Mois : mars 2014
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Vladimir Putin, un dirigente muy admirado en el Sáhara Occidental
En la cuestión del Sáhara Occidental, Rusia fue acusada por el ministro español de Asuntos Exteriores de haberse posicionado en el Consejo de Seguridad contra la ampliación del mandato de la MINURSO a los derechos humanos en la antigua colonia española .Rusia fue incluso acusada de favorecer las relaciones económicas con Marruecos a expensas de las históricas relaciones comerciales con Argelia.A pesar de eso, el presidente ruso, Vladimir Putin, es un hombre que goza de mucha admiración entre los saharauis. Incluso se le ve como a un héroe y el único hombre capaz de hacer frente a Francia, el país que apoya a Marruecos política y financieramente.Los saharauis le vemos algunas afinidades. Compartimos la enemistad de Francia, el país que quiere derrocar a Bashar al- Assad en Siria y hacer triunfar al rey Mohamed VI en el Sáhara Occidental. El país que se dice la cuna de los derechos humanos y lucha contra estos derechos en Siria y en el Sáhara Occidental. El país que engañó a Putin en Libia y apoya a Arabia Saudí, enemiga de Rusia y aliada de Marruecos en la guerra del Sáhara Occidental.Por último, Putin está visto como el hombre que lucha contra la política de doble rasero propugnada por las Naciones Unidas bajo el liderazgo de EE.UU. y Francia que miran, desde hace casi 40 años, con indiferencia, el suplicio del pueblo saharaui. -
Vladimir Poutin, un dirigeant populaire au Sahara Occidental
Dans la question du Sahara Occidental, la Russie a été accusée par le ministre espagnol des affaires étrangères de s’être positionnée au Conseil de Sécurité contre l’élargissement des prérogatives de la MINURSO au contrôle des droits de l’homme dans l’ex-colonie espagnole.La Russie est même accusée de privilégier les relations économiques avec le Maroc au détriment de ses relations commerciales historiques avec l’Algérie.Malgré cela, le président russe, Vladimir Poutin, est un homme très estimé parmi les sahraouis. Il est même décrit comme un héro étant le seul homme capable d’affronter la France, le pays qui soutient politique et financièrement le Maroc.Les sahraouis lui trouvent quelques affinités. Nous partageons l’inimitié de la France, le pays qui veut faire tomber Bachar Al-Assad en Syrie et faire triompher le roi Mohammed VI au Sahara Occidental. Le pays qui se dit berceau des droits de l’homme et se bat contre ces droits en Syrie et au Sahara Occidental. Le pays qui a trompé Poutin en Lybie et soutient l’Arabie Saoudite, ennemi de la Russie et allié du Maroc dans la guerre du Sahara Occidental.Enfin, Poutin est vu comme l’homme qui se bat contre la politique de deux poids deux mesures préconisée par l’ONU sous la direction des USA et de la France qui regardent, depuis près de 40 ans, avec indifférence le supplice du peuple sahraoui. -
Christopher Ross poursuit sa tournée
Après sa rencontre à Alger avec le premier ministre et le ministre algérien des Affaires étrangères, Christopher Ross est arrivé hier après-midi à Nouakchott où il a été accueilli à son arrivée à l’aéroport par M. Mohameden Ould Daddah, ambassadeur, directeur des organisations internationales au ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération et le représentant du système des Nations Unies en Mauritanie.M. Ross effectue une tournée dans la région pour préparer une rencontre entre le Front Polisario et le Maroc en vue de relancer les négociations pour la décolonisation du Sahara occidental. A Rabat, il a été boudé par les responsables marocains.Inscrit depuis 1966 sur la liste des territoires non autonomes, et donc éligible à l’application de la résolution 1514 de l’Assemblée générale de l’ONU portant Déclaration sur l’octroi de l’indépendance auxpays et peuples coloniaux, le Sahara occidental est la dernière colonie en Afrique, occupé depuis 1975 par le Maroc avec le soutien de la France.Par ailleurs, L’ambassadeur britannique en Algérie, Martyn Roper, a réaffirmé, à Oran, le soutien du Royaume-Uni à l’autodétermination du peuple sahraoui. Dans une déclaration à la presse en marge d’une rencontre à Oran sur le programme bilatéral de partenariat au profit des jeunes promoteurs algériens, M. Roper a déclaré que «le Royaume-Uni a une position claire sur cette question et nous soutenons l’autodétermination du peuple sahraoui».A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : -
Le Maroc au banc des accusés
Le juriste Souilah refuse la culture de l’amnésie qui sacrifice le droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination et obéit aux contingences qui ont, pour l’exemple, amené au retrait de la proposition américaine d’élargissement des prérogatives de la Minurso, s’agissant de la mission de surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental. Le dernier rapport, encore plus accablant pour le Maroc, n’autorise plus une quelconque tergiversation et autres man?uvres dilatoires d’un roi pratiquant, comme de coutume, la fuite en avant.Les rapports sur les violations des droits de l’Homme ne doivent plus être « élastiques », ont souligné les participants à une conférence de presse qui s’est déroulée, hier, au centre de presse sahraoui à Alger. Le combat pacifique du peuple sahraoui souffre énormément de la vision des droits de l’Homme à géométrie variable des apôtres de la démocratie et du « devoir d’ingérence humanitaire », largement et gravement ignorés dans la dernière colonie africaine.
