Como la calima, nacidos de las arenas del Sáhara, llegaron por aire cruzando el norte del continente africano media docena de pequeños. Dejan atrás el desierto durante los meses de verano para disfrutar de un oasis estival junto a sus familias de acogida en Compostela a través del programa Vacacións en paz.
Esta iniciativa solidaria hace posible cada año la acogida temporal de niños de los campamentos de Tindouf en toda España. El alcalde santiagués, Agustín Hernández, les dio ayer la bienvenida y les entregó un pequeño recuerdo de su paso por el Concello. El regidor aseguró que ha sido un «privilexio» saludar, en su primera recepción como alcalde, al grupo de menores saharauis y agradeció la «xenerosidade» de las familias que los han acogido.
Mois : juillet 2014
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Unas vacaciones en el oasis compostelano
Recibimiento en Brión2Otros cuatro pequeños saharauis fueron recibidos en Brión por sus respectivas familias, el alcalde Luís García y la edila de Servizos Sociais, Pilar Vázquez. Tres de ellos pisan el municipio por primera vez y el cuarto repite de la mano del programa organizado por Solidariedade Galega co Pobo Saharaui en colaboración con el Concello, que aporta el 50 % de su coste.Visto el 12 de Julio de 2014 en lavozdegalicia.es -
Mieux vaut (se réveiller) tard que jamais
Par Ammar ZitouniPour faire face à la permanente agression dont il fait l’objet de toute part, le monde arabe doit se réveiller de son sommeil, il y a des risques qu’il doit oser prendre pour sa propre survie. Toutes les vérités, aussi dures soient-elles à avouer à une nation, aussi grande que cette Oumma qui mise sur ses propres efforts, ont été toujours dites inversement. Il en est ainsi de la Ligue arabe et de la Conférence islamique, du Golfe ou encore l’UMA qui ne peuvent, dans la conjoncture internationale actuelle, faire un retour aux sources et causes premières de leur naissance. La situation très dangereuse que traverse les pays arabes en particulier et l’humanité en général, échappe à ses organisations dominées d’un bout à l’autre par des divergences entre Etats membres.Le colonialisme, l’impérialisme, le terrorisme, les idéologies politiques et religieuses en vogues sont à l’origine de ces contradictions qui rongent la Oumma de plus en plus soumise à l’influence terroriste et aux caprices de l’intervention étrangère, notamment là où le sous-sol regorge de pétrole et de gaz. C’est que jamais, sans doute, les risques d’une conflagration générale dans la zone MENA n’ont été aussi grands. Aujourd’hui, en effet, et tous les observateurs, l’ont soutenu, l’engagement agressif d’Israël dans la bande de Ghaza, les fortes crises que vivent la Syrie, l’Irak et la Libye, la pérennité du conflit du Sahara occidental, la déstabilisation en continu de la région subsaharienne, la recrudescence du terrorisme et un peu plus loin la crise en Ukraine placent le monde au bord de la catastrophe. En effet, à qui profite cette catastrophe, si ce n’est à ce nouvel impérialisme du XXIè siècle? Qui « couve » et soutien les conflits internes dans chaque région du monde, en particulier dans le Monde arabe et en Afrique. Qui est derrière, et même devant, depuis peu, les mercenaires-terroristes en Syrie et en Irak, la rébellion au Nord du Mali et tout près de nous, le roi du Maroc contre le peuple sahraoui en lutte pour son droit reconnu à l’autodétermination? A qui profite l’invasion israélienne dans la bande de Ghaza? Qui, enfin, arme et finance l’Etat sioniste pour la réalisation de sa politique d’annexion?Questions multi ples, mais unique réponse qui suppose une adaptation, une nouvelle stratégie pour les Etats arabes. Adaptation de la Ligue arabe et de la Conférence islamique à cette crise, au rapport de forces, aux tensions et aux conflits actuels et qui découlent d’une véritable politique d’agression et de violence se caractérisant par l’alimentation effective et directe de conflits internes, et surtout par la constitution de coalitions stratégiques pour accroître la domination et l’exploitation des peuples et tenter en singulier de briser la lutte du peuple palestinien pour son indépendance et l’autodétermination de son Etat souverain. Face à cette lamentable situation grotesque géostratégique, le monde arabe, ses dirigeants et ses