Mois : août 2014

  • Maroc, un voisin qui vous veut du mal

    Si le Maghreb, ce grand rêve, de près de 100 millions de personnes, n’a pu se concrétiser, à ce jour, c’est en grande partie à cause des entourloupes du royaume chérifien et de sa politique d’expansion au Sahara Occidental, mais aussi à cause de sa politique de destruction menée contre les pays de la région, et de leurs jeunesses, qu’il est en train de tuer à petit feu.
    Par Smaïl Daoudi
    La drogue fait des ravages en Algérie. Les chiffres qui sont, périodiquement, donnés par les services concernés ne cessent de connaître une augmentation vertigineuse. Rien ne semble arrêter les réseaux mafieux. Malgré les innombrables saisies, ils continuent de sévir, ne reculant devant rien pour fructifier leur sale commerce.
    Pourtant les services de sécurité sont sur les dents et multiplient les barrages et les guets-apens en utilisant des moyens de plus en plus sophistiqués pour rendre encore plus efficace leur lutte contre ce fléau destructeur. Une mobilisation qui coûte à l’Algérie des moyens financiers énormes et qui la prive ainsi d’une importante manne financière, qui manquera toujours, quelque part, dans la relance économique. Mais l’Algérie, en fait, ne se bat pas seulement contre ces réseaux mafieux, mais contre leur vrai pourvoyeur, le royaume du Maroc.
    Ce pays frontalier, pourtant «frère», fait tout pour affaiblir l’Algérie, et mène une politique décidée en haut lieu pour nuire à notre pays par toutes les manières possibles et imaginables. Et l’une de ses armes, la plus destructrice reste bien sûr la drogue, qu’il instrumentalise spécifiquement contre l’Algérie. Pourtant ce pays devrait être rappelé à l’ordre puisque toutes les organisations internationales dont l’ONU, même le département d’Etat américain le classe comme le premier pays producteur et exportateur de ce poison. Mais malheureusement rien n’est fait pour le remette à sa place et on le laisse faire, alors qu’il est manifestement un danger réel pour le monde entier.
    Si le Maghreb, ce grand rêve, de près de 100 millions de personnes, n’a pu se concrétiser, à ce jour, c’est en grande partie à cause des entourloupes du royaume chérifien et de sa politique d’expansion au Sahara Occidental, mais aussi à cause de sa politique de destruction menée contre les pays de la région, et de leurs jeunesses, qu’il est en train de tuer à petit feu. Le Maroc ne se soucie guère ou très peu des décisions de la communauté internationale, il s’entête à mener ses sales guerres qui bloquent tout développement de la construction du Grand Maghreb, mais comme dit le proverbe à trop vouloir jouer avec le feu on finit par se brûler.
    http://www.ouestribune-dz.com/edito.htm
  • Sáhara Occidental: los saharauis, un pueblo invencible

    Según informaciones reveladas por WikiLeaks y publicadas por el diario mauritano digital Al-Aqlam, Jordania ha proporcionado armas y municiones al ejército de Mojtar Uld Dadad en 1976 para hacer frente a los combatientes saharauis.
    Un documento americano con fecha de 27 de mayo de 1976 revela que el ex presidente de Mauritania, pidió al Rey Hussein Ibn Talal en diciembre de 1975 armas justo después de su reunión con el difunto presidente Boumediene en la ciudad argelina de Bechar, informó la misma fuente.
    Los Estados Unidos dieron luz verde a la entrega con la condición de que tenga lugar en la total discreción. 
    Arabia Saudita, por su parte, suministraba armas, municiones y petrodólares a Marruecos para luchar contra el pueblo saharaui.
    La historia del Sáhara Occidental y su gente es increíble. Todo el mundo se ha aliado en contra de este pequeño pueblo, en aquel entonces nómada, con el fin de compartir el pastel de sus recursos naturales. En nombre de la lucha contra Argelia y el socialismo, los Estados Unidos, Francia, España, Marruecos, Mauritania, todos los países árabes y europeos, se declararon contra los saharauis cuyo único apoyo era Argelia y Libia.
