Mois : août 2014

  • Primer ministro de Túnez renunciará hoy jueves

    TUNEZ.- El primer ministro islamista de Túnez, Ali Larayedh, renunciará hoy jueves y entregará el poder a un gobierno interino, en un acuerdo con sus opositores para volver a poner en marcha la transición del país hacia la democracia, indicó la agencia estatal de noticias.
    “El primer ministro (…) ha declarado que presentará su renuncia al presidente el jueves por la tarde”, señaló un comunicado de la oficina presidencial según la agencia TAP.
    Tres años después de una revuelta contra el autócrata Zine el-Abidine Ben Ali, Túnez se encuentra en la etapa final del camino hacia una democracia estable, un punto disonante en medio de una región políticamente muy inestable. REUTERS
  • L’occupation marocaine entre les pressions de la communauté internationale et le combat des Sahraouis

    Le président sahraoui, secrétaire général du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz, a souligné samedi à Aousserd que l’occupation marocaine se retrouve entre les pressions de la communauté internationales et le combat du peuple sahraoui et son attachement à son droit à l’autodétermination.
    «L’occupant marocain, qui a échoué aux plans militaire et diplomatique, vit actuellement entre les pressions de la communauté internationale en faveur du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et l’attachement grandissant des Sahraouis à ce droit», a indiqué le président Abdelaziz à l’ouverture des travaux du 2e congrès de l’Union des étudiants de Seguia El Hamra et Rio de Oro.
    Il a estimé que la communauté internationale est plus que jamais consciente du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.
    Le président Abdelaziz a mis en exergue la responsabilité qui incombe aux étudiants sahraouis pour atteindre cet objectif, les appelant à redoubler les efforts et à préserver le legs des martyrs. Qualifiant leur rôle de «primordial et de central dans la lutte armée», M. Abdelaziz a appelé les étudiants sahraouis à s’armer du savoir et à exploiter les technologies de l’information et de la communication, notamment les réseaux sociaux.
    Il a présenté à l’occasion une rétrospective sur la création en 1975 de l’Union des étudiants de Seguia El Hamra et Rio de Oro et la tenue de son 1er congrès, marqué alors par un soulèvement populaire contre l’occupant espagnol, relevant que le présent congrès se tient dans des circonstances similaires, à savoir sous une occupation marocaine, faisant fi des décisions des Nations unies.Le président sahraoui a par ailleurs condamné l’agression israélienne contre les Palestiniens à Gaza, exprimant sa solidarité et son soutien à la cause du peuple palestinien «qui fait preuve d’une résistance exemplaire», a-t-il dit.
    Les travaux du 2e congrès de l’Union des étudiants de Seguia El Hamra et Rio de Oro ont débuté samedi soir à Aousserd en présence de quelque 700 participants sous le slogan «le mouvement des étudiants sahraouis au service des objectifs nationaux».Lors de cette rencontre, qui intervient près de 40 ans après la tenue du premier congrès, les participants procèderont à l’élaboration du plan d’action pour les quatre années à venir et à l’élection du secrétaire général et des membres du bureau exécutif de l’Union.
    http://www.dknews-dz.com/article/16750-sahara-occidental-ouverture-des-travaux-du-2e-congres-de-lunion-des-etudiants-de-seguia-el-hamra-et-rio-de-oro-loccupation-marocaine-entre-les-pressions-de-la-communaute-internationale-et-le-combat-des-sahraouis.html
  • Video de « Corre por los saharauis » carrera celebrada en México el pasado mes de junio

    Fuente : Poemario por un Sáhara Libre

    Recordando la carrera « Corre por los saharauis », primera carrera de esta índole en México, que tuvo lugar el pasado mes de junio.