regroupements sont loin de prendre conscience à ce qui arrive ; conséquence de ces graves répercussions de la nouvelle stratégie adoptée par les grandes puissances. A présent, il est temps à ce que la Ligue arabe et la Conférence islamique en tirent les conséquences qui s’imposent. La première est le renforcement de l’Autorité palestinienne à travers le Fatah et le Hamas, la prise en charge effective de la cause de ce peuple et enfin la recherche inter-arabe de solutions à la crise en Syrie, Irak et Libye. Sur ce plan, et pour s’y faire concrètement, on devrait écarter les éléments de divergences tout à fait réels compte-tenu du large spectre que forment à la fois l’impérialisme, le sionisme et le terrorisme pour insister sur ce qui doit unir, surtout que Tel-Aviv fait converger ses feux sur la bande de Ghaza. Dans ces conditions, le peuple palestinien dans son ensemble, s’apprête à affronter une période « sombre » au cours de laquelle il aura surtout à souffrir des contradictions arabes qui menacent de faire éclater bien des consensus fragiles.A. Z.La Tribune des Lecteurs, 15/07/2014 -
Le Maroc s’en prend de nouveau à l’Algérie : Rabat digère mal ses déboires
Par Madjid BendaïkhaLe Maroc se débat dans une crise économique grave. Cette situation a eu pour effet immédiat l’émergence d’une crise politique. Voilà quelques mois, le Makhzen avait voulu faire réagir les Autorités algériennes, en faisant mine d’ériger un mur tout au long des frontières avec l’Algérie, en réponse à la réalisation de tranchées du coté algérien. Le ministère des Affaires étrangères algérien est resté de marbre : le Maroc étant libre de réaliser les travaux qu’il désire sur son territoire. Pour rappel, les instances marocaines avaient ouvert les hostilités diplomatiques, dès que l’Algérie avait entamé le creusement des tranchées pour sécuriser ses frontières devenues une passoire exploitée par des trafiquants de drogue. Pour rappel, le royaume chérifien figure parmi le plus grand producteur de drogue dans le monde. Voilà quelques jours et en plein mois de ramadan, un mois de piété, le ministre des Affaires étrangères marocain est monté au créneau pour s’attaquer, encore une fois, à l’Algérie. En effet, Salahedine Mezouar a ouvertement déclaré : » notre conflit aujourd’hui est avec l’Algérie est non avec le Polisario « . Le 23 juin dernier, le Premier ministre en personne s’en prenait encore à son seul voisin de l’est. Connu pour ses déclarations incendiaires, M. Benkirane affirmait : » l’Algérie refuse d’ouvrir les frontières, car les autorités craignent de découvrir l’autre côté : un pays prospère, et stable contrairement à l’image qu’elle présente aux Algériens « . En réalité, toutes ses attaques sont les preuves que le Maroc n’a plus d’alliés fiables et prêts à le soutenir contre vents et marées. Lors de sa visite en Algérie, l’ex Premier Ministre français Jean-Marc Ayrault avait signé un mémorandum, faisant clairement référence au » droit du peuple sahraoui à l’autodétermination « . C’est un grand revers pour le Maroc dont le Roi en personne, prend le bâton de pèlerin pour essayer de convaincre certaines capitales africaines, de se joindre à son point de vue. Il visitera 6 capitales africaines pour tenter de sortir son royaume de l’isolement : le Maroc s’est retiré de l’OUA. Le jeune souverain voulait jouer dans la cour des grands, en devenant un acteur incontournable dans la gestion du conflit du Sahel. Juste après l’Election présidentielle, Ramtane Lamamra, s’engage alors et effectue un long périple africain. Les partenaires concernés par le conflit au SAHEL ont fini par conclure que le Maroc ne fait pas partie géographiquement de cet espace. Rabat tenait à être un acteur dans ce conflit, car s’il était reconnu comme tel et cela prouverait que les instances internationales lui reconnaissent la souveraineté sur la Sahara occidental, qui a ses frontières avec le Sahel. Voyant que le vent tourne en sa défaveur le Makhzen tente de justifier ses déboires en accusant Alger, dont la position n’a pas changé depuis le début du conflit, voilà plus de 40 ans : le droit à l’autodétermination de tout peuple colonisé. Le Sahara occidental était une colonie espagnole. Quand les forces espagnoles avaient quitté cette région, le Territoire a été partagé entre le Maroc et la Maurétanie, qui