    Marruecos y Mauritania encarcelaron, torturaron, lanzaron a ciudadanos desde helicópteros, pero este pueblo no ha renunciado a su legítimo derecho a la autodeterminación y la independencia. Las batallas de Nuakchott, Zouérate, Boulanouar, Tan-Tan, Smara, Mahbes, Leboirat, Zak, Ouargzize y decenas más quedarán en la historia escritas con plumas de oro y la sangre de los heroicos saharauis.
    Cuarenta años después, los derechos del pueblo saharaui son intangibles y Marruecos, apoyado por Francia, hizo lo imposible para incitar la comunidad internacional a ignorar los derechos del pueblo saharaui. En vano. 
    Hoy, la ONU está más convencida que nunca de que este pueblo es invencible y que cualquier solución que no esté basada en su voluntad y su deseo está condenada al fracaso.
  • Sahara Occidental : Les sahraouis, un peuple invincible

    Selon des informations révélées par Wikileaks et publiées par le journal digital mauritanien Al-Aqlam, la Jordanie a fourni des armes et des munitions à l’armée de Mokhtar Ould Dadad en 1976 pour faire face aux combattants sahraouis.
    Un document américain datant du 27 mai 1976 révèle que l’ancien président de la Mauritanie, a demandé au roi Hossein Ibn Talal en décembre 1975 des armes juste après sa rencontre avec feu Boumediène dans la ville algérienne de Bechar, a rapporté la même source.
    Les Etats-Unis ont donné le feu vert à condition de faire livraison dans la discrétion totale.
    L’Arabie Saoudite, de son côté fournissait armes, munitions et pétrodollar au Maroc pour combattre le peuple sahraoui.
    L’histoire du Sahara Occidental et son peuple est étonnante. Tout le monde s’est allié contre ce petit peuple de nomades, à l’époque, dans le but de partager le gâteau de ses ressources naturelles. Au nom de la lutte contre l’Algérie et le socialisme, les Etats-Unis, la France, l’Espagne, le Maroc, la Mauritanie, la totalité des pays arabes et européens, se sont mis contre les sahraouis dont le seul était l’Algérie et la Libye.
    Le Maroc et la Mauritanie ont emprisonné, torturé, lancé des citoyens des hélicoptères, mais ce peuple est n’a pas renoncé à son droit légitime à l’autodétermination et l’indépendance. Les batailles de Nouakchott, Zouérate, Boulanouar, Tan-Tan, Smara, Mahbes, Leboirat, Zak, Ourgzize et des dizaines d’autres resteront pour l’histoire écrites des plumes d’or et de sang des braves sahraouis.
    Quarante ans après, les droits du peuple sahraoui sont intangibles et le Maroc a tout fait, à l’aide de la France, pour amener la communauté internationale à ignorer les droits du peuple sahraoui. En vain.
    Aujourd’hui, l’ONU est plus que jamais convaincue que ce peuple est invincible et que toute solution qui n’est pas basée sur sa volonté et son désir est vouée l’échec.

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  • Maroc : maison close à ciel ouvert

    La nouvelle est diffusée sur la chaîne tunisienne Nesma TV. Le présentateur rattrape un fou-rire lorsqu’il lance l’information.
    Au Maroc, après 20 ans, le nombre d’enfants nés hors mariage a augmenté de 50%, selon les dernières statistiques. La société civile lance des signaux d’alerte rouge sur la question.
    L’association a alerté sur le sujet de la prolifération des naissances hors mariage, 
    Selon Aïcha Chenna, présidente de l’Association Solidarité Féminine, d’après l’enquête réalisée par l’Association Insaf (Equité), entre 2003 et 2009, plus de 500.000 enfants de moins de 7 ans sont nés hors de l’institution du mariage. Ils ont été engendrés par plus de 200.000 mères célibataires, 11,6% des enfants nés sont nés hors du mariage, les naissances journalières selon les chiffres blancs sont de l’ordre de 100 enfants.
    L’association revendique la réalisation de tests paternels
    La prolifération de ce phénomène est dûe à la prolifération de la prositution causeé par les inégalitésm fruits elles-mêmes, du système de pillage instauré par la monarchie marocaine.
    Le roi Mohammed VI, dans le but de créer des sources de financements pour sa colonisation du Sahara Occidental a fait du Maroc une maison close à ciel ouvert.
