Mois : août 2014

  • El Sáhara en la revista Cambio 16 del 3/11/1975

    PRIMERA BATALLA.
    El lobby marroquí en España debe ser tan poderoso que ha estado a punto de salirse con la suya, y quedarse con el Sahara por arte de marcha verde y birlibirloque. Y todavía no hay que descartar definitivamente la operación. 
    Desde el Conde Don Julián en adelante, cosas mas raras se han visto. Después de seguir durante años una política coherente de descolonización de acuerdo con las Naciones Unidas, noticias de la prensa nacional e internacional aseguraban días pasados que era posible un pacto bilateral España-Marruecos (con Mauritania detrás) para ceder ante la marcha verde y reinvertir radicalmente la política española de años. Tan cierta pareció esta posibilidad que Argelia no se mordió la lengua y amenazó mas o menos veladamente con la guerra si no se cumplían las prescripciones de la ONU en pro de la autodeterminación del territorio. 
    En estas condiciones, puestos casi cara a la pared, los militares españoles en el Sahara comenzaron a inquietarse. La colonia va a dejar de serlo, pero no por ello España debe marcharse con el rabo entre las piernas. Y es aqui donde interviene estruendosamente ese viaje relámpago del Príncipe Juan Carlos a El Aaiun y las tajantes declaraciones de Arias Salgado en la ONU. Ni hay entrega ni hay carrera. El Jefe de Estado en funciones se estreno oficialmente con este viaje, y todas las fuentes indican que su actitud ha sido muy bien recibida por amplios sectores de la opinión nacional e internacional. Este país ha recuperado la iniciativa, ha afirmado que no cederá ante la presión de la marcha verde y esta de nuevo en condiciones de llevar adelante la descolonización del Sahara de acuerdo con la ONU y con la política trazada desde hace años. 
    Mientras aparecían así signos de optimismo en la política internacional, el país volvió a vivir otras horas de grave tensión con la operación del general Francisco Franco el lunes. Cambio 16 informa esta semana a sus lectores con puntualidad de estos acontecimientos, como lo hizo la semana pasada con aquella magnifica crónica de José Oneto la enfermedad del Jefe de Estado. Son días difíciles pero no decae la esperanza. Cambio 16 pagina 3 numero 204— 3\11\75
  • Cause sahraouie : Fédérer les efforts pour contrecarrer les groupes terroristes

    Les participants aux travaux de l’université d’été des cadres du Front Polisario et de la RASD, abrités par Boumerdès, ont insisté sur l’impératif de répondre aux fetwas religieuses semant le doute sur la légitimité de la cause sahraouie.
    «La réponse à ces fetwas doit être polie, argumentée et convaincante», et mettant à nu la «dangerosité» de cette réflexion perfide «portant atteinte à la légitimité de la cause sahraouie» avec un soutien marocain, ont estimé des membres de la Ligue des oulémas, prêcheurs et imams des Etats du Sahel, dans une conférence sur le thème «la modération en Islam». 
    Dans une intervention relative à la fetwa d’un ouléma saoudien, qui a qualifié la cause sahraouie de «séparatiste», le secrétaire général de la Ligue, Youcef Mechria, a appelé à la nécessité de consacrer davantage d’efforts et de communication envers les peuples, gouvernants et oulémas du Golfe arabe, et du monde arabe en général, afin de «mieux faire connaître la question sahraouie».
    «Les principes de modération et de pardon en Islam, de même que la lutte contre l’extrémisme, nous incitent à l’ouverture d’un débat pour nous concerter sur les questions sujettes à divergence dans le monde Islamique, car nul n’est en possession de la vérité absolue», a-t-il en outre estimé.
    Soutenant que la «modération est le juste milieu» est un sujet «délicat et sensible» dans les Etats du Sahel, M. Mechria a exhorté toutes les parties à fédérer leurs efforts en vue de faire face au «danger des groupes terroristes qui menacent la région».
    Il a souligné que les groupes terroristes, et autres, activant dans le Nord-Mali ne «défendent pas la religion, ni n’appliquent la Charia islamique». Ils sont la «cause» de la transformation du problème en conflit religieux et de l’instabilité régnant dans toute la région, a-t-il observé. Un autre membre de la Ligue, Slimane Safia, a estimé, pour sa part, que la modération et le juste milieu sont les meilleures caractéristiques distinguant l’Islam des autres religions, affirmant que celui-ci (Islam) est «totalement exempt des accusations d’extrémisme imputées à ses adeptes».
    La légitimité de la cause sahraouie est inspirée de l’un des préceptes de la religion islamique, et fortement en vigueur de par la monde, qui est la «légitimité du bannissement de l’injustice », a-t-il ajouté.