a fini par abandonner la partie qui lui a été cédée. Un royaume qui accepte de partager une partie de son territoire occupé avec un autre pays, cela parait déjà incongru. Alors que le Maroc s’acharne à soumettre un peuple fier (les Sahraouis), des enclaves marocaines (Ceuta et Milia) sont toujours occupées par l’Espagne. Un ancien diplomate français n’avait pas hésité à qualifier le Maroc de : « maîtresse avec laquelle on dort toutes les nuits, dont on n’est pas particulièrement amoureux, mais qu’on doit défendre ». Cette comparaison n’avait fait réagir aucun responsable politique marocain. Le coup a été encaissé en silence et pour sauver sa face, le Maroc avait officiellement protesté. Evidemment que les politiciens du Maroc n’avaient pas osé des attaques comme celles qu’ils réservent à leur vision. Tahar Benjelloun avait interpellé le Président français François Hollande : » Pouvez-vous traiter l’Algérie de maitresse » ? La réponse, le grand écrivain marocain, il la connaît. Ce qu’il ignore par contre, c’est qu’un homme agit comme tel et ne doit en aucun cas demander aux autres pourquoi on respecte plus un autre Etat : la réponse est claire.M. B.http://www.tribunelecteurs.com/fichier/15_7_2014/algerie.html -
La “preparación” de Felipe en el viaje a Marruecos
Desde mucho antes de convertirse en el Jefe del Estado, en sustitución de su padre, el buen rey Juan Carlos I, el único elogio repetido hasta la saciedad y, a veces, gratuitamente, es que el príncipe Felipe era el heredero mejor preparado de todas las monarquías europeas.Los nuevos monárquicos aventan, indiscriminadamente, un mensaje a jornada completa: Felipe VI está muy preparado.
Cualquiera de estos a quienes preguntas, se descuelgan siempre con ese estribillo. No se detienen a pensar que la preparación del nuevo Jefe del Estado es estar preparado. “Sin recaudar por ello aplauso”, escribía hace unos días el columnista de El Mundo, Antonio Lucas.A propósito de tan cacareada cuestión, el profesor Carlos Berzosa, catedrático de Estructura Económica y, durante catorce años, rector de la Universidad Complutense de Madrid, piensa que la preparación es solo un dato adicional. De ser rey, debe haber , sobre todo, mucha intuición.La visita oficial que está realizando al reino de Marruecos, será la piedra de toque de tan manida preparación. Para empezar, el corresponsal de El País en Rabat, ya anticipaba en una crónica que “los temas delicados se aparcarán en este viaje”. Normal.Por mucho que se quiera, Felipe nada que ver con su padre, maestro a la hora de tratar a los dirigentes árabes. Hay que ser ingenuo para pedir al Jefe del Estado español gestiones para lograr avances en la defensa de los derechos humanos. Incluso del Sahara. Amnistía Internacional no sabe lo que dice. Es más, estoy seguro que Felipe no abordará con Mohamed VI ni tan siquiera el tema de la pesca.A don Juan Carlos le bastaba con llamar a su “hermano” Hassan y hoy a su “sobrino” Mohamed para que un problema se solucionara o se distendiera. Era tal la sintonía con el actual soberano alauita que, incluso, compartió pañuelo para secarse las lágrimas cuando le visitó con motivo de la muerte de su padre, Hassan.La visita de hoy solo tiene un fin: presentarse ante el soberano marroquí como vecino que es. Aunque no se trata del primer encuentro. Como príncipe heredero ya viajó a Rabat en 2009. En aquella ocasión, quien le recibió en el aeropuerto fue el príncipe Muley Rachid, hermano de Mohamed VI. Hoy, ha sido éste quien le ha dado la bienvenida con toda la parafernalia de la corte.Con respecto a la consorte marroquí, que aquí no es reina sino princesa, Letizia se encontrará con una joven que, al igual que ella, “tuvo que hacerse un hueco en un entorno muy cerrado, donde las únicas figuras femeninas públicas eran las hermanas del rey”. Con su inteligencia y sentido común, ha logrado no solo ser aceptada sino admirada, en un país donde la mujer, aunque sea la esposa del rey, no está en igualdad de condiciones y tratamiento con el resto no de ciudadanos sino de súbditos.Durante un viaje oficial de los Reyes de España a Marruecos, en el trascurso de un besamanos, doña Sofía “obligó” a los funcionarios a saludar a la princesa Lalla Salma que le acompañaba. Posiblemente, el protocolo no lo contemplaba.Resulta curioso recordar hoy que la madre de Mohamed Vi, Lalla Latifa, a la muerte de su esposo, Hassan II, abandonó Marruecos para vivir en París con el jefe de las escoltas del rey, Mohamed Madyuri, con quien parece haberse casado.Ello me recuerda a la reina María Cristina, quien al enviudar de su esposo, el impresentable Fernando VII, contrajo matrimonio, tres meses después, con el guardia de Corp de su escolta, Agustín Fernando Muñoz, con quien tuvo, nada menos, que ocho hijos, frente a dos hijas con el rey.República.com, 14/07/2014 -