    Le Sahara Occidental, ancienne colonie espagnole, a été envahie par le Maroc en 1975 en raison de ses nombreuses richesses naturelles, les phosphates et les poissones entre autres.
  • Comment le Maroc veut s’implanter au Sahel

    L’ambition du Maroc de s’introduire dans la région du Sahal semble trouver ses sources même dans des organisations terroristes, selon des Sahraouis. 
    Rym Nasri – Alger (Le Soir)
    Hôte hier, du forum d’El Moudjahid à Alger, le secrétaire général des travailleurs sahraouis, Mohamed Chikh Lahbib, affirme que le Maroc ambitionne de pénétrer et de s’imposer au Sahel. Un objectif pour lequel, dit-il, «le Maroc emploie tous les moyens même s’il n’a pas de frontières avec cette région».
    Selon lui, le Mujao n’est qu’une création marocaine. «C’est une organisation terroriste, gérée par les services de renseignement marocains et financée par l’argent de la drogue. Ses seules missions sont le rapt des étrangers dans les camps de réfugiés sahraouis et la déstabilisation de l’Algérie», précise Mohamed Chikh Lahbib. Hormis ces deux missions, il affirme n’avoir jamais entendu parler d’autres actes de cette organisation. 
    L’intervenant rejette toute tentative d’impliquer le Sahara occidental dans les fléaux de drogue et de terrorisme. «Les Sahraouis ne font ni dans la culture du cannabis, ni dans sa vente, ni dans son exportation et le Polisario s’est toujours érigé contre le terrorisme et le combat», dit-il.
    S’agissant de la lenteur du processus de règlement de la situation des Sahraouis, Mohamed Chikh Lahbib pointera du doigt la France et implique également certains pays du Golfe. «La France défend les intérêts du Maroc et entrave à chaque fois le processus en ayant recours au veto», dit-il. Selon lui, le Maroc continue à être le «gardien» des pays occidentaux et son roi à «rendre des comptes sur toutes les rencontres des pays arabes à Tel-Aviv». Le SG des travailleurs sahraouis évoque ainsi de nombreuses violations des droits de l’Homme des Sahraouis par le Maroc. Il assure que 5 000 détenus sahraouis demeurent «non identifiés» et que 165 prisonniers politiques sahraouis sont dans les prisons marocaines.
    Toutefois, il précise que le gouvernement marocain nie la détention de 151 autres prisonniers révolutionnaires sahraouis. 
    Toutes ces «violations» et l’embargo militaire et matériel imposés aux Sahraouis sont pour lui, une immense injustice. Pourtant, poursuit-il, «le droit à l’autodétermination est garanti au peuple sahraoui par la Minurso. D’ailleurs, l’Union africaine l’a reconnu et l’a affirmé». 
    Il estime que la communauté internationale ne peut rester ainsi l’otage des exigences des Etats colonialistes. 
    R. N.
  • Le Maroc veut disqualifier les Nations unies, à l’image de son sponsor israélien

    À chaque échéance capitale pour le devenir du Sahara occidental, le Maroc nous a habitués au lancement de campagnes virulentes contre le Front. Polisario, dont la détermination à conduire son peuple vers l’autodétermination et l’indépendance reste inébranlable. Il serait fastidieux de revenir sur les songes et mensonges de l’agence de presse marocaine devenue un simple outil de propagande au détriment d’une information rigoureuse et professionnelle. Mais, c’est le rôle assigné a cette agence qui fut d’ailleurs dirigée par l’actuel chef des services de renseignement marocain et qui lui a assigné son rôle actuel au grand dam des vrais journalistes de talent qu’elle recèle. 
    Mais revenons plutôt sur le caractère très peu diplomatique et la virulence de la charge de l’inénarrable représentant permanent marocain à New York contre le secrétaire général de l’ONU et son envoyé personnel, l’ambassadeur Christopher Ross, qui illustre aux yeux de tous les observateurs l’étendue du désarroi des autorités marocaines qui redoutent que le prochain rendez-vous du Conseil de sécurité, en avril 2015, ne soit fatal à la thèse fantasmatique de l’autonomie que le Makhzen veut imposer en violation de la légalité internationale et au mépris de la doctrine des Nations unies en matière de décolonisation. 
