Mois : juillet 2014

  • El ejército de ocupación marroquí asesina a tiros a un ciudadano saharaui

    Fuente : Oficina de Territorios ocupados
    Sahara Occidental, 21 de julio 2014
    Según ha publicado en una nota la oficina de los territorios ocupados del ministerio de la emigración saharaui, un joven saharaui de nombre Brahim Badda Uld Taher fue asesinado el pasado 13 de julio en la localidad de Um Draiga. La oficina ofrece más detalles y explica en su nota que el ciudadano saharaui en la noche del domingo 13 de julio fue asaltado en su jaima en la localidad de Um Draiga, en las cercanías del muro marroquí de que divide el territorio saharaui, y fue abatido a tiros, muriendo al acto. Según la fuente que había consultado con su familia, el ejército marroquí trasladó el cadáver y lo dejó abandonado a 150 km de donde fue asesinado, para borrar las huellas del crimen.
    La familia trasladó el cuerpo al hospital de la ciudad de El Aaiun a fin de esclarecer las circunstancias del asesinado del joven saharaui. Mientras, las autoridades marroquíes que quieren desprenderse del cuerpo, han exigido a la familia que se sepulten los restos del joven. Ellos han rechazado rechazó la orden marroquí mientras no se esclarezcan los hechos.
    Se sabe que en el mismo lugar donde sucedió el asesinato hace dos meses que el ejército marroquí había matado a tiros varios ganados de saharauis que nomadean en la región de Um Draiga.
    http://poemariosaharalibre.blogspot.be/2014/07/el-ejercito-de-ocupacion-marroqui.html

  • La policía marroquí detiene a dos menores saharauis y tortura a uno de ellos en Bojador

    *Fuente: Oficina saharaui de los territorios ocupados
    Bojador, Zonas ocupadas del Sahara Occidental; 21 de julio 2014
    La policía marroquí de la administración de ocupación en la ciudad de Bojador ha detenido el pasado jueves 17 de julio a dos menores saharauis, se trata de Elhusein Laash y Sein Laamach. Elhusein fue conducido y torturado en las dependencias de la Policía de Seguridad de Bojador como se puede observar en la foto. Sein fue detenido y conducido a las mismas dependencias y se ha mantenido retenido según la Oficina de los Territorios Ocupados saharauis.
    Los dos menores participaban en unas manifestaciones pacificas en apoyo a los presos políticos y defensores de derechos humanos saharauis en las cárceles del régimen marroquí.
    http://poemariosaharalibre.blogspot.be/2014/07/la-policia-marroqui-detiene-dos-menores.html
  • Crise au Mali Entretien avec le politologue Salah Saoud