El Rey de Marruecos anuncia a Felipe VI que ha ratificado el acuerdo de pesca con la UE
El Rey de Marruecos Mohamed VI ha comunicado al Rey Felipe VI que ha ratificado el acuerdo de pesca con la UE, un anuncio que ha sido acogido satisfactoriamente por el monarca español y que permite la vuelta de los pescadores españoles a aguas marroquíes.Mahomed VI ha querido transmitir personalmente este anuncio al Rey español y ha aprovechado para ello la primera entrevista formal que han mantenido ambos desde la coronación de Felipe VI el pasado 19 de junio.Un primer encuentro que ha tenido lugar en el Palacio Real de Rabat en el marco de una visita oficial de dos días que los Reyes españoles realizan a Marruecos y que se ha prolongado durante unos treinta minutos, según ha informado a Europa Press un portavoz del Palacio de La Zarzuela.El Rey Felipe VI ha agradecido al monarca alauí la deferencia que ha tenido con él al anunciarle personalmente la ratificación del acuerdo de pesca con la UE y se ha felicitado de esta noticia de gran importancia para los intereses de los pescadores españoles.El acuerdo de pesca con la UE, que fue aprobado por la Eurocámara el pasado diciembre, estaba únicamente pendiente de la firma del Rey Mohamed VI para su entrada en vigor.El último acuerdo pesquero con Marruecos concluyó en diciembre de 2011 tras el veto de la Eurocámara. Tras un largo y complejo proceso de negociaciones, un nuevo protocolo fue aprobado por el Parlamento y los Veintiocho y firmado en 2013. Pero su entrada en vigor se ha visto retrasada hasta ahora por la falta de ratificación por parte de Rabat.Los buques europeos obtienen con el acuerdo 126 licencias, de las que un centenar serán para españoles, sobre todo andaluces y canarios, y beneficiará a cerca de 1.500 tripulantes, de los que 500 serían marroquíes.Además supone un incremento del 33 % de las posibilidades de pesca para la flota comunitaria –once Estados miembros pescan en la zona– con respecto al régimen anterior, a cambio de una contrapartida financiera de 40 millones anuales durante los próximos cuatro años.EXCELENTES RELACIONES BILATERALESEl encuentro entre ambos monarcas también ha servido para constatar las excelentes relaciones bilaterales entre ambos países y, en este sentido, han coincidido en subrayar el compromiso por ambas partes para continuar por esta senda.Así, tras repasar aspectos que afectan a las relaciones bitaterales, Mohamed VI y Felipe VI han manifestado la voluntad que existe por ambas partes para impulsar todos los proyectos de cooperación que hay en marcha en ambos países.Felipe VI ha estado acompañado en este encuentro por el resto de la delegación española encabezada por el ministro de Asuntos Exteriores y de Cooperación, José Manuel García Margallo, el jefe de la Casa Real, Jaime Alfonsín, y el embajador de España en Marruecos, José de Carvajal.LA MÁS ALTA CONDECORACIÓNPreviamente al inicio de la reunión entre ambos monarcas, el Rey marroquí ha impuesto a Felipe VI el Wissam Al Mohammadi, la más alta condecoración del reino alauí. Un acto homaneje que ha tenido lugar en presidencia de la familia real del reino alauí –la esposa de Mohamed VI, Lalla Salma, su hermano, Mulay Rachid, y sus hermanas Lalla Asma, Lalla Hasna y Lalla Meriem– y de la delegación española.Los Reyes de España han sido recibidos con honores militares a su llegada este lunes a Rabat y serán agasajados esta tarde noche con un iftar en su honor, la única comida del día con la que los musulmanes rompen el ayuno durante el mes de Ramadán.Las visitas de jefes de Estado y de Gobierno no son habituales en Ramadán, cuando se paraliza la actividad del país. Los marroquíes consideran por tanto una muestra de cercanía y amistad recibir a los Reyes justamente en estas fechas.El objetivo principal de este viaje de presentación de los Reyes de España a Marruecos es mostrar la voluntad que existe por ambas partes de mantener una relación tan estrecha como la que se tuvo bajo el reinado del Rey Juan Carlos.RABAT, 14 (de la enviada especial de EUROPA PRESS, Beatriz Fernández).