    Le représentant permanent du Maroc, qui n’a de diplomate que le nom, s’est permis, en effet, de sommer, de façon effrontée, le système des Nations unies de se soumettre au diktat marocain («rejet de toute discussion en dehors de l’Initiative d’autonomie proposée par le Maroc, pas de règlement en dehors de la souveraineté territoriale et de l’unité nationale») et de s’aligner sur ses prétentions coloniales ou, à défaut, de s’attendre à des représailles, notamment en ce qui concerne le maintien de la Minurso. 
    Ce discours irresponsable, qui alterne les conditionnalités rédhibitoires et les menaces à peine voilées, en dit long sur un régime aux abois qui se trouve contraint de recourir aux gesticulations pathétiques, aux attaques puériles et à la surenchère gratuite à l’encontre de l’Algérie. En fait, une lecture parallèle de la communication faite par Mezouar devant le Parlement marocain et de l’entretien accordé par son représentant, psychorigide et néanmoins permanent à la MAP, est éclairant sur les raisons de cette fébrilité extrême de la diplomatie marocaine : l’évaluation globale du processus politique en avril 2015 par le Conseil de sécurité sur la base du nouveau rapport du secrétaire général de l’ONU pourrait, en raison de l’impasse imputable au Maroc, amener le Conseil à reconsidérer toute son approche en sortant la question du Sahara occidental du chapitre VI (règlement pacifique des différends) pour l’inscrire dans le cadre contraignant du Chapitre VII (actions en cas de menace contre la paix, de rupture de la paix). 
    Outre l’enterrement de première classe de la prétendue «prééminence» de la thèse de l’autonomie, ce repositionnement du Conseil imposerait au Maroc l’organisation d’un référendum comportant les trois choix (autonomie, intégration ou indépendance) et c’est là où réside le cauchemar d’une diplomatie marocaine, naguère triomphaliste, et qui reconnaît désormais avec amertume que l’année 2015 sera cruciale pour sa «cause nationale». Ni les manœuvres désespérées et outrageantes de Mezouar ni les complaintes larmoyantes et les mystifications grotesques de son envoyé peu distingué de New York ne suffiront à empêcher le Conseil de sécurité d’assumer, tôt ou tard, la plénitude de ses responsabilités. 
    Parmi les mystifications et les impostures les plus criantes de l’ambassadeur du Maroc à New York, pour lesquelles il a franchi allègrement le mur du «çon», il faut relever sa singulière redéfinition du mandat de la Minurso (surveiller le cessez-le-feu, réduire les risques d’explosion de mines, soutenir les mesures de confiance) en occultant, avec une sacrée dose de malhonnêteté, le fait que le «r» de Minurso signifie référendum. Tout comme son faux démenti «formel» qu’il balbutie laborieusement en s’emmêlant les pinceaux : le Maroc ne s’oppose pas à la visite de Ross dans la région, mais il faut que ce dernier réponde au préalable à un questionnaire unilatéral concocté par les officines du palais pour préempter et avoir un droit de regard sur le contenu du rapport que l’envoyé personnel aura à produire à l’issue de sa tournée régionale. 
    Cette manœuvre grossière pour bloquer le projet de visite de Ross a beau être drapée dans les oripeaux de la «transparence» et de la «prévisibilité» (sic), elle n’en constitue pas moins une insulte caractérisée et insoutenable à l’égard de l’intégrité du système des Nations unies, tout comme le sont d’ailleurs ces jérémiades au sujet de la désignation de la nouvelle représentante spéciale du secrétaire général de l’ONU, Kim Bolduc. Là aussi, les incohérences du représentant marocain atteignent le paroxysme de la consternation : il reconnaît que la désignation de la nouvelle représentante spéciale de l’ONU, Kim Bolduc, est du ressort du secrétaire général de l’ONU, mais il pleurniche sur le fait que son pays n’ait pas été consulté, subodorant par là même, en tant que stratège de pacotille, un «fait accompli» avec des répercussions possibles sur l’élargissement de facto du mandat de la Minurso ! 
    En vérité, c’est la personnalité et l’expérience de Mme Bolduc qui ajoutent à l’angoisse existentielle des responsables marocains. Elle aura certainement à cœur de s’acquitter de sa mission sans compromission et de saisir sa tutelle à New York de tous les dérapages et violations commis par les forces marocaines dans les territoires sahraouis occupés. 
    Enfin, le diplomate de l’année s’épanche copieusement, en surexcitant ses glandes lacrymales, sur la conjoncture régionale qui est «tellement trouble et périlleuse» qu’il faut tordre le cou à la légalité internationale et au droit imprescriptible du peuple du Sahara occidental sur l’autel du fait accompli colonial. Il s’agit là d’une argutie fallacieuse.
    L’épouvantail de la conjoncture régionale et du terrorisme dans le Sahel est mécaniquement – et vainement – agité par le ministre Mezouar et ses collègues pour en faire un effet d’aubaine, quitte à pousser la communauté internationale à commettre une forfaiture et un déni de justice ! En fait, comme une bête blessée, le Maroc s’enfonce dangereusement dans une névrose obsidionale. Ses relations avec l’ensemble de ses voisins sont tendues : Algérie, France, Mauritanie, RASD et Espagne. Cette dernière, qui a une responsabilité politique, morale et historique dans la question du Sahara occidental, subit ouvertement de nouvelles formes de chantage odieux à travers «les dysfonctionnements» prémédités et les «défaillances sécuritaires passagères et soudaines» qui autorisent des centaines de pateras à aller à l’abordage de ses côtes ainsi qu’à travers l’épouvantail des 3 000 terroristes marocains qui massacrent des innocents en Syrie et en Irak, et dont certains pourraient être tentés d’aller, le sabre au clair, voir du côté des territoires espagnols.
    Mokhtar B.
  • "La situation des droits de l’Homme est catastrophique" (Mohamee Cheikh Lehbib)

    «La situation actuelle des droits de l’Homme au Sahara occidental est plus que jamais chaotique», a estimé, hier, Mohamed Cheikh Lahbib, secrétaire général de l’Union des travailleurs sahraouis, qui appelle les instances de l’Onu à redoubler d’efforts pour libérer son pays de l’emprise marocaine.
    C’est donc un appel de détresse qu’a lancé cet homme, à l’adresse de la communauté internationale, lors d’une conférence de presse qu’il a animée, au siège du quotidien «El-Moudjahid», conjointement avec son compatriote Ahmed Dah, ex-député.
    Et ce, sous thème : «La Question sahraouie et les violations des droits de l’Homme aux territoires occupés». Ainsi, le conférencier a brossé un tableau noir sur la situation des droits de l’Homme qui prévaut, ces dernières années, dans son pays et, de ce fait, tire à coups de rafale sur les autorités marocaines, les qualifiant de «source principale de violation des droits de l’Homme et de nombre de conflits qui touchent même les pays voisins». D’ailleurs, enchaîne-t-il, plusieurs institutions et organisations mondiales classent ce pays en tête des pays producteurs de drogue et de tourisme sexuel, tandis qu’aucun pays, ni instance internationale, ne reconnaissent la légitimité de son autorité sur les territoires sahraouis. S’appuyant sur le langage des chiffres pour illustrer la gravités dans l’étouffement des libertés individuelles, politiques et le droit à l’expression, l’orateur a indiqué qu’actuellement plus de 500 citoyens et plus 65 prisonniers politiques sahraouis séjournent dans des maisons d’arrêt marocaines.
    Toute en regrettant le fait que le Maroc, de par son veto, manipule les missionnaires de l’Onu au Sahara occidental et achète même le silence de certains pays. Cela, en plus de la stratégie qu’il mène par la perturbation de toute action menée par des organes étrangers l’étouffement de toutes personnes étrangères travaillant dans le domaine des droits de l’Homme et des campagnes de propagande et de désinformation autour de la Cause sahraouie. Évoquant la situation des travailleurs, puisqu’il s’agit de leur secrétaire général, le conférencier a fait savoir que, depuis l’invasion des forces militaires marocaines des territoires du Polisario en 1977, des employés on été licenciés des grandes entreprises pour les remplacer par des Marocains qui dominent depuis le secteur économique. 
    «Le marché sahraoui est, depuis des années, dominé par des Marocains dans tous les sens», a-t-il dit en substance. De son coté, Sid-Ahmed Dah, ancien député, a fait remarquer, dans une brève intervention, que le Maroc demeure fidèle à sa politique d’extension géographique au détriment des pays voisins, créant des conflits aux frontières, tels que le cas avec l’Algérie et le Sahara occidental.
