Mois : juillet 2014
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Le communiqué de l’agonie
A l’occasion de la désignation par l’Union Africaine d’un représentant spécial pour le Sahara Occidental, les autorités makhnéziennes du Sixième des Mohammed des marionnettes alaouites, ont pondu un communiqué laconique qui prétend éclaircir ce qui est déjà assez clair et pour l’ensemble de la planète.Le grefier du tour a centré son discours sur des concepts comme la légalité internationale, les résolutions de l’ONU et le plan de paix onusien. Toute une série de références dont le respect et la mise en pratique sont plausibles, mais que le régime marocain utilise d’une manière abatardie.En plus de l’usage tendancieux de ces concepts sacrés, les voyous de Rabat tentent de se présenter comme victimes pour continuer à duper le noble peuple marocain. Il est clait que ce tissus de mensonges n’est pas destiné à la communauté internationale, mais à l’opinion publique marocaine manipulée depuis plus de 39 ans.On dit à ce peuple de malheureux qu’il s’agit d’un “différent regional” pour nier l’existence d’un peuple et ils négocient avec le Front Polisario, son unique et seul représentant reconnu par l’ONU. Pour nier qu’il s’agit d’un conflit entre deux Etats: un Etat envahisseur, le Maroc, et un Etat envahi, la RASD. Que l’ONU ne reconnaît pas la RASD en tant qu’Etat indépendant? D’accord, mais alors appellons-le par son statut reconnu par les Nations Unies : territoire non-autonome qui attend l’autodétermination.Ensuite, pour justifier l’échec de leur politique expansionniste et la position ferme du continent africain dans le respect de ses principes, le communiqué s’en prend indirectement à l’Algérie l’accusant d’être derrière la decision de l’UA. Un argument avalé avec plaisir par tous les marocains qui adorent regarder vers le pays voisin, cet ennemi extérieur auquel ils responsabilisent de tous leurs problèmes.Acculé, le Maroc accuse l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross, de manqué d’impartialité. Idem pour l’Union Africaine.L’Espagne, pour sa part, est harcelé quotidiennement avec les candidats à l’émigration subsaharienne. Faute de pouvoir commettre de nouveaux attentats sur le sol espagnol, Rabat a gardé des milliers de subsahariens sur son sol pour les utiliser au momento opportun comme moyen de pression sur l’Espagne et sur l’Europe.Et pour clôturer sa diarrhée verbale, le communiqué du palais royal demande au Conseil de Sécurité de l’ONU de ne pas tenir compte de la decisión africaine. On se croirait dans un sketch joué par Mohammed VI.Ce serait sans doute rêvasser que de songer qu’après près de 40 ans de guerre, d’errence et de violations de la Charte de l’ONU et de l’UA, le Maroc pourrait imposer ses choix.http://diasporasaharaui.blogspot.com.es/2014/07/le-communique-de-lagonie.html -
Le communiqué de l’agonie
A l’occasion de la désignation par l’Union Africaine d’un représentant spécial pour le Sahara Occidental, les autorités makhnéziennes du Sixième des Mohammed des marionnettes alaouites, ont pondu un communiqué laconique qui prétend éclaircir ce qui est déjà assez clair et pour l’ensemble de la planète.Le grefier du tour a centré son discours sur des concepts comme la légalité internationale, les résolutions de l’ONU et le plan de paix onusien. Toute une série de références dont le respect et la mise en pratique sont plausibles, mais que le régime marocain utilise d’une manière abatardie.En plus de l’usage tendancieux de ces concepts sacrés, les voyous de Rabat tentent de se présenter comme victimes pour continuer à duper le noble peuple marocain. Il est clait que ce tissus de mensonges n’est pas destiné à la communauté internationale, mais à l’opinion publique marocaine manipulée depuis plus de 39 ans.On dit à ce peuple de malheureux qu’il s’agit d’un “différent regional” pour nier l’existence d’un peuple et ils négocient avec le Front Polisario, son unique et seul représentant reconnu par l’ONU. Pour nier qu’il s’agit d’un conflit entre deux Etats: un Etat envahisseur, le Maroc, et un Etat envahi, la RASD. Que l’ONU ne reconnaît pas la RASD en tant qu’Etat indépendant? D’accord, mais alors appellons-le par son statut reconnu par les Nations Unies : territoire non-autonome qui attend l’autodétermination.Ensuite, pour justifier l’échec de