Mois : janvier 2014

  • Rabat minimise la visite de Christopher Ross pour signifier son refus anticipé de ses nouvelles propositions

    Une fois n’est pas coutume, l’Etat marocain a accordé peu d’importance à la dernière visite à Rabat de l’envoyé personnel du Secrétaire général des Nations Unies, Christopher Ross. L’agenda de cette visite n’a comporté qu’une réunion avec le ministre des Affaires étrangères Salaheddine Mezouar. Ni le roi Mohammed VI ni aucun autre haut responsable ne l’a reçu. Pourtant, cette visite risque d’être cruciale car elle pourrait signifier le début d’une nouvelle phase de la gestion du conflit au Sahara.
    Christopher Ross avait commencé sa tournée internationale par la visite de certaines capitales occidentales en décembre passé, pour se rendre a partir de lundi de la semaine passé à Alger, Tindouf et Nouakchott avant de venir au Maroc. Après l’échec des négociations indirectes, Ross avait promis en Octobre dernier, devant le Conseil de Sécurité des Nations Unies, de mettre en œuvre une nouvelle formule, celle des négociations directes, pour rechercher une solution au problème de fond : celui de la souveraineté sur le territoire du Sahara.
    Lors de son séjour à Alger, lundi et mardi de la semaine dernière, il avait eu des entretiens avec le Premier ministre Abdelmalek Sellal et le ministre des Affaires étrangères, Ramdane Laamamra. Il n’a pas été reçu par le président Abdelaziz Bouteflika en raison de son état de santé. Christopher Ross s’est ensuite envolé vers Tindouf, où il s’est entretenu avec le leader du Polisario Mohamed Abdelaziz avant d’aller en Mauritanie où il a rencontré le Premier ministre Oueld Mohamed Laghdaf.
    Au cours de sa visite au Maroc, Ross n’a rencontré que le ministre des Affaires étrangères Salaheddine Mezouar lundi dernier. Il n’a pas été reçu par le roi Mohammed VI et aucune annonce n’a été faite sur une éventuelle rencontre avec le Chef de gouvernement Abdelilah Benkirane.
    Si le Maroc minimise la visite de Ross à Rabat, c’est pour signifier par anticipation son refus implicite des propositions formulées par l’émissaire de l’ONU relatives à l’avenir des négociations directes avec le Front Polisario.
    Christopher Ross a un sentiment d’assurance après avoir remporté le soutien de ses efforts dans la déclaration officielle commune publiée à la suite de la visite du roi Mohammed VI à la Maison Blanche. C’est peut-être la raison pour laquelle il a soumis de nouvelles propositions qui ne correspondent pas vraiment aux intérêts de Rabat. En réaction, et pour éviter de paraitre s’engager sur un chemin incertain, le Maroc a préféré négliger sa dernière visite dans la région.
    Dans le même temps, Ross se trouve dans une position très inconfortable, vu qu’il est à la recherche d’une formule qui lui évite l’échec devant le Conseil de Sécurité qui exigera de lui des résultats, lorsqu’il examinera le dossier en avril prochain.
    D’ici là, l’envoyé spécial doit présenter des réalisations tangibles qui prouvent qu’il a réalisé des progrès dans sa mission, ce qui semble peu probable, puisque le Maroc continue de s’accrocher à la seule formule de l’autonomie alors que le Polisario insiste pour obtenir un référendum d’autodétermination.

    Alifpost, 29/01/2014
    N’OUBLIEZ PAS DE SGINER LA PETITION POUR LES DROITS DE L’HOMME AU SAHARA OCCIDENTAL

  • Marruecos : frío recibimiento reservado a Ross

    Para anunciar la llegada del Enviado Personal de la ONU para el Sáhara Occidental, Christopher Ross, el comunicado emitido por la MAP se parecía más a aviso fúnebre que a otra cosa. El recibimiento que le fue dispensado no fue mas caluroso. Ni el Rey de Marruecos, ni su primer ministro se han dignado recibirlo.
    En su recepción, estaba el ministro de Asuntos Exteriores, Mezouar, acompañado por una ministro originaria de Legsabi, de la región de Guelmim (sur de Marruecos) y cuyo padre era cónsul marroquí en Nouadhibou en la década de los 1980 .
    Según el periódico marroquí Alifpost, Marruecos, limitando sus encuentros al Ministro de Asuntos Exteriores, quiso restar importancia a la visita del enviado de la ONU que se suponía es crucial para pasar a una nueva etapa en la búsqueda de una solución al conflicto.
    « Esta minimización por Marruecos de la visita de Ross a Rabat puede considerarse como una negativa previa a las propuestas que el enviado de la ONU aporta sobre las futuras fórmulas para las negociaciones directas con el Frente Polisario », agregó el periódico.
    Desde su nombramiento como responsable del asunto del Sahara Occidental, Ross busca, según sus declaraciones,  » una solución justa, duradera y mutuamente aceptable basada en el derecho del pueblo saharaui a la autodeterminación, de conformidad con las resoluciones de la ONU « . Marruecos retiró su confianza al diplomático estadounidense antes de ser forzado a aceptarlo de nuevo bajo presión de la comunidad internacional.
  • Le Maroc réserve à Christopher Ross un accueil très froid