    À la fin de cette rencontre, c’est au tour d’une étudiante de prendre la tribune pour transmettre les souffrances de la femme sahraouie objet, selon elle, de pratiques inhumaines de tous genres, mais qui luttent malgré pour son existence. Rappelant que les invités de cette rencontre séjournent, du 1 er jusqu’au 23 du mois en cours, en université d’été dans la wilaya de Boumerdès.
    Une occasion de donner plusieurs conférences autour de cette thématique. Histoire de profiter aussi des ce rencontre pour consolider les relations entre les peuples deux pays.
    Salim Nasri
    Le Courrier d’Algérie, 20/08/2014
  • Bouchti à Echorouk : « La culture du kif est autorisée par un décret royal depuis 1956 »

    Le secrétaire général du parti de la jeunesse Hicham Bouchti a dévoilé lors d’une déclaration accordée à Echorouk que : «Nous avions tellement dénoncé les attaques marocaines contre l’Algérie ayant pris désormais des proportions telles qu’elles menacent sérieusement les relations, déjà si aléatoires, entre les deux pays.
    Le makhzen a mobilisé tout son personnel pour s’en prendre à tout ce qui est algérien et ira même jusqu’à s’en prendre à la presse algérienne qu’il traitera de manière méprisante, insinuant qu’elle n’était qu’un instrument de propagande entre les mains du pouvoir algérien».
    Notre interlocuteur a considéré les déclarations hostiles contre l’Algérie comme comportement enfantin du gouvernement marocain qui tente de détourner l’attention de l’opinion publique au Maroc : « La guerre lancée contre l’Algérie n’est qu’un plan sécuritaire pour faire taire le peuple marocain afin qu’il ne réagisse pas aux dépassements qui secouent le pays », a-t-il martelé.
    En réponse à une question concernant la légalisation de la culture du kif au Maroc, le SG du parti de la jeunesse a dévoilé que la première région marocaine qui a été légalement autorisé par un décret royal en 1956 est Azila sise au nord du pays, ce qui signifie que la culture de ces toxines est carrément légale depuis l’indépendance du Royaume Chérifien ».
    La région marocaine du Rif, montagneuse, pauvre et rebelle, produit l’essentiel du cannabis vendu en Europe. Une histoire qui remonterait à plusieurs siècles.
    C’est connu, le Maroc est le royaume du cannabis. Au fil des décennies, au nord du pays, le Rif, montagneux et rebelle s’est transformé en petite Colombie du hashish.La culture du cannabis serait apparue dans la région au XVe siècle.
    Le parti marocain de la jeunesse démocratique la campagne hostile du Makhzen à l’encontre de l’Algérie Le ton est agressif, sans la moindre nuance et sciemment provocateur.
    http://www.echoroukonline.com/ara/articles/213707.html
  • Bouchti à Echorouk : « La culture du kif est autorisée par un décret royal depuis 1956 »

    Le secrétaire général du parti de la jeunesse Hicham Bouchti a dévoilé lors d’une déclaration accordée à Echorouk que : «Nous avions tellement dénoncé les attaques marocaines contre l’Algérie ayant pris désormais des proportions telles qu’elles menacent sérieusement les relations, déjà si aléatoires, entre les deux pays.
    Le makhzen a mobilisé tout son personnel pour s’en prendre à tout ce qui est algérien et ira même jusqu’à s’en prendre à la presse algérienne qu’il traitera de manière méprisante, insinuant qu’elle n’était qu’un instrument de propagande entre les mains du pouvoir algérien».
    Notre interlocuteur a considéré les déclarations hostiles contre l’Algérie comme comportement enfantin du gouvernement marocain qui tente de détourner l’attention de l’opinion publique au Maroc : « La guerre lancée contre l’Algérie n’est qu’un plan sécuritaire pour faire taire le peuple marocain afin qu’il ne réagisse pas aux dépassements qui secouent le pays », a-t-il martelé.
    En réponse à une question concernant la légalisation de la culture du kif au Maroc, le SG du parti de la jeunesse a dévoilé que la première région marocaine qui a été légalement autorisé par un décret royal en 1956 est Azila sise au nord du pays, ce qui signifie que la culture de ces toxines est carrément légale depuis l’indépendance du Royaume Chérifien ».