leur politique expansionniste et la position ferme du continent africain dans le respect de ses principes, le communiqué s’en prend indirectement à l’Algérie l’accusant d’être derrière la decision de l’UA. Un argument avalé avec plaisir par tous les marocains qui adorent regarder vers le pays voisin, cet ennemi extérieur auquel ils responsabilisent de tous leurs problèmes.Acculé, le Maroc accuse l’Envoyé Personnel du Secrétaire Général de l’ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross, de manqué d’impartialité. Idem pour l’Union Africaine.L’Espagne, pour sa part, est harcelé quotidiennement avec les candidats à l’émigration subsaharienne. Faute de pouvoir commettre de nouveaux attentats sur le sol espagnol, Rabat a gardé des milliers de subsahariens sur son sol pour les utiliser au momento opportun comme moyen de pression sur l’Espagne et sur l’Europe.Et pour clôturer sa diarrhée verbale, le communiqué du palais royal demande au Conseil de Sécurité de l’ONU de ne pas tenir compte de la decisión africaine. On se croirait dans un sketch joué par Mohammed VI.Ce serait sans doute rêvasser que de songer qu’après près de 40 ans de guerre, d’errence et de violations de la Charte de l’ONU et de l’UA, le Maroc pourrait imposer ses choix. -
La Batalla de La Güera contada por un oficial mauritano (9 diciembre 1975)
Croquis de la batalla de La Güera establecido por
el difunto Colonel KaderEl Teniente Coronel Mohamed Ould Ba Ould Abdelkader, Kader para sus amigos, y el Coronel Buseif eran conocidos por sus simpatía hacia Marruecos y su hostilidad con los saharauis:El 17 de junio, después del acceso de Juna Uld Haidala al poder en Mauritania, Kader se exilió en Marruecos donde le esperaba su familia.Con la complicidad de Marruecos, Kader dirigió un comando militar que se infiltró desde Senegal para efectuar un golpe de Estado contra el gobierno de Haidala que más tarde reconocerá la RASD. Kader fue capturado juzgado y ejecutado por traición.Un sitio mauritano recoge sus memorias sobre la guerra del Sáhara librada por el régimen de Mojtar Uld Daddah para apropiarse la región saharaui de Rio de Oro a la que llamó Tiris El Garbia.El 9 de diciembre del 1975, las tropas mauritanas embisten la localidad de La Güera pero se enfrentan a una feroz resistencia de los combatientes saharauis. Relato del difunto Coronel Kader:– El ataque de La Güera:
El ataque de La güera tuvo lugar de día a las 15h00, en un ambiente más bien extraño. La población de Nouadhibou también se portó bien. Acompañó el movimiento de nuestras tropas con « gritos de júbilo ». Al atardecer, las tropas entraron en contacto con el enemigo. La batalla se soldó con dos muertos y varios heridos de nuestro lado. Nuestras unidades estaban acorraladas por el fuego enemigo. Al amanecer, se vieron expuestas, lo que les obligó a retirarse en un desorden repugnante. Mientras tanto, los elementos de Inal y Boulenouar estaban en un « black-out » total . No tenían de ninguna manera la impresión de pertencer al G1 (Arupamiento). Carecían de muchas cosas, incluidos los medios (en hombres, armas y municiones). Las órdenes tampoco les llegaban. El Estado Mayor Nacional (EMN) fue a veces obligado a reemplazar al G1 en algunos casos especiales (satisfacer las necesidades de las unidades expresadas directamente por ellos). Esta situación se ha vuelto casi eficaz cuando ya nada iba bien. El jefe del EMN y yo fuimos a NDB para seguir de cerca las operaciones y remediar algunos errores. Enseguida nos metimos de lleno en el ambiente; un ambiente dominado por el desorden y la confusión. Una psicosis de miedo se apoderó de las unidades de combate, durante seis días avanzan y retroceden. La Güera parecía
inexpugnable. El comandante del G1 (Cdt Ahmedou O / Abdalla) parecía hacer del combate un asunto personal. No rendía cuentas a nadie. No permitía a sus oficiales ninguna iniciativa. Estos empezaban a perder confianza en sí mismos y en su jefe, al menos en su mayor parte. Todo el país empezaba a lanzar interrogantes. El gobierno ya no comprendía. -
La bataille de La Güera racontée par un officier mauritanien (9 décembre 1975)