    Pour annoncer l’arrivée de l’Envoyé Personnel de l’ONU pour le Sahara Occidental, Christopher Ross, le communiqué publié par la MAP était plus proche d’une annonce funèbre. L’accueil qui lui a été réservé n’était pas plus chaleureux. Ni le roi du Maroc, ni son Premier Ministre n’ont daigné le recevoir.
    A son accueil, il n’y avait que le Ministre des affaires étrangères, Mezouar, accompagné d’une ministre déléguée originaire de Legsabi, région de Guelmim (sud du Maroc) et dont le père était consul du Maroc à Nouadhibou dans les années 1980.
    Selon le journal marocain Alifpost, en limitant ses rencontres au ministre des affaires étrangères, le Maroc a minimisé l’importance de la visite de l’émissaire onusien alors que cette visite est censée être cruciale pour le passage à une nouvelle étape dans la recherche d’une solution au conflit.
    « Cette minimisation par le Maroc de la visite de Ross à Rabat peut être considérée comme un refus préalable aux propositions que l’émissaire onusien apporte sur les formules futures des négociations directes avec le Front Polisario », ajoute le journal.
    Depuis sa désignation comme responsable du dossier du Sahara Occidental, M. Ross cherche, selon ses déclarations, « une solution juste, durable et mutuellement acceptable basée sur le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination conformément aux résolutions de l’ONU ». Le Maroc lui a retiré sa confiance avant d’être contraint de l’accepter à nouveau sous pression de la communauté internationale.

    POUR SOUTENIR LES DROITS DE L’HOMME AU SAHARA OCCIDENTAL, MERCI DE SIGNER CETTE PETITION

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • La constitución tunecina: el eco débil de la revolución