L’expert en droit international et ancien membre du Conseil de la nation, Boudjemaâ Souilah, se fond sur le constat sans équivoque dûment établi par les différentes organisations gouvernementales et non-gouvernementales lors des différentes visites dans les territoires occupés et par le secrétaire général des Nations unies, incriminant l’occupant marocain.Il s’est légitimement interrogé sur les tendances manipulatrices visant à mettre sur un pied d’égalité l’agresseur, blanchi des crimes coloniaux, et le peuple sahraoui agressé, confronté au déni de légalité. Pourtant, dira le juriste, la cause sahraouie est entendue et reconnue par les Nations unies, éligible, au regard de son statut de TNA (territoire non autonome), à l’application sans réserve de la résolution 1514 de l’Assemblée générale de l’ONU portant déclaration sur l’octroi de l’indépendance aux pays et peuples coloniaux. Il appelle donc, sur la foi des rapports de l’ONU et de la société civile internationale, à des résolutions plus contraignantes. « Il suffirait d’ajouter un paragraphe qui stipule que le Maroc doit respecter les droits du peuple sahraoui, faute de quoi, il sera isolé », a-t-il suggéré en rappelant que le rôle principal de la Minurso est l’organisation d’un référendum, jusque-là inachevé.Le juriste Souilah refuse la culture de l’amnésie qui sacrifice le droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination et obéit aux contingences qui ont, pour l’exemple, amené au retrait de la proposition américaine d’élargissement des prérogatives de la Minurso, s’agissant de la mission de surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental. Le dernier rapport, encore plus accablant pour le Maroc, n’autorise plus une quelconque tergiversation et autres man?uvres dilatoires d’un roi pratiquant, comme de coutume, la fuite en avant.Le souverain Mohammed VI, qui a pourtant tourné le dos à l’Afrique qu’il a dédaigneusement quittée, s’est rendu dans une tournée au Mali, en Côte d’Ivoire, en Guinée et au Gabon en quête de soutiens désespérés. Dans ce contexte, l’ambassadeur sahraoui à Alger, Brahim Ghali, a expliqué que la visite du souverain marocain au Mali est une tentative de s’arroger un rôle régional que ne lui permettent ni sa position géographique ni ses capacités politiques et encore moins ses capacités matérielles.Le diplomate sahraoui a ajouté que la Maroc, en narco-Etat qui soutient le terrorisme dans la région, a été récemment rappelé à l’ordre et à sa juste dimension, aux antipodes des lubies d’un roi appréhendant le verdict du nouveau rapport du secrétaire général de l’ONU, prévu en avril prochain, et le retour dans la région de l’envoyé personnel du secrétaire général des Nations unies, Christopher Ross, attendu dès aujourd’hui dans les camps des réfugiés à Tindouf.Horizons
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Autodétermination du peuple sahraoui: le Conseil de sécurité appelé à promulguer des résolutions "exécutoires"
Boudjemaa Souileh a dénoncé « les politiques discriminatoires » pratiquées par certains Etats et organisations « influentes » à l’égard des droits de l’Homme au Sahara Occidental dans un contexte de « mondialisation » de ces droits.ALGER – Boudjemaa Souileh, professeur de Droit international et membre du Conseil permanent des juristes arabes, a indiqué lundi à Alger que le Conseil de sécurité des Nations unies (ONU) est appelé à promulguer des résolutions « pertinentes et exécutoires » concernant le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, « au lieu de recourir à la politique de tergiversation ».Au cours d’une rencontre avec la presse tenue au centre d’information sahraoui consacrée à la politique française dans la région et à la question du Sahara occidental sur fond de tension dans les relations franco-marocaines, M. Souileh a appelé le Conseil de sécurité à adopter des résolutions qui contraignent la partie marocaine à accepter l’organisation d’un référendum par lequel le peuple sahraoui décidera de son sort conformément à la légalité internationale ».L’ancien président de la commission des relations extérieures du Conseil de la Nation a ajouté que le principe de l’autodétermination « est malmené, car tous les rapports émanant des organisations onusiennes, des agences spécialisées, des organisations gouvernementales et non gouvernementales qui