- Desde la llegada del Ejecutivo de Mariano Rajoy, la relación entre España y Marruecos pasa por una especie de luna de miel. Lejos quedaron las manifestaciones contra el PP que promovió el anterior Gobierno marroquí liderado por el nacionalista Istiqlal, motivadas por la postura crítica que mantuvieron los ´populares´ tras el desalojo del campamento de protesta saharaui a finales de 2010, meses antes de que estallaran las revoluciones de la primavera árabe en Túnez, Libia y Egipto.En la primera cumbre bilateral con Marruecos presidida por Rajoy, ya en 2012, se escenificó la voluntad que existe por ambas partes de aparcar los contenciosos tradicionales (Ceuta y Melilla, de un lado, y el Sáhara Occidental, del otro) en aras de la cooperación en materia de seguridad pero también en lo económico.En este último aspecto los lazos se han profundizado y desde 2012 España es el primer proveedor de Marruecos, desbancando por vez primera a Francia. En el reino alauí hay unas 800 empresas españolas implantadas, aunque ascienden a 20.000 las que exportan al país vecino.En los próximos meses, y de cara a la celebración de la cumbre bilateral entre los dos Gobiernos, para la que aún no hay fecha, ambas partes quieren poner en valor la cooperación en materia de educación y cultura. En este sentido, se está trabajando en un acuerdo para la puesta en marcha en Marruecos de un bachillerato internacional impartido en español. Marruecos es el país del mundo donde más colegios españoles hay, en los que estudian unos 5.000 alumnos, sin contar los que aprenden castellano en los 6 Institutos Cervantes que hay por todo el país. -
Gobierno saharaui denuncia obstrucción de Rabat a esfuerzos internacionales
Argel, 14 jul (EFE).- Las autoridades del Sahara Occidental acusan a Marruecos de adoptar una posición « intransigente » y de « obstrucción » frente a los esfuerzos de la comunidad internacional y de la Unión Africana (UA) para « la descolonización de la última colonia » del continente, informó hoy la agencia oficial SPS.« El Consejo de Ministros de la República Árabe Saharaui Democrática (RASD) previno contra las maniobras de la ocupación marroquí, al advertir de los peligros crecientes de su política encaminada a inundar los países vecinos en el tráfico de droga, siendo el mayor productor y exportador de cannabis indio en todo el mundo », según un comunicado divulgado hoy SPS.De acuerdo con la nota, el objetivo es « amenazar la seguridad de la región mediante la financiación y el fomento de las bandas de la delincuencia organizada y los grupos terroristas ».En una reunión celebrada ayer y presidida por el presidente de la RASD y secretario general del Frente Polisario, Mohamed Abdelaziz, se condenó el ataque « feroz » de Marruecos contra la UA y Argelia, al rechazar el nombramiento del nuevo enviado especial de la Unión Africana para el Sahara Occidental, Joaquim Chissano.La UA, a la que no pertenece Marruecos, designó a Chissano enviado especial para el Sahara durante la cumbre de jefes de Estado y de Gobierno celebrada en Guinea Ecuatorial el 26 y el 27 de junio.El Ministerio marroquí de Asuntos Exteriores y de Cooperación subrayó en un comunicado que Rabat « no se siente de ningún modo afectado por esta decisión unilateral », que calificó de « anacrónica ».Para Rabat, la UA « no dispone de una base jurídica, política o de legitimidad moral » para intervenir en esta crisis regional.Además, en el encuentro, Abdelaziz instó a la ONU y la UA a « asumir sus responsabilidades para poner fin a la ilegal ocupación marroquí del Sahara Occidental, las flagrantes violaciones de los derechos humanos, los crímenes de guerra y crímenes contra la humanidad cometidos contra el pueblo saharaui y la violación de la integridad del territorio de la República Saharaui ». EFE -
En optant une nouvelle fois pour la sagesse et la retenue : L’Algérie réagit aux propos outrageants du MAE marocain
Par K. Aït-HocineLe ministère des Affaires étrangères a réagi aux propos tenus par le chef de la diplomatie marocaine à l’encontre de l’Algérie.Les propos du ministre marocain ont été qualifié d’outrageants par le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif.Ces propos constituent, selon Benali Cherif, une dérive et dénotent d’une frilosité qui ne siéent pas aux relations entre es deux pays frères et voisins, a-t-il indiqué.«Les propos irresponsables contre l’Algérie de hauts dirigeants gouvernementaux marocains renouent avec une pratique bien connue de fuite en avant que la partie marocaine remet au goût du jour à chaque fois que le processus du parachèvement de la décolonisation du Sahara occidental enregistre une avancée.De même qu’elles sont factuellement erronées, car se référant à des activités et à des positions politiques relevant d’entités et acteurs autres que l’Algérie, ces déclarations outrancièrement insultantes constituent une dérive et dénotent une frilosité qui ne siéent pas aux relations entre nos deux pays frères et voisins», a ajouté Benali Cherif.«Les déboires et déconvenues du royaume du Maroc qui sont la cause directe de ces excès verbaux tiennent, de toute évidence, au caractère unilatéral et infondé de ses exigences quant au traitement de la question du Sahara occidental aux niveaux continental et universel», a ajouté le porte-parole du MAE.«Cette attitude de certaines autorités marocaines ne saurait réussir à induire en erreur, ni les peuples de la région ni la communauté internationale, qui sont en mesure d’établir les responsabilités dans l’impasse que connaît le processus de règlement du conflit du Sahara occidental, ainsi que dans les conséquences négatives qui en découlent», a-t-il précisé.«L’Algérie dont la position sur la question du Sahara occidental s’identifie au consensus international et à la doctrine des Nations-unies, ne peut que rejeter fermement les accusations fallacieuses émises par lesdits dirigeants marocains et regrette profondément un tel comportement qui heurte frontalement les valeurs que partagent les peuples algérien et marocain frères», a encore indiqué M. Benali Cherif.La réaction de l’Algérie demeure une leçon de diplomatie et de bon sens aux dirigeants marocains qui entretiennent l’amalgame entre es relations bilatérales entre l’Algérie et le Maroc et la question du Sahara occidental qui relève de l’ONU.Les propos et les expressions nuancées du porte-parole du MAE font ressortir que l’Algérie met au-dessus de toutes considérations les relations historiques qui unissent les peuples algérien et marocain qu’elle tient en dehors de ce conflits plutôt amplifié et outrageusement politisé par la partie marocaine.L’Echo d’Algérie, 14/07/2014 -
Le nouveau faux pas du Maroc
Décidément le Maroc ne s’arrêtera jamais de faire porter le chapeau à l’Algérie pour ses déboires dans l’affaire du Sahara occidental. Le ministre marocain des Affaires étrangères vient, en effet, d’en donner une nouvelle preuve.Salaheddine Mezouar, le chef de la diplomatie marocaine s’est attaqué ce jeudi à l’Algérie en des termes assez durs qui en disent long sur le désarroi du Maroc et ses échecs répétés dans l’affaire de décolonisation du Sahara occidental. « L’Algérie utilise tous les moyens financiers et logistiques pour contrecarrer les efforts du Maroc visant à trouver une résolution » à la question du Sahara occidental a indiqué le ministre marocain des Affaires étrangères.S’exprimant avant-hier lors d’une audition publique devant une commission parlementaire, Salaheddine Mezouar a souligné, à propos de l’attitude de l’Algérie dans cet épineux dossier, que « la dernière chose a été (la désignation de) cet envoyé spécial de l’Union africaine. (…)Quand on voit les tentatives du régime algérien pour contrer nos efforts, nous constatons que les méthodes utilisées sont vraiment minables ». Et, poussant l’outrecuidance plus loin encore, il a ajouté que « notre conflit aujourd’hui n’est pas avec le Polisario mais avec l’Algérie ». Le Maroc n’en est pas à son premier dérapage.A chaque fois qu’il est en difficulté dans l’affaire du Sahara occidental il n’hésite pas à tirer à boulets rouges sur l’Algérie. Cette fois-ci c’est la désignation, par l’Union africaine (UA), de l’ancien président mozambicain, Joaquim Chissano comme envoyé spécial pour le Sahara occidental, qui a servi d’alibi au Maroc pour épingler l’Algérie.Cette désignation a, par