Mois : juillet 2014

  • « L’oubli finit par gommer l’inacceptable »

    Jean-François Debargue (à droite) sous une  serre de
     la ferme Théodore-Monod dans le camp d’El Ayoun, en
    compagnie d’un ingénieur agronome sahraoui. Crédit : JF Debargue
    Parti vivre dans le camp de réfugiés Sahraouis d’El Ayoun, en Algérie, entre 2008 et 2010, le Français Jean-François Debargue a coordonné sur place la création de jardins familiaux. Au-delà de l’intérêt agricole (et nutritionnel) de cette action, Jean-François Debargue s’est réellement immergé dans la vie des familles. De cette expérience, il nous fait partager son regard d’une grande humanité, fruit d’une écoute et d’une empathie qu’il a développées au contact de cette population, et aussi d’une grande clairvoyance. Un long et fort entretien.
    Nouvellesdusahara :
    Pour le compte du CCFD et de Caritas, vous avez séjourné régulièrement dans les camps de réfugiés pendant trois ans (entre décembre 2007 et décembre 2010), puis les trois années suivantes lors de missions plus courtes, pour participer à un programme de création et de suivi de jardins familiaux.
    Quel est le but recherché à travers ces jardins ? Plus largement, quel était votre parcours pour vous retrouver impliqué dans un tel projet et dans une région du monde dont on ne parle jamais ?
    Jean-François Debargue :
    Berger, puis éleveur ovin et technicien bovin lait, j’ai quitté mon exploitation normande du Pays d’Auge pour répondre à la proposition de l’Archevêque d’Alger, Monseigneur Teissier, et du CCFD de coordonner un projet agricole dans le camp sahraoui d’El Ayoun. A 51 ans, sans expérience humanitaire, je quittais la France pour la première fois, à la rencontre d’une république exilée en plein Sahara Algérien.
    Je suis arrivé sur place le 29 décembre 2007 pour relancer le projet de la ferme Théodore Monod, grand jardin régional de polyculture-élevage dont la production animale et végétale devait être donnée à la population du camp d’El Ayoun.
    En arrivant, j’ai découvert que le projet, qui devait concerner 17 hectares et 300 ovins et caprins, était en fait de 8 hectares et que le troupeau atteignait à peine une centaine de têtes. J’ai immédiatement prévenu le CCFD par le seul moyen de communication possible à l’époque, les sms !
    Très vite, cette situation inattendue et la faible productivité des productions animales et végétales m’ont fait réfléchir. Mais le projet ayant du retard, l’objectif prioritaire était d’utiliser 75% du budget dans les 6 premiers mois. Avec l’accord du CCFD, j’ai modifié les investissements pour les adapter à la situation. Malgré plusieurs coupes de fourrage et des économies substantielles réalisées grâce à de longues périodes de transhumance dans les zones libérées (Note de l’auteur du blog : les Sahraouis appellent « zones libérées » la partie du Sahara occidental -environ 20 %- qui se situe à l’est du mur de sable, c’est-à-dire qui n’est pas sous contrôle marocain. Les Sahraouis, notamment ceux qui ont des animaux, fréquentent cette zone, malgré la pollution des mines), et malgré l’amélioration de la productivité animale, ce qui était distribué en chevreaux, agneaux, animaux de réforme, ainsi que la production végétale (betteraves, carottes, tomates), restaient désuets par rapport à la population et à ses besoins. Quelques dizaines d’animaux et quelques quintaux de végétaux pour une population du camp estimée à plus de 25 000 personnes ! J’ai beaucoup observé et réfléchi durant ces premiers mois ; j’étais partagé entre les obligations de résultat d’un projet remanié et la connaissance de la réalité que je vivais quotidiennement dans les camps.
  • Le Makzen récidive : L’Algérie cible de nouvelles attaques

    L’Algérie est-elle devenue le souffre-douleur du Maroc ? La question mérite bien d’être au moins posé au vu de la dernière éructation de la ministre délégué aux Affaires étrangères du royaume. Mme Mbarka Bouaida, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, en l’occurrence, revient à la charge sur un dossier aussi vieux que les querelles fratricides qui jalonnent les relations entre les deux pays frères. De quoi s’agit-il ? De l’affaire des Marocains expulsés d’Algérie en 1975, dans la foulée de l’émergence de la question sahraouie. 