soutiennent ce droit (autodétermination) soulignent les violations des droits de l’Homme au Sahara occidental par les autorités marocaines alors que ces rapports ne renferment aucun caractère exécutoire et légal.Par ailleurs M. Souileh s’est interrogé sur les raisons réelles qui sont à l’origine des tergiversations et du laxisme observés dans l’application des décisions onusiennes relatives à l’autodétermination du peuple sahraoui, faisant fi de ce qui est énoncé dans le droit international et les chartes relatives aux droits de l’Homme.L’intervenant a également dénoncé « les politiques discriminatoires » pratiquées par certains Etats et organisations « influentes » à l’égard des droits de l’Homme au Sahara Occidental dans un contexte de « mondialisation » de ces droits.Le juriste n’a pas manqué de rappeler au cours de la rencontre l’absence de « toute tutelle légale » du Maroc sur le Sahara occidental, ajoutant que « la seule qui existe est celle du Front Polisario, représentant unique et légitime du peuple sahraoui ».Il a évoqué à ce propos le dernier rapport du Département d’Etat américain sur la situation des droits de l’Homme dans le monde rendu public jeudi dernier et dans lequel les Etats-Unis condamnaient les violations par le Maroc des droits de l’Homme au Sahara occidental.Ce rapport qualifie la situation au Sahara occidental de « problème grave » et dénonce les violences physiques et autres pratiques répressives visant à faire « avorter » les revendications liées à l’indépendance et à l’autodétermination.A cet effet, M. Souileh a affirmé que la Minurso (Mission des Nations unies pour l’organisation du référendum au Sahara occidental) « ne dispose toujours pas d’un mécanisme de contrôle des droits de l’Homme » en dépit des prérogatives qui lui sont dévolues dans ce domaine.Pour sa part, l’ambassadeur sahraoui à Alger, Brahim Ghali a affirmé que les résolutions de l’Onu « doivent inclure des sanctions pour amener le Maroc à se conformer à la légalité internationale et à coopérer avec l’Onu et avec la partie sahraouie pour l’organisation d’un référendum d’autodétermination ».Le diplomate sahraoui a indiqué que « le règlement de la question sahraouie passe par une consultation démocratique du peuple sahraoui lors de laquelle il décidera de son sort », ajoutant que « toutes les autres propositions restent sans effet et ne sont pas à même d’instaurer la paix et la stabilité dans la région nord-ouest de l’Afrique ».M. Ghali a indiqué que l’escalade et la provocation marocaines envers la France « est un geste par lequel le Maroc anticipe les débats au Conseil de sécurité prévus fin avril prochain ».Evoquant le communiqué commun publié après la visite du Premier ministre français en Algérie, l’ambassadeur sahraoui a fait état d’une évolution « relative » dans la position française concernant du moins, a-t-il dit, « l’attachement à l’autodétermination et à la légalité internationale au Sahara occidental ».La position française « fait peur au Maroc et lui fait sentir que la France laissera passer le prochain projet de résolution au Conseil de sécurité, a-t-il indiqué, soulignant que le Maroc veut exercer des pressions sur la France et l’amener à dialoguer pour maintenir sa position adoptée lors de précédentes réunions sur le Sahara occidental ».Le diplomate a mis l’accent sur la politique d’ »escalade » du Maroc, notamment à travers la visite effectuée par le roi du Maroc Mohamed VI au Mali, « pour tenter d’avoir un rôle central dans la région ».Le Maroc « ne détient pas en réalité les moyens matériels, économiques, politiques et géographiques qui lui permettent d’assumer ce rôle, et pour cela il tend à entraver les efforts algériens visant à préserver l’unité du Mali et à régler les problèmes des Maliens », a-t-il précisé.Il a salué le rôle « important » de l’Algérie en tant que force régionale et africaine, raison pour laquelle la partie marocaine tente de « perturber » ses démarches louables. -
Bachir Edkhil : vendedor de cuscús