    Michelle Decaster dénonce son arrestation. La présidente de l’Association française d’amitié et de solidarité avec les peuples africains (AFASPA), Michelle Decaster, a dénoncé, dans une lettre envoyée par e-mail, son arrestation à l’aéroport d’El-Ayoun occupée par les forces marocaines qui l’ont contraint à se ren-dre dans la ville d’Agadir, rapporte dimanche l’agence de presse sahraouie SPS. «J’ai été enlevée contre ma volonté à l’aéroport d’El Ayoun et séquestrée dans un véhicule présenté comme étant un taxi. Je n’ai pas été expulsée, ayant fait valoir que cette expulsion aurait été illégale, car sans décision judiciaire alors que j’étais entrée en toute légalité à Casablanca», a déclaré Michelle Decaster dans sa lettre.
    «Je n’ai pas pu vous prévenir de la suite, car ces policiers fourbes et menteurs ont déclaré qu’ils allaient me présenter à une autorité judiciaire comme je l’ai réclamé (…). Ils m’ont interdit de téléphoner», a-t-elle souligné. Elle a également ajouté que les policiers marocains «ont utilisé la force» pour la pousser dans un taxi, précisant qu’à l’arrivée, elle a refusé de quitter la voiture. «Un policier est intervenu à la demande du chauffeur, mais il a fait droit à mon exigence d’être conduite dans un hôtel correct à Agadir», a-t-elle indiqué. Lyes K./Agence
    Le Jour d’Algérie, 17/08/2014
  • Algérie- Sahara Occidental : 300 livres offerts à des enfants sahraouis par la direction de la culture de Tizi-Ouzou

    300 livres ont été offerts par la direction de la culture de la wilaya de Tizi-Ouzou à des enfants réfugiés du Sahara Occidental séjournant dans un camp de vacances à la cité balnéaire de Tigzirt (30 km au nord de Tizi-Ouzou), a-t-on appris, hier, auprès de cette structure. 
    « Ce don, composé d’ouvrages traitant des différents aspects de la culture et patrimoine algériens, constitue un geste de solidarité avec les enfants sahraouis, mais contribue aussi à agrémenter leur séjour dans cette région côtière de la région », a indiqué à l’APS Farida Djatit, responsable de la culture et de la littérature à la maison de la culture. 
    Un programme d’animation culturelle et artistique a été élaboré à l’intention des petits vacanciers sahraouis pour leur permettre de passer d’agréables moments, en profitant des bienfaits de la mer, tout en effectuant des visites de sites naturels et historiques de la région, a relevé la même source.
    APS, 16/08/2014
  • Alors que le ministre de l’Intérieur marocain s’en est pris à l’Algérie : Des missiles sur la corniche de Casablanca

    L’esprit belliqueux de nos voisins de l’ouest, n’en finit plus de se renforcer. Le discret déploiement de troupes et de batteries à Casa ne peut en effet qu’être le reflet d’une escalade que le Maroc recherche à tout prix en vue d’occulter son échec diplomatique par rapport à sa colonisation du Sahara Occidental, ainsi que la crise multidimensionnelle qui secoue le royaume chérifien et qui met carrément en péril la stabilité du trône de Mohamed VI.
    Décidemment, l’esprit belliqueux de nos voisins de l’ouest n’en finit plus de se renforcer et de se confirmer. Alors que nous n’avons toujours pas digéré l’insulte qui nous a été faite par leur ministre de la Communication, qualifiant notre politique de  » minable « , et que la MAP, l’agence de presse officielle a tenté de faire accroire que nous serions derrière un vaste trafic de psychotropes vers le Maroc, voilà que son confrère de ‘Intérieur est venu en remettre une couche, alors que des informations sures et parfaitement recoupées font état de mouvements de troupes et de déploiement militaires sur la corniche de Casablanca, donnant sur l’océan Atlantique.
    En effet, et comme le montrent des vidéos amateurs que nous avons pu nous procurer, les sujets de Mohamed VI ont droit à un décor inhabituel sur la corniche de Casablanca. A El Hank, des missiles sont positionnés à côté de chars des Forces armées royales qui ont campé sur place. Sur une vidéo publiée par Goud.ma, on voit des soldats qui s’activent, des tentes, des chars et des missiles prêts à être utilisés.
    Le plus inquiétant, c’est qu’aucune communication officielle de l’armée n’a filtrée mais il se murmure que l’armée de l’air marocaine est en alerte face à une menace terroriste du bastion d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) en Libye. Le hic, c’est qu’on se demande comment les terroristes d’AQMI se trouvant en Libye pourrait débarquer au Maroc, côté Atlantique, alors qu’il leur serait tellement plus facile de débarquer par le sud en suivant ces mêmes pistes dont certaines avaient été empruntées lors de la prise d’otages du site gazier de Tiguentourine.
    L’alerte, et les supputations, n’en sont pas moins là. Comme l’avait déjà écrit notre journal, ajoutant que l’Algérie a très fortement renforcé la surveillance de ses frontières avec ses voisins libyens et tunisiens, des terroristes d’Aqmi se seraient emparés de trois avions civils lors des derniers combats ayant eu lieu à l’aéroport de Tripoli.