    Mme la ministre, faisant ainsi du réchauffé, visiblement pour faire parler d’elle dans les médias, accuse les autorités algériennes de ne pas « assumer leurs responsabilités dans le non règlement du dossier » et déplore encore devant la Chambre des représentants que « l’Algérie ne se soit pas montrée prête à examiner ce dossier». 
    Mme Mbarka, qui fait ainsi à bon compte du punching anti Algérie et à bon compte, ne se limite pas à cette seule jérémiade sur le dossier des «expulsés». Elle va plus loin en accusant carrément l’Algérie de vouloir créer des problèmes au royaume de sa Majesté M6. La ministre marocaine cite « les manœuvres d’Alger pour faire obstruction à la participation du Maroc à toutes les conférences et réunions politiques relatives à la sécurité régionale, recours volontaire à baisser son niveau de représentation lors des réunions tenues au Maroc, et sa décision d’évacuer 70 citoyens syriens vers le Maroc, outre l’incident des tirs à balles réelles en direction des frontières maroco-algériennes par des éléments de l’armée algérienne. »Trop d’accusations à la fois livrées en vrac pour être un tant soit peu crédibles. En fait, la sortie de Mme Mbarka fait écho à celle de son supérieur Salaheddine Mezouar, ministre des affaires étrangères qui avait qualifié le 10 juillet de « minable »l’attitude de l’Algérie sur la question du Sahara occidental. 
    Même s’il ne s’agit pas de se situer sur le même registre des jérémiades, il n’est pas inutile de rappeler toutes les « crasses » marocaines à l’égard de l’Algérie. Les tonnes de drogues qui déférent mensuellement sur notre pays et les millions de litres de carburants et autres produits soutenus par l’Etat qui prennent la direction inverse, ne sont que la partie visible de l’iceberg. Et que dire aussi des manœuvres de la diplomatie marocaine pour torpiller les efforts de l’Algérie à trouver une solution à la crise malienne. Les autorités marocaines manipulent en sous- main les terroristes du MUJAO pour entretenir un abcès de fixation dans la frontière sud de l’Algérie. Limitons-nous à ces deux griefs qui peuvent justifier amplement une réaction violente d’Alger. Mais l’Algérie a autre chose à faire qu’à réagir à ces poussées périodiques de prurit chez certains politiques marocains en mal de visibilité médiatique. En tout cas, ce n’est pas avec ce genre de déclarations, sans queue ni tête, que les responsables du Makhzen vont forcer la main à l’Algérie à ouvrir les frontières. Encore moins bâtir l’Union du Maghreb.
    Omar Zekri
    L’Est Républicain, 24/07/2014

    http://lestrepublicain.com/actualite/item/15003-l%E2%80%99alg%C3%A9rie-cible-de-nouvelles-attaques#sthash.9M34uzYl.dpuf

  • Le Makhzen veut-il torpiller les négociations d’Alger sur le Nord-Mali ?

    Au moment où un site électronique, dont on ne sait trop s’il est algérien, même s’il est basé à Alger, veut occulter les succès indéniables de la diplomatie algérienne qui serait, selon lui, «léthargique», au Maroc, medias et, officiels ne peuvent cacher leur dépit face aux réussites de notre diplomatie depuis l’arrivée à sa tête de Ramtane Lamamra, l’un des plus brillants diplomates de sa génération. 
    Ainsi, après la violente réaction du MAE marocain qui n’eut d’autre recours que l’insulte, alors qu’il était pris de court par la nomination par l’Union africaine d’un représentant spécial pour le Sahara occidental, le Maroc joue les ingérences pour torpiller les négocaitions d’Alger sur le règlement de la crise du Nord-Mali . En effet, selon des médias du Makhzen, le Premier ministre malien, Moussa Mara, a invité le Maroc à «continuer à jouer de son influence» en vue d’une solution de paix durable et définitive au Mali.
    D’après les mêmes sources, «les autorités algériennes et le président mauritanien, Mohamed Ould Abdelaziz, qui préside l’Union africaine, ont tout fait pour exclure le Royaume des circuits d’efforts pour la paix entre le gouvernement de Bamako et les Touareg du Nord-Mali». Cette information confirme que les experts ne se sont pas trompés, en situant le risque d’obstacle à la réussite de la démarche de paix engagée par l’Algérie dans les tentatives du Maroc de poser des entraves à sa mise en œuvre. Mais ils ont sans doute eu raison, aussi, d’ajouter que ces tentatives sont vouées à l’échec. 
    Le Maroc enrage, encore une fois, devant le succès de la diplomatie algérienne qui va se concrétiser dans la signature d’une feuille de route pour la mise en œuvre d’un cadre de négociation directe entre le gouvernement malien et les organisations armées, représentant les communautés de l’Azawad. Le statut de chef de file des négociateurs est reconnu et accordé à notre pays dans un processus encadré par l’Organisation des Nations unies,l’Union africaine et l’Union européenne.
    La diplomatie algérienne est active dans son voisinage et cela ne plaît pas au Maroc qui s’obstine à prêter à notre pays des intentions de positionnement sur l’échiquier africain et,dans ce cas précis, sahélien. À croire que le prestige de l’Algérie serait artificiel et aurait donc besoin d’être valorisé par un activisme diplomatique,comme c’est le cas pour le Maroc. C’est oublier l’histoire des relations entre l’Algérie et ses voisins, et plus largement avec les pays africains. 
    L’Algérie a toujours eu une politique activeà l’égard du continent et plus particulièrement lorsque se fait sentir le besoin de son intervention, sans ingérence dans les affaires intérieures des pays, comme le dicte son principe de politique étrangère. Le dernier acte,en date de cette politique, est dans la réunion coprésidée,hier,à Tébessa par le Premier ministre,Abdelma- lek Sellal,et le chef du gouvernement tunisien, Mehdi Jomaa, sur les questions sécuritaires, mais aussi les rela- tions bilatérales et en rapport avec le développement. Il est évident que le Maroc, lesté par le gros problème de déco- lonisation du Sahara occidental qu’il traîne, est fortement handicapé dans sa politique africaine. C’est encore plus vrai maintenant que l’UA a décidé de s’impliquer davantage dans le conflit qui oppose le Polisario au Maroc, comme en atteste la nomination de l’ancien président mozambicain,Joachim Chissano, au poste d’Envoyé spécial de l’UA pour le Sahara occidental. Et si le Royaume conteste cette décision, c’est moins parce qu’il y voit la main de l’Algérie, ce qu’il avance comme prétexte, mais parce qu’elle confirme l’ap- préciation de l’instance afri- caine concernant le caractère du conflit au Sahara occidental, à savoir un problème de décolonisation. Une question d’autant plus essentielle pour l’UA qu’elle porte entre autre sur le non-respect par le Maroc du principe cardinal de l’intangibilité des frontières et de l’engagement solennel pris par feu Hassan II devant ses pairs au Sommet de Nairobi d’accepter le référendum d’autodétermination du peuple sahraoui. Sans parler de la signature à Houston sous l’égide de l’ancien secrétaires d’État americain James Baker,de l’accord de paix traçant les modalités pratiques de l’organisation du référendum d’autodétermina- tion. Un accord légèrement amendé, mais qui constitue le socle du plan de règlement onusien que le Maroc conti- nue à obstruer. 
    Mokhtar B.
    Le Courrier d’Algérie, 24/07/2014
  • Buscan una patera en aguas cercanas a Canarias que partió de El Aaiún

    SANTA CRUZ DE TENERIFE, 24 Jul. (EUROPA PRESS) –
    Salvamento Marítimo y la Guardia Civil buscan una patera que salió en la madrugada de este jueves de una playa situada al norte de El Aaiún, en el Sahara Occidental.
    Por parte de Salvamento se ha activado el avión Sasemar 103 que ha sobrevolado durante toda la jornada El Aaiún, la zona del cabo Juby y la costa de Fuerteventura, y durante esta tarde lo hará por Gran Canaria.
    En el caso de la Guardia Civil, ha entrado en funcionamiento un helicóptero que está sobrevolando las islas de Fuerteventura y Gran Canaria, han informado a Europa Press fuentes de Salvamento Marítimo.
    http://www.europapress.es/sociedad/noticia-buscan-patera-aguas-cercanas-canarias-partio-aaiun-20140724195652.html
  • Embajada Española en Argelia otorga visado a niños saharauis pendientes de llegar a España

    MÉRIDA, 24 Jul. (EUROPA PRESS) – 
    La Embajada Española en Argelia ha otorgado el visado al grupo de 44 menores saharauis que estaba pendiente de llegar a Extremadura, según ha informado la Asociación AMAL de Amigos y Amigas del Pueblo Saharaui de Don Benito (Badajoz).