    Dans cet entretien, Salah Saoud, politologue, évoque les enjeux du conflit malien, ainsi que les solutions envisagées par l’Algérie dans le cadre de sa politique de médiation.
    Auteur : Nadjwa Khelil
    Yagool : Quelle lecture faites-vous de la situation actuelle au Mali, notamment depuis la signature à Alger, en juin dernier, de la déclaration conjointe par les trois mouvements éponymes du nord malien à savoir le MNLA, HCUA et le MAA, portant consolidation de la dynamique d’apaisement ?
    Saleh Saoud : Fidele à son principe de non-ingérence, l’Algérie est convaincue que l’issue au conflit du Mali doit nécessairement parvenir des maliens eux même, non pas dictée de l’extérieur.
    A cet effet, elle tente à travers son parrainage de poser les fondements d’un dialogue réel entre maliens. Cette solution politique qui privilégie la voie du dialogue demeure la plus approprier, à contrario de celle militaire qui risque de déstabiliser le Nord du Mali, voire porter atteinte à tout le pays.
    En effet, l’intervention étrangère au Mali sous couvert de la lutte contre le terrorisme n’a pas atteint les solutions escomptées, de rétablir la sécurité, soit un échec absolu. En réalité, l’option militaire n’est autre qu’une mesure en trompe l’œil. Au lieu de s’attaque aux causes profondes de conflit, elle envenime les situations en cultivant d’autres problèmes, pour favoriser l’émergence de champs de tensions. La tendance étant toujours pour les grandes puissances de s’installer et ne plus quitter un territoire où elles interviennent pour en faire une zone vulnérable, comme c’est le cas en Libye, Tunisie, l’Irak, Syrie ……et tant d’autres pays en proie à cette politique prédatrice dont les retombées sont difficiles à contrôler.
    Par ailleurs, évoquer une solution interne en vue d’un règlement de la crise malienne, suppose une plateforme consensuelle entre les parties en litige pour lancer le dialogue. Si cette feuille de route est respectée par les parties concernées, elle devrait permettre d’enclencher le processus de restituer la stabilité. La déclaration d’Alger qui consacre en substance le principe d’une solution qui soit dégagée par les maliens est lucrative, et semble la plus idéale, mais il est difficile de trouver les instruments pour la traduire en action sur terrain.
    Dans quelques jours, l’Algérie conduira le processus de négociations autour du dialogue inter- malien inclusif devant se dérouler à Alger. Cette démarche pourrait-elle déboucher sur une véritable sortie de crise que connait le nord malien, soit, un règlement durable et la restauration de la stabilité ?
    L’Algérie a acquis une grande expérience à mener les négociations et à assurer la médiation entre différentes parties en conflit aussi bien au niveau arabe, africain qu’international. Sa diplomatie en témoigne.
    Par rapport à sa démarche, son aboutissement est au préalable tributaire de la réussite de la plateforme préliminaire, « la déclaration d’Alger », de l’engagement pour le plein respect de l’intégrité nationale et l’unité du Mali.
    Outre ce point, d’autres éléments fondamentaux doivent être pris en considération pour une solution viable. Ainsi, il est nécessaire d’identifier les facteurs androgènes et exogènes du contentieux malien pour mieux définir le concept adéquat de la stabilité. Car ce concept nécessaire pour déterminer la stratégique à adopter en vue de rétablir la sécurité, doit être adapté aux spécificités de chaque pays.
    Une stabilité retrouvée, de la sorte, dans le nord du Mali, devrait indubitablement influer positivement sur l’ensemble de la région sahélo-saharienne.
    Cela dit, si dans son approche, l’Algérie arrive à percevoir la situation du Mali avec toutes ses démentions en prenant également en considération tous les aspects liés à cette crise qui concerne le citoyen malien, tels que le dénuement, précarité, inégalités, divisions intercommunautaires, marginalisation des populations du nord ; son rôle sera éminemment positif. 
    En effet, autant d’éléments pourraient contribuer à la réalisation d’une paix durable au Mali. Ceci dit, la solution devrait aussi s’articuler autour de la prise en charge des revendications et préoccupations légitimes de la population locale. Car le conflit malien ne se limite pas à la seule question du terrorisme, il trouve aussi ses origines dans un déséquilibre socio-économique important dont la rébellion n’est qu’une manifestation. Il s’agit dans ce sens de mettre fin au monopole des multinationales, de régler les disparités socio-économiques avec le Sud, qui, par ricochet profiterait à tout le pays.
    Nombre d’accords de paix ont été scellés en vue de mettre fin au conflit malien tel que celui signé en 1996 à Tombouctou, mais qui malheureusement n’ont pas duré et ont été quelque part violés où non respectés par les parties concernées .Par rapport à cela, y a-t-il aujourd’hui des conditions nouvelles pour que ce dialogue pour la paix et la réconciliation puisse aboutir et qu’il soit respecté ?
    Parmi les conditions indispensables pour faire respecter cet accord de paix, l’on peut citer quelques axes.
    Elles consistent à ce que la réconciliation, conclu entre les parties constitue la pierre angulaire à l’édification d’un Etat uni.
    En second lieu, il est indispensable que les nouveaux éléments liés à la crise ne soient pas imposés même de manière indirecte par les laboratoires expansionnistes qui aspirent à faire main base sur les richesses du Mali, mais plutôt tirés de la réalité du terrain.
    Le troisième point, d’honorer les revendications du peuple malien et respecter son choix.
    Quels sont donc les mécanismes nécessaires pour la mise en œuvre de cette feuille de route de réconciliation, sa traduction et son suivi sur terrain de manière quelle soit une action efficiente ?