    *Fuente: Embajada Saharaui en México
    México a 22 de junio de 2014
    La mañana del domingo 22 de junio de 2014, se dio el banderazo de salida a la carrera caminata de 5 y 10 km, en el Parque Bicentenario de la ciudad de México.
    Juventud Revolucionaria en Movimiento por México y la Red Mexicana de Internacionalistas junto con la Embajada Saharaui en México y la Asociación Mexicana de Amistad con la República Árabe Saharaui emprendieron ésta tarea conjunta para poder contribuir a mejorar la condición de vida de los hermanos Saharauis y sensibilizar la opinión mexicana sobre su justa lucha.
    Con más de 150 participantes, desde diplomáticos, políticos, sociedad civil, hombres y mujeres conscientes de que el deporte es una forma de contribuir tanto a una salud personal, como también, es forma moderna y eficaz, para apoyar buenas causas, en este caso, a la causa saharaui, quien continúa en la resistencia por su derecho a la autodeterminación e independencia, avalado por las instancias internacionales.
    El ministro consejero, Lic. Ahmed Mulay, quien también realizó la carrera, dio a conocer a los asistentes la existencia del Sahara Maratón, el cual se celebra en los campamentos de refugiados, y como un reflejo de éste se trae la idea de comenzar un maratón en México, siendo así que se firma el hermanamiento entre ambos maratones, poniendo a la cabeza como embajador a Rodrigo Ehlers Figueroa, Secretario de Cultura y Estrategia digital JRMDF – REMIN, quien es uno de los organizadores directos de la carrera. Se pidió a los asistentes que quienes deseen participar en el Maratón Sahara en el mes de febrero próximo, contactarlo y se les invitó a hacer correr la voz por las redes sociales.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=cjFmUOAALAQ]

  • « Où sont passées les richesses du Maroc ? » Un journal croate apporte un début de réponse

    Quand le « roi des pauvres » s’était interrogé il y a quelques semaines, à l’occasion du quinzième anniversaire de son intronisation, sur la « disparition » des richesses nationales, beaucoup de commentateurs avaient ricané. « Où sont passés les richesses du Maroc? », s’était insurgé le roi Mohamed VI.
    Si le « roi des pauvres », qui est aussi le « roi des riches » comme il avait tenu à souligner il y a plusieurs années, ne sait pas où sont passées les richesses de notre pauvre pays ou bien parce qu’il fait semblant de ne pas savoir ou parce qu’il ne veut pas le savoir.
    En tout cas, comme s’il l’avait entendu, un site de presse croate, Croatia Week, qui reprend une information publiée par un autre site croate, Slobodna Dalmacija, vient d’apporter un début de réponse. Et cette réponse, si elle intéresse vraiment le souverain, se trouve à l’intérieur du Palais.
    Selon ce média, la princesse Meriem El Alaoui, alias « Lalla Meriem », fille du roi Hassan II et soeur du roi Mohamed VI, se serait déplacée cet été dans unBoeing « privé » jusqu’à la côte dalmate pour passer des vacances à bord d’unyacht de luxe dont le prix de location est de 200 000 euros (2 228 700,00 DH) par … semaine.
    Selon le Croatia Week, « Lalla Meriem » serait une habituée de la côte dalmate, mais il ne nous dit pas combien de semaines la soeur du « roi des pauvres » a passé sur son yacht croate.
    Simo Sbaï
  • Le succès des Sahraouis fait peur au Maroc

    Les travaux de l’université d’été des cadres du Front Polisario et de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), abrités par la wilaya de Boumerdès, du 3 au 21 août 2014, ont tellement fait peur au Makhzen qu’il s’est cru obligé de lui consacrer pratiquement toute une émission de la chaîne marocaine de télévision Medi1TV. 
    Au cours de cette émission, la voix du Makhzen a parlé à travers trois personnes, présentées comme des experts, venues réciter sur le plateau de télévision chacune sa partition, selon un scénario cousu de fil blanc et plein de maladresses qui dévoilent la mise en scène anti-algérienne. La réaction de panique des dirigeants marocains confirme que la lutte des Sahraouis est sur la bonne voie. 
    Le nom de G’deim Izik, donné à l’université d’été, a enragé le Makhzen. On comprend pourquoi quand on sait que le campement G’deim Izik, à une dizaine de kilomètres de EL-Ayoune, au Sahara occidental, symbolise la résistance des Sahraouis et la revendication du respect de leurs droits. C’est là que, lundi 8 novembre 2010, des manifestations de Sahraouis pour l’indépendance ont été sauvagement réprimées par la police marocaine, entraînant des dizaines de morts et des centaines de blessés. 
    Pour les agents du Makhzen, invités dans cette émission, l’université d’été concocte dans les «laboratoires de Boumerdès» -ce sont leurs propres termes- des stratégies de déstabilisation du Maroc. Ces agents se veulent lanceurs d’une alerte en direction de leur opinion publique pour faire croire que les manifestations des Sahraouis qui auront lieu sont le fait des «Algériens qui veulent prouver que le feu brûle dans la maison marocaine». Ces «experts» veulent empêcher l’inévitable, c’est-à-dire la répression qui sera filmée, et dont les images serviront à salir la réputation du Maroc. Ils inventent une tentative de déstabilisation d’origine algérienne pour suggérer que ce danger soit utilisé dans le but de neutraliser les protestations sociales, provoquées par la détérioration des conditions de vie de la population marocaine. Un scénario catastrophe -ce sont les termes mêmes employés par les «invités» de l’émission- destiné à éviter la déliquescence qui s’empare de la société marocaine, confrontée à une impasse créée par les nombreux problèmes sociaux non résolus. 
    Au passage, la presse et l’élite en Algérie sont violemment prises à partie, les journalistes étant particulièrement visés pour avoir fait tout simplement leur travail : couvrir les travaux de l’université d’été du Polisario. Dans le fatras de propos jetés pêle-mêle par les pseudo-experts marocains, qu’il serait fastidieux de reprendre et trop facile à détruire, du fait de leur inconsistance, apparaît grossièrement le souhait de voir le Polisario assimilé au terrorisme qui sévit en Syrie et en Libye. 
    Les «experts» marocains reprennent les stéréotypes qui remontent à la guerre froide, en évoquant les mouvements de libération nationale, à l’image du Polisario, qu’ils présentent comme des organisations terroristes. En fait, au Maroc, c’est encore la panique qui règne devant l’issue inévitable de la Question sahraouie, à savoir l’autodétermination, la décolonisation et l’indépendance du Sahara occidental.
    M. B.
  • Maroc :L’histoire d’amour entre le Mossad et le Roi du Maroc

    L’opération « Mural » était classée (secret- défense du Mossad) jusqu’en 1984 ou elle était rendue publique par un article dans le journal (Maariv) a l’occasion d’une reconnaissance en publique par le Président Haïm Herzog (président a cette époque la d’Israël) lors d’une réception officielle présidentielle attribuant un grand prix a David Littman (Initiateur de cette opération) et a son épouse pour leur mission réussie au Maroc et depuis cet article ; beaucoup de détails ont été révélés a propos de cette opération ainsi que l’opération Yakhim , notamment par le livre de l’écrivain Français (Agnès Bensimon) auteur du célèbre livre « Hassan II et les Juifs » et ce qui a été révélé par (Simon Lèvy) le Marocain juif qui s’est toujours opposé à l’immigration massive des Juifs marocains en Israël ainsi que des détails historique très précis dans le livre du journaliste chevronné Mohamed Hassanein Heikal intitulé ( Des propos en politique)
    L’Opération « Mural » a commencé vers les années 50 c’était un effort clandestin dirigé par le Mossad a sa tète un juif britannique connu sous le nom de ( David Littman) afin de faciliter l’émigration des juifs marocains surtout des « enfants » vers Israël , cette opération est devenue légale et officielle après un accord signé avec le roi Hassan II au lendemain de sa succession au trône après la mort de son père Mohamed V cet accord qui permet a des juifs Marocains de quitter le Maroc pour rejoindre la Palestine occupée en versant une somme d’argent (en guise de récompense) qui allait tout droit a une banque suisse dans le compte personnel du roi Hassan II (01 million de Dollars)
    Le Mossad ne pouvait pas négocier avec le roi Mohammed V car il était hostile a ce genre d’opération et contre l’idée que des membres du Mossad visitent le Maroc, alors toutes les activités du Mossad au Maroc a l’époque de Mohammed V se faisaient clandestinement, après la mort du roi Mohammed V , la voie était plus libre pour des négociations avec les autorités Marocaine sous le règne de Hassan II qui recevait des membres du Mossad dans son palais pour trouver un terrain d’entente pour pouvoir faire voyager un nombre important de juif Marocain vers Israël dans les meilleurs conditions , le roi Hassan II avait accepté l’utilisation d’ un «passeport collectif» pour les juifs qui avaient quitté le Maroc entre 1962-1964 (100.000 Juifs ) ont pu quitter le Maroc sous la protection du roi Hassan II dans le cadre de l’opération qui était appelée par le Mossad « Opération Yakhin » ; qui avait connu un très grand succès .
    La relation entre le Mossad et le roi Hassan II n’avait pas atteint son terme juste par ces deux opérations mais c’était le début d’une longue histoire d’amour ,après ces opérations d’immigrations de juifs Marocains le Mossade voulant s’approcher plus du roi l’avait informé a plusieurs reprises de coups d’états qui se préparaient contre lui, et il l’avait aider a les avorter a temps ; Une autre carte gagnante avait été en faveur du Mossad pour gagner la confiance du roi Hassan II ; c’était lors de la guerre des sables en 1963 ou le Maroc avait déclarer la guerre contre , l’Algérie qui venait juste de se débarrasser d’une colonisation Française de 132 ans , dans cette guerre injuste , Djamel Abdenasser était du coté de l’Algérie blâmant cette erreur monumentale du roi Hassan II, devant cette situation ; le Mossad avait profité de faire comprendre au roi qu’ils sont ses alliés et qu’il était inutile de compter sur le panarabisme de Abdenasser.
    En 1975 Israël a aidé le Maroc dans la construction du mur de la honte en s’accaparant le Sahara occidental comme l’a fait Israël pour la Palestine
    En 1976 une rencontre a été organisée au Maroc par le chef du Mossad (Yitzhak Hofi) entre le roi Hassan II , depuis ce voyage Yitzhak Rabin s’est toujours senti chez lui dans les palais du prince des croyants
    La relation israélo- marocaine existe bel et bien mais si le Maroc essaie de la garder secrète mais c’est une mission impossible
    La relation israélo- marocaine existe bel et bien même si le Maroc essaie de la garder secrète mais c’est une mission impossible ; il suffit de voir la grande place que réserve Israël a Hassan II en donnant son nom a des place publique et des jardin et des clubs et fondation , on commémorant la date de sa mort chaque année comme s’il était un héros national , il a été même honoré d’un beau timbre qui été émis par l’administration postale israélienne après son décès ;Pour qu’Israël émette un timbre à l’effigie d’un chef d’Etat arabe, c’est que ce dernier a dû lui rendre d’inestimables « services ».

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=0ofBqqghhBw]

    SOURCE : YOUTUBE

  • L’occupant marocain n’a pas réussi à réprimer le mouvement estudiantin sahraoui

    AOUSSERD (CAMPS DES REFUGIES SAHRAOUIS)- Les participants à la conférence internationale de solidarité avec les étudiants sahraouis ont affirmé dimanche à Aousserd (camps des réfugiés sahraouis), que « l »occupant marocain a échoué dans son projet de répression du mouvement estudiantin sahraoui qui porte le flambeau de la libération ».
    « L’occupant marocain n’a pas réussi à maîtriser le système éducatif sahraoui qui reste attaché à son identité nationale et marqué par sa fervente défense du droit du peuple sahraoui à la liberté », a indiqué le représentant de la délégation sahraouie des territoires occupés, Mohamed Hali, lors de cette conférence organisée en marge de la 2e conférence de l’Union des étudiants de Sakia el Hamra et rio de oro. Il a rappelé également les souffrances de l’étudiant sahraoui privé de ses « droits fondamentaux comme le logement, la nourriture et le transport » ainsi que de la possibilité de s’inscrire dans les instituts et universités pour une formation en aviation, médecine ou ingénierie malgré le haut niveau scientifique de ces derniers ».
    Il a évoqué en outre, « les moyens de surveillance et de filature pratiqués par l’occupant à l’intérieur des universités devenues de véritables casernes militaires », citant à ce propos les interventions « des forces de l’occupation marocaines qui ont fait plusieurs morts parmi les étudiants et donné lieu à l’arrestation d’autres ». Malgré cette réalité tragique, « l’étudiant sahraoui continue de porter le flambeau de la libération donnant, chaque jour, des exemples de militantisme et d’héroisme face à l’occupation à l’intérieur et à l’extérieur de ses universités ».
    A la fin de cette rencontre, les unions estudiantines de plusieurs pays ont exprimé leur « indignation à l’égard des violations flagrantes des droits des étudiants sahraouis et à travers eux, le peuple sahraoui qui appelle à une intervention rapide de la communauté internationale pour mettre fin à ses souffrances à travers la décolonisation du Sahara Occidental ».
    APS, 24/08/2014
  • El Parlamento libio se reúne mañana en medio de la violencia de las milicias

    Trípoli, 24 ago (EFE).- El nuevo Parlamento libio surgido de las elecciones del pasado 25 de junio anunció la reanudación de sus actividades a partir de mañana, en medio de la oleada de violencia por parte de las milicias que rechazan su legitimidad.
    Según Omar Ahmiden, portavoz del Parlamento que ha reemplazado al antiguo Congreso General Nacional (CGN), se reunirá con « urgencia en Trípoli para salvaguardar la soberanía del país ».
    El anuncio se produce después de que los islamistas indicaran que han retirado su confianza al Parlamento.
    En un comunicado, el Parlamento libio calificó anoche de « terroristas » a los grupos armados de Misrata, que cuestionan su legitimidad, y afirmó su intención de combatirlos.
    « Los grupos de Fayer y Ansar Al Sharia son grupos terroristas y fuera de la ley que se alzan contra el poder legítimo », señaló el comunicado.
    Asimismo, el Parlamento aseguró que está dispuesto a hacer frente a estos dos grupos.
    « Estos dos grupos son un objetivo legítimo para el Ejército Nacional, que apoyamos con fuerza para que siga su combate hasta obligarlos a cesar las matanzas y a entregar sus armas », añadió la nota.
    Fayer (Amanecer) es una coalición de milicias procedentes principalmente de Misrata, situada a 170 kilómetros al este de Trípoli, que se enfrenta desde el pasado 13 de julio a las fuerzas de Zintán, a 200 kilómetros al suroeste de la capital.
    El grupo armado Fayer se hizo anoche con el control del aeropuerto internacional de Trípoli, así como la sede del Estado Mayor, tras un mes de violentos combates contra milicianos nacionalistas de Zintán.
    Asimismo, atacó la cadena de televisión privada Al Asima y se hizo con todos sus materiales.
    Durante los combates en torno al aeródromo de la capital, más de doscientas personas perdieron la vida.
    Paralelamente, Bengasi, la segunda ciudad libia, a 1.000 kilómetros al este de Trípoli, fue escenario de duros combates entre fuerzas paramilitares del general sublevado Jalifa Hafter y fuerzas islamistas de Ansar Al Sharia.
    Dicha milicia, considerada « terrorista » por Estados Unidos, controla aproximadamente un 80 por ciento de la ciudad de Bengasi.
    En los enfrentamientos registrados ayer en el barrio de Buatni, en Bengasi, entre las fuerzas islamistas Al Saiqa y los paramilitares de Hafter, murieron 8 soldados y otros 35 resultaron heridos.
    Hafter lanzó el pasado mayo una campaña militar, bautizada como Al Karama (Dignidad), en esa ciudad con el objetivo de acabar con los islamistas y los terroristas en el país magrebí.
    El pasado 13 de agosto, el Parlamento solicitó una intervención inmediata de la ONU para proteger a los civiles ante el continuo deterioro de la seguridad en Trípoli y Bengasi.
    Esa decisión causó una gran polémica en las calles por parte de manifestantes islamistas, que no representan la mayoría de los asientos en el Parlamento.
    Las mismas milicias islamistas acusaron ayer al Parlamento de ser cómplice con el Gobierno provisional de ataques que, según ellos, fueron lanzados por Egipto y los Emiratos Árabes Unidos contra sus posiciones en Trípoli.
    Desde la caída del antiguo régimen de Muamar al Gadafi, en 2011, las autoridades provisionales han fracasado en su objetivo de restablecer el orden y la seguridad en el país.
  • Les jours du Maroc au Sahara Occidental sont comptés