    En nota de prensa, dicha asociación ha apuntado que ha sido laDelegación Saharaui para Extremadura quien le ha comunicado este extremo, a lo que ha añadido que, a partir de este momento, se están haciendo las gestiones de reserva de plazas de avión para dicho grupo y sus correspondientes monitores.
    Asimismo, la Asociación AMAL ha trasladado el agradecimiento de la Delegación Saharaui para Extremadura hacia el presidente del Ejecutivo de Extremadura, José Antonio Monago, y el presidente de la cámara legislativa regional, Fernando Manzano.
    http://www.europapress.es/epsocial/politica-social/noticia-embajada-espanola-argelia-otorga-visado-ninos-saharauis-pendientes-llegar-espana-amal-20140724184738.html
  • Recepción saharauis

    La Presidenta Barcina con los niños saharauis
    “Siempre constituye para mí una gran alegría compartir este encuentro que al comienzo de cada verano mantengo con todos ustedes, con todos vosotros, participantes en el programa “Vacaciones en Paz”, programa que irradia la alegría y la satisfacción propias de estas dos palabras, pero tras las cuales se presentan unos valores humanos de gran calado como son la generosidad y la solidaridad”.
    Con estas palabras ha comenzado su intervención la Presidenta de Navarra, Yolanda Barcina, en la recepción a los niños saharauis participantes en el programa “Vacaciones en paz”, a los que ha transmitido “mi más afectuoso saludo de bienvenida, que deseo que se haga extensivo al conjunto de los niños y niñas que venís desde los campamentos de Tinduf en los que vivís habitualmente, y a las familias navarras que os acogen”.
    Según ha manifestado la Presidenta del Gobierno, “la solidaridad y el compromiso de Navarra con el pueblo saharaui se viene demostrando mediante importantes aportaciones económicas de Ayuda Oficial al Desarrollo para vuestras comunidades. En los dos Planes Directores llevados a cabo entre 2007 y 2014, se han destinado 3,2 millones de euros a la población saharaui refugiada en Tinduf, a través de distintos proyectos de ayuda alimentaria (2 millones de euros), salud integral (700.000 euros), educación (400.000 euros), y otros”.
  • Maroc: Révélations accablantes de l’ex-officier des services secrets marocains

    Vu ses révélations accablantes sur les vérités de la monarchie marocaine et ses services d’espionnage dans les enlèvements, la torture et le trafic de drogue, on vous présente la traduction intégrale de l’interview de l’ex-officier marocain des services secrets comme publiées dans le journal Echourouk “Echoroque”http://www.echoroukonline.com/ara/articles/209832.html
    Quelles sont les raisons qui vous ont poussés à quitter les services secrets marocains, et quelles sont les tâches qu’on vous a consignés?
    Tous d’abord je dois remercier le journal d’Echoroque et son équipage d’avoir offrir cette occasion qui est rare dans mon pays bien-aimé à cause des pratiques sordides du Makhzen qui impose la censure contre tous les voies libres qui demandent le changement, la liberté et la vraie démocratie.
    Revenons à votre question, l’une des raisons qui m’a poussé à quitter les services secrets marocains est l’absence d’une loi qui encadre ces services et définir leur mission. Au même temps, il n’existe pas de contrat constitutionnel qui protège les citoyens marocains contre les abus de ses officiers et puisque ces services ne disposent d’aucun contrôle judiciaire ni parlementaire, ils profitent de ce vide juridique pour réprimer et commettre des injustices et contourner la loi dans le cadre des tâches qui leur sont confiées et puisque j’étais un agent de renseignement appartenant au service de la surveillance et la collecte de renseignements militaires, on étaient en communication avec plus de 12 organes de renseignements à l’intérieur du Maroc à leur tête la DGED (Direction Générale d’étude et Documentation) , c’est-à-dire les services secrets militaires, la DST (Direction de Surveillance du Territoire) les services secrets civils et la DAG, un dispositif de renseignement qui dépend du ministère de l’intérieur où j’ai été témoin de nombreuses opérations d’enlèvement, la torture et atteinte à la dignité des citoyens marocains, sans parler de la corruption, pots-de-vin et trafic international de la drogue dirigé par certains responsables de ces services …à la fin de l’année 2000, j’ai déclaré ma condamnation de ces violations et, moi et quatre autres officiers, on a envoyés une plainte au roi Mohamed 6 révélant l’ampleur de la corruption au sein des services de renseignement, y compris les prisons secrètes dans lesquelles se pratique la torture et l’homicide .. mais la réponse de sa majesté envers notre audace était l’emprisonnement sur des accusations de divulgation des secrets d’état.