    Ces outils qui doivent être puisés du territoire malien, se résumes en quelques points.
    De prime abord, la concrétisation de la réconciliation nationale entre le peuple malien et sa cohésion, doit se faire dans le respect de la diversité culturelle, confessionnelle et ethnique du pays. Sur ce plan humain, les populations autochtones ne doivent pas être détachées de leur environnement et leurs origines. Dans ce sens, il est important de donner un nouveau souffle à la société tribale et ne pas la considérer comme un regroupement négatif. Ceci, en garantissant à ces originaires le droit de décider pour eux-mêmes et par eux-mêmes, en respectant leurs choix et de leur inculquer toutefois la culture du dialogue. Dans le même sillage, créer une passerelle entre les chefs de tribus issus de la volonté populaire et le gouvernement.
    Au plan politique, adapter la ligne stratégique aux données qui sont réelles sur le terrain à travers s sa révision et actualisation permanente qui correspondent à l’évolution des situations. Le respect de la souveraineté populaire, n’est pas aussi à négliger, car la sécurité et la stabilité sont pour et par le peuple.
    Quant au volet économique, les richesses du Mali doivent profiter à ces citoyens pour assurer un développement économique du pays.
    Selon votre optique, l’autodétermination de l’Azawad comme clause, sera-t-elle inclue où exclue dans ces négociations ? Pourquoi ?
    Cette question est exclue des concertations, d’autant plus que le plein respect de l’intégrité territoriale et de l’unité nationale du Mali constitue la base de ce processus de réconciliation entre les maliens.
    Établir un Etat autonome en plein Sahara est susceptible de créer des conflits ouverts sur toute l’Afrique, ce qui n’est profitable aux parties et n’est dans l’intérêt du pays. Le chaos partout.
    En vérité, les touaregs dans leur majorité n’ont jamais demandé la séparation ou revendiquer la constitution d’un État indépendant. Cette idée d’autodétermination a été alimentée par certaines parties occultes pour tirer profit des clivages ethniques, confessionnels et servir des appétits impérialistes dont les acteurs sont multiples.
    Les Touaregs qui ont toujours cohabité avec le reste de la communauté, sont d’ailleurs conscients que cette idée relève de l’impossible. D’un autre côté la frontière étant fatalement ouverte, permet la prolifération des armes qui augmentent la marge de manœuvre des terroristes, et le crime organisé.
    L’aboutissement de ce processus de paix n’est-il pas également tributaire d’une volonté réelle du gouvernement malien, hors de tous intérêts étroits de certaines parties occultes pour le brouiller ?
    La volonté globale de toutes les parties ainsi que du gouvernement existe, pour recouvrer la paix et promouvoir les liens de fraternité en vue de la réconciliation.
    Cependant, ces aspirations font face à une réalité fatale qui s’impose. Le régime en place est toujours dépendant des grandes puissances qui exercent des pressions sur lui notamment la France. Donc dans cette conjoncture, il ne peut pas envisager un véritable dialogue ni même le concrétiser.
    Ces forces dévastatrices sont contre un règlement de la crise, mais plutôt, d’en faire un terrain d’affrontements permanents qu’ils investissent pour déstabiliser les pays limitrophes et l’exploiter au gré des situations, en fonction de leurs intérêts. 
    Y a-t-il risque que certains tentent d’avorter ce dialogue visant une solution à ce conflit, d’autant plus que les origines et enjeux de ce dernier sont les richesses du sous-sol malien ?
    Certes, il y aura des tentatives d’entraver cette démarche, notamment du Maroc qui considère que Algérie cherche à se positionner en Afrique et au Sahel, et la France dont la sous région constitue pour elle une zone de transit. Elles seront cependant sans grand impact. 
    Par contre, une chose est sure, ces force peuvent présentement réaliser leurs intérêts, mais qui leur sera impossible dans les années à venir.
    Il est évident que la solution au conflit malien n’est pas une opération automatique mais un travail de langue haleine qui s’inscrit dans la continuité. A ce titre, les parties maliennes, sont tenues plus que jamais d’approfondir davantage et sans interruption les concertations et le dialogue, ce à quoi d’ailleurs aspire l’Algérie.
    Cette dernière, malgré le fait qu’elle soit une puissance régionale, elle ne peut pas à elle seule, solutionner toutes les crises et lutter contre le terrorisme au niveau du Sahel. Pour ce faire, il est impératif de renforcer et d’amonceler ce genre d’initiative pour pouvoir mettre fin aux pressions exercées de part et d’autre sur les pays de sahélo-sahariens.
    http://yagool.dz/article_1174.html
  • La solidarité , un nouveau délit !