El héroe de nuestra historia hoy es una persona que ya conocéis. Un miserable traidor cuyas fechorías nos llegan poco a poco.En efecto, Bachir Edkhil, resultó ser un truhán. Una de sus mayores vocaciones es hacer dinero aunque sea a costa de flagrantes robos a pobres ciudadanos que no ganan más que lo suficiente para comer cada día.Parece ser que todos los actos de nuestro amigo Bachir están guiados por su exagerado amor al dinero. Esa carrera desenfrenada en busca de protagonismo político tiene como fondo el afán de hacerse rico. Con razón, todas las riquezas de Marruecos y del Sahara están en manos de un puñado de políticos corruptos sin fe ni ley.Se presentó como victima del Polisario y logró sacar lo equivalente a unos cuantos miles de euros de los marroquíes. Los que con él se beneficiaron de esta “indemnización” son : Gay Sidi Yusef, Eluali Salek Jalil, Lehbib Freysan, Husein Boida y Ramdan Mesaud. Este último preside una asociación creada por los servicios secretos marroquíes llamada ASADEH e igual que Bachir quiere hacerse pasar por defensor del interés de los saharauis.Alguien le sopló en el oído que la creación de una asociación puede ser muy lucrativa. Acto seguido, Bachir anunció la creación de Alter Forum cuyo fin espeífico no está, hasta ahora, muy claro. En su página web describe su asociación como una ONG pero no nos dice a qué se dedica.Investigando, nos enteramos de que una de las “misiones” de esta “ONG” es la de vender cuscús. Cómo? Reuniendo a un grupo de mujeres saharauis, se les pide que hagan cuscús y Bachir se encarga de empaquetarlo y venderlo. La experiencia dió resultado en El Aaiún. Decidió crear una filial de la asociación en Smara bajo la dirección de su hermano, Ali Abdala, otro traidor que viene de los campamentos de refugiados saharauis de Tinduf.La señora que nos contactó trabajaba con otras mujeres haciendo cuscús y vendiéndolo a otra asociación dirigida por un tal Breih Mohamed, que nuestra fuente calificó de persona honesta. Hasta ahora varios grupos de mujeres se ganaban la vida colaborando con la asociación “Agencia del sur”. Pero, Bachir buscaba el monopolio de ese lucrativo negocio. Quería todo ese dinero para el solo. El interés de esas mujeres le importaba poco. Consiguió ser el primer “mercader” de cuscús en Smara asestando golpes bajos a las pobres mujeres que trabajaban en esta actividad. Una de sus jugarretas fue la de acudir a un grupo de mujeres para pedirles que hagan 500 kg de cuscús. Prepararon la cantidad solicitada pero nunca vino para retirarla. Y como se adueñó del mercado, esas mujeres no encontraron quien les compre.La MINURSO (Misión de la ONU en el Sáhara Occidental) es la única misión de la ONU que carece de un componente encargado de informar sobre la situación de los derechos humanos en la antigua colonia española. El veto de Francia en el Consejo de Seguridad impide a éste resolver esta anomalía. Si usted cree que la MINURSO debe vigilar los derechos humanos, haga clic aquí y firme la petición en francés dirigida al secretario general Ban Ki-moon y cuelgue esta petición en su página. Muchas gracias
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Derechos humanos : Fuegos cruzados contra Marruecos
Dos asuntos que cayeron al mismo tiempo de los dos lados del Atlantico. Los dos condenan al gobierno marroquí por sus violaciones de los derechos humanos en el Sahara Occidental y Marruecos. Esta vez se trata de un fuego aliado. No obstante, sus tiros hicieron mucho daño en el reino de Mohamed VI.Francia, cuyas tropas se encuentran en la Republica Centroafricana en nombre de los derechos humanos, ve “su obra” obstaculizada por los actitud del aliado marroquí. La ley de la jurisdicción universal fue reactivada y el efecto de sorpresa puesto en práctica. El Elíseo quiere recordad a Marruecos que la amistad no puede ser en detrimento de los intereses y de la credibilidad de Francia. Y que, después de 38 años , ya es hora de acabar con el conflicto del Sáhara Occidental. Un problema que dificulta los planes de Francia en África.Por el otro lado, el Departamento de Estado americano critica a Marruecos en su informe anual sobre la situación de los derechos humanos.El informe constata las numerosas violencias físicas y verbales contra los saharauis que militan por el derecho de autodeterminación en su país. Denuncia la impunidad generalizada de las fuerzas armadas marroquíes en un territorio non autónomo que debería estar bajo administración de la ONU hasta la celebración del referéndum. Los verdugos y sus complices no solamente nunca fueron inquietados, sino que guardan sus puestos de trabajo y prestigios de la administración colonial.El informe pone de relieve la ausencia en la Misión