Mois : août 2014

  • Discours de Mohammed VI : Motus et bouche cousue sur le Sahara Occidental

    Une brève analyse du discours du roi du Maroc, Mohammed VI, à l’occasion de ce qu’il appelle la Révolution du Roi et du Peuple, nous amène à relever deux points : la nouvelle tendance du roi à poser des questions sur les sujets qu’il veut aborder. Il s’adresse à ses sujets moyennant des questions de nature critique par rapport à la situation économique de son pays.
    Pour le quinzième anniversaire de son intronisation, Mohammed VI a prononcé un discours dans lequel il s’est interrogé «où sont passées les richesses du Maroc ? Et à qui ont-elles profité ?! »
    Dans quelle catégorie peut-on classer l’économie nationale, par rapport à d’autres pays ? Peut-on le considérer comme un pays compétitif, ou le ranger parmi les Etats émergents ?, s’est demandé le roi du Maroc dans son dernier discours.
    Un autre aspect qui mérite l’attention est le fait que le souverain marocain n’a pas abordé son sujet préféré de toujours : le Sahara Occidental dont la « conquête » a toujours été considérée par la monarchie marocaine comme l’épopée du siècle. Il y a lieu de se demander pourquoi Mohammed VI n’a pas dit un mot sur le sujet qu’il a toujours qualifié de « première cause du royaume ». Il semble que le roi du Maroc a voulu éviter cette question qui gêne trop à cause de la mauvaise passe qui traverse le Maroc dans ses relations avec la communauté internationale.
    Le Maroc est pointé du doigt par l’ONU. Depuis quelques mois il bloque la médiation de l’Envoyé onusien pour le Sahara Occidental, Christopher Ross. Rabat ne veut pas donner réponse à la question posée par le diplomate américain sur la forme que le Maroc propose pour l’application du principe d’autodétermination. 
    Ross doit présenter son rapport au Conseil de Sécurité au mois d’octobre prochain. En avril 2015, le Secrétaire Général de l’ONU pourrait proposer au Conseil de Sécurité de passer au Chapitre VII pour résoudre le problème du Sahara Occidental. Une initiative qui dérange au Maroc.

    http://diasporasaharaui.blogspot.be/2014/08/discours-de-mohammed-vi-motus-et-bouche.html

  • 24 presos políticos saharauis en huelga de hambre

    Sahara Occidental (Territorios ocupados).- La huelga de hambre es el último recurso que tienen los presos políticos para exigir sus derechos. En lo que va de semana, una veintena de activistas saharauis entraron en huelga de hambre por los malos tratos que reciben por parte de las autoridades penitenciarias marroquíes.
    Desde la tarde del pasado lunes, 24 presos políticos saharauis iniciaron una huelga de hambre preventiva de 48 horas en la prisión de Ait Melloul (Marruecos), en protesta por las pésimas condiciones penitenciarias a las que están sometidos y por las políticas racistas que excluyen a los presos saharauis de cualquier actividad dentro de la prisión.
    Por otra parte, el preso político y secretario general de la Comisión Saharaui para la Defensa de los Derechos Humanos, Abdul Khaliq Almerkhi, continúa con la huelga de hambre indefinida que inició a principios de esta semana en la prisión local de Ait Melloul. Entre las peticiones del activista, está su derecho natural a ser sometido a un juicio justo.
    Asimismo, el preso político saharaui Abdeslam Loumadi fue interrogado por la policía judicial marroquí en la cárcel negra de El Aaiún (Sahara Occidental ocupado). Este interrogatorio se produjo debido a una queja interpuesta por las autoridades penitenciarias, a través de la cual acusan falsamente al activista saharaui de agredir verbalmente a los encargados de la prisión.
    Según la Liga de Protección de los Presos Políticos Saharauis, el verdadero motivo de este interrogatorio fue la intención del activista de presentarse al juicio con la vestimenta tradicional saharaui.
    Fuente: RASD TV 
  • Révolutions d’hier, révolutions d’aujourd’hui

    Dans ce continent, il ne reste que le Sahara occidental sous le joug d’un colonisateur, lui-même ayant subi la colonisation mais qui a des ambitions expansionnistes et des velléités sur les territoires des autres, en l’occurrence le royaume du Maroc qui ne reconnait même pas les textes onusiens appelant à libérer cette ancienne colonie espagnole qu’il s’est accaparé.
    par Bachir Ben Nadji
    Aucune comparaison ne peut se faire entre les révolutions post- grandes guerres et celles qui se prétendent l’être aujourd’hui. 
    Les plus belles révolutions ont eu lieu au-delà de la 2ème guerre mondiale contre le colonisateur par des poignées d’hommes qui se sont révoltés au nom de leurs peuples contre le colonisateur qui spoliait leurs terres, leurs droits d’êtres humains et contre leur liberté de jouir de leur pays. Jusqu’aux années 90 du siècle dernier le terme révolution avait une belle connotation et les révolutionnaires avaient la côte partout et étaient reçus en héros. 
    La révolution vietnamienne était citée en exemple partout à travers le monde, l’algérienne avait une place de choix partout dans les pays de la planète et bénéficiait d’une aura au regard des sacrifices consentis par des hommes et des femmes qui ont mis fin à 132 années de colonisation et qui ont au long de près de huit années de guerre, arrachés leur indépendance nationale et pu jouir de leur liberté. La révolution cubaine, celle des autres pays d’Amérique latine, celles des pays africains sous domination portugaise, et autres révolutions armées qui ont abouti à l’indépendance des pays ou elles ont eu lieu appellent au respect partout ou les révolutionnaires mettaient leurs pieds. Pour ne pas aller trop loin et sans exagération aucune et ceci est de notoriété publique et mondiale, je peux dire que la révolution algérienne est la mieux cotée du 20ème siècle. Le colonisateur français a tout fait pour la faire taire, mais sans y parvenir. Il a beau mobilisé ses alliés pour contrer militairement, politiquement la révolution algérienne, il n’en est pas parvenu. La France a abandonné ses autres colonies en Afrique en leur accordant une indépendance moins le quart, c’est-à-dire avec ses propres conditions, pour s’occuper de la révolution algérienne et la faire taire et la faire disparaitre, mais n’a pas pu. 
    La révolution algérienne a impulsé un grand coup de manivelle aux autres peuples sous le joug de la colonisation et de l’impérialisme, afin qu’ils puissent revendiquer leurs droits à l »autodétermination et à l’indépendance. Son exemple a été suivi par de nombreux politiques devenus leaders qui ont forcé la main aux puissances colonisatrices afin de les laisser, de gré ou de force, jouir de leur liberté et de leur autonomie à user de leurs pays comme ils le veulent. Il y a les cas de l’Angola et du Mozambique, de la Rhodésie du sud dont les peuples ont arraché leurs indépendances. Le peuple noir de l’Afrique du sud a lui aussi pu se libérer de l’apartheid grâce à l’émancipation qui a atteint et touché l’ensemble du continent africain. 
    Dans ce continent, il ne reste que le Sahara occidental sous le joug d’un colonisateur, lui-même ayant subi la colonisation mais qui a des ambitions expansionnistes et des velléités sur les territoires des autres, en l’occurrence le royaume du Maroc qui ne reconnait même pas les textes onusiens appelant à libérer cette ancienne colonie espagnole qu’il s’est accaparé. Le phénomène révolutionnaire a atteint toute la planète entre la deuxième guerre mondiale et les années quatre vingt dix (90) et les peuples de nombreux pays ont cassé les chaines qui entravaient leurs libertés. Tout ceci grâce au vent qui a soufflé au profit des indépendances, et aussi grâce à l’équilibre qu’a connu le monde en cette deuxième partie du vingtième siècle. Même le Portugal, pays du sud de l’Europe, a connu, grâce au vent révolutionnaire, sa révolution des œillets. Les pays de l’Est de l’Europe, anciennement sous l’influence de l’ancienne Union soviétique, ont eu droit à leurs pseudos révolutions, bien sur qualifiées ainsi par les américains et les européens. Depuis, le terme révolution a été galvaudé et conjugué à tous les temps. Des émeutes ont même été qualifiées de révolution par la presse occidentale et les médias selon les convenances. Les chefs d’Etat des pays anciennement colonisés ont été qualifiés de dictateurs et de tyrans afin de réduire à néant tout ce qui a été réalisé dans tous les domaines, et aussi pour que ceux-ci restent toujours dépendant des anciens colonisateurs qui ne lâchent pas prise contre ces pays devenus indépendants contre le gré des usurpateurs. Et qu’en est-il des révolutions qui ont eu lieu ces dernières années lors de la première partie du 21ème siècle ? 
    Ainsi on a appelé révolution du jasmin la révolte du peuple tunisien qui a démarré à la suite d’une gifle de femme policière contre un vendeur de fruits et légumes qui s’est immolé par le feu et qui est devenu l’espace d’un temps, un héros et qui a fini par être oublié car les tunisiens, même s’ils ont  » dégagé  » un despote, ont rencontré les affres de la faim et de la misère, ont connu l’instabilité politique et l’islamisme ainsi que son bras armé, le terrorisme. Même si ce pays qui a toujours été de par le passé qualifié par l’occident de modèle a de fortes chances de se diriger vers une sortie honorable qui ne viendra pas de sitôt au regard de la tempête qui menace toujours le monde arabe. La Tunisie pourrait être un modèle de cette révolte qui a changé politiquement un pays, mais qui dans les faits n’a rien apporté au peuple, car être plus libre ne veut pas dire avancer, et c’est le cas de le souligner pour nos voisins de l’Est. 
    La révolte des libyens contre un prétendu tyran et ses enfants n’a apporté que la ruine au peuple et au pays. Toute la face cachée de la Libye est remontée à la surface et en trois années, il n’y a que destructions et destructions, la ruine suit la ruine, et tout l’arsenal qu’avait acquis Gueddafi a servi à démolir et à détruire un pays divisé, et à armer des groupes terroristes qui menacent la paix dans la région du Maghreb et du Sahel, et aussi des pays du sud de l’Europe qui ont été à l’origine de la révolte qui n’a rien de populaire mais que les occidentaux ont assimilé à une révolution alors qu’elle ne l’est pas du tout. La Turquie et le Qatar pourraient être des cibles des libyens car c’est eux qui ont financé, encouragé et tout fait pour que la révolte qui a nui et accentué la division entre eux, réussisse. 
    L’Egypte a aussi goûté à la révolte qui a fait tomber Moubarak et ses enfants et qui a été appelée sans aucune raison valable, révolution. Celle-ci, indument appelée n’a apporté que malheurs sur malheurs aux égyptiens qui ont élu un président évadé de prison et qui la rejoint après avoir été renversé par les militaires qui ont hier soutenu leur ancien chef. Les égyptiens ont eux aussi connu le véritable visage du terrorisme islamiste dans sa forme la plus sauvage alors que dans le passé il ne s’attaquait pas à ses congénères mais beaucoup plus aux touristes étrangers. 
    La prétendue révolte des syriens n’en est pas du tout une puisqu’elle a été menée par des mercenaires étrangers venus de partout, armés et encouragés à détruire la Syrie, mission qu’ils n’ont pas réussis à accomplir et à exécuter et qu’ils ne pourront pas faire, même si les dégâts humains et matériels sont assez importants. En plus de trois années de guerre, le régime syrien n’a pas été ébranlé malgré l’aide d’une coalition qui n’a pas dit son nom, les occidentaux, les américains, le Qatar, l’Arabie saoudite et la Turquie, et ils ne feront rien puisque les terroristes qu’ils ont ramenés et armés ont créé…un nouvel état qui menace de disparition tout les pays du Proche et Moyen Orient, sans pour autant chatouiller l’état sioniste qui assassine au quotidien les palestiniens et qui s’est accaparé de leurs biens matériels et qui veut prendre aussi les biens immatériels. Il ne pourra pas le faire et c’est dommage que des musulmans venus combattre d’autres musulmans, ne se soucient pas des souffrances du peuple palestinien que des mercenaires venus du monde entier ont spolié leurs terres. Bien sur un mercenaire ne peut pas déclarer la guerre à un autre mercenaire car demain ils peuvent s’allier contre un ennemi commun pour de l’argent et non pour la gloire. Et ou sont les révolutions dans tout ce charivari ? La révolution bolchévique a créé l’ex-URSS, la révolution vietnamienne a libéré le Vietnam, celle de Cuba a fait tomber Batista et encouragé les autres peuples de l’Amérique latine à se débarrasser des dictateurs imposés par les américains. La révolution algérienne a donné l’indépendance aux algériens, et aidé nombre de pays africains à se débarrasser du colon français, portugais et autres, et là on est en droit de se poser la question qu’on fait ces révolutions entre guillemets. Révolte, émeute n’est jamais une révolution, une révolution n’est pas destruction mais beaucoup plus une construction d’un avenir, et quel avenir attend ces peuples qui se sont en vérité révoltés…selon les principes de la fausse démocratie contre un état de fait qu’ils n’ont pas pu changer, et leur situation n’a fait que s’empirer. Donc, révolte n’est pas révolution. A bon entendeur salut.
  • Sahara Occidental : Nouvelles victoires diplomatiques

    Une politique qui, a-t-il ajouté, représente un « danger » pour la stabilité du Maghreb mais aussi du Sahel eu égard aux visées du Maroc sur cette région, relevant des « agissements » peu rassurants de la part du royaume. 
    Le premier responsable de l’Union des travailleurs sahraouis a rappelé, dans ce cadre, la contribution des services secrets marocains à la création du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO), auteur de l’enlèvement dans un passé récent de ressortissants occidentaux dans les camps des réfugiés sahraouis à Tindouf (Sud-ouest algérien). 
    Il a estimé que le Maroc tente d »inonder » l’ensemble des populations de la région de cannabis, dont il est considéré comme étant le fournisseur mondial à hauteur de 82 %, notant l’interférence de ce trafic avec le crime organisé. Dans le chapitre des droits de l’homme, M.Cheikh Lahbib a fait état d’une situation « déplorable » rappelant l’existence de 65 détenus politiques sahraouis dans les geôles marocaines, de 151 prisonniers de guerre et de 500 disparus, auxquels s’ajoute un « black-out » médiatique international pour tenir l’opinion internationale en ignorance des violations des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés. 
    Plaidant, à ce propos, pour un élargissement des prérogatives de la Mission des Nations-Unies pour le référendum au Sahara occidental (Minurso) aux questions des droits de l’homme, le conférencier a fait savoir que le Maroc « mobilise » tous les moyens à sa portée en vue de faire avorter cette perspective. Cela, a-t-il indiqué, s’explique par deux motivations essentielles, l’une étant que le royaume « craint » sa comdamnation par le Conseil de sécurité de l’ONU, l’autre est liée au règlement intérieur de l’Assemblée générale de l’Organisation onusienne, lequel mentionne l’éventualité d’une « intervention militaire pour secourir une population en danger ». 
    « Le Maroc est face à une impasse internationale », a fait observer Mohamed Cheikh Lahbib. Abordant la « rumeur » ayant été rapportée par un média marocain relative à la démission de Christopher Ross, de sa fonction d’envoyé spécial de Ban Ki-moon pour le Sahara occidental, l’hôte du quotidien gouvernemental a relevé que le même média n’a pas pris le soin de relayer le démenti officiel de l’ONU à cette information. Tout en espérant une avancée dans la résolution du conflit à l’occasion de la visite annoncée pour octobre prochain de Christopher Ross, le responsable sahraoui, M.Lahbib Cheikh a rappelé la dernière résolution onusienne conviant les deux parties en conflit à trouver une « solution juste et définitive » au dernier cas de décolonisation au continent noir.
    http://www.tribunelecteurs.com/fichier/21_8_2014/sahra.html
  • Le MUJAO est une création marocaine, selon un responsable sahraoui

    Le Secrétaire Général de l’Union des travailleurs sahraouis, Mohamed Cheikh Lahbib a accusé, mercredi, le Maroc d’être impliqué dans l’affaire de l’enlèvement des diplomates algériens du consulat de Gao au Nord du Mali en avril 2012. Il a soutenu que les services du Makhzen seraient derrière la création du Mouvement pour l’Unicité du Jihad en Afrique de l’Ouest (MUJAO).
    S’exprimant dans un entretien accordé au quotidien national arabophone Ennahar, il a indiqué que les renseignements en possession des services secrets sahraouis confirment l’implication des agents marocains dans la création du MUJAO pour mettre à exécution un plan du Makhzen visant à contrôler la situation sécuritaire qui prévaut dans la région du Sahel.
    Mohamed Cheikh Lahbib tient également pour responsables les services marocains dans l’affaire du rapt des étrangers des camps des réfugiés saharouis de Tindouf avant de souligner que ce groupes armé est financé par l’argent provenant du trafic du cannabis produit au Maroc. Pour lui le Maroc cherche à avoir un pied dans ce qui se déroule dans le Sahel et dans la guerre au Nord du Mali.
    Par ailleurs, le SG de l’Union des travailleurs sahraouis, qui s’était exprimé, hier, lors d’une lors d’une conférence de presse au forum d’El Moudjahid, dont le thème a été consacré à »la question sahraouie et la réalité des violations des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés », a qualifié la politique marocaine dans la région de « déstabilisatrice » et de « menace » contre
    la paix pour les pays de la région.
    Par Mourad Arbani | 20/08/2014 
  • Sahara Occidental : El alcalde de Sanlúcar renueva el convenio con la asociación de amigos del pueblo saharaui

    El alcalde de Sanlúcar, Víctor Mora, y el presidente de la asociación de Amigos del Pueblo Saharui La Jaima, Mouftah Mbarek Hadda, han renovado el convenio por el que la Delegación de Servicios Sociales colabora con el colectivo para que lleve a cabo su programa de vacaciones solidarias ‘Vacaciones en Paz’, que este año posibilita que 42 niños de los campamentos de refugiados pasen sus vacaciones en Sanlúcar de Barrameda con familias de acogida.
    En el acto de la firma el alcalde estuvo acompañado de la delegada de Servicios Sociales, Ana Morillo, y manifestó su agradecimiento a La Jaima por la labor que viene desarrollando en beneficio de unos menores que durante su estancia en la ciudad durante dos meses reciben asistencia médica y aprenden o mejoran su español.
    El Gobierno local ha agradecido a estas familias su solidaridad y el apoyo que prestan a los chicos, en especial a aquéllas familias que, a pesar de la difícil situación económica, siguen participando en este programa.
    El Ayuntamiento de Sanlúcar lleva 20 años apoyando este programa, que posibilita que jóvenes saharauis tengan la oportunidad de compartir un pequeño periodo de tiempo con los sanluqueños,.
    Con este convenio el Ayuntamiento renueva su solidaridad con el pueblo saharaui y con las personas que luchan por sus derechos, algo que realiza desde hace años.
  • Ricardo Sanchez Serra denuncia el genocidio cometido en el Sáhara Occidental

    Denuncian que Marruecos comete genocidio contra el pueblo saharaui
    Entrevista en Radio Exitosa sobre el problema saharaui: Marruecos comete genocidio en el territorio ocupado contra el pueblo saharaui. Gracias Rubén Sánchez por la invitación.
    El gobierno marroquí comete genocidio contra el pueblo saharaui en el territorio ocupado ante la pasividad internacional y la tortura es de uso común, señaló el periodista Ricardo Sánchez Serra, presidente del Comité Peruano de Solidaridad con el Pueblo Saharaui (Copesa) en Radio Exitosa de la capital limeña.
    Agregó que todas las organizaciones internacionales de derechos humanos denuncian las tropelías marroquíes y que ya es hora que las Naciones Unidas apliquen el Capítulo VII de su Carta y, mediante los Cascos Azules, expulsen a los marroquíes de un territorio que no es el suyo por su continua negativa de realizar el referendo ordenado por la ONU.
    Mencionó que los marroquíes han construido el muro más largo del mundo, de 2720 kms. que incluye diez millones de minas para dividir a la nación saharaui.
    Ante el destacado periodista Rubén Sánchez, quien resaltó el libro “Solidaridad con el Pueblo Saharaui”, de reciente aparición, el presidente de Copesa reveló que Marruecos ha desaparecido a 600 saharauis y tiene otros 70 como prisioneros políticos. Durante la invasión, añadió, miles de saharauis fueron aniquilados con bombas de fósforo y napalm y tuvieron que refugiarse en los campamentos de Tinduf para salvar su vida, formando en parte del territorio liberado la República Árabe Saharaui Democrática (RASD) que es reconocida por más de 80 países y tiene embajadas en naciones muy importantes como México, Argelia, Sudáfrica, Uruguay, Ecuador, Cuba, Venezuela, entre otros, y es apoyada por la Unión Africana.
    Sánchez Serra recordó que el Perú reconoció a las RASD en 1984, pero que suspendió las relaciones en l996 por intervención del ahora preso asesor presidencial Vladimiro Montesinos, quien posteriormente, estando escondido de la justicia, quiso refugiarse en Marruecos.
    Finalmente, pidió al actual presidente del Perú, Ollanta Humala cumpla su palabra de restablecer las relaciones diplomáticas con los saharauis y que así la Cancillería peruana se impregne de valores y defensa del Derecho Internacional, dando un importante cambio en su política exterior.
  • Sahara Occidental : Cómo Marruecos quiere tender una trampa a Christopher Ross

    Irá a Marruecos a mediados de octubre: Cómo El Majzén quiere tender una trampa Christopher Ross 
    La mala fé y la duplicidad de Marruecos no tienen límites, aunque se vea obligado a tragarse la misma culebra dos veces. La primera vez, registrando un fracaso total en su campaña para impulsar el embajador Christopher Ross a abandonar su misión como hizo con James Baker.
    Los rumores de dimisión propagados por las oficinas marroquíes le valieron a la MAP una tajante nota del servicio de información de la ONU. La segunda vez, viéndose obligados a tragar de nuevo sus recriminaciones recientemente renovadas por su representante permanente en Nueva York, en relación con el último informe del Secretario General de las Naciones Unidas, del que Rabat criticó con severidad la imparcialidad, aceptando, forzado, recibir el enviado especial Christopher Ross.
    De repente, el hilarante embajador marroquí tuvo que plegar y poner en el guardarropas los requisitos previos que había enunciado como condiciones para la aceptación de la visita del Representante Especial de Ban Ki-moon. El hecho es que Marruecos se vió obligado a hacer una retirada táctica para evitar ser acusado de obstruir los esfuerzos del Secretario General de la ONU y de su enviado personal.
    No obstante, la mala fe sigue presente: al mismo tiempo que acepta que Christopher Ross haga finalmente su visita a Marruecos, el Majzen la programó para mediados de octubre, es decir, a unos días a penas de la reunión del Consejo de Seguridad. Sin embargo, la elección de una fecha tan cercana a la celebración de la reunión del Consejo de Seguridad no es fortuita. Se trata, de cierta manera, de obligar el Enviado Personal a elaborar un informe puramente fáctico, bien lejano de las dos principales preocupaciones sobre las que las autoridades marroquíes deben dar respuestas claras, a saber, la sustancia de la solución política que debe servir como arreglo al conflicto, pero sobre todo en la forma de autodeterminación que va a ser aplicada para este fin.
    Pero sin embargo, esta cuestión de la forma de autodeterminación que debe aplicarse de conformidad con la doctrina y la práctica de las Naciones Unidas es un parámetro inevitable, sean cuales fueren las contorsiones políticas y las argumentaciones jurídicas desesperadamente esgrimidas por nuestros vecinos. Es seguro que la aceptación labial de la visita de Christopher Ross será precedida y seguida de muchas trampas, y que para complicarle aún más la tarea, Mohammed VI no le acordará una audiencia en su próxima gira por la región.
    De todos modos, en el momento de escribir este artículo, ninguna invitación llegó a Christopher Ross de Rabat, según supo Algeriepatriotique de fuentes fidedignas. De momento, la aceptación de la visita de la Representante Especial del Secretario General de la ONU no ha sido confirmada oficialmente por los marroquíes.
    Conocedores del asunto saharaui indicaron a nuestro sitio web que se trataba de una « nueva mala pasada del Majzén para ganar tiempo y no ser denunciado como la parte que obstruye los esfuerzos de Ban Ki-moon, acusa a la ONU de parcialidad y amenaza con expulsar a la MINURSO « .
    Karim Bouali
  • El desierto detenido

    En la llanura del Tiris, al sur de los ‘Territorios liberados’, hay tres fuertes de origen español ocupados por guerrilleros polisarios. Son los únicos asentamientos estables en mitad de un paraíso natural
    MIGUEL GUTIÉRREZ
    No existe ningún lugar en África como el desierto del Tiris, al suroeste del Sáhara Occidental. Se trata de una enorme llanura granítica atrapada en el siglo XIX, pues en su interior no hay carreteras, ni tendido eléctrico, ni núcleos urbanos, ni casi presencia humana en los aproximadamente 30.000 kilómetros cuadrados de arena y piedra calcinada que conforman el paisaje.
    Tras la invasión marroquí, que sucedió a la marcha de España en 1975, el Sáhara Occidental quedó dividido en dos por un muro de 2.700 kilómetros de longitud construido por el ejército alauí para contener a la guerrilla del Frente Polisario. La costa y las grandes ciudades e infraestructuras quedaron en manos del invasor, al oeste del monstruo bélico. Hacia oriente, mientras tanto, se abre un desierto virgen cuyos límites ni siquiera aparecen en los mapas: el Tiris. En muchos aspectos se trata de un país detenido en el tiempo, como sacado de las obras literarias de P. C. Wren o Pierre Mc Orlan; relatos idealizados de combates entre legionarios y beduinos con un fondo de oasis, dunas y sebjas (llanuras de sal). Pero los legionarios españoles hace tiempo que partieron y su recuerdo se mantiene solamente en la línea de fuertes de paredes encaladas que dejaron y que se remontan a las primeras décadas del siglo XX. Los descendientes de los beduinos, por su parte, hoy son los dueños y señores de un país que controlan y vigilan bajo la enseña del Frente Polisario.
    En el norte de los ‘Territorios liberados’ -como se conoce al Sáhara Occidental controlado por la guerrilla saharaui- abundan los cooperantes, periodistas y activistas extranjeros. Pero estos son una excepción en el Tiris, pues la región queda a más de mil kilómetros de duro desierto de núcleos como Tifariti o Bir Lehlou o los campos de refugiados de Tinduf, en Argelia. Fuera de un pírrico campamento de observadores de la Minurso (la Misión de las Naciones Unidas para el Referéndum del Sáhara Occidental, encargada de verificar que se respeta el alto el fuego entre el Polisario y Marruecos), en el Tiris habitan solamente los guerrilleros que nutren las guarniciones de los fuertes, sus familias y unos pocos cientos de pastores nómadas que entran y salen desde Mauritania. Alojados en los viejos blocaos de Aguenit y Dugech, compartimos con los guerrilleros su té y su arroz con cordero -prácticamente lo único que tienen- y somos testigos de la dureza de las condiciones de vida con que habitan estos hombres y sus familias. «Hace mucho calor y tenemos problemas de abastecimiento», nos confiesa Salem Agib, alcalde militar de Duguech. El agua, la gasolina, los alimentos, las medicinas… deben ser traídos desde Tinduf. Escasez que, como asegura el primer edil, se traduce en problemas como una alta mortalidad infantil. A pesar de ello, este pequeño ejército no permanece con los brazos cruzados sino todo lo contrario. En una llanura asistimos al despliegue de las ‘unidades móviles’ del Polisario, que simulan un ataque con rápidos todoterrenos armados con cañones antiaéreos ZU-23-2 de fabricación soviética. «Se organizan continuamente misiones de instrucción, vigilancia del territorio y maniobras», asegura el coronel Moulud, jefe de la Séptima Región Militar del Sáhara (los fuertes de Aguenit, Duguech y Mijek, son las sedes, respectivamente, de las Séptima, Primera y Tercera Regiones Militares del Sáhara).
    Gacelas y chacales
    Después acompañamos a las patrullas frente al muro donde acecha «el enemigo marroquí» y a lo largo de la frontera mauritana, donde, en pasos como el de Zug, se detiene cualquier vehículo como se haría en cualquier aduana. «Ni contrabandistas ni yihadistas pueden pasar por aquí», asegura Moulud en este sentido. La belleza natural, a pesar del rigor del clima, es apabullante: junto al río Atui, bajo las montañas rojizas de Anzagzag, los rebaños de dromedarios conviven con gacelas y tímidos fénecs, los pequeños chacales del desierto. La única nota discordante lo constituyen los restos de la guerra que los saharauis mantuvieron contra Marruecos y Mauritania desde 1975 hasta 1991. Aquí y allá los cadáveres de obuses y artefactos bélicos traen los ecos de pasadas batallas. «Este carro lo capturamos en la batalla de Tichla», nos comenta un guerrillero frente a los restos de un tanque Patton medio hundido en la arena. Responde al nombre de Sidati Muro Molud y es nuestro guía, pues nació en el Tiris y conoce la región mejor que nadie: «Aquel día cargamos contra ellos frontalmente, y, aunque nos superaban en número, les hicimos cien prisioneros y capturamos varios tanques. Aunque éste -zanja mientras señala el carro- se estropeó por el camino y tuvimos que abandonarlo aquí». Sidati es el típico hombre del desierto; con sonrisa de niño y ojos sabios en un rostro que es puro cuero, parece un personaje de la novela ‘Beau Geste’. Participó en todas las batallas de aquella guerra y antes de eso perteneció a la policía indígena española: «Número profesional 15.318, tercera compañía de Esmara», recita todavía.

    UN SUEÑO PARA LOS ARQUEÓLOGOS
    El Tiris es el paraíso para los amantes de la arqueología. Las rocas de Leyuad, una agrupación de escarpes graníticos que se elevan cerca del muro marroquí, guardan auténticas joyas del arte rupestre, como las pinturas y los grabados de la cueva de la Djina. El fuerte de Aguenit guarda, además, los materiales recopilados por una misión arqueológica de la Universidad del País Vasco. El equipo del arqueólogo Andoni Sáenz de Buruaga ha descubierto allí más de 4.000 túmulos de enterramiento.

    http://www.hoy.es/sociedad/201408/20/tesoros-saharael-desierto-detenido-20140820001146-v.html

    • Comment le Makhzen compte piéger Christopher Ross

      Il se rendra au Maroc à la mi-octobre : comment le Makhzen compte piéger Christopher Ross
      La mauvaise foi et la duplicité du Maroc n’ont pas de limites, même s’il se trouve contraint d’avaler deux fois son chapeau. Une première fois, en essuyant un cuisant échec à la suite de la campagne visant à pousser l’ambassadeur Christopher Ross à abandonner sa mission comme il l’avait fait pour James Baker. 
      Les rumeurs de démission colportées par les officines marocaines ont valu à la MAP une mise au point cinglante de la part du service de l’information de l’ONU. Une seconde fois, en étant contraint de ravaler ses récriminations renouvelées récemment par son représentant permanent à New York, à l’égard du dernier rapport du secrétaire général des Nations unies dont Rabat a crânement critiqué l’impartialité en acceptant, forcé, de recevoir l’envoyé spécial Christopher Ross. 
      Du coup, l’inénarrable ambassadeur marocain a dû remiser au placard les préalables qu’il avait énoncés effrontément comme autant de conditionnalités à l’acceptation de la visite du représentant spécial de Ban Ki-moon. Le fait est que le Maroc a été obligé d’opérer un recul tactique pour ne pas être accusé de faire obstruction aux efforts du secrétaire général de l’ONU et de son envoyé personnel. 
      La mauvaise foi reste toutefois bien présente : tout en acceptant que Christopher Ross effectue finalement sa visite au Maroc, le Makhzen a pris soin de la programmer pour la mi-octobre, c’est-à-dire à quelques jours à peine de la tenue de la réunion du Conseil de sécurité. Or, le choix d’une date si proche de la tenue du Conseil de sécurité n’est pas fortuit. Il s’agit, d’une certaine manière, de contraindre l’envoyé personnel à élaborer un rapport purement factuel bien loin des deux préoccupations essentielles sur lesquelles les autorités marocaines sont pourtant tenues de donner des réponses claires, à savoir la substance de la solution politique qui doit servir de règlement au conflit, mais surtout la forme de l’autodétermination à mettre en œuvre pour ce faire. 
      Pourtant, cette question de la forme de l’autodétermination à mettre en œuvre conformément à la doctrine et à la pratique des Nations unies est un paramètre incontournable, quelles que soient les contorsions politiques et les arguties juridiques brandies désespérément par nos voisins. Gageons que l’acceptation du bout des lèvres de la visite de Christopher Ross sera précédée et suivie de pleins d’embûches, et que pour lui compliquer davantage la tâche, Mohammed VI ne le recevra pas en audience lors de sa prochaine tournée régionale. 
      En tout cas, au moment où nous rédigeons cet article, aucune invitation n’est parvenue à Christopher Ross de la part de Rabat, a appris Algeriepatriotique de sources sûres. Pour l’instant, l’acceptation de la visite du représentant spécial du secrétaire général des Nations unies n’a pas été confirmée officiellement par les Marocains. 
      Des connaisseurs du dossier sahraoui ont indiqué à notre site qu’il s’agissait là d’une «nouvelle entourloupe du Makhzen pour gagner du temps et ne pas être dénoncé comme étant la partie qui obstrue les efforts de Ban Ki-moon, accuse l’ONU de partialité et menace de chasser la Minurso».
      Karim Bouali
      http://www.algeriepatriotique.com/article/il-se-rendra-au-maroc-la-mi-octobre-comment-le-makhzen-compte-pieger-christopher-ross