    Par Souad G, Attac Maroc, 20/7/2014
    Interdiction de distribuer des dons aux habitants victimes des démolitions du quartier Bourgogne 
    Des jeunes ont pris l’initiative de récolter des dons et se sont donnés rdv pour les distribuer aux victimes survivantes du drame survenu le 11 juillet où 3 immeubles se sont écroulés à 4h du matin, faisant selon chiffres officiels 23 morts et 50 blessés.
    Ce dimanche 20 juillet, suite un appel à don lancé par des jeunes sur facebook pour venir en aide aux rescapés, rendez-vous a été donné sur les lieux pour distribuer les dons aux survivants. L’endroit était quadrillé de divers corps de forces de répression, de policiers en civil, de curieux, au bout de quelques minutes, ils sont venus vers nous. Nous avons expliqué le sens de l’initiative . Réponse: « dégagez, le roi a fait ce qu’il fallait. » « Pas besoin de vos dons. Ramassez moi ça vite fait et dégagez » en nous repoussant. D’autres sont venus nous dire: « Si vous êtes du Mouvement du 20Février, on ne veut pas de vous ici ». » Le roi a distribué des logements et relogé les victimes. Ce n’est pas à vous de venir faire des dons! »
    Puis de plus en plus menaçant, un représentant de l’autorité, nous a repoussés en disant qu’on dégage vite fait, sinon il va prendre les affaires.
    Nous avons appris ce soir que la solidarité est interdite. 
  • Sahara Occidental: Des centaines de personnes manifestent à Santa Cruz de Tenerife pour la décolonisation du Sahara occidental