    Deux de ces avions, prétendent les services secrets américains, seraient en parfait état et pourraient être utilisés par Aqmi qui a menacé de frapper des places « vivantes » au Maroc, en Tunisie et en Algérie. Goud.ma révèle aussi que le même dispositif, avec des missiles et des chars, a été déployé près d’un barrage à Oujda.
    Bref, Rabat peut avoir pris pour prétexte cette menace pour déployer ses troupes, mettre en place ses batteries, et se lancer dans une nouvelle escalade en matière de provocations qui continuent d’aller crescendo à l’adresse de notre pays. Preuve en est la sortie faite hier par le bien nommé ministre marocain de l’Intérieur, Mohamed Hassad qui accuse l’Algérie d’ »inonder leur pays de drogues ».
    Mohamed Hassad (en arabe, Hassad veut dire envieux), a en effet déploré « une attitude qui dénote d’un choix politique délibéré des autorités algériennes pour maintenir le statu-quo ». Or, « un tel comportement ne sert que les intérêts des trafiquants de drogues et des réseaux criminels, notamment les cellules terroristes qui s’activent dans la région du Sahel », a-t-il déploré.
    De pareille accusations, qui ne reposent sur aucun fondement réel, confirment en revanche que le Maroc n’a pas l’intention de jouer la carte de l’apaisement, et que l’attitude sage et condescendante de notre chef de la diplomatie, Ramtane Lamamra, au lendemain de l’insulte dont on avait été victime de la part du ministre de la Communication, semble avoir  » encouragé  » Rabat à aller plus loin, puisque même l’atteinte à notre emblème
    national au niveau de notre consulat de… Casablanca n’a toujours pas fait l’objet des suites judiciaires logiques qui auraient dû en résulter…
    K. Z.
    La Tribune des Lecteurs, 17/08/2014
  • Le Maroc ne cherche pas la neutralité du Conseil de sécurité, il cherche à le neutraliser

    Le caractère très peu diplomatique et la virulence de la charge de l’inénarrable représentant permanent marocain à New York contre le secrétaire général de l’ONU et son envoyé personnel, l’ambassadeur Christopher Ross, illustrent aux yeux de tous les observateurs l’étendue du désarroi des autorités marocaines qui redoutent que le prochain rendez-vous du Conseil de sécurité, en avril 2015, ne soit fatal à la thèse fantasmatique de l’autonomie que le Makhzen veut imposer en violation de la légalité internationale et au mépris de la doctrine des Nations unies en matière de décolonisation. 
    Le représentant permanent du Maroc, qui n’a de diplomate que le nom, s’est permis, en effet, de sommer, de façon effrontée, le système des Nations unies de se soumettre au diktat marocain («rejet de toute discussion en dehors de l’Initiative d’autonomie proposée par le Maroc, pas de règlement en dehors de la souveraineté territoriale et de l’unité nationale») et de s’aligner sur ses prétentions coloniales ou, à défaut, de s’attendre à des représailles, notamment en ce qui concerne le maintien de la Minurso. 
    Ce discours irresponsable, qui alterne les conditionnalités rédhibitoires et les menaces à peine voilées, en dit long sur un régime aux abois qui se trouve contraint de recourir aux gesticulations pathétiques, aux attaques puériles et à la surenchère gratuite à l’encontre de l’Algérie. En fait, une lecture parallèle de la communication faite par Mezouar devant le Parlement marocain et de l’entretien accordé par son représentant, psychorigide et néanmoins permanent à la MAP, est éclairant sur les raisons de cette fébrilité extrême de la diplomatie marocaine : l’évaluation globale du processus politique en avril 2015 par le Conseil de sécurité sur la base du nouveau rapport du secrétaire général de l’ONU pourrait, en raison de l’impasse imputable au Maroc, amener le Conseil à reconsidérer toute son approche en sortant la question du Sahara Occidental du chapitre VI (règlement pacifique des différends) pour l’inscrire dans le cadre contraignant du Chapitre VII (actions en cas de menace contre la paix, de rupture de la paix). 
    Outre l’enterrement de première classe de la prétendue «prééminence» de la thèse de l’autonomie, ce repositionnement du Conseil imposerait au Maroc l’organisation d’un référendum comportant les trois choix (autonomie, intégration ou indépendance) et c’est là où réside le cauchemar d’une diplomatie marocaine, naguère triomphaliste, et qui reconnaît désormais avec amertume que l’année 2015 sera cruciale pour sa «cause nationale». Ni les manœuvres désespérées et outrageantes de Mezouar ni les complaintes larmoyantes et les mystifications grotesques de son envoyé peu distingué de New York ne suffiront à empêcher le Conseil de sécurité d’assumer, tôt ou tard, la plénitude de ses responsabilités. 