    Selon votre connaissance, qu’ils sont les dossiers les plus importants sur l’Algérie qui excitent et effraient l’establishment militaire et le Roi du Maroc?
    Cette question, à mon avis, n’a pas besoin d’évidence pour la répondre… le problème qui existe entre les deux pays, la Maroc et l’Algérie n’est pas nouveau, ils sont les frères ennemis.. à savoir qu’ un des plus important dossier qui brouille les enjeux des services secrets et l’institut monarchique est l’affaire du Sahara… qui épuise la moitié (si mes spéculations sont corrects) du budget du royaume avec le soutien financier des boîtes noires, qui sont remplis par le commerce de la drogue et les transactions soupçonnés ; ici je fais référence à deux choses importantes : le plan mise en place pour contenir le dossier du Sahara c’est que la DGED surveille les développements du dossier du Sahara à l’échelon onusien et travail par tous les moyens pour attirer les responsables du Polisario pour les rallier au Maroc à travers des courtiers sahraouis recrutés pour cet objectif, comme la cas pour Omar El Hadrami et Ould Suelam et autres… en même temps, diplomatiquement il fonctionne à travers ses voies pour neutraliser la reconnaissance des pays au Polisario. On ce qui concerne la tâche assignée au dispositif de la DST, le service secret civil, c’est de surveiller ce qu’on appelle ‘les séparatistes de l’intérieur’, leurs mouvements, activités, leurs relations… où il travaille sans relâche pour acheter leurs âmes et les embaucher comme des espions contre leurs frères Sahraouis. La deuxième chose, l’état marocain, roi, gouvernement ou bien politiciens portent dans leur croyance que l’Algérie et ses services secrets travaillent sans cesse pour ternir l’image du royaume devant l’avis international au niveau des droits de l’homme et la démocratie. De même, l’Algérie est responsabilisée pour toutes les crises diplomatiques qui ont eu lieu récemment entre le Maroc et ses homologues en France, la Mauritanie et d’autres pays… il est à noter que le royaume du Maroc assume la responsabilité aux services secrets algériens pour le financement de l’opposition à l’étranger, quelque chose qui n’existe que dans l’imagination d’un régime dictatorial et politiquement malade, saturé par l’idéologie de ni guerre, ni paix..
    Y at-il un lien entre les groupes terroristes et les services des renseignements marocains, comme c’est le cas avec Al-Qaïda au Maghreb islamique, et en particulier le groupe Tawhid et Jihad, et si oui, quels sont les liens entre les deux parties?
    J’ai déclaré à maintes reprises que le mot terrorisme émanant des idéologies islamistes radicales est inexistant dans le royaume du Maroc… parce que les mouvements salafistes Djihadistes et ‘Hijra wa Takfir’ et autres ne sont que des scénarios produites par les services secrets marocains, profitant de l’implication de quelque ralliés de la guerre d’Afghanistan, nommés par ces organes par ‘les marocains afghans’ .. et si nous analysons la situation logiquement, nous remarquerons que le plupart des opérations terroristes, entre parenthèses, n’avaient pas un objectif purement terroriste et elles n’ont pas couter la vie des responsables de l’état ou bien les cadres militaires… plutôt elles étaient politisés pour régler des comptes politiques ou attirer de l’argent par le dossier islamique faire croire aux pays touchés qu’il existe un terrorisme radicale transcontinentale.. d’ici on doit éclaircir que le Royaume ne dispose pas de ressources économiques tels que le gaz ou le pétrole.. mais son économie se limite sur la pêche qui est en voie de disparition, un peu de phosphate, quelque recettes de tourisme et le commerce (la mendicité) avec le dossier du terrorisme islamiste radicale… quant à la relation de la DGED, c’est sure que cet organe à une relation indirecte dans le financement de Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) pour reprendre son activité dans la région afin de tuer deux oiseaux d’un seul coup : impliquer l’Algérie et la classifier comme un foyer et sponsor du terrorisme… et l’autre chose coller au Polisario l’étiquette d’organisation terroriste.
    Est-ce que c’est le roi qui donne les ordres de la torture à l’établissement sécuritaire et est-ce qu’il a des revenues qui coulent sur son propre compte des recettes provenant de la vente de la drogue?
    Un menteur qui prétend que l’institution royale dirigé par Mohammed 6 n’est pas consciente des prisons, les enlèvements secrets, et la torture, je vais aller plus loin et je dirais que tous les pactes qui ont lieu entre les services secrets marocains et leurs homologues américains dans ce qui est connu dans le monde des renseignements comme ‘les voyages secrets de la CIA’ étaient bien évidement sur la connaissance du roi et la supervision de son ami d’étude et son conseiller sécuritaire Fouad Ali El Hemma où le petit aéroport triangulaire qui se trouve entre ‘le palais royale de Dar Essalam, le bureau de la Direction de la supervision Territoriale (DST) et le parc de zoo de Tmara’ et qui reçoit des voyages secrets de l’avion « Golf Stream » en provenance du Guantánamo bai portant les disparues de la CIA pour être soumises à la torture et arracher ses confessions par force au prison secret de Tmara par des agents secrets marocains. Les évènements du 16 Mai 2003 étaient témoin des violations graves commissent par les services secrets marocains et les organes sécuritaires avec la coopération judiciaire ont reçues un feu vert après le discours royale quand il a dit ‘ le temps de l’indulgence est fini avec ceux qui exploitent la démocratie pour porter atteinte à l’autorité de l’ état’ une allusion au Islamistes. Ce discours a ouvert l’appétit à ces organes d’exercer l’abus du pouvoir, la détention, l’enlèvement et la torture de plus de 3000 citoyen marocains comme des offrandes au américains en contrepartie des dons et soutien financier comme quoi le Maroc combatte l’extrémisme islamiste intercontinental et joue le rôle de gendarme dans la région ; ce qui veut dire que la Maroc attire l’argent au nom de la lutte contre le terrorisme ..et pour l’histoire, je peux assurer de ce plateforme que dans beaucoup de cas le roi Mohamed 6 supervisait des opérations de torture et il avait la décision finale dans l’arrestation, l’enlèvement et la torture de plus d’une personnalité marocaine soit-il politique ou sportif… et le palais royale sur la route kilomètre 7 à Salé contient un centre de détention secret dont le quel les formes de torture les plus pires et laides sont pratiqués sous la supervision d’équipes spécialisées des services de renseignement de la gendarmerie envers les servants du palais et le hautes officiers militaires surnommer ‘les dénigrés du roi’ concernant votre question sur les revenues du roi de la drogue, il est logique puisque que le produit de la drogue de cannabis extraite des plantes cultivées dans des champs sont une propriété propre du roi et par suite on n’a pas besoin d’un intelligence surnaturel pour confirmer que l’un des richesse du roi est le commerce international de la drogue.
    Comment est-elle la relation du roi avec l’institut militaire et sécuritaire au Maroc ?
    la relation entre le roi et l’institution militaire et les corps de sécurité marocains est «similaire à celle qui lie le parrain et la Mafia» sauf lorsqu’ils appliquent la directive donnée par Hassan II aux officiers de l’armée après les deux tentatives de coup d’État de 1971 et 1972 ‘Intéressez-vous dans la collecte de l’argent et éloignez-vous de la politique’
    Le prince Moulay Hicham, le cousin du roi a dit qu’il y a ‘des lobbies qui monopolisent l’économie marocain’ comment ça se fait ?
    C’est sûr, aussi il ne faut pas exclure le prince Hicham personnellement de cela, il dispose également d’une part dans cette affaire mais l’institut monarchique reste le plus grand contrôleur de l’économie marocain monopoliser par l’ONA qui est la plus grande institue commerciale affiliée au Holding Royale et classifier au sommet (top) des plus grandes 500 entreprises en Afrique et qui est dirigée par son conseiller économique Mounir El Majidi, et donc il n’est pas permis à aucune entreprise commerciale étrangère qui veux investir dans le royaume sauf après l’accord du Holding Royale avec un bénéfice de la moitié des intérêts… aussi bien les membres de la famille royale ont une main dans le monopole de l’économie marocain et son contrôle… et à leur tête le prince Rachid, les princesses Meriem et Hasnaa, le prince Ismail le frère de Hicham et les princes Abdellah, Youssef, Najla et la tente du roi fatima Zahra et le prince Mehdi le fils du princesse Malika la tente du roi… tous les susmentionnés et d’autres sont partenaires dans la corruption de l’économie marocain où aucun deal ou bien accord commerciale ne peux être accorder sans qu’ils tiennent 50% d’intérêts.
    https://freedomsupport.wordpress.com/2014/07/21/maroc-revelations-accablantes-de-lex-officier-des-services-secrets-marocains/
  • Diáspora Saharaui, 6 años de dedicación a la causa saharaui

    Mi contribución mediática empezó en 2008 con varios artículos enviados al sitio suizo ARSO. Mientras ese rincón dedicado a opiniones de la página pro-saharaui estaba saturado de artículos críticos hacia el Polisario, los míos se distinguían por dos facetas: eran bilingües (en español y en francés) y desvelaban las maniobras políticas y los embustes de la prensa de Marruecos.