contre, réjoui, le président de la RASD, Mohamed Abdelaziz. Ce dernier a en effet exprimé sa satisfaction en souhaitant que « que l’envoyé spécial de l’UA finalise son programme de visites et de contacts pour permettre à la commission de présenter prochainement son rapport à ce sujet ».Le Président sahraoui en outre estimé, il y a quelques jours seulement, que le Maroc « entrave le référendum d’autodétermination au Sahara occidental et les négociations, procède au pillage des richesses de la partie occupée du Sahara occidental, interdit l’accès aux observateurs indépendants, réprime les citoyens sahraouis sans défense et fait comparaître des civils devant des tribunaux militaires ». Le Maroc, en difficulté dans l’affaite du Sahara occidental où il est en négociation avec le Front Polisario, s’est déjà rendu coupable, à maintes reprises , de bourdes diplomatiques à l’égard de l’Algérie.Ses responsables, le Roi Mohamed VI en premier, sont très peu regardants sur les us et coutumes diplomatiques dès lors qu’il s’agit de l’Algérie qu’ils accusent, à tort bien évidemment, d’être à l’origine de leurs échecs dans le dossier de décolonisation du Sahara occidental. Dans ce registre les impairs du royaume sont légion. Il y a moins d’une année, le 1er novembre 2013 plus précisémment, des manifestants marocains ont procédé à l’arrachage de l’emblème national du consulat d’Algérie à Casablanca.Une affaire qui a fait grand bruit et qui a irrité au plus haut point les autorités algériennes. L’Algérie s’est toujours défendue d’être partie prenante dans l’affaire de décolonisation du Sahara occidental, mais le roi du Maroc persiste à accuser son voisin de l’Est. Cette affaire du Sahara occidental envenime, depuis de nombreuses années les relations entre les deux pays.Par : KAMAL HAMEDLe Midi Libre, 12/07/2014 -
Un autre larbin du makhzen déverse son venin sur l’Algérie
Un ministre marocain traite de minable la position algérienne sur la question du SaharaPar Nassim AsmaniLe Palais royal use de toutes les méthodes possibles y compris les plus pitoyables pour entraîner l’Algérie dans une impasse qui sera très lourde de conséquences notamment, pour le Maroc qui en sera le plus grand perdant.Et après toutes les provocations précédentes et ce, à commencer par l’histoire du drapeau algérien profané à Rabat, le ministre marocain des Affaires Etrangères, Salaheddine Mezouar, s’en est violemment pris à l’Algérie qualifiant sa position sur le Sahara occidental de “minable”.Le Maroc dérape à nouveau. Quelques semaines après la sortie hasardeuse de son Premier ministre sur la fermeture de la frontière terrestre entre les deux pays, son ministre des Affaires étrangères, Salaheddine Mezouar, attaque à son tour l’Algérie. Cette fois, la pique marocaine contre l’Etat algérien relève de la position de ce dernier dans le dossier du Sahara occidental.“L’Algérie utilise tous les moyens financiers et logistiques pour contrecarrer les efforts du Maroc visant à trouver une résolution à cette question”, a ainsi déclaré Salaheddine Mezouar, lors d’une audition publique devant une commission parlementaire, rapporte ce vendredi l’AFP. “La dernière chose a été (la désignation de) cet envoyé spécial de l’Union africaine. (…)Quand on voit les tentatives du régime algérien pour contrer nos efforts, nous constatons que les méthodes utilisées sont vraiment minables”, a-t-il enchaîné, ajoutant: “Notre conflit aujourd’hui n’est pas avec le Polisario mais avec l’Algérie”.Cette étrange sortie marocaine est liée à l’envoi, par l’Union africaine, de Joackim Chissano, ancien président du Mozambique, comme “envoyé spécial pour le Sahara occidental”. Une décision que le Maroc, qui ne veut toujours pas reconnaître le droit des Sahraouis à l’autodétermination, désapprouve fortement. Surtout que le Maroc a quitté l’Union africaine en 1984 pour protester contre l’acceptation de l’adhésion de la RASD République arabe sahraouie démocratique) comme membre.C’est pour dire, que le Maroc continue de piétiner les décisions différentes instances y compris celle du Conseil des Nations-unis, de la Ligue arabe et de l’Union africaine.Le conflit du Sahara occidental, qui oppose le Polisario au Maroc, date de 1975 lorsque les forces marocaines ont commencé à occuper ce territoire, jadis colonie espagnole.L’Algérie a toujours soutenu le principe du droit des peuples à l’autodétermination.L’Echo d’Algérie, 14/07/2014 -
Algérie-Maroc : Enième provocation du Makhzen
Les déclarations du ministre marocain des Affaires étrangères ne sont pas sortis du contexte des accusations est l’institution et les préjugés contre tout Algérien. Comme d’habitude, le Maroc ne rate aucune occasion pour insulter l’Algérie et ternir sa réputation et l’image à l’échelle mondiale. Et dans la dernière sortie du régime marocain contre l’Algérie, le ministre des Affaires étrangères, Salaheddine Mezouar, a attaqué l’Algérie, en affirmant qu’il s’agit d’une partie au conflit du Sahara occidental, qui a été rejetée par l’Algérie toujours, considérant que la défense des Sahraouis, découle du principe adoptée par l’Algérie depuis l’indépendance et le droit d’aller à l’autodétermination.Salaheddine Mezouar a décrit directement l’Algérie à « discount » et « l’ennemi », l’accusant d’être derrière la perturbation de toute solution possible dans le cas du Sahara occidental. L’Algérie a nié les faits, parce qu’elle a toujours eu des appels de laisser les Sahraouis seuls décider de leur destin à travers un référendum et sans condition pour leur permettre d’accéder à l’autodétermination librement. Les Nations unies ont forcé le Maroc à se soumettre au programme de Human Rights Watch, qui a enregistré les pires données du gouvernement marocain. La crise politique en cours entre le Maroc et la France dans le contexte de poursuite des chefs marocains pour avoir violé les droits de l’homme, la souffrance des passagers suspects dans les aéroports français et tout cela confirme que le Maroc, qui a perdu toutes les cartes jouées contre l’Algérie et la question sahraouie.Le ministre des Affaires étrangères de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), Mohamed Salem Ould Salek, a estimé vendredi dans une déclaration écrite, que le chef de la diplomatie marocaine « adopte une politique mensongère » à l’égard du peuple marocain concernant la question du Sahara occidental, et a souligné que « face à l’isolement et la perplexité dont souffre l’occupant, le ministre marocain des Affaires étrangères n’a trouvé comme recours que de verser dans le mensonge et la tromperie, lors de son intervention jeudi devant la commission des affaires étrangères du Parlement (marocain) ».Et ajoute : « Le ministre marocain des Affaires étrangères a menti en limitant le rôle de la mission des Nations unies pour un référendum au Sahara occidental (Minurso) à la supervision du cessez-le-feu, tout en ignorant sa vocation principale, celle de l’organisation d’un référendum sur l’autodétermination, entravé par le Maroc qui est convaincu de l’attachement du peuple sahraoui à son droit à l’autodétermination et à l’indépendance » Pour lui, M. Mezouar adopte une politique mensongère en disant qu’ »il ne peut y avoir de négociation hors de l’initiative d’autonomie », alors que les négociations entre les parties en conflit, en l’occurrence le Front Polisario et le Maroc, sont axées sur des bases définies par les décisions du Conseil de sécurité de l’ONU portant sur « une solution pacifique et mutuellement acceptable en faveur de l’autodétermination du peuple sahraoui ».M. Ould Salek a souligné en outre que M. Mezouar voulait, lors de son intervention, impliquer encore une fois l’Algérie dans ce conflit qui oppose la République sahraouie au royaume du Maroc qui occupe le Sahara occidental. Il a rappelé que le Maroc « avait signé le plan de règlement en 1991 avec le Front Polisario avec lequel il mène des négociations jusqu’à présent ».Par ailleurs, le ministre des Affaires étrangères de RASD, a relevé que son homologue marocain « prétend qu’il n’y aura pas de solution en dehors de ce qu’il appelle souveraineté marocaine sur les territoires du Sahara occidental, alors que la communauté internationale ne reconnaît pas la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental », et a rappelé dans le même contexte que la Cour internationale de justice n’avait reconnu dans son avis consultatif de 1975 aucune autorité marocaine sur le Sahara occidental », ajoutant que le peuple sahraoui saura comment recouvrer sa pleine souveraineté sur les territoires de la République arabe sahraouie démocratique.Hadjam Mohamed BadreddineLe Maghreb, 13/07/2014