    Parmi les mystifications et les impostures les plus criantes de l’ambassadeur du Maroc à New York, pour lesquelles il a franchi allègrement le mur du «çon», il faut relever sa singulière redéfinition du mandat de la Minurso (surveiller le cessez-le-feu, réduire les risques d’explosion de mines, soutenir les mesures de confiance) en occultant, avec une sacrée dose de malhonnêteté, le fait que le «r» de Minurso signifie référendum. 
    Tout comme son faux démenti «formel» qu’il balbutie laborieusement en s’emmêlant les pinceaux : le Maroc ne s’oppose pas à la visite de Ross dans la région, mais il faut que ce dernier réponde au préalable à un questionnaire unilatéral concocté par les officines du palais pour préempter et avoir un droit de regard sur le contenu du rapport que l’envoyé personnel aura à produire à l’issue de sa tournée régionale. Cette manœuvre grossière pour bloquer le projet de visite de Ross a beau être drapée dans les oripeaux de la «transparence» et de la «prévisibilité» (sic), elle n’en constitue pas moins une insulte caractérisée et insoutenable à l’égard de l’intégrité du système des Nations unies, tout comme le sont d’ailleurs ces jérémiades au sujet de la désignation de la nouvelle représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU, Kim Bolduc. Là aussi, les incohérences du représentant marocain atteignent le paroxysme de la consternation : il reconnaît que la désignation de la nouvelle représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU, Kim Bolduc, est du ressort du secrétaire général de l’ONU, mais il pleurniche sur le fait que son pays n’ait pas été consulté, subodorant par là même, en tant que stratège de pacotille, un «fait accompli» avec des répercussions possibles sur l’élargissement de facto du mandat de la Minurso ! En vérité, c’est la personnalité et l’expérience de Mme Bolduc qui ajoutent à l’angoisse existentielle des responsables marocains. Elle aura certainement à cœur de s’acquitter de sa mission sans compromission et de saisir sa tutelle à New York de tous les dérapages et violations commis par les forces marocaines dans les territoires sahraouis occupés. 
    Enfin, le diplomate de l’année s’épanche copieusement, en surexcitant ses glandes lacrymales, sur la conjoncture régionale qui est «tellement trouble et périlleuse» qu’il faut tordre le cou à la légalité internationale et au droit imprescriptible du peuple du Sahara Occidental sur l’autel du fait accompli colonial. Il s’agit là d’une argutie fallacieuse. L’épouvantail de la conjoncture régionale et du terrorisme dans le Sahel est mécaniquement – et vainement – agité par le ministre Mezouar et ses collègues pour en faire un effet d’aubaine, quitte à pousser la communauté internationale à commettre une forfaiture et un déni de justice ! 
    En fait, comme une bête blessée, le Maroc s’enfonce dangereusement dans une névrose obsidionale. Ses relations avec l’ensemble de ses voisins sont tendues : Algérie, France, Mauritanie, RASD et Espagne. Cette dernière, qui a une responsabilité politique, morale et historique dans la question du Sahara Occidental, subit ouvertement de nouvelles formes de chantage odieux à travers «les dysfonctionnements» prémédités et les «défaillances sécuritaires passagères et soudaines» qui autorisent des centaines de pateras à aller à l’abordage de ses côtes ainsi qu’à travers l’épouvantail des 3 000 terroristes marocains qui massacrent des innocents en Syrie et en Irak, et dont certains pourraient être tentés d’aller, le sabre au clair, voir du côté des territoires espagnols.
    Karim Bouali
    http://www.algeriepatriotique.com/article/le-maroc-ne-cherche-pas-la-neutralite-du-conseil-de-securite-il-cherche-le-neutraliser
  • El Uali Mustafa Sayed: El Ejemplo De La Fuerza De La Juventud

    “Si quieres tu derecho es preciso que estés dispuesto a derramar tu sangre, es preciso que sacrifiques todo por una sola cosa: tu dignidad”.
    Hace algunos años, en el marco de una agrupación política, me dijeron que por mi juventud, no tenía lugar y que debía concentrarme en estudiar y disfrutar de mi edad, que no estaba preparado a pesar de mis buenas ideas para adentrarme en política. En aquel momento tenía 28 años. En esos momentos me pareció una absoluta injusticia. Es de público conocimiento el clamor de la sociedad de un relevo generacional en la clase política. No solo se precisa gente más joven, sino gente con “alma joven” capaz de liderar transformaciones y tener la fuerza para guiar a toda una nación en momentos de zozobra. Existen muchos casos de liderazgos jóvenes, que estuvieron a la altura de las circunstancias. Un ejemplo de ello fueron los comandantes de las fuerzas israelíes en la guerra de 1948.