    Santiago Alba Rico *
    El domingo pasado, tras un tortuoso zigzag de dos años, la Asamblea Constituyente tunecina aprobó la nueva constitución del país con 200 votos a favor, 12 en contra y 2 abstenciones. Los diputados celebraron el acontecimiento de pie y cantando el himno nacional en un clima de emocionado consenso que borró momentáneamente las durísimas pugnas, políticas y sociales, que siguen fracturando el país. Esta emoción y este consenso cristalizaron en un puñado de imágenes. La de la diputada islamista con su bebé en una mano y el texto constitucional en la otra. La de las lágrimas y aplausos de los partidarios del gobierno y de la oposición. Y, sobre todo, la del beso espontáneo entre los dos más encarnizados enemigos:Habib Ellouz, del sector duro del islamista Ennahda, y Mongi Rahoui, del izquierdista Partido de los Patriotas Demócratas, integrante del Frente Popular, al que pertenecían los asesinadosChukri Belaid y Mohamed Brahmi. El intercambio de amenazas e insultos entre los dos llevó a principios de enero a añadir al artículo 6 -que establece la libertad de culto- una prohibición expresa “de la acusación de apostasía y la incitación a la violencia”
    Hace unos días el conocido escritor marroquí Taher Ben Lelloun celebraba en un periódico francés la aprobación de “una constitución revolucionaria que representa un triunfo sobre los islamistas”. No se puede rebajar la importancia de este texto, ni del impulso que ha llevado hasta él, pero conviene de entrada dejar claras dos cosas. La primera es que no se trata de una constitución revolucionaria sino de una constitución liberal en la que -y no es en absoluto insignificante- se garantizan derechos y libertades, pero se protege poco la soberanía nacional sobre los recursos materiales. La segunda es que podrá decirse que el texto final es más liberal que la ideología dominante del partido Ennahda, que las movilizaciones de la sociedad civil y las protestas, así como las presiones de la UE y las amenazas regionales, han empujado a los islamistas y determinado el contenido constitucional, pero no puede olvidarse que la Carta Magna es también obra de Ennahda, como lo demuestra la firma del primer ministro cesante, Ali Lareydh, al pie de sus 146 artículos. Aún más: es necesario recordar que esa oposición, de izquierdas y de derechas, que hoy se atribuye los méritos de la redacción y que felizmente se une a la emoción constituyente, hasta hace muy poco pedía la disolución de la Asamblea y apostaba públicamente por “una vía egipcia a la democracia”. Si algo tiene de esperanzador todavía el proceso tunecino es precisamente el hecho de que la primera constitución democrática y civil del mundo árabe ha sido redactada bajo un gobierno de mayoría islamista. Como decía el sociólogoChukri Hmed, su aprobación, mientras Siria y Egipto se pudren en la guerra y la tiranía, sirve al menos para desmentir el dañino cliché occidental, tan funcional a los dictadores locales, que declara incompatibles mundo árabe y democracia. Desmiente también, añadiría yo, el no menos dañino, y no menos interesado y potencialmente dictatorial, que declara incompatibles democracia e islamismo.
    La constitución aprobada el domingo no es revolucionaria, pero recoge, si se quiere, el aura de la revolución de 2011, y proyecta desde allí una débil luz en un mundo que se apaga. Sin esa revolución, jamás se habría escrito; y sin esta “escritura” el tsunami contrarrevolucionario que se abate de nuevo sobre el mundo árabe habría sumergido también Túnez, cerrando definitivamente un ciclo de luchas sin precedentes. Hay, pues, al menos tres motivos para alegrarse -y mucho- de este acontecimiento. El primero es de procedimiento. La Asamblea Constituyente, por supuesto, no representaba a todo el pueblo y reflejaba relaciones de fuerzas invisibles y consensos entre bastidores, pero ha sido también la plaza de un debate público en el que las propias indisciplinas subrayan la importancia política, y no sólo formal, de las deliberaciones. Como lo demostraron los casos de Venezuela, Bolivia y Ecuador, hay algo muy emocionante, decisivamente democrático, en un proceso constituyente popular: sólo es posible después de una revolución y hace posible, aunque luego no se materialice, un nuevo juego político realmente soberano. El procedimiento mismo, en definitiva, supone un gran salto adelante. Por otro procedimiento lo más fácil es llegar a… Egipto.
    También constituye un motivo de alegría -es el segundo punto- el contenido. No es, no, una constitución revolucionaria ni socialista y mantiene algunas sombras y ambigüedades (sobre el papel de la identidad religiosa en el artículo 1, sobre los mecanismos de control soberano de las riquezas, sobre la pena de muerte), pero su aliento “liberal” rompe en el mundo árabe con una historia interminable de dictadura y desprecio de las libertades civiles y ello a partir del reconocimiento en el artículo 2, que la propia constitución declara inmodificable, del “carácter civil del Estado” y sus únicos fundamentos: “la ciudadanía, la voluntad popular y la primacía del Derecho”. Junto al derecho al agua, a la salud, al trabajo, a la huelga, la nueva Constitución tunecina garantiza la libertad de culto, de expresión, de manifestación, la paridad de género en los órganos electos, la igualdad de todos y todas frente a la ley; y prohíbe la tortura -triste rutina en la zona y en el mundo entero-, la acusación de apostasía y la instrumentalización de la religión con fines políticos. Cierra -digamos- el paso a toda clase de dictadura, laica o religiosa, y consagra la gavilla habitual de derechos y libertades propia de las democracias europeas. Se dirá que, como en Europa, ese texto será sólo papel mojado si no se garantizan procedimientos materiales para su cumplimiento. Pero si no se cumple, al menos el pueblo tunecino sabrá siempre de qué lado están el derecho y la legitimidad. Por lo demás, basta comparar el contenido de esta constitución con el de la egipcia, aprobada casi al mismo tiempo por otro procedimiento, para no sentir la tentación de infravalorar las “diferencias entre papeles” o entre procedimientos. En Egipto la sharia y la soberanía del ejército son la consecuencia natural de una revolución brutalmente interrumpida.
    El tercer motivo de esperanza es simbólico. Mientras el régimen egipcio aprueba una constitución retrógrada, nombra mariscal de campo y candidato presidencial al espadón Al-Sissi en medio de una guerra civil latente, Túnez aprueba su constitución a través del consenso en el marco de un proceso constituyente más bien pacífico y relativamente legítimo. Aquí en Túnez nació la mal llamada “primavera árabe” y aquí parecía ir a morir. Túnez tiene poca importancia geoestratégica, pero mucha importancia simbólica, para los grandes y para los pequeños. Para los grandes es un laboratorio de intervención. Para los pequeños es la esperanza de un nuevo mundo árabe más libre y más justo. Su resistencia, cuando parecía destinada a rodar hacia el pasado, es el resultado de muchos factores, algunos no del todo luminosos, pero
    ilumina, en cualquier caso, una región otra vez atenazada por la oscuridad. Su ejemplo, una vez más, como en 2011, puede insuflar un nuevo aliento a las fuerzas democráticas del mundo árabe.
    La aprobación de la constitución, junto al nombramiento del nuevo gobierno “independiente” deMehdi Jomaa, neutraliza muchos de los peligros que la crisis institucional permanente alimentaba. Pero no hay que olvidar que el juego político, por importante que pueda ser, es al mismo tiempo un teatro o una pantalla que oculta otras dos fuerzas decisivas que no aparecen representadas en la Asamblea: la de un aparato de Estado que ha cambiado poco o nada desde el derrocamiento de Ben Ali y la de una población muy castigada y en revuelta permanente contra la inflación, el paro y la miseria y que sigue reclamando los frutos de la revolución. Mientras no se limpien los sótanos del Estado (y sobre todo del Ministerio del Interior) no se habrán conjurado todos las amenazas. Mientras la izquierda no aprenda a canalizar el malestar social, no habrá verdaderas transformaciones económicas y democráticas en el país.
    (*) Santiago Alba Rico. Filósofo y columnista. Su último libro publicado es ¿Podemos seguir siendo de izquierdas? (Panfleto en sí menor) (Pol-len Edicions, Barcelona, 2014).
    Cuartopoder, 29/01/2014
  • Herido un policía por una pedrada lanzada por marroquíes en Melilla