    par Khalil Asmar
    Epinglé par l’ONU en qualifiant la question du Sahara Occidental un cas de décolonisation et les préparatifs de la communauté internationale en faveur d’une résolution ayant une force obligatoire pour mettre fin à l’occupation, le Maroc semble totalement désorienté par la prochaine tournée du représentant personnel du SG de l’ONU pour la Sahara occidental, Christopher Ross. Cette panique face à son impotence à freiner toute initiative pour régler la question sahraouie, le Maroc une nouvelle fois continue sa politique de la fuite en avant.
    Au cours de son dernier discours à l’occasion du quinzième anniversaire de son intronisation prononcé le 30 Août, le roi M6 se disait qu’il mettra en œuvre son plan d’autonomie d’une manière unilatérale. Une intransigeance paumée retransmise, après, par une campagne médiatique à grande échelle, plein de coups de gueule contre les indépendantistes sahraouis, le Front Polisario, l’Algérie et les Nations Unies. 
    Cette attitude virulente s’est accentuée récemment par un comportement néfaste après l’installation de rampes de lancement de missile sol-air à El Aaiun occupée et la mise en alerte générale de tous les corps de son armée stationnés au Sahara Occidental occupé, avec un net renforcement de la présence des éléments des FAR tout au long du mur marocain de la honte qui divise en deux le Sahara Occidental et qui contient dans ses périmètres. Sous terre, plus de 7 millions de mines terrestres, notamment anti-char et anti-personnel. Si le Maroc justifie cette agression par des spéculations d’un attentat terroriste imminent, le parcours de ce déploiement armé n’est pas seulement une étape avancée dans son offensive diplomatique pour dresser de nouveaux obstacles en vue de perturber l’agenda de Christopher Ross et la Communauté internationale, mais plutôt un acte de sabotage de tous les efforts de l’ONU. De plus, c’est une démonstration de force inénarrable qui illustre que le Maroc peut même envahir et occuper les territoires libérés du Sahara Occidental sous contrôle des forces du Polisario si l’on repousse sa fantasmagorique thèse d’autonomie que le Makhzen veut imposer en violation de la légalité internationale et au mépris de la doctrine des Nations unies en matière de décolonisation. 
    Comme un noyé qui s’accroche à un brin de paille, le Makhzen cette fois récite une anecdote pleine de maladresse et bouffonnerie. En effet, les rebelles islamistes qui s’affrontent en Libye et qui ont pris possession de quelques avions peuvent les détourner vers le Maroc dans des opérations kamikazes contre des sites vitaux dans le royaume. Ces islamistes, qui ne peuvent être que des loyautés du nouvel épouvantail de l’Etat Islamique qui se propage à travers le Moyen Orient, vont exécuter leur plan comme si le Maroc était un état frontalier de la Lybie. Une pure hallucination. Néanmoins, les révélations accablantes de l’ex-agent des services secrets marocains au journal algérien Echourouk ont clairement démontré que le terrorisme au Maroc est une invention faite par les services secrets marocains, notamment la (DST/DGED…) et autres outils d’espionnage dans le but de quémander un soutien à la trésorerie marocaine et régler des comptes contre tous les opposants. De même, cette nouvelle pièce théâtrale makhzénienne n’est qu’une escroquerie brodée par des mauvais tailleurs pour dérailler les intentions affichées par les Nations-Unies d’aller jusqu’au bout pour arriver à l’organisation d’un référendum. 
    Certes, face à l’échéance capitale de 2015, les manœuvres désespérées et outrageantes de la diplomatie monarchique marocaine ne s’arrêteront pas là et ça va pousser le Makhzen à davantage s’enfoncer dans des dangereuses névroses obsidionales. Cependant, la justice doit prendre son chemin pour mettre fin à la souffrance des sahraouis qui luttent pour leur droit légitime à l’auto-détermination. Encore, le désarroi du Makhzen est un signe de la disparition de son occupation comme les colonisateurs jadis passés dans la terre du Sahara Occidental. 
  • Frontières avec le Maroc : réouverture sous conditions

    En fait, au Maroc, c’est encore la peur panique qui règne devant l’issue inévitable de la question sahraouie, à savoir l’autodétermination, la décolonisation et l’indépendance du Sahara occidental.
    Hocine Adryen
    La fermeture de la frontière terrestre entre l’Algérie et le Maroc fêtera aujourd’hui ses 20 ans. En 1994, à la suite à l’attentat de Marrakech qui a fait plusieurs morts, le Maroc décide unilatéralement d’imposer le visa à tous les Algériens désireux de se rendre au Maroc. A la suite de cette décision, l’Algérie ferme ses frontières avec le Maroc.
    L’enquête qui a suivi montrera que cet attentat a été commandité de Paris par des Franco-Marocains. L’Algérie accusée injustement, se fâche et décide à son tour de mettre en place des visas pour les Marocains voulant entrer sur le territoire algérien. Après plusieurs jours, elle durcit le ton et décide de fermer sa frontière avec le Maroc. La frontière terrestre reste fermée à tout trafic depuis 1994. Dix ans après, soit le 31 juillet 2004, l’accès au territoire marocain n’est plus soumis aux formalités de visa. En 2005, le visa d’entrée en Algérie est levé à son tour par les autorités algériennes.
    C’est à ce jour la plus longue frontière terrestre fermée. La frontière terrestre entre l’Algérie et le Maroc est longue de 1 559 kilomètres. Le 28 mai 1992, la chambre des représentants du royaume chérifien ratifie le traité de 1972 délimitant la frontière avec l’Algérie. Mais ce pays continue de réclamer une partie du Sahara algérien et la région de Tindouf. Avant-hier encore, la chaîne franco-marocaine Medi 1TV est revenue sur le sujet via des experts de sa majesté pour expliquer que le Maroc continue de revendiquer une partie du territoire du Sahara. Le makhzen s’est cru obligé de lui consacrer pratiquement toute une émission.
    Au cours de celle-ci, le débat s’est limité à trois personnes, toutes présentées comme des experts, chacune officiant au sein d’un organisme ou d’un centre stratégique. Ces trois personnes, en plus de dire des contrevérités, ont toutes validé la thèse selon laquelle une grande partie du territoire du Sahara revient de droit au Maroc. Ces « experts », qui ont repris les thèses du dirigeant Allel el Fassi, un fervent partisan, sinon initiateur de l’idée du Grand Maroc allant de Saint-Louis du Sénégal à Oujda et incluant Tindouf en Algérie, sont allés même jusqu’à inventer une « tentative de déstabilisation » d’origine algérienne.
    Au passage, la presse et l’élite en Algérie sont violemment prises à partie, les journalistes étant particulièrement visés pour avoir fait tout simplement leur travail. En fait, au Maroc, c’est encore la peur panique qui règne devant l’issue inévitable de la question sahraouie, à savoir l’autodétermination, la décolonisation et l’indépendance du Sahara occidental. En effet, au mois d’octobre prochain, Algériens et Marocains croiseront une nouvelle fois le fer à New York à l’occasion des travaux de la IVe commission des Nations unies sur la colonisation dont celle du Sahara occidental.
    Mais les frontières resteront fermées tant que les contentieux qui existent entre les deux pays ne sont pas réglés. L’Algérie continue de réclamer un débat de fond sur toutes les questions qui fâchent. De son côté, le Maroc ne veut pas discuter de ces sujets et semble se focaliser uniquement sur la seule question de la réouverture des frontières. Une aubaine pour le roi du Maroc qui pense tirer profit de cette décision pour développer les villes frontalières du royaume, soumises ces dernières années à des soulèvements sporadiques pour exiger une meilleure distribution des richesses.