    En estos días, más precisamente el 9 de junio, se recuerda la muerte del primer presidente de la República Árabe Saharaui Democrática en el campo de batalla. Esta inteligencia singular, como señala con acierto el prestigioso académico Dr. Carlos Ruiz Miguel, nació en el seno de una familia nómada, lo que cuesta precisar su fecha exacta de nacimiento. Brillante estudiante, le permitió llegar a la Universidad en Marruecos, donde se pondrá en contacto con otros estudiantes saharauis y se impregnará de las corrientes revolucionarias. Aquel joven, lleno de inquietudes, sueños e ideales sin ninguna duda como sus compañeros quedarían fascinados por los profundos cambios que ocurrían en el Mundo. La idea de cambiarlo, parecía estar al alcance de la mano. Su militancia le generará la cárcel y el exilio, por manifestarse abiertamente por la independencia del Sahara Español. El destino lo llevará a Argelia, donde se pondrá en contacto con el FLN argelino. Cabe recordar que el FLN tenía cierto “halo” sagrado por la épica lucha contra el colonialismo francés. El Uali Mustafa Sayed buscará apoyo para la causa independentista saharaui y encontrará eco en la Revolución Libia, liderada por un joven coronel Muammar Gaddafi.
    En esos días, los cambios sociales ocurridos en el Sahara Español, creo la condiciones para la formación de una conciencia nacional saharaui y dando paso al germen del movimiento nacionalista. Este movimiento tuvo un carácter pacífico, liderado por el carismático Bassiri. La trágica desaparición de este personaje, ante la dura respuesta de las autoridades coloniales españolas, radicalizó el movimiento saharaui. El tiempo del diálogo había terminado, había llegado la hora de las armas y de pasar a la acción. Un grupo de representantes del pueblo saharaui en Mauritania decidieron crear el Frente Polisario, en mayo de 1973 y a los pocos días sus hombres tendrían su bautismo de fuego. En todos los combates y acciones de resistencia, estaría presente El Uali, un hombre de veintitantos años. El prestigio ganado entre sus compañeros de lucha lo llevaran que en el II Congreso del Frente Polisario sea electo Secretario General y por ende el máximo líder del movimiento revolucionario, Era el año 1974. Marruecos presionaba abiertamente en su reclamo sobre el Sahara Español, sin tener muy en cuenta lo que opinaban los saharauis, mientras que España llevaba un comportamiento contradictorio, por un lado hablaba de referéndum sobre autodeterminación, ciertos sectores del gobierno se aferraban a la idea de un Sahara español, y otros traicionando al pueblo saharaui y las promesas de Madrid apoyaban la tesis entreguista.
    El Uali era líder de un movimiento pequeño y escaso de recursos. Se luchaba ante gigantes y la victoria parecía un espejismo. Ello no lo desanimó. Su carisma, su fuerza joven, y un carácter especial le permitieron seguir adelante con la lucha iniciada en 1973. Las escaramuzas con las fuerzas españolas fueron forjando las fuerzas saharauis y su líder. Cabe destacar que El Uali quien tenia el hábito de luchar en primera línea.
    En 1975 un año negro para la historia del pueblo saharaui, dado que España decide abandonar a los saharauis intempestivamente. El rey Juan Carlos I, que ahora dejó la Corona, había prometido defender la libertad del pueblo saharaui y sus derechos. A los pocos días, el gobierno español hacia las maletas del Sahara en medio de una brutal invasión perpetrada por Marruecos y Mauritania. La llegada de los invasores estuvo precedida de todo tipo de actos de violencia y el terror llegó a la población civil, que no dudó en emprender el exilio al desierto. Millares huyeron de sus hogares con lo puesto. Antes de expirar la presencia española de manera formal, según los siniestros Acuerdos de Madrid, el 27 de febrero de 1976, en la localidad de Bir Lehlú, el Consejo Nacional Saharaui proclama la RASD con la presencia de numerosos periodistas extranjeros, siendo proclamado presidente nada menos que El Uali Mustafa Sayed. La guerra es una realidad y pareciera que todos está perdido. Un pueblo huye por el desierto. Los invasores tienen el apoyo de las grandes potencias occidentales y numerosos recursos materiales. Pareciera que en semanas el Frente Polisario sería barrido de la faz de la tierra. Solo un liderazgo de excepcional calidad y talento estratégico, como El Uali Mustafa Sayed supo mantener a un pueblo unido y lograr explotar al máximo la ayuda externa proveniente de Libia y Argelia.
    Los antiguos soldados, suboficiales y policías saharauis eran ahora parte del naciente Ejército de Liberación Popular. Son horas dramáticas. El pueblo huye y no hay medios para asistirlos. Los invasores bombardean la población civil con napalm y fósforo, con la idea de eliminar combatientes saharauis. Um Dreiga, Guelta, Tifariti, son testigos del horror. Los refugiados son la “retaguardia” de la joven República Saharaui. El Uali con su carisma alienta al pueblo a seguir luchando, ante un mundo indiferente que guarda silencio ante tales horrendos crímenes.
    Las fuerzas saharauis gracias a un liderazgo de calidad, aprovechamiento del terreno, sorpresa táctica, movilidad y un alto grado de audacia, libran una lucha épica. Diez contra uno. El liderazgo saharaui apuesta a atacar objetivos estratégicos del enemigo. Es una guerra de todo o nada. No hay opciones. El fracaso no es la opción. Un pueblo sufre la opresión de los invasores. No solo está en juego la libertad, sino la existencia de los saharauis como nación.
    En esta etapa de la guerra conocida como “Defensa Positiva” por el escritor español Emiliano López Gómez, los saharauis libran una guerra de dos frentes. Se suceden hechos heroicos como la batalla de La Agüera donde cientos de combatientes saharauis combaten hasta el último cartucho. Los invasores se ven ante un combatiente decidido a vender cara su vida. En este contexto nace la acción contra Mauritania en el marco de un contexto de racionalidad estratégica. La estrategia se adapta a los recursos existentes. Así nace la llamada Ofensiva de Verano: unos 800 soldados del ELPS con vehículos armados con cañones sin retroceso, ametralladoras pesadas, fueron lanzados a un raid sobre diversos puntos de la geografía mauritana. Los ataques se dirigieron a la zona donde se explotaban las minas de hierro de Zuérat (eje de la economía mauritana), el centro de la minería cuprífera de Akjujt, para después romper las líneas mauritanas y abrir paso a las fuerzas del ELPS a la capital de Mauritania. Los objetivos militares saharauis eran claros, golpear sectores estratégicos del Estado mauritano, a fin de quebrar la base de financiamiento de su maquinaria de guerra, agregándose algo más audaz, el golpe estratégico contra su liderazgo político – militar: atacar la capital. Una de las columnas móviles era liderada por el presidente de la RASD, El Uali Mustafa Sayed. las fuerzas saharauis atacan la capital mauritana el 8 de junio de 1976, atacando el palacio presidencial donde queda en evidencia el grado de vulnerabilidad mauritana. El 9 de junio se libran dos nuevos combates entre fuerzas mauritanas y saharauis ocurren en Mutunsi y Benichaab, en la región de Akjujt, donde mueren el presidente de la RASD El Uali Mustafá Sayed con su ayudante Lubeid Uld Larosi. Su pérdida causa una profunda conmoción en el pueblo saharaui al perder a su carismático líder. El primer presidente de los saharauis solo tenía 27 años. El III Congreso del Frente designará como presidente al actual jefe de estado saharaui, Mohamed Abdelaziz.
    La audacia del El Uali le permite a las unidades militares saharauis perfeccionar sus tácticas de guerra de guerrillas en el desierto, únicas en su tipo, permitiendo hacer frente a fuerzas diez veces mayores. La estrategia militar planteada contra Mauritania por El Uali tendrá sus efectos. No solo caerá el régimen de Uld Daddah cómplice de Hasan II de la invasión del Sahara Occidental, sino de los crímenes contra la humanidad y de guerra cometidos, sino que Mauritania saldrá exhausta y con una economía en ruinas por la aventura.
    Sin ninguna duda luchas como, el caso del pueblo saharaui, el ejemplo de El Uali Mustafa Sayed, son fuentes de inspiración para luchar contra la injusticia, la opresión y la ausencia de libertad. Esperemos que la Historia algún día reivindique a este joven que murió en defensa de la dignidad y libertad de su pueblo.
    Por el Dr. Jorge Alejandro Suárez Saponaro.
    Abogado – Magíster en Defensa Nacional
    Profesor Invitado de la UNLP
    Cátedra Libre de Estudios sobre el Sahara Occidental.
    http://www.saharalibre.es/modules.php?name=News&file=article&sid=7072
  • El cantante Manu Chao, desde Italia con el pueblo saharaui

    *Fuente: Representación saharaui en la Toscana; 13/08/2014
    El cantante Manu Chao demostró una vez su apoyo incondicional por la causa y el pueblo saharaui durante un concierto en Italia. El concierto fue organizado en Marina de Pisa, Italia, el día 12 de Agosto y un grupo de saharauis, entre los que había varios niños, fueron invitados de honor al concierto por Manu.
    Fueron momentos vividos con gran emoción e increíble intensidad, en especial cuando Manu Chao dedicó su canción ‘Clandestino’ « al pueblo saharaui, que lucha por su Liberta y su tierra ». Comenzó la canción diciento: “el pueblo saharaui está aquí” e invitó a subir al escenario a varios niños saharauis con banderas de su país, como muestra de su apoyo incondicional a la lucha pacifica del pueblo saharaui.
    Entre los lemas que gritó Manu Chao estuvo: “apoyo al pueblo saharaui, hasta la victoria, siempre”.
    http://poemariosaharalibre.blogspot.be/2014/08/el-cantante-manu-chao-desde-italia-con.html

  • L’agence officielle marocaine publie des analyses commandées sur les événements de Ghardaïa

    Jeremy Keenan
    L’acharnement du Makhzen contre l’Algérie est devenu obsessionnel. Son seul souci est de détourner l’attention du peuple marocain des problèmes internes liés notamment au surendettement et à une crise sociale endémique. Le recours à des «experts» étrangers pour tenter de soigner l’image du royaume est la dernière trouvaille d’une monarchie aux abois. Ainsi, en l’espace de deux jours, l’agence officielle marocaine MAP s’ouvre à deux «experts» anti-algériens sur deux thèmes qui constituent le nouveau terrain de prédilection du Makhzen dans sa campagne d’hostilité contre l’Algérie : la drogue et les événements de Ghardaïa. 
    D’emblée, l’agence accuse le gouvernement algérien d’être «derrière la répression sanglante» contre la population de la vallée du M’zab et d’«instrumentaliser les divisions entre les minorités arabes et mozabites, et faire régner la terreur dans le but de s’imposer comme l’ultime sauveur» et ce, en s’appuyant sur les déclarations superflues d’un certain Jeremy Keenan, un Britannique connu pour son acharnement contre l’Etat algérien. Sur la même lancée, ce nouveau bouffon de la cour royale, présenté comme étant un «chercheur britannique et professeur à la School of Oriental and African Studies (SOAS) de Londres», atteste que «le régime d’Alger a depuis toujours eu tendance à créer la terreur et la division pour les exploiter à son avantage». 
    Plus zélé que le rédacteur de l’agence lui-même, il estime que «cette politique est appliquée sur le plan régional, notamment au Sahel, et à l’intérieur du pays». Reprenant des formules stéréotypées et usitées par la presse marocaine en général sur ce vieux conflit interconfessionnel qui a ressurgi à Ghardaïa, Jeremy Keenan tient les services de sécurité algériens responsables des affrontements dans cette région. La dépêche de MAP appuie ensuite les arguties du mercenaire britannique par des articles et des écrits parus dans des sites d’information algériens qui, eux-mêmes, se nourrissent de manipulations et d’intoxication de l’opinion, en essayant à chaque fois d’exacerber le conflit ou de lancer de messages appelant à la haine et à la discorde. L’agence repend également une analyse tendancieuse d’une «chercheuse» allemande nommée Susanne Kaiser qui abonde dans le même sens. Elle considère que «les clashes qui ont eu lieu à Ghardaïa sont le fruit de la marginalisation sociale et politique des minorités». 
    Usant des mêmes raccourcis et faisant montre d’une connaissance tout à fait élémentaire de l’Algérie et de son histoire, cette autre bouffonne du roi écrit que «depuis l’indépendance de l’Algérie, les minorités berbères ont été réduites à un simple rôle folklorique», estimant encore que «les revendications de cette minorité ont été toujours considérées comme une trahison au système établi et imposé par le régime». Plus alarmiste, l’analyste allemande juge que «les conflits en cours dans cette ville du Sud algérien signifient que la situation sociale et politique en Algérie demeure largement explosive», arguant que l’avenir de l’Algérie reste «enveloppé par l’incertitude en raison des tensions qui ne cessent de s’accentuer à tous les niveaux dans ce pays», conclut-elle.
    R. Mahmoudi
    http://algeriepatriotique.com/article/lagence-officielle-marocaine-publie-des-analyses-commandees-sur-les-evenements-de-ghardaia
  • Quitte à nous répéter

    Par M. Aït Amara
    «On a recensé, entre juin 2013 et juin 2014, presque 1 605 articles hostiles au Maroc, soit une moyenne de 4 à 5 articles par jour.» C’est le ministre marocain de la Communication qui annonce ce chiffre dans une conférence de presse conjointe avec le ministre de l’Intérieur et le ministre délégué à l’Intérieur. Mohammed VI a donc mobilisé trois membres de son gouvernement – pas moins – pour compter le nombre d’articles hostiles à sa personne et à sa monarchie. 
    On ne sait pas si les préposés à la comptabilité ont également compté le nombre de signes que comportent ces articles, mais on apprend que, contrairement à nous autres journalistes algériens, nos confrères marocains sont «libres et indépendants», dixit donc leurs ministres. Chacun affirme que ce sont ses fèves qui cuisent le mieux, dit un dicton algérien. 
    Pour ce commis marocain délégué à l’ensorcellement des populations marocaines opprimées et au nom desquelles un roi et sa famille accaparent les trois quarts des richesses du pays, «la campagne médiatique haineuse menée par certains médias algériens s’inscrit dans le cadre des surenchères et reflète une tentative de dissimuler le rôle négatif et provocateur que joue l’Algérie et qui prend des fois un aspect nettement hostile, en particulier à propos de l’affaire du Sahara (marocain)». Et de trancher : «Le Maroc, lorsqu’il veut exprimer ses positions, le fait d’une manière claire et directe.» On ne peut pas nier, à dire vrai, que ceci n’est pas totalement faux. Quand le Makhzen agit par rapport à son voisin algérien, il est mû par une espèce d’instinct animal qui le fait s’agiter dans tous les sens, telle une bête blessée, arrachant sur son passage le drapeau algérien du haut du consulat d’Algérie à Casablanca, soulevant des tornades médiatiques, diplomatiques et politiques dont la force du vent est mesurée à l’aune des tonnes de cannabis qui parviennent jusqu’à nos frontières et s’accrochant à la plume à l’encre périmée de gratte-papier occidentaux – généralement pro-sionistes – pour jurer par tous les dieux que le Maroc officiel est une monarchie fréquentable et sans… histoire.
    M. A.-A.
    http://algeriepatriotique.com/content/quitte-nous-repeter
  • La avalancha sin precedentes de pateras planeada por Marruecos

    Para Madrid, es una certeza: Marruecos a planeado bien con la avalancha sin precedentes de pateras de la semana pasada hacia las costas españolas. Nada m´s queel martes, los guardacostas españoles tuvieron que rescatar a lo largo de la costa de Tarifa (Cádiz), 836 migrantes subsaharianos que intentaban llegar a España a bordo de 84 pateras. Algo nunca visto!
    Todas estas embarcaciones de fortuna llegaban de Marruecos. Las patrullas marítimas de la Guardia Civil (gendarmería) fueron sorprendidos por la flagrante ausencia de sus homólogos marroquíes en altamar. Sin embargo, España y Marruecos están vinculados por un acuerdo de vigilancia mixta de los movimientos de inmigrantes clandestinos en el Estrecho de Gibraltar. Un guardia civil español afirma con cierta ironía:
    « No nos cruzamos con ninguna patrulla marroquí durante las operaciones para interceptar las decenas de patera. Mientras que un fenómeno de esta envergadura no podía pasar desapercibido (por las autoridades del país vecino), ya que al menos cuatro fragatas debieran patrullar constantemente en la zona « . Laxismo? Permisividad? El caso es mucho más grave, aunque, obviamente, el gobierno español no quiso suscitar la polémica con Rabat, limitandose a recordarle sus obligaciones en materia de cooperación contra la inmigración ilegal procedente de Marruecos. 
    « Teneis 48 horas para atravesar! » 
    « El Mundo » considera que el caso está lejos de ser un simple comportamiento laxista de Rabat. El periódico puso en gran titular este inquietante testimonio de algunos sobreviviented africanos : “los gendarmes marroquíes se acercaron a nosotros el domingo en Tánger para ordenarnos atravesar el Estrecho de Gibraltar en 48 horas. « 
    Ya todo está dicho. El Gobierno de Rajoy ha optado por no hacer comentarios sobre este tema, pero tampoco deja pasar el tema. El ministro español de Exteriores, José Manuel García-Margallo, de vacaciones, mantuvo una conversación telefónica con su homólogo marroquí. Nada se sabe del contenido de esta conversación. Su colega del Interior, Jorge Fernández Díaz recibió instrucciones de Rajoy para tomar medidas de respuesta a esta « grave situación ». Después de haber reunido con urgencia los responsables de su departamento, el ministerio anunció el envío de 300 guardias civiles para reforzar el dispositivo de seguridad en torno a … Ceuta y Melilla.
    ¿Por qué refuerzos para Ceuta y Melilla y no para el Estrecho? La respuesta, la conoceremos en las horas venideras, ya que Marruecos ya recuperó el control de los movimientos migratorios en esta zona marítima. Las patrullas marroquíes han podido frenar, cuando quisieron, la ola de dos días de pateras. Gracias al despliegue de nuevo del dispositivo de seguridad del país vecino, los guardacostas españoles no tuvieron que interceptar en su campo de acción mas que tres pateras con 21 personas a bordo. Lo cual constituye la media estacional. 
    Rabat intenta justificar su permisividad 
    Ya que tiene que justificarse, el gobierno de Benkirane recurrió a un argumento que la prensa española no ha tomado en serio. El Ministro del Interior de Marruecos, Mohamed Hassad, evocó una « disfunción » constatada en el dispositivo de control de los movimientos migratorios en el Estrecho de Gibraltar.
    Un argumento puramente técnico. Los españoles tenían razón al preocuparse por la presión de migratoria que iba a acentuarse sobre Ceuta y Melilla. De hecho, la permisividad de Marruecos en la zona marítima fue una reacción a la decisión de un juez de Melilla de abrir una investigación a petición de las organizaciones civiles sobre el comportamiento brutal del mes pasado de las fuerzas auxiliares marroquíes en el perímetro del enclave.
    Las autoridades españolas habían autorizado a los gendarmes marroquíes que entren en la banda de separación situada en territorio español para ayudarles a desalojar a las decenas de subsaharianos que acababan de cruzar la valla alambres de la ciudad y devolverlos a Marruecos.
    http://www.letempsdz.com/content/view/129250/1/