    MELILLA, 29 Ene. (EUROPA PRESS) – Un funcionario del Cuerpo Nacional de Policía destinado en Melilla ha resultado « herido leve » este martes tras recibir el impacto de una piedra en su brazo desde « tierra de nadie » en el puesto fronterizo de Beni-Enzar, según ha informado a Europa Press una portavoz de la Delegación del Gobierno. El incidente provocó el cierre de la frontera durante algo más de diez minutos, según dicha fuente.
    El suceso ha ocurrido sobre las seis de la tarde tras una protesta de marroquíes liderados por el presidente del llamado « Comité de Liberación de Ceuta y Melilla », Said Chramti. La Delegación del Gobierno ha señalado que desconoce cuál es el motivo que originó la reacción violenta de este grupo desde la denominada « tierra de nadie », mientras Said Chramti sostuvo que un agente español evitó la entrada de un ciudadano marroquí de mediana edad, procedente de Nador, « con su pasaporte en regla ».
    Chramti ha dicho que fue una piedra arrojada por él mismo la que impactó contra el cuerpo del miembro de la Unidad de Intervención Policial (UIP), si bien este extremo no ha podido ser confirmado oficialmente.
    El sindicato Unión Federal de Policía (UFP) ha denunciado que este nuevo apedreamiento se realizó una vez más « delante de la pasividad de la policía marroquí ».
  • Túnez pide apoyo económico para dar los últimos pasos hacia la democracia

    El primer ministro de Túnez, Mehdi Jomaa, que preside desde el lunes un Ejecutivo de tecnócratas hizo ayer un llamamiento a la comunidad internacional para que conceda al país apoyo económico que permita dar los últimos pasos en la transición hacia la democracia. 
    Islamistas y oposición laica han dejado de lado sus diferencias para permitir que el Gobierno se mantenga hasta las elecciones.
  • España supera a Italia y Francia y se convierte en el primer socio comercial de Argelia

