinados íntegramente a financiar el programa « Vacaciones en paz » que permite llegada de los niños saharauis. 
    El piloto zamorano Rubén Sastre, campeón de España en 2012, demostró sus dotes al volante en el circuito de la finca « La Huerta » de Castronuevo. Posteriormente las actividades se trasladaron a una zona de ocio en la que no faltó una jaima en la que beber té, escuchar música de cantantes saharauis como Mariem Hassan o hacerse tatuajes de henna. Además, a media tarde estaba prevista una narración de la cuentacuentos zamorana Charo Jaular para concluir la jornada de convivencia con un baño de espuma.
    Al encuentro no ha querido faltar el cónsul de Panama en Madrid así como miembros de Bomberos en Acción que trabajan directamente con la asociación zamorana. 
    http://zamoranews.com/provinciazamora/comarcas/item/8561-oasis-zamorano-en-el-desierto-saharaui
  • Sahara Occidental, Palestine, Mali, Libye : Les précisions de Lamamra

    Par Nadjib Hadded
    Concernant son voisin de l’ouest, M. Lamamra a déclaré entre autres que l’Algérie « réaffirme, aujourd’hui, son engagement en faveur de l’établissement de relations bilatérales normales avec le Royaume du Maroc frère et de l’édification de l’Union du Maghreb arabe (UMA) au mieux des intérêts des peuples de la région, mais tout en respectant la légalité internationale et le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination ». Le chef de la diplomatie algérienne a dans ce sens remis les pendules à l’heure, expliquant que l’engagement initial de l’Algérie par rapport aux relations bilatérales et à l’UMA, sont les clés de voûte d’ « un climat nouveau » et de perspectives prometteuses pour les peuples de la région a été contredit par les tentatives marocaines d’imposer « une solution dans la région, que ni la communauté internationale, ni le peuple sahraoui frère n’accepteraient ». L’intervenant a déploré d’autre part, le prisme déformant du Maroc qui, depuis 1975, veut coller l’ »image stéréotypée d’une Algérie qui serait en train de mobiliser le monde et de mener des actions diplomatiques favorables à la cause sahraouie, mue en cela par une prétendue animosité injustifiée à l’égard du Maroc ». « La vérité désormais établie, a-t-il martelé, a sorti de l’ombre une cause sahraouie juste adoptée par le continent africain et la communauté internationale ». Et d’ajouter qu’ »il est aussi une doctrine internationale qui impose l’impératif de la décolonisation à travers le monde, enjoignant « à l’ONU ainsi qu’aux parties en conflit, le recours à un référendum libre et régulier pour l’autodétermination du peuple sahraoui ». 
    Le ministre a également remis les points sur les i par rapport aux accusations marocaines d’après lesquelles l’Algérie serait en train d’entraver le processus de règlement du dossier du Sahara occidental, qualifiant cela d’ »agissements irréfléchis et irresponsables émanant de certaines parties dans le pays frère », qui ne peuvent aucunement changer la position de principe de l’Algérie, pays ayant payé le lourd tribut du million et demi de Chahids pour recouvrer son indépendance. Rappelons dans ce contexte que le roi du Maroc est revenu lors de la célébration de la fête du trône sur la réouverture des frontières algéro-marocaines, que l’Algérie refuse légitimement d’envisager autrement que dans un cadre global c’est-à-dire une solution équitable et conforme à la légalité internationale pour le Sahara occidental, la cristallisation de l’Union maghrébine ainsi que l’arrêt du trafic de drogue et de la contrebande à partir du Maroc vers l’Algérie, sciemment encouragés par le Makhzen. Cela étant, M. Lamamra a aussi apporté des éclairages sur la position de l’Algérie vis-à-vis de l’agression sioniste barbare contre la bande de Ghaza qui se poursuit rappelle-t-on en toute impunité. 
    « Dès le début (…) a-t-il relevé, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a entrepris plusieurs contacts avec les dirigeants arabes pour présenter les propositions appropriées, afin de mettre fin à l’agression israélienne ». Ainsi a fait remarquer l’orateur, « l’Algérie était le premier pays à avoir condamné l’agression israélienne, avant même que les pays arabes et les autres pays ne réagissent ». 
    D’un autre côté, a-t-il poursuivi, « si l’Algérie a travaillé sous le sceau de la confidentialité, cela ne veut nullement dire qu’elle s’est détachée de la cause palestinienne « . M. Lamamra a mis l’accent dans ce sens sur les efforts de l’Algérie visant à « parvenir à un cessez-le-feu immédiat et réunir les conditions nécessaires à la reprise du processus de paix devant permettre l’édification de l’Etat de Palestinien « . Il a ponctué cette analyse proche orientale par le fait qu’Israël « veut vider la Palestine de ses habitants arabes et consacrer le rêve sioniste, en assurant sa mainmise totale sur El-Qods », d’où l’objectif à peine voilé de briser la résistance à Ghaza. 
    Pour ce qui est du conflit malien, le ministre a fait valoir que « la poursuite des efforts de la diplomatie algérienne pour parvenir à une solution politique définitive au Mali, « se veut un élément stratégique » pour l’Algérie, compte tenu du voisinage, des positions de principe de l’Algérie et du principe de solidarité avec ce pays « . S’agissant enfin de la Libye, il a déclaré que « les pays voisins de la Libye constituaient (en sus du peuple libyen lui-même) le « maillon fort » du processus de règlement de la crise dans ce pays.
    N. H.
    http://www.tribunelecteurs.com/fichier/3_8_2014/ramtane.html