    No tardé en recibir un mensaje de felicitación de dos responsables del Frente Polisario. Uno de ellos, de alto rango describía mis publicaciones como “una innegable contribución a la causa”. Pero la Señora Martinoli que administra el sitio ARSO me dijo que yo era “muy prolifero” y que su trabajo es voluntario y no tiene tiempo para publicar los artículos que le mando todos los días. Me propuso crear un blog y me informó que mis publicaciones eran recogidas por la revista de prensa de la MINURSO.
    Era un novato en “bloguería”. La señora Martinoli me echó una mano en la creación y el diseño de un blog que llamé “Diáspora Saharaui”. Mi objetivo era el de contrarrestar un poco la propaganda marroquí que invadía la telaraña de Internet de una manera horripilante en un idioma que es de extrema importancia en la región : el francés. Es el idioma de contacto con las embajadas, los periodistas, las ONG’s oficiales y benévolas. Y sobre todo es el idioma de un país, Francia, cuya posición es decisiva en el conflicto del Sáhara Occidental y es el principal aliado de Marruecos.
    Para que mis publicaciones lleguen al máximo de lectores, empecé mandando también mis artículos a una página de la extrema izquierda francesa, Bellaciao. De vez en cuando, también mandaba algunos en español a Kaos En La Red.
    Unos meses después Google Noticias admitió las publicaciones de mi blog en su página de noticias en francés. De esta manera, la audiencia se amplió considerablemente. A veces llegaba hasta más de 3000 visitas al día. En español, Google no me aceptó hasta el 15 de julio del 2014. Ese día, el blog Diáspora Saharaui, bajo el nombre de Noticas del Sáhara, entró en una nueva etapa en el marco del servicio a la causa saharaui. Nuestra audiencia en una semana pasó de 40 a más de 300 visitantes y este número seguirá aumentando con el tiempo. Prometemos deleitar al público hispanófono con noticias, análisis y comentarios inéditos. De hecho, el blog Diáspora Saharaui siempre se distinguió por sus propias publicaciones.
    Aprovecho para expresar mis agradecimientos a Marie-Claire Martinoli por su ayuda y por haberme propuesto la creación de este blog.
    Todos los lectores que desean recibir la revista de prensa de la MINURSO pueden contactarme a través del formulario de contacto del blog, indicando su cuenta e-mail. 
  • Le trafic de cannabis en Algérie, un mal en expansion

    Tlemcen.-Les brigades mobiles des services des douanes de la wilaya de Tlemcen ont saisi, au cours de deux opérations distinctes, une quantité de 125 kilos de kif traité en provenance du Maroc. C’est au cours d’une opération de recherche entre- prise, avant-hier , dans la forêt, située entre la localité de Chebikia et la région des Ouled Ramdane, sur la bande frontalière, que les douaniers ont découvert, à l’intérieur de quatre sacs, une quantité  102 kilos de kif. La seconde opéra- tion a eu lieu le même jour dans la région de Boukanoun. Les douaniers ont  saisit  23 autres kilos de kif dissimulés à l’intérieur d’un véhicule de tourisme

    Saisie de 125 kg de kif traité provenant du Maroc
    Les brigades mobiles des ser- vices des douanes de la wilaya de Tlemcen ont saisi, au cours de deux opérations dis- tinctes, une quantité de 125 kilos de kif traité en provenance du Maroc, a-t-on appris mardi, de la direction régionale de ce corps
    constitué. C’est au cours d’une opération de recherche entrepri- se, lundi dans la forêt, située entre la localité de Chebikia et la région des Ouled Ramdane, sur la bande frontalière, que les douaniers ont découvert, à l’inté- rieur de quatre sacs, une quanti-
    té de 102 kilos de kif. De même source, on précise que la secon- de opération a eu lieu le même jour dans la région de Boukanoun. Les douaniers ont exploité des informations qui ont conduit à la saisie de 23 autres kilos de
    kif dissimulés à l’intérieur d’un véhicule de tourisme. Les doua- niers ont opéré ce coup de filet dans un barrage dressé sur la route reliant le village Salem à la localité de Sidi Boudjenane, dans la daïra de Nedroma. R. R.
    Drogue provenant du Maroc Tentative d’introduction de 9 quintaux de kif traité déjouée
    LES GARDES-FRONTIÈRES ont réussi, mardi soir, à déjouer une tentative d’acheminement vers le territoire national de 841 kg de kif traité en provenance du Maroc, a-t-on appris hier auprès des services de la Gendarmerie nationale. C’est lors d’une patrouille pédestre près de la bande frontalière, que les gardes-frontières ont repéré des individus qui tentaient de franchir clandestinement les frontières, avant de prendre la fuite en rebroussant chemin à la vue du dispositif sécuritaire, selon la même source. Cette quantité de drogue a été abandonnée sur place et remise à la section de recherches qui a ouvert une enquête sur cette affaire. Dalil L.
    Trafic de drogue à Mostaganem Un mal en expansion
    A travers la wilaya de Mostaganem, le trafic de stupéfiants et produits pharmaceutiques antidépressifs enre- gistre une escalade vertigineuse .En cette période de ramadhan, jeunes et moins jeunes s’adonnent à la consom- mation des stupéfiants sans se soucier des conséquences qui peuvent en découler. Quotidiennement des délin- quants et autres intermédiaires qui se sont spécialisés dans ce commerce illi-
    cite extrêmement lucratif, sont neutrali- sés par les éléments de la sécurité, en possession de quantités non négligea- bles de psychotropes ou de kif traité pour la commercialisation. Moins encombrant et embarrassant que les boissons alcoolisées, tout en rapportant de meilleurs bénéfices, vendu entre 300 et 400 DA le comprimé, aujourd’hui, des cartons entiers de boîtes de ce produit nocif dit «roche rouge, Rivotril, Tranxène,  sont colportés par des dea- lers. Selon les éléments de la sécurité,
    ces produits pharmaceutiques détour- nés de leur destination, qui provenaient initialement de la France, aujourd’hui c’est directement du Maroc. Introduits frauduleusement où la complicité n’est pas à écarter, par des réseaux appâtés par l’enrichissement facile et illicite. Les complicités ou les implications directes ou indirectes des pharmaciens et méde- cins ne sont pas à écarter, ce qui compli- que la tâche aux services sécuritaires et à la justice. S.E.
  • El Instituto Cervantes abrirá nuevas sedes en El Aaiún y en San Antonio (EEUU)

    Finalizó en Logroño la Reunión Anual de directores del Instituto Cervantes con varios anuncios relevantes: la apertura de dos nuevas sedes en África y Estados Unidos, la nueva versión de la plataforma Aula Virtual del Español y la creación de una prueba online de evaluación y certificación del idioma
    24/07/2014
    Según el director del Cervantes, Víctor García de la Concha, el Instituto, a pesar de las restricciones presupuestarias, prepara la apertura de una nueva sede en San Antonio, que completará la base sur de Estados Unidos, y otra en El Aaiún, en el norte de África, que dependerá del centro de Marrakech. 
    Por otra parte, García de la Concha anunció que, en breve, el Instituto Cervantes presentará la nueva versión del Aula Virtual de Español (AVE), la plataforma de cursos por Internet del Instituto y que completará la familia de los Diplomas de Español como Lengua Extranjera (DELE) con un nuevo Certificado Internacional de Español que los aspirantes podrán gestionar y obtener online. Además, se pondrá en marcha otro certificado, el de Nacionalidad, aprobado por el Gobierno para los extranjeros que residan en España y que acapara también los esfuerzos de la institución de cara al próximo curso académico. 
    Por su parte, el secretario general, Rafael Rodríguez-Ponga, destacó que los ámbitos territoriales de actuación se centrarán en Iberoamérica y Europa y anunció que España será anfitriona en 2015 de la reunión anual de EUNIC, el organismo que coordina los institutos culturales europeos y que el Cervantes presidirá el próximo año.
    http://www.exteriores.gob.es/Portal/es/SalaDePrensa/Actualidad/Paginas/Articulos/20140724_ACTUALIDAD3.aspx