    Según los datos aduaneros, que confirman una tendencia que comenzó en el primer trimestre del año, tras España se han situado Italia, con un volumen de intercambios de 14.652 millones de dólares, y Francia, con 12.991 millones.
    EFE, 29 Ene 2014.- España se ha convertido en 2013 en el primer socio comercial de Argelia con un intercambio por valor de 15.410 millones de dólares, según las estadísticas de comercio exterior difundidas hoy por la Dirección General de Aduanas argelina.
    Según los datos aduaneros, que confirman una tendencia que comenzó en el primer trimestre del año, tras España se han situado Italia, con un volumen de intercambios de 14.652 millones de dólares, y Francia, con 12.991 millones.
    Con los hidrocarburos como principal protagonista del comercio común, la balanza comercial se inclina claramente hacia el lado argelino, cuyo excedente comercial respecto a España es de 5.254 millones, un cifra que supone casi la mitad de su excedente comercial global, que en 2013 fue de 11.065 millones de dólares.
    Esta situación es consecuencia del considerable aumento que han registrado tanto las importaciones españolas, principalmente de hidrocarburos, como las exportaciones.
    Respecto a 2012, las importaciones españolas aumentaron el pasado año un 32,31 por ciento, mientras que las exportaciones hacia Argelia, que suministra a España casi el 50 por ciento de sus necesidades de gas natural, también registraron un crecimiento del 16,92 por ciento.
    Esta situación ha convertido al reino español, que tradicionalmente ha sido el tercer cliente y el cuarto proveedor de Argelia, en el primer cliente por encima de Italia y Estados Unidos, que han reducido en los pasados doce meses ostensiblemente sus importaciones, también mayoritariamente de hidrocarburos.
    Mientras que las importaciones estadounidenses de Argelia han caído del orden del 50 por ciento (pasando de 11.943 millones de dólares a 5.334 millones), las italianas se han visto reducidas en un 21,78 por ciento (de 11.670 millones a 9.006 millones).
    En el apartado de los proveedores, España mantiene su tradicional cuarto lugar por detrás de China, que en 2013 (con un volumen de 6.820 millones de dólares), por primera vez, ha desbancado a Francia (que exporta a Argelia por valor de 6.250 millones) e Italia (cuyas importaciones al país magrebí ascienden a 5.656 millones).
    Lainformacion.com, 29/01/2014
  • Argel convoca a embajador de Marruecos por polémica sobre expulsión de sirios

    EFE, 29/01/2014
    El Ministerio argelino de Exteriores convocó hoy al embajador de Marruecos en Argel para expresarle su « firme rechazo » de las acusaciones lanzadas por Rabat sobre la supuesta expulsión por parte de las autoridades argelinas de más de 70 ciudadanos sirios hacia territorio marroquí.
    Según un comunicado oficial, el diplomático marroquí recibió « el firme rechazo del Gobierno argelino sobre las alegaciones carentes de todo tipo de fundamentos invocadas por la parte marroquí sobre la pretendida expulsión por parte de las autoridades argelinas de ciudadanos sirios hacia territorio marroquí ».
    La decisión tomada por Argel se produce un día después de que el jefe de la misión diplomática argelina en Rabat fuera convocado por el Ministerio marroquí de Exteriores para comunicarle la « fuerte desaprobación » de ese país por la supuesta expulsión de ciudadanos sirios.
    Para Argelia, las acusaciones marroquíes son un « nueva provocación » que responde a « motivaciones políticas » que el comunicado, difundido por la agencia oficial APS, no especifica.
    El Gobierno argelino « lamenta profundamente este nuevo y gratuito intento de alterar una relación que ya conoció un grave daño el pasado 1 de noviembre con la agresión contra la sede consular argelina en Casablanca ».
    Además, el comunicado, firmado por el portavoz de exteriores Amar Belani, reprocha a Marruecos « el número creciente de emigrantes subsaharianos que son expulsados por las autoridades marroquíes hacia su territorio ».
    Según la versión marroquí, entre el 26 y 28 de enero las autoridades argelinas expulsaron a 77 ciudadanos sirios, entre ellos 18 mujeres y 43 niños, algunos con menos de dos años de edad.
    « Pedimos que Argelia asuma plenamente sus responsabilidades, Marruecos deplora profundamente este acto inhumano, y más cuando se trata de mujeres y niños en situación de vulnerabilidad extrema », subraya un comunicado difundido ayer por la agencia oficial de noticias marroquí.
    Argelia y Marruecos mantienen una tensa relación bilateral a causa de sus diferentes posturas acerca del Sahara Occidental, territorio cuya soberanía Rabat reclama, mientras que Argel es partidario de un referéndum de autodeterminación.
    La última escalada de tensión estalló tras un mensaje del presidente argelino, Abdelaziz Buteflika, a finales de octubre de 2013, en el que reclamó la puesta en marcha de un mecanismo de vigilancia de los derechos humanos en el Sahara Occidental.
    Como parte de dicha escalada de tensión el pasado 1 de noviembre un grupo de marroquíes asaltó el consulado argelino en Casablanca y arrancó la bandera de Argelