Mois : juillet 2014

  • L’Algérie soucieuse d’établir des relations "normales" avec le Maroc

    ALGER – L’Algérie est soucieuse d’établir des relations « normales » avec le Maroc et de construire l’Union du Maghreb arabe (UMA) dans le cadre du respect du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination conformément au Droit international, a affirmé mercredi le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.
    L’Algérie « réaffirme, aujourd’hui, son engagement en faveur de l’établissement de relations bilatérales normales avec le Royaume du Maroc frère et de l’édification de l’Union du Maghreb arabe au mieux des intérêts des peuples de la région, mais tout en respectant la légalité internationale et le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination », a souligné M. Lamamra lors d’un entretien accordé à la chaîne de télévision Ennahar TV.
    « Lorsque l’Algérie avait misé sur l’établissement de relations bilatérales normales avec le Royaume du Maroc frère et sur la création de l’Union du Maghreb arabe pour instaurer un climat nouveau dans la région qui ouvrirait des perspectives prometteuses aux peuples de la région, elle partait de l’idée que le Maroc allait admettre les évidences et n’imposerait pas une solution dans la région que ni la communauté internationale, ni le peuple sahraoui frère n’accepteraient », a tenu à préciser le ministre.
    « La position de l’Algérie vis-à-vis de la question sahraouie est saine et juste, il s’agit d’une position partagée avec d’autres peuples à travers le monde », a-t-il rappelé soulignant l’attachement de la communauté internationale au principe d’organisation d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui.
    Après avoir rappelé la responsabilité historique et juridique de l’Espagne vis-à-vis de la question sahraouie, M. Lamamra a déploré le recours par le Maroc depuis 1975 à une « image stéréotypée d’une Algérie qui serait en train de mobiliser le monde et de mener des actions diplomatiques favorables à la cause sahraouie, mue en cela par une prétendue animosité injustifiée à l’égard du Maroc ». 
    « La vérité désormais établie a sorti de l’ombre une cause sahraouie juste adoptée par le continent africain et la communauté internationale. Il est aussi une doctrine internationale qui impose l’impératif de la décolonisation à travers le monde », a précisé M. Lamamra ajoutant que cette « doctrine enjoint à l’ONU ainsi qu’aux parties au conflit le recours à un référendum libre et régulier pour l’autodétermination du peuple sahraoui ».
    A une question sur les accusations marocaines selon lesquelles l’Algérie serait en train d’entraver le processeur de règlement du dossier du Sahara occidental, M. Lamamra a répondu : « Nous ne pensons pas que des agissements irréfléchis et irresponsables émanant de certaines parties dans le pays frère vont changer la position de principe de l’Algérie, pour la simple raison que cette position est étroitement liée à notre histoire contemporaine et à notre dignité en tant qu’Etat indépendant qui a su s’imposer et recouvrer son indépendance au prix de lourds sacrifices consentis par un 1,5 million de chahids ». 
    « L’Algérie demeurera attachée à sa position, et sa sérénité et sa conscience tranquille la dispenseront de répondre à chaque fois que des dépassements sont enregistrés ça et là », a-t-il conclu.
    http://echourouk.info/lalgerie-soucieuse-detablir-des-relations-normales-avec-le-maroc/
  • L’Algérie confirme la constance de sa position sur la question du Sahara Occidental

    Dans un entretien avec la chaîne algérienne de télévision privée Ennahar TV, le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a déclaré que les gesticulations et les déclarations intempestives du Maroc à l’égard de l’Algérie ne changeront rien à la position de l’Algérie sur la question sahraouie, ni à sa politique en faveur de l’Union maghrébine arabe. 
    Le chef de la diplomatie algérienne a rappelé qu’il y a une cause sahraouie légitime qui doit déboucher sur l’autodétermination. 
    Aucun pays ne reconnaît la pseudo-souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, a-t-il précisé ajoutant que, dernièrement, un tribunal espagnol a considéré que le Sahara Occidental relevait juridiquement de l’Espagne, ce qui confirme qu’il s’agit bel et bien d’un problème de décolonisation.
  • Le Qatar et l’UE volent au secours du Maroc : ce que Mohammed VI ne dit pas à son peuple