Croquis de la bataille de Güera établi par le Colonel Kader Le Lieutenant Colonel Mohamed Ould Ba Ould Abdel Kader, Kader pour ses amis, et le Colonel Bouceif étaient connus pour leur sympatie pour le Maroc et leur hostilité aux sahraouis.Le 17 juin 1979, après l’accès de Khouna Ould Haidala au pouvoir en Mauritanie, Kader s’exile au Maroc où l’attendait sa famille.Avec la complicité du Maroc, il s’infiltrera avec un commando militaire pour effectuer un coup d’Etat contre Ould Haidala. Emprisonné, il sera jugé et exécuté.Un site mauritanien reprend ses memoires sur la guerre du Sahara Occidental livrée par le régime de Mokhtar OUld Daddah pour s’approprier de la región sud connue sous le nom de Rio de Oro.Le 9 decembre 1975, les troupes mauritaniennes investissent la localité de La Güera mais elles rencontrent une farouche résistance. Récit du défunt Colonel Kader:L’attaque de la Guera se fit le jour, à 15h00 , dans une ambiance plutôt folklorique. La population de Nouadhibou n’était pas en reste. Elle accompagna le mouvement de nos troupes avec des « youyou ». Au crépuscule, les troupes entrèrent en contact avec l’ennemi. L’accrochage s’est soldé par deux morts et quelques blessés de notre coté. Nos unités étaient fixées par le feu de l’ennemi. Au lever du jour, elles se sont trouvés exposées, ce qui les obligea à replier dans un désordre écœurant. Pendant ce temps les éléments d’Inal et de Boulenouar se trouvaient dans le « black out » total. Ils n’avaient nullement l’impression d’appartenir au G1 (Groupement). Beaucoup de choses leur manquaient, notamment des moyens (en hommes, armes et munitions). Les ordres ne leur parvenaient pas non plus. L’Etat major national (EMN) a été amené à se substituer au G1 dans certains cas particuliers (satisfaction des besoins des unités exprimées directement par elles). Cette situation est devenue presque effective lorsque rien n’allait plus. Le chef d’ EMN et moi-même sommes allés à NDB pour suivre de prêt les opérations et redresser certaines erreurs. Très vite, nous nous sommes trouvés dans l’ambiance ; une ambiance dominée par le désordre et la confusion. Une psychose de peur s’est abattue sur les unités combattantes qui, six jours durant avancent et reculent. La Gouera leur semblait imprenable. Le commandant du G1 (Cdt Ahmedou O/ Abdalla) semblait faire du combat une affaire personnelle. Il n’avait de compte à rendre à personne. Il ne permettait à ses officiers aucune initiative. Ceux-ci, commençaient à perdre confiance en eux et en leur chef, tout au moins pour le plus part. Le pays tout entier commençait à se poser des questions. Le gouvernement ne comprenait plus.
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OUA pide a Marruecos retirarse de Rio de Oro y celebrar un refernéndum (4 julio 1980)
Según ABC del 4 de julio de 1980, « el reconocimiento por la OUA de la RASD implicaría, automáticamente, su reconocimiento por la ONU ».El diario español indica que en por aquellas fechas, « son ya 26 los paises (africanos, ndlr) que habían envíado telegramas al secretario general de la OUA Edem Kodjo reconociendo a la Repüblica Arabe Saharaui DEmocrática (RASD) como Estado soberano y piden su admisión como miembro de pleno derecho en la OUA ».« Por otra parte, el presidente de la OUA, Leopoldo Senghor, ha propuesto una cumbre extraordinaria sobre el problema del Sahara, ante el temos de que este tema se convierta en el causante de un fraccionamiento de la unidad africana. Por su parte, la delegación argelina se ha negado a analizar el tema saharaui con Marruecos, por estimar que es el Frente Polisario el encargado de esta misión como representante de los saharauis », añade ABC.El diario matutino concluye señalando que « el Comité de SAbios de la OUA, encargado de la cuestión del Sahara está formado por Guinea-Conakry, Mali, Sudán, Nigeria y Tanzania ».Fuentes : http://hemeroteca.abc.es/nav/Navigate.exe/hemeroteca/madrid/abc/1980/07/05/024.html
http://hemeroteca.abc.es/nav/Navigate.exe/hemeroteca/sevilla/abc.sevilla/1980/07/04/024.html
http://hemeroteca.abc.es/nav/Navigate.exe/hemeroteca/sevilla/abc.sevilla/1980/07/05/018.html
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Jeha fait son Barnum