de las Naciones Unidas para el Referéndum del Sáhara Occidental ( MINURSO) de un mecanismo para vigilar el respeto de los derechos humanos en el territorio del Sáhara Occidental.De este modo, Marruecos se encontró bajo el fuego dos países considerados hasta ahora como amigos. Este ataque simultáneo, podría considerarse como una casualidad ? Dificil!.La MINURSO (Misión de la ONU en el Sáhara Occidental) es la única misión de la ONU que carece de un componente encargado de informar sobre la situación de los derechos humanos en la antigua colonia española. El veto de Francia en el Consejo de Seguridad impide a éste resolver esta anomalía. Si usted cree que la MINURSO debe vigilar los derechos humanos, haga clic aquí y firme la petición en francés dirigida al secretario general Ban Ki-moon y cuelgue esta petición en su página. Muchas gracias -
Droits de l’homme : feux croisés contre le Maroc
Les deux affaires sont tombées au même temps des deux côtés de l’Atlantique. Le gouvernement marocain est condamné par ses violations des droits de l’homme au Sahara Occidental et au Maroc. Cette foi-ci, il s’agit d’un feu allié. N’empêche, ses tirs ont fait mouche dans le royaume de Mohammed VI.La France, qui intervient en République Centrafricaine au nom des droits de l’homme, est gênée par les agissements de son allié marocain. Paris veut mettre de la pression sur lui. La loi de la compétence universelle a été réactivée et, profitant de l’effet de surprise, l’Elysée rappelle au Maroc que l’amitié ne peut être au détriment des intérêts et de la crédibilité de la France. Et qu’après 38 ans, il est temps de mettre fin au conflit du Sahara Occidental, un problème qui entrave les plans de la France en Afrique.De l’autre côté, le Département d’Etat américain fustige le Maroc dans son rapport annuel sur la situation des droits de l’homme.Le rapport fait état des nombreuses violences verbales et physiques contre les sahraouis qui militent pour le droit à l’autodétermination dans leur pays. Il dénonce « l’impunitée généralisée » des forces armées marocaines dans un territoire non autonome censé être sous la responsabilité de l’ONU jusqu’à la célébration du référendum. Les tortionnaires non seulement non jamais été dérangés, mais ils conservent leurs postes de travail et prestiges auprès de l’administration coloniale.Le rapport souligne notamment l’absence, au niveau de la mission des Nations Unies pour le Référendum au Sahara Occidental (MINURSO), de mécanisme de surveillance du respect des droits de l’homme dans le territoire sahraoui.Ainsi, le Maroc sous les feux de deux pays considérés jusque-là comme amis. Cette attaque simultanée, est-ce le fruit du hazard ? Rien n’est moins sûr. -
Maroc : Le mensonge continue
Le gouvernement fasciste du Maroc n’a épargné aucun effort pour faire croire que les tensions traversées par les relations avec la France sont nées des propos tenus par l’ambassadeur français à l’ONU, Gérard Araud rapportées par un défenseur de la cause du Sahara Occidental.M. Araud n’a pas donné grande importance aux commentaires de la presse marocaine sur une prétendue « offense au peuple marocains ». Le diplomate français a défendu la position marocaine au Conseil de Sécurité contre l’élargissement du mandat de la MINURSO à la surveillance des droits de l’homme au Sahara Occidental.Les responsables français savent pertinemment que ce n’est pas cela qui suscite la colère du Makhzen. Ce qui dérange à Rabat a été dit par l’AFP et c’est ce qui a déclenché les attaques de la MAP contre l’agence de presse française. Le drame des responsables marocains c’est que les tortionnaires et leurs complices ne pourront plus passer leurs vacances dans la mère-patrie, la France. Ils ne pourront plus séjourner même pas pour les missions officielles. Ils sont tous menacés par la loi de la compétence universelle. D’ailleurs, c’est la raison derrière la décision marocaine de suspendre toute collaboration judiciaire entre les deux pays. Beaucoup de français transférés des prisons marocaines vont déposer plainte contre l’Etat marocain pour torture et violation des droits les plus élémentaires.Le Maroc craint que cette histoire n’est qu’un moyen de faire pression contre le Maroc à quelques semaines de la réunion du Conseil de Sécurité sur le Sahara Occidental où la question des droits de l’homme sera à l’ordre du jour.
La presse marocaine continue le mensonge sur la crise diplomatique franco-marocaine. Les responsables marocains n’hésitent pas à faire dans l’indécence prétendant que le voyage de Mohammed VI en Afrique dérange à l’Hexagone. Comme si le Maroc était à la hauteur de pouvoir concurrencer la France.Le drame dans toute cette histoire c’est qu’il n’y a personne dans la société marocaine pour dénoncer ces sévices. Pour raconter la vérité au peuple marocain. Ils nagent tous dans ce mensonge du « Maroc plus beau plus fort ».A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : -
L'Algérie, cible des narcotrafiquants
Malgré les efforts de l’Etat pour lutter contre le fléau de la drogue, les chiffres avancés par les différents corps de sécurité sont de plus en plus impressionnants. Des saisies importantes confirment l’étendue du phénomène en Algérie. En effet, plus que jamais, le pays est inondé de drogues provenant essentiellement du Maroc voisin.Les quantités saisies annoncées par les services de sécurité ont avoisiné les 200 tonnes en 2013, dont 63,4 tonnes ont été réalisées par les services des douanes, a indiqué le directeur central du renseignement douanier, Medjebar Bouanem. Selon ce haut responsable des douanes, la totalité des stupéfiants saisis par ses services (63 tonnes) représentait du kif traité en provenance du Maroc, premier producteur de cannabis au monde, selon le dernier rapport de l’Office des Nations unies pour la drogue et le crime.Il relève que l’examen des chiffres des saisies opérées ces dernières années fait ressortir une hausse considérable des quantités de stupéfiants qui tombent dans les filets des douanes. En 2006, les saisies qui n’ont pas dépassé les trois tonnes ont augmenté à quatre tonnes en 2009 et 5 tonnes en 2011.Le boom des saisies (30,2 tonnes) a été cependant enregistré à partir de 2012 avec la guerre du Mali. La déstructuration des groupes terroristes au Sahel qui servaient, avant la guerre au Mali, de convoyeurs de cargaisons de drogue, a astreint les narcotrafiquants qui empruntaient auparavant les routes du désert sahélo-saharien à modifier leur trajet en passant par le nord du Sahara, explique M. Bouanem. Et d’ajouter que «les routes de la drogue ont changé depuis l’aggravation de la situation sécuritaire au Sahel.Les groupes terroristes ne sont plus en mesure d’assurer la sécurité de l’acheminement des cargaisons ». Les wilayas du nord et le nord du Sahara, d’où ren-trent de petites quantités de stupéfiants pour la consommation locale, sont devenues de véritables plaques tournantes de transit de grosses cargaisons de drogue vers la Tunisie, la Libye, l’Europe et le Moyen- Orient.Sur les 63 tonnes saisies en 2013, la région de Tlemcen arrive en tête avec 26,3 tonnes, suivie de Ouargla avec près de 20 tonnes, Béchar avec 7 tonnes, Laghouat (5,8 tonnes), Oran (2,8 tonnes) et Chlef (1,6 tonnes). «Nous sommes forcément devenus un pays de transit avec la complication de la situation au Sahel», affirme M. Bouanem qui ajoute que pour le trafic de drogue «la connexion est maintenant avérée» entre les narcotrafiquants et les groupes terroristes. Une tendance nouvelle coïncidant avec les évolutions récentes de la situation sécuritaire au Sahel est l’apparition d’un trafic florissant de substances psychotropes au niveau des frontières du pays, relève par ailleurs, M. Bouanem. Le total des saisies des psychotropes a dépassé les 122 000 comprimés en 2013, dont 104 360 saisis à Béchar.Les services des douanes ont également réussi de grands coups dans les régions du nord du Sahara, sur l’axe Béchar, Ghardaïa, Laghouat, Ouargla, El Oued, suivant lequel la drogue est acheminée par voie terrestre vers la frontière Est du pays. En 2013, 96 contrevenants sont impliqués dans le trafic de drogue et de psychotropes et encourent des amendes de plus de 27 milliards de DA. Vu la quantité de drogue saisie chaque année par les différents corps de sécurité, une question s’impose : que fait-on de cette marchandise illicite ? D’après les services concernés, cette dernière est soit brûlée, soit jetée à la mer. Donc complètement détruite.source: Le jour d’Algérie