    Au bord de la faillite, l’économie marocaine survit depuis au moins six ans grâce aux aides financières étrangères, notamment arabes, qui y sont injectées sous forme de projets de développement. Des aides contredisant totalement la propagande du Makhzen – incarnée par le discours de Mohammed VI ce mercredi à l’occasion de la célébration de son intronisation – qui donne une image pompeuse de l’économie du pays et parle de l’expansion de ses investissements en Afrique subsaharienne. 
    Ainsi, le royaume et l’émirat du Qatar ont signé cette semaine quatre conventions de financement de projets assorties d’un contrat d’assistance financière de 1,25 milliard de dollars sur cinq ans. L’émir du Qatar, Tamim Ben Hamad Al-Thani, en visite à Rabat en juin dernier, avait promis de tenir les engagements pris en 2012 par quatre pays du Golfe, le Qatar, l’Arabie Saoudite, le Koweït et les Emirats arabes unis, pour fournir au Maroc une aide de 5 milliards de dollars, soit 1,25 milliard chacun, sur la période 2012-2017, essentiellement pour financer le développement des infrastructures et du tourisme. 
    Le Qatar a donc bloqué son aide, la conditionnant par la facilitation de la cession par le royaume des parts de majorité au capital de Maroc Télécom, mises en vente par le groupe français Vivendi. Pour rappel, sont en lice pour acheter les actions de Maroc Télécom, le qatari Qtel, l’émirati Etissalat et le sud-coréen KT. On sait que le recours au Fonds monétaire international (FMI) a déjà obligé le Maroc à envisager de revoir à la baisse son système de subventions afin d’assainir ses finances publiques. En effet, en août dernier, le FMI a approuvé une ligne de crédit de précaution de 6,2 milliards de dollars en faveur du Maroc sur une période de deux ans, à condition qu’il réduise ses subventions destinées aux produits alimentaires et à l’énergie. 
    Cette solidarité des riches monarchies du Golfe avec le Maroc s’est consolidée depuis l’éclatement des événements du «printemps arabe» qui ont touché nombre de pays arabes et visait à prémunir le Maroc contre cette onde de choc qui a emporté jusqu’ici trois régimes en Afrique du Nord. En dehors de cette convention, le Maroc reçoit cycliquement des aides financières substantielles de la part de l’Arabie Saoudite, du Qatar et des Emirats arabes unis. 
    En 2013, Riyad a déboursé 400 millions de dollars comme aide pour des projets urgents, à savoir le financement du parachèvement de l’autoroute reliant la ville de Nador à Oujda et un projet de recasement des bidonvilles à Casablanca. A cela, il faut ajouter les tranches d’aides régulières versées par l’Union européenne, dont la dernière s’élève à 167 millions d’euros et est destinée à soutenir la mise à niveau des structures de l’économie marocaine, notamment la convergence réglementaire, ainsi que le système éducatif. Sans compter les apports américains pour le soutien de l’agriculture et la productivité marocaines, dont le plus important a été conclu en septembre 2007.
    R. Mahmoudi
    http://algeriepatriotique.com/article/le-qatar-et-l-ue-volent-au-secours-du-maroc-ce-que-mohammed-vi-ne-dit-pas-son-peuple
  • Agresión contra Gaza: Riad y El Cairo acusadas de colusión con Israel

    Arabia Saudita, aliada con Egipto e Israel en la guerra contra Gaza? Esta tesis defendida en un análisis publicado por David Hearst, editor del sitio de información « Middle East Eye » y ampliamente recogida por el diario electrónico « Huffington Post », suscita una vehemente reacción de las autoridades saudíes.
    En su artículo, David Hearst evocó los vínculos entre Arabia Saudita, Egipto e Israel durante la ofensiva de esta última contra la Franja de Gaza. El enemigo común de los tres países, Hamas, sería, según David Heast, la razón principal de esta alianza emergente.
    Los retos son claros: provocar el debilitamiento y eventualmente la caída de Hamas, colocar un nuevo gobierno en Gaza y hacer frente a otros enemigos en común, como Irán. David Hearst cita como argumentos declaraciones de responsables americanos e israelíes. Dan Shapiro, embajador de EE.UU. en Tel Aviv, declaraba en una televisión israelí que su país quería ayudar a « las fuerzas moderadas » a ser más fuertes en Gaza.
    Las autoridades saudíes respondieron a este análisis que fue publicado por varios medios de comunicación árabes, con un comunicado de tono duro publicado por el embajador de Arabia Saudita en Londres, el príncipe Mohammed bin Nawaf Al-Saud, rechazando totalmente las declaraciones de David Hearst y calificándolas de « mentiras sin fundamento » y « totalmente infundadas ». « ¿Es su intención de insultar o ignora usted la historia y la política de Oriente Medio? », escribió el Príncipe.
    Reafirma el apoyo de Arabia Saudita a los palestinos denunciando la « brutalidad y la desproporción de la acción israelí contra la población civil en la Franja de Gaza », que es un « crimen contra la humanidad ». Pensar que Arabia Saudita apoya la acción israelí en Gaza es « francamente un grotesco insulto », sobre todo, añade, « que Israel no se defiende sino asesina a niños indefensos y familias enteras ». El embajador no dudó en hablar de « genocidio ».
    Por su parte, el ex jefe de los servicios secretos saudíes, el príncipe Turki Al-Faisal, publicó en las columnas de « Al-Sharq Al-Awsat » una tribuna muy interesante para aquellos que quieran comprender cómo, a causa de lo que se juega, se percibe la cuestión palestina en Riad y otras capitales árabes importantes.
    En esta contribución – suele escribir y publicar con frecuencia, incluso en la prensa israelí- el príncipe denuncia las masacres de Gaza. Pero reprocha sobre todo a Hamas el actuar sin prudencia y llevar a cabo una guerra inútil, desproporcionada y sin otro resultado que el de ofrecer a Israel y a su armada la ocasión soñada de « hacer correr la sangre palestina ».
    Descifrándolo, el dignatario y antiguo espía saudí reprocha al movimiento islamista palestino llevar a cabo una lucha dudosa cuya única consecuencia es sabotear lo que queda del « proceso de paz » y empeorar sobre todo la debilidad de la Autoridad Palestina de Mahmoud Abbas.
    Su texto, titulado « el sueño de un liderazgo palestino más prudente », una opinión estrictamente personal y no incumbe de ninguna manera a la monarquía saudí. Pero también sería ingenuo creer que no expresa un poco o mucho el sentimiento que domina actualmente en Riad sobre lo que pasa en Gaza y las opciones de Hamas y su líder Mahmoud Meshaal.
    Para aquellos que dudan, el príncipe Turki Al-Faisal acusa al movimiento islamista palestino de hacer el juego a Turquía y Qatar que, según el, quieren hacer de la Cuestión Palestina su nueva carta diplomática y geopolítica para apoyar a Egipto a la que rinde homenaje.
    Un día antes, durante la celebración del día de Al-Quds, el secretario general de Hezbollah realizó un discurso opuesto al del dignatario saudí. Hassan Nasrallah comparó la resistencia palestina en Gaza a la de Hezbolá en julio del 2006 en Líbano. Estimó que « ya ha realizado una victoria sobre el enemigo israelí » resistiendo después de 18 días de agresión.
    Afirmó que los israelíes nunca tuvieron la intención de devolver una pulgada del territorio palestina ni de aceptar el retorno de los refugiados palestinos. « Los israelíes, apoyados por Occidente y algunos regímenes árabes, cuyos tronos dependen de la supervivencia de Israel, añadió​​, prepararon un plan a largo plazo para liquidar la causa palestina sobre la base de que hará falta una o dos generaciones para lograr este objetivo ». Para él, el mundo árabe atraviesa hoy el período más grave desde 1948, con la destrucción sistemática de los Estados, de las armas, las sociedades y los pueblos.
    « En este tiempo de discordia y de conspiraciones, advirtió, hay que saber dónde poner los pies y dónde luchar ». La resistencia, según el, prima sobre los excesos de todas las diferencias y todas las fracturas políticas y confesionales entre los árabes. Israel y Occidente, insistió, quiere destruir no sólo a Hamas, el Jihad y las organizaciones palestinas que luchan, sino también la sangre resistente que corre en las venas de los palestinos.
  • El ilegal acuerdo de pesca UE-Marruecos ratificado por el Rey

    El Rey de Marruecos ha ratificado el tratado sucio de pesca con la Unión Europea que permite a los barcos de la UE pescar en las aguas del Sahara Occidental, bajo ocupación marroquí. La Comisión Europea suspende en geografía al localizar en un comunicado la zona de pesca.
    El año pasado, la UE negoció un acuerdo de pesca con el Reino de Marruecos para aguas que no son marroquíes. Este acuerdo superó el último escollo formal cuando el propio rey de Marruecos firmó el acuerdo.
    Marruecos viene ocupando brutal e ilegalmente la antigua colonia española del Sahara Occidental, desde 1975. Su reivindicación del territorio fue rechazada por la Corte Internacional de Justicia mientras que las NU median entre las dos partes –Marruecos y los saharauis- para llegar a una solución. 
    Finalmente, la UE pagará a partir de ahora 30 millones de euros anuales a Marruecos por derechos de pesca en esas aguas. Además, los pescadores pagarán cada año al gobierno de Marruecos 10 millones de euros.
    En total, estos importes exceden toda la ayuda humanitaria mundial que reciben los dueños de este pescado. Ellos -los dueños- duramente afectados por una malnutrición que viene de lejos, viven en campos de refugiados desde que Marruecos invadió su territorio.
    Un comunicado difundido por la Comisión Europea el 15 de julio de 2014 etiqueta las zonas pesqueras del tratado como “aguas marroquíes” cuando, de hecho, han autorizado la pesca en aguas que nunca en la historia de Marruecos han sido marroquíes. Ni un solo estado en el mundo –incluidos los estados de la UE- reconocen las pretensiones marroquíes sobre el territorio. El comunicado de la Comisión también establece que beneficiará a los “pescadores marroquíes” –que evidentemente se han desplazado al territorio en violación de las Convenciones de Ginebra. No se hace ni una sola mención al Sahara Occidental o a la población saharaui.
    En ningún momento de las negociaciones del Acuerdo de Pesca, han buscado las instituciones de la Unión Europea el consentimiento de los saharauis. Las Naciones Unidas establecen que un acuerdo semejante tiene que coincidir con los deseos de los saharauis para ser legal. El acuerdo de pesca UE-Marruecos no lo es. 
    “Este acuerdo es una gran provocación para todo el pueblo saharaui. La UE está mandando un mensaje a los saharauis en el sentido de que no prevalece la ley internacional y de que está dispuesta a desvincularse de conversaciones de paz y solidaridad si se trata de su propio beneficio a corto plazo. Es evidente que el sufrimiento de los saharauis perdurará mientras Marruecos se apunte tantos económicos y políticos a favor de la ocupación”, asegura Erik Hagen, presidente de Western Sahara Resource Watch.
    “Tendría la misma falta de sentido que la UE firmase acuerdos comerciales con Putin para Ucrania. El acuerdo echa por tierra todo lo que la UE dice representar”, dijo Hagen.
    WSRW condena el inminente expolio del territorio por parte de la UE, y sus pagos al gobierno marroquí para conseguir las licencias. WSRW expresa su solidaridad con el pueblo del Sahara Occidental -el del exilio y el que sufre los abusos diarios de la represión marroquí en los territorios ocupados- y apela a las NU para que intervengan impidiendo que la UE debilite los esfuerzos de paz emprendidos por el enviado especial de Ban Ki-Moon a los territorios.
  • Sahara Occidental : Argelia, fiel a sus principios desde el primer momento

    Mohamed Bedjaoui
    La Haya, 29 de julio 1975, La delegación argelina, a favor de la autodeterminación del pueblo saharaui
    “Es la población quien decide la suerte del territorio, y no el territorio quien condiciona el destino de la población”.
    Mohamed Bedjaoui, embajador de Argelia en París y jefe de la delegación de su país en el dictament consultivo sobre el Sahara Español, en curso en el Tribunal Internacional de La Haya, ha sancionado con esta frase la conocida posición de su país a favor de la autodeterminación del pueblo saharaui durante su última intervención ante la Corte Suprema de las Naciones Unidas.
    Contundente, brillante y precisa ha sido la intervención argelina ante el Tribunal de la ONU, consumiendo con una clara agresividad para Marruecos el turno de réplica que le fue otorgado a este país por el presidente de la Corte, el juez polaco Manfred Lachs. Una vez más, el representante de Argel ha repetido los argumentos de su país que piden la competencia de la Corte a favor de la autodeterminación de la población saharaui, única propietaria del Sáhara desde tiempo inmemorial y, por ello, máxima responsable de sus destinos.
    Indignación en las delegaciones marroquí y mauritana y satisfacción en la española al término de la intervención argelina….
    SEGUIR LEYENDO DESDE LA FUENTE

    Fuente : ABC, 30 julio 1975

  • Wilaya argelina de Annaba recibe grupo de niños saharauis de vacaciones

    « Campamento de resistencia para los niños del Sáhara Occidental » es el nombre del programa escogido para un grupo de niños saharauis que pasan vacaciones de verano en la wilaya argelina de Annaba en el marco de los actos de solidaridad del país aliado con el pueblo saharaui.
    En declaraciones a la cadena de TV Numidia News, los niños saharauis agradecieron la solidaridad del pueblo argelino con la lucha del pueblo saharaui contra el agresor Marruecos, recordando que Argelia dió más de 1 millón y medio de mártires por su independencia.
    La guerra de los cobardes
    En al cultura saharaui, atacar al más débil es considerado un acto de cobardía. Las tropas marroquíes vencidad en el campo de batalla por los combatientes saharauis, atacan a las mujeres, los niños et ancianos.
    La represión continua hoy ante el silencio de la comunidad internacional
    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=e0m03cFkcfE]
  • RTVE : Países en conflicto – El muro del Sáhara Occidental

    13/05/14
    Mariam Hassan ofrecía en el campamento de población refugiada de Dajla el que puede ser su último concierto: Enferma de cáncer sacó fuerzas de su flaquea para despedirse de lo suyos.
    “Quiero expresar mi gran felicidad de estar aquí participando en esta edición del Fi Sahara. Me llena la felicidad sabiendo que estoy aportando algo, sobre contando con mi situación física y que tengo que hacer un esfuerzo para estar aquí, pero creo que eso también levanta mi moral…” (Mariam Hassan)
    El muro militar del Sáhara Occidental fue construido por Marruecos…
                            
  • Tele Sur : Pide el pueblo Saharaui su independencia de Marruecos

    Desde hace más de 49 años, el pueblo del Sáhara Occidental tiene ocupada su tierra por Marruecos tras el abandono por parte de España. Hoy, los saharauis han reclamado la aceleración del referéndum y su indepemdecia que el Reino de Marruecos bloquea bajo la mirada cómplice de las potencias occidentales.
    El pueblo Saharaui reclama por medio de movilizaciones en España, la celebración de un referendo que le permita la autodeterminación ante la ocupación de su territorio por parte de Marruecos. Miles de ciudadanos se manifestaron para pedirle a la monarquía del país africano que les permita recuperar su tierra.

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=KW3ogBAwvEw]

  • Toledo se acerca al Sáhara

    igarciavillota@diariolatribuna.com
    Dos meses. Sesenta días. Desde el 5 de julio hasta el 5 de septiembre. Es el tiempo que pasarán en Toledo, y en algunos pueblos de alrededor, un total de 18 chicos y chicas procedentes de los campos de refugiados saharauis. Lo harán gracias al programa ‘Vacaciones en paz’, organizado por la Asociación de Amigos del Pueblo Saharaui desde hace varias décadas.
    El Ayuntamiento capitalino y la entidad firmaron ayer un convenio para el desarrollo de este proyecto solidario. La concejal de Bienestar Social, Ana Saavedra, y la presidenta de la asociación en Toledo, Ana Garrido, sellaron el acuerdo en presencia de Bulahi Mohamed, delegado del Frente Polisario en Castilla-La Mancha, y de la mayor parte de las familias de acogida y de los niños participantes en este programa.
    El acto, celebrado en la Sala Capitular, sirvió también para dar la bienvenida a los pequeños y para reiterar el «compromiso» del Gobierno local con un programa calificado por la edil como «una de las prioridades» de la Concejalía de Bienestar Social.
    Saavedra recordó que ‘Vacaciones en paz’ permite que niños saharauis de campos de refugiados residan durante dos meses con familias españolas. La concejal insistió en que para el equipo de Gobierno este programa es «prioritario», advirtiendo que «no hemos dejado de apoyarlo, a pesar de las dificultades económicas, algo que sí han hecho otras administraciones».
    No en vano, el Ayuntamiento de Toledo apoya a la Asociación de Amigos del Pueblo Saharaui con 5.000 euros, destinados a sufragar el coste de los billetes de avión de los niños, así como el resto de transportes para llegar a sus casas en España. Una cantidad que se redujo en 2012 un 60 por ciento respecto a la anterior edición, dado que la aportación en 2011 ascendió a 12.000 euros. En cualquier caso, el Consistorio de la capital castellano-manchega se convirtió en «uno de los pocos» en la provincia que mantuvo su apoyo, aunque con una aportación económica menor, recordó hace dos veranos Ana Saavedra.
    Ayer, la edil insistió en que el Consistorio «sigue apoyando» este programa «porque sabemos los beneficios que tiene para los niños y para las familias». Así, Saavedra reconoció que la situación económica ha provocado un descenso en el número de niños y agradeció la labor desarrollada por la asociación para que estos chavales «dejen de vivir una temporada en condiciones pésimas».
    No en vano, la concejal recordó que el pueblo saharaui está «fuera de su territorio, en campos de refugiados, en condiciones lamentables». Asimismo, explicó que los «beneficios» para los chicos son «salir de allí» en la temporada estival, cuando en el desierto del Sáhara se pueden superar los 50 grados de temperatura.
    En cualquier caso, la edil afirmó que los beneficios para las familias de acogida son «mucho mayores». «Sé que se pasan buenísimos ratos y que es una experiencia muy enriquecedora», apuntó Saavedra, que durante dos años recibió a niños saharauis en casa gracias a ‘Vacaciones en paz’.
    Este año se han involucrado un total de 17 familias en Toledo capital y alrededores, un centenar en toda la provincia y 345 en el conjunto de la región, siendo Ciudad Real la provincia que mayor número de chavales acoge.