Le prédateur en chef a repris son Barnum indigne, avec cette distribution du panier de Ramadan aux familles nécessiteuses que Machiavel lui-même n’aurait pas osé imaginer.Ce que l’on oublie de préciser c’est les sordides réalités qui se cachent derrière ce geste à l’obscénité insupportable à plus d’un égard:– Les fourches caudines par lesquelles doivent passer les bénéficiaires de ce misérable panier: la mendicité et le pied de grue auprès des corrompus de la Wilaya ou de l’administration locale, en charge de filtrer les familles.– La seconde c’est que en bon Alaoui, le roi, comme Jeha, ne distribue rien qui vienne de son compte personnel.– Enfin la troisième, qui a son importance. Si le peuple est aussi pauvre, c’est parce que le roi et sa famille ont systématiquement tout pillé du pays, se servant à tous les compartiments de l’économie !!! -
Honteuse exploitation de l’anniversaire de la mort de Mohamed Boudiaf par les médias marocains
La presse marocaine s’ingénie à s’approprier honteusement les symboles les plus authentiques et les plus vénérés de l’Algérie. C’est ainsi que certains titres ont consacré des hommages particulièrement pompeux à l’ancien président Mohamed Boudiaf, à l’occasion du 22e anniversaire de sa disparition, pour le présenter tantôt comme «le plus marocain des présidents algériens», tantôt comme «la bête noire des généraux». Ce qui intéresse le plus cette presse à la solde du Makhzen, ce n’est pas tant de comprendre les motivations de cet homme historique qui a répondu à l’appel de la patrie, à un moment crucial de son histoire, mais plutôt de montrer un chef d’Etat algérien prêtant presque allégeance au roi du Maroc. Pour cette presse de propagande anti-algérienne, son long exil dans ce pays «frère» devait faire de lui un «sujet» et, plus tard, un «ami» du roi. Certains titres suggèrent même que la décision d’«éliminer Boudiaf» serait motivée par ce prétendu rapprochement avec le palais de Rabat, durant la période où il était président du HCE. Ainsi, son voyage «privé» au Maroc est décrit comme l’élément déclencheur d’un désaccord avec les «généraux» qui devait précipiter son exécution. Les stéréotypes, ici, le disputent aux approximations pour relater une histoire aussi complexe et aussi dense que cet épisode charnière. A défaut de preuves, ces journaux marocains se limitent à se référer à des sources invérifiables, puisées dans la littérature propre aux milieux anti-algériens qui pullulait en Europe dans les années 1990, pour prêter au président Mohamed Boudiaf des positions hostiles à la cause sahraouie. Selon ces sources, le chef d’Etat algérien aurait même promis à Hassan II une solution durable «qui serait bénéfique au royaume». A son retour à Alger, Boudiaf aurait confié à une chaîne de télévision marocaine (dont on doute que les archives soient accessibles) que les finances de l’Algérie ne lui permettaient plus, à cause de la dette qui atteignait les 30 milliards de dollars, de continuer à soutenir au même rythme le Front Polisario qui luttait pour l’indépendance. «Pour lui, la question du Sahara Occidental était secondaire par rapport au sauvetage de toute l’Algérie», résume un quotidien marocain. Mais à quelle époque, pourrions-nous rétorquer, l’affaire du Sahara Occidental a-t-elle été la première priorité des Algériens ?R. Mahmoudihttp://ds.algeriepatriotique.com/article/honteuse-exploitation-de-l-anniversaire-de-la-mort-de-mohamed-boudiaf-par-les-medias-marocai -
Sahara : Le plan de paix a été conçu par les africains et approuvé par Hassan II
La décision de l’Union Africaine de désigner un représentant spécial pour le Sahara Occidental confirme la volonté de cette organisation continentale de s’impliquer davantage et d’une façon active dans la recherche d’une solution juste et définitive du conflit du Sahara Occidental. Une volonté déjà affirmée par le Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki-moon dans son rapport d’avril 2014 sur l’évolution de la situation dans l’ancienne colonie espagnole envahie par le Maroc en 1975.Selon le chef de l’ONU (paragraphe 86, 87 et 88), la Présidente de la Commission de l’Union africaine, Nkosazana Dlamini Zuma, a invité son Envoyé Personnel pour le Sahara Occidental, Christopher Ross, à se rendre à Addis Abeba. Alors que le Front Polisario et l’Algérie ont exprimé leur soutien à cette idée, le Maroc s’y est vivement opposé.Selon la même source, dans une rencontre en marge de soixante-huitième session de l’Assemblée générale, Ross a exprimé à Mme Zuma sa « reconnaissance pour le rôle important que l’Organisation de l’unité africaine puis l’Union africaine avaient joué dès le tout début des efforts déployés pour trouver un règlement ».« En décembre 2013, un rapport d’ensemble de l’Union africaine sur la question du Sahara occidental, accompagné d’une lettre de couverture signée par la Présidente, Mme Zuma, réitérant l’invitation lancée à mon Envoyé personnel, a été distribué aux membres du Conseil de sécurité. Le Front Polisario et l’Algérie ont de nouveau fait part de leur soutien, le Maroc de son opposition » a ajouté Ban Ki-moon dans son rapport.Le rapport du SG de l’ONU confirme la volonté de l’UA africaine de réanimer un processus de paix qu’elle a conçu il ya plus de 20 ans et qui a été obstrué par le Maroc dans son désir de dicter sa volonté à la communauté internationale.Il est à rappeler que la désignation de l’ancien président mozambicain Joaquim Chissano, Représentant Spécial pour le Sahara Occidental a été votée par unanimité au Sommet de Malabo. Aucun des pays alliés historiques du Maroc ne s’y est opposé. Le Maroc est seul dans sa position de refus à la décision de la plua haute instance du continent noir. -
Le front Polisario dénonce l’indifférence du Maroc aux résolutions de l’UA et de l’ONU
Le Gouvernement sahraoui et le Front Polisario ont «fermement» dénoncé l’«indifférence» du gouvernement marocain aux résolutions de l’Union africaine (UA) et de l’ONU, rappelant que les pratiques de Rabat étaient similaires à celles du régime de l’apartheid, rapporte jeudi l’agence de presse sahraouie (SPS).Citant un communiqué du ministère sahraoui des Affaires étrangères, publié mercredi, la même source a souligné que «le Maroc, qui entrave depuis 1991 l’organisation d’un référendum d’autodétermination et les efforts de l’ONU et refuse de collaborer avec l’UA et son envoyé spécial, Joaquim Chissano, agit comme le régime de l’apartheid vis à vis du droit international et des résolutions de l’ONU et de l’UA».Elle a rappelé que l’Afrique du sud, alors sous le régime de l’apartheid, était le seul pays non membre de l’organisation panafricaine comme c’est le cas actuellement du Maroc, Etat occupant.Le communiqué du ministère sahraoui des Affaires étrangères intervient suite au rejet par Rabat de la désignation par l’UA d’un envoyé spécial pour le Sahara occidental, lors du 23eme sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement de l’organisation panafricaine tenue récemment en Guinée équatoriale.Le gouvernement sahraoui rappelle à cet effet que les efforts conjoints de l’ONU et de l’UA, «resteront le cadre de règlement de tous les différends et les conflits dans le continent», et qu’«il n’y a ni concurrence ni contradiction entre les deux organisations pour le règlement des conflit sur le continent», ajoute SPS.Par ailleurs, le front Polisario a appelé l’ONU et l’UA à «assumer leurs pleines responsabilités pour mettre fin à l’occupation marocaine illégale du Sahara occidental et arrêter les violations flagrantes des droits de l’homme, et les crimes de guerre et les crimes contre l’humanité commis contre le peuple sahraoui et la violation de l’intégrité territoriale de la RASD». -
Los africanos le dan una bofetada a Mohammed VI
Después de haber mentido a su pueblo hasta la saciedad sobre una supuesta conquista del continente africano por Marruecos gracias a las giras del rey Mohamed VI, la bofetada que la Unión Africana acaba de asestarle es enorme.La organización panafricana decidió nombrar a un ex-presidente mozambiqueño como representante especial para el Sáhara Occidental. Una iniciativa que pone nerviosos a los marroquíes porque fue votada por unanimidad.
Hasta por aquellos países que presentaba como amigos como Senegal, Costa de Marfil, Gabón, Mali y Burkina Faso y que son sus destinaciones favoritas, y únicas en Africa, cuando va de safari.Es el hecho sobresaliente de la 23 Cumbre de la UA que acaba de clausurarse en Malabo, en Guinea Ecuatorial bajo la presidencia del presidente mauritano Mohamed Uld Abdelaziz.Esta decisión es aún más importante ya que en la cumbre estaba presente el SG de la ONU, Ban Ki-moon cuyo informe de abril fue muy crítico con Marruecos y a cuyo representante personal Marruecos impide una nueva gira por la región alegando razones tan efímeras como ridículas.Como era de esperar, Rabat no tardó en publicar un comunicado anunciando su rechazo a este nombramiento.Con la designación de Joaquim Chissano, la causa saharaui ganará más audiencia