    Santa Cruz De Tenerife — Des centaines de personnes ont manifesté samedi à Santa Cruz de Tenerife, à l’initiative de l’Association canarienne de l’amitié avec le peuple sahraoui (ACAPS), en collaboration de la Plate-forme sahraouie de Tenerife, composée de partis, syndicats et associations au niveau de l’île et de la province de Tenerife.
    Les manifestants ont exhorté le gouvernement de l’Espagne à agir pour mettre fin à la tragédie humaine vécue par les Sahraouis et à faire aboutir le processus de décolonisation par le biais d’un référendum d’autodétermination, a indiqué un communiqué de l’ACAPS publié à l’issue de cette manifestation.
    Ils ont également demandé au Conseil de sécurité d’élargir les pouvoirs de la Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara occidental (MINURSO) à la protection, la surveillance et le respect des droits de l’homme au Sahara occidental.
    Les manifestants ont aussi appelé à la démolition du mur de la honte, qui représente un crime contre l’humanité et divise le Sahara occidental et son peuple sahraoui en deux parties, exhortant le Conseil de l’Europe et les Européens à bloquer le statut avancé de partenaire privilégié attribué au Maroc par l’Union européenne, qui ne fait qu’endurer les souffrances des Sahraouis et encourager les violations constantes du Maroc des droits élémentaires du peuple sahraoui.
    « Nous demandons la cessation immédiate de l’exploration gazière, pétrolière et l’exploitation des ressources naturelles et culturelles du Sahara occidental, en violation du droit international humanitaire », ont-ils souligné.
    « Nous exigeons que la Maison royale, le Parlement et le gouvernement de Mariano Rajoy ne demeureront pas des actions contre de nombreuses résolutions adoptées par les congrès, sénat, régions autonomes et municipalités, à la fois nationales et internationales étapes, favorisant les intérêts du Maroc au détriment des droits et intérêts du peuple sahraoui « .
    L’Association des Canaries de l’amitié avec le peuple sahraoui (ACAPS) a exprimé sa solidarité et son soutien au peuple sahraoui dans les camps de réfugiés, dans les territoires occupés du Sahara Occidental et au niveau de la communauté sahraouie établie à l’étranger.
    La manifestation a été assistée par des dizaines d’enfants sahraouis qui se trouvent à l’île de Tenerife au sein des familles dans le cadre du programme « Vacances en paix » au profit des enfants sahraouis.
  • Palestine – Bruxelles : indignation citoyenne

    par M’hammedi Bouzina Med: Bruxelles
    Plus de 5.000 manifestants ont crié, à Bruxelles, leur colère face au drame que subissent les Palestiniens de Ghaza. Une manifestation sans trop de dérapages, malgré les tentatives de quelques extrémistes et groupes de casseurs. 
    Bruxelles, à l’instar de bien de capitales, dans le monde, a manifesté son indignation et sa colère, face au drame et l’horreur que vivent les Palestiniens sous les bombes de l’armée d’Israël, depuis deux semaines. Ils étaient plus de 5.000, selon la police et plus de 15.000, selon les organisateurs, à battre le pavé, samedi dès 14h, aux cris de « Israël assassin », Halte au massacre de civils et enfants », « Nous sommes tous des Palestiniens » … 
    Partis de l’avenue de Stalingrad, près de la gare du Midi, les manifestants ont rejoint le boulevard de l’Empereur, non loin du siège du parti socialiste, pour arriver jusqu’au Mont des Arts où la manifestation s’est dispersée, vers17h. Hormis quelques débordements en fin de parcours qui ont causé quelques dégâts (vitres de magasins brisées, voitures endommagées), la manifestation s’est déroulée sans graves dérapages. C’est que la manifestation est le résultat d’échange spontané de « tweets et sms » à laquelle se sont joints des associations et personnalités publiques. 
    Des drapeaux palestiniens, belges, algériens, marocains étaient brandis aux côtés des calicots et slogans, accusant Israël et le silence de l’Europe officielle. Evidemment, quelques groupuscules extrémistes ont tenté de pousser la manifestation à l’affrontement et au désordre, sans réussir. Les meneurs de la manif répétaient à l’aide de porte-voix, tout au long du parcours, de garder la dignité de l’événement et de ne pas répondre aux provocations. Jusqu’aux responsables religieux musulmans et juifs qui ont déployé des efforts, à la veille de la manifestation, pour qu’elle se passe dans le calme. Rappelons que le bourgmestre (maire) de Bruxelles-ville n’a ni interdit la manifestation, ni l’a autorisée. Il a laissé la responsabilité de l’événement à ses organisateurs. Ceci a, d’ailleurs, fait réagir la toute nouvelle organisation juive, la ‘Ligue belge contre l’antisémitisme’ (LBCA) qui a vu, dans l’événement une attaque contre les juifs et non pas contre les responsables de l’Etat d’Israël. Le président de la LBCA a affirmé avoir demandé au bourgmestre de Bruxelles d’interdire la manifestation, sans le convaincre. 
    Ainsi, malgré la période estivale et la relative canicule qui « couve » Bruxelles, depuis deux jours, la manifestation a été une réussite et prouve que l’opinion publique belge, autant que les opinions européennes, ne sont pas dupes de l’attitude frileuse, voire complice, de certains Etats occidentaux, dans la tragédie que vit le peuple palestinien, depuis près de 70 ans.
  • Mohamed VI condecoró a algunos de los asesinos de Gaza

    Marruecos llamó el sábado para el cese inmediato de la « inaceptable e injustificado » agresión israelí contra Gaza, según un comunicado publicado por el Ministerio de Asuntos Exteriores y Cooperación de Marruecos.
    « El Reino de Marruecos llamó a defender la sensatez y al cese inmediato de la agresión (Israelí) contra Gaza, un asalto inaceptable, injustificada y condenable por el derecho internacional y los valores de derecho humano », dijo el comunicado.
    Se trata de un comunicado destinado a acallar al pueblo marroquí que no dudó en salir a la calle para expresar su solidaridad con el pueblo mártir de Palestina. Con este comunicado, el palacio real marroquí desea camuflar las relaciones privilegiadas que el rey Mohamed VI tiene con los símbolos del lobby sionista internacional que apoyan firmemente las masacres cometidas por el ejército israelí en Gaza. Entre ellos, Malcolm Hoenlein, presidente de las mayores organizaciones judías en los Estados Unidos de América que llegó a Israel con más de 30 Judios para mostrar su solidaridad con la política agresiva de Tel Aviv. 
    Este criminal fue condecorado por el rey Mohammed VI 30 de julio 2013 con la Medalla de Alto Oficial. 
    Van los marroquíes a condenar la complicidad del palacio real con el movimiento sionista internacional o seguirán mostrando su apoyo al rey y al gobierno en nombre de la agresión contra el pueblo del Sáhara Occidental? Tal vez encontrarán en el odio de Argelia otra razón para apoyar a rey bien amado.
  • Mohamed VI décore les assassins de Ghaza

    Le Maroc a appelé, samedi, à l’arrêt immédiat de l’agression israélienne « inacceptable et injustifiée » contre Gaza, selon un communiqué rendu public par le ministère marocain des Affaires étrangères et de la coopération.
    « Le Royaume du Maroc appelle à faire prévaloir la sagesse et à l’arrêt immédiat de l’agression (israélienne) contre Gaza, une agression inacceptable, injustifiée et condamnable par la loi internationale et les valeurs de droit humain », souligne le communiqué.
    Il s’agit d’un communiqué qui, en réalité, vise à camoufler les relations du Maroc et de son roi avec les symboles du sionisme qui soutiennent avec force les massacres commis par l’armée israélienne à Ghaza. Parmi eux, Malcolm Hoenlein, président des plus grandes organisations juives aux Etats-Unis d’Amérique qui est arrivé à Israël avec plus de 30 juifs pour exprimer sa solidarité avec la politique d’agression de Tel Aviv.
    Ce criminel a été décoré par le roi Mohammed VI le 30 juillet 2013 avec la médaille de Haut Officier. 
    Les marocains, vont-ils condamner cette complicité du palais royal avec le mouvement sioniste international ou vont-ils continuer à montrer leur soutien au gouvernement au nom de l’agression contre le peuple du Sahara Occidental ? Peut-ètre qu’ils trouveront aussi dans la haine de l’Algérie une autre raison pour soutenir leur roi bien aimé.
  • “Lipe”, el primer presidente socialista español y el Sáhara Occidental

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=QiDaJvK_ZNM]

    “Lipe” es Felipe González Márquez, el primer presidente de gobierno socialista en España. De su nombre, los saharauis cortaron la primera sílaba “Fe” porque ya no tenían fe en él ni en ningún gobernante otro gobernante español. 
    Con tanta traición a su antigua provincia del Sáhara, la política de Madrid hacia los saharauis se convirtió en una copia de la de París. Cooperando en la lucha contra las células de ETA en el sur de Francia, el país galo, al igual que Marruecos, chantajeaba al gobierno español imponiéndole el apoyo de la ocupación, la represión y el genocidio en el Sáhara Occidental. 
    El 14 de Noviembre de 1976, Felipe González habló ante miles de refugiados en Argelia, prometiéndoles que les apoyaría en su lucha. Pocos meses más tarde la traición se consumó y de Felipe nunca más se supo. 
    Gracias a la traición consumada al pueblo saharaui y la voluntad del pueblo español solidario con los saharauis, “Lipe” obtuvo como premio otorgado por Marruecos una mansión en Tánger valorada en más de 2,5 millones de euros.
  • Hollande au Tchad pour l’installation du " dispositif anti-terroriste " Barkhane : Revoilà la Françafrique !

    Par Kamel Zaïdi
    Si la situation s’accélère de plus en plus en Afrique, plus précisément au Sahel, au Maghreb et dans la région des Grands Lacs, force est de relever également que les choses sérieuses viennent aussi de commencer. Les négociations d’Alger, celles de la dernière chance pour restaurer la paix au Mali, donnent ainsi l’air de piétiner, à cause du nombre effrayant d’acteurs, dont certains ne s’étaient jamais fait connaître auparavant, défendant chacun ses chapelles et ses groupes d’intérêts. Pendant ce temps, le président français, dont le pays est le principal responsable de cette situation dramatique et chaotique, n’en a pas moins pris prétexte pour élargir sa présence militaire, jusque-là confinée au seul Mali, à d’autres pays africains. 
    François Hollande a en effet achevé ce samedi sa mini-tournée africaine par N’Djaména. Dans la capitale tchadienne, il s’est entretenu avec son homologue Idriss Déby et a inspecté l’installation de la future force Barkhane de prétendue lutte contre le terrorisme au Sahel.
    Au terme de sa tournée de trois jours en Afrique, François Hollande était samedi 19 juillet en visite à N’Djaména, au Tchad. Le président français a inspecté les préparatifs de la nouvelle force militaire française, nommée Barkhane, dédiée à la lutte contre le terrorisme au Sahel. Cette nouvelle opération, dont l’état-major sera installé dans la capitale tchadienne, sera opérationnelle le 1er août. Elle mobilisera 3 000 militaires et succèdera à l’opération Serval lancée le 11 janvier 2013 au Mali contre les groupes islamistes armés qui menaçaient l’intégrité du pays.
    Barkhane fusionnera également les dispositifs Epervier et Sabre déployés au Tchad et au Burkina Faso. En partenariat avec les cinq pays de la zone (Mauritanie, Mali, Burkina Faso, Niger et Tchad), il s’agit d’élargir à tout le Sahel l’action contre les mouvements djihadistes, notamment Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et Boko Haram, et tenter de mettre fin à l’important trafic d’armes en provenance de Libye.
    Un pareil  » déploiement « , qui pourrait à terme impliquer également le Maroc, alors que ses activités délictueuses et proches des terroristes ne sont plus un secret pour personne, contrecarre fortement les actions menées par l’Algérie ainsi que les structures mises en place de concert avec les pays du champ. A croire que cette situation conflictuelle et de tensions perpétuelles arrange les intérêts de certains. 
    Et il semble bien que si le Tchad a été choisi comme base de commandement de cette opération qui promet de faire encore parler d’elle, il semble bien que ce soit à cause de la manière avec laquelle les FTIM (forces tchadiennes d’intervention au Mali) s’étaient distinguées lors de l’opération Serval, y laissant d’ailleurs plus de morts que les forces maliennes et françaises réunies. 
    K. Z.
    http://www.tribunelecteurs.com/fichier/21_7_2014/revoila.html