    La région marocaine du Rif, montagneuse, pauvre et rebelle, produit l’essentiel du cannabis vendu en Europe. Une histoire qui remonterait à plusieurs siècles.
    C’est connu, le Maroc est le royaume du cannabis. Au fil des décennies, au nord du pays, le Rif, montagneux et rebelle s’est transformé en petite Colombie du hashish.La culture du cannabis serait apparue dans la région au XVe siècle.
    Le parti marocain de la jeunesse démocratique la campagne hostile du Makhzen à l’encontre de l’Algérie Le ton est agressif, sans la moindre nuance et sciemment provocateur.
    http://www.echoroukonline.com/ara/articles/213707.html
  • « La situation des droits de l’Homme est catastrophique » (Mohamee Cheikh Lehbib)

    «La situation actuelle des droits de l’Homme au Sahara occidental est plus que jamais chaotique», a estimé, hier, Mohamed Cheikh Lahbib, secrétaire général de l’Union des travailleurs sahraouis, qui appelle les instances de l’Onu à redoubler d’efforts pour libérer son pays de l’emprise marocaine.
    C’est donc un appel de détresse qu’a lancé cet homme, à l’adresse de la communauté internationale, lors d’une conférence de presse qu’il a animée, au siège du quotidien «El-Moudjahid», conjointement avec son compatriote Ahmed Dah, ex-député.
    Et ce, sous thème : «La Question sahraouie et les violations des droits de l’Homme aux territoires occupés». Ainsi, le conférencier a brossé un tableau noir sur la situation des droits de l’Homme qui prévaut, ces dernières années, dans son pays et, de ce fait, tire à coups de rafale sur les autorités marocaines, les qualifiant de «source principale de violation des droits de l’Homme et de nombre de conflits qui touchent même les pays voisins». D’ailleurs, enchaîne-t-il, plusieurs institutions et organisations mondiales classent ce pays en tête des pays producteurs de drogue et de tourisme sexuel, tandis qu’aucun pays, ni instance internationale, ne reconnaissent la légitimité de son autorité sur les territoires sahraouis. S’appuyant sur le langage des chiffres pour illustrer la gravités dans l’étouffement des libertés individuelles, politiques et le droit à l’expression, l’orateur a indiqué qu’actuellement plus de 500 citoyens et plus 65 prisonniers politiques sahraouis séjournent dans des maisons d’arrêt marocaines.
    Toute en regrettant le fait que le Maroc, de par son veto, manipule les missionnaires de l’Onu au Sahara occidental et achète même le silence de certains pays. Cela, en plus de la stratégie qu’il mène par la perturbation de toute action menée par des organes étrangers l’étouffement de toutes personnes étrangères travaillant dans le domaine des droits de l’Homme et des campagnes de propagande et de désinformation autour de la Cause sahraouie. Évoquant la situation des travailleurs, puisqu’il s’agit de leur secrétaire général, le conférencier a fait savoir que, depuis l’invasion des forces militaires marocaines des territoires du Polisario en 1977, des employés on été licenciés des grandes entreprises pour les remplacer par des Marocains qui dominent depuis le secteur économique. 
    «Le marché sahraoui est, depuis des années, dominé par des Marocains dans tous les sens», a-t-il dit en substance. De son coté, Sid-Ahmed Dah, ancien député, a fait remarquer, dans une brève intervention, que le Maroc demeure fidèle à sa politique d’extension géographique au détriment des pays voisins, créant des conflits aux frontières, tels que le cas avec l’Algérie et le Sahara occidental.
    À la fin de cette rencontre, c’est au tour d’une étudiante de prendre la tribune pour transmettre les souffrances de la femme sahraouie objet, selon elle, de pratiques inhumaines de tous genres, mais qui luttent malgré pour son existence. Rappelant que les invités de cette rencontre séjournent, du 1 er jusqu’au 23 du mois en cours, en université d’été dans la wilaya de Boumerdès.
    Une occasion de donner plusieurs conférences autour de cette thématique. Histoire de profiter aussi des ce rencontre pour consolider les relations entre les peuples deux pays.
    Salim Nasri
    Le Courrier d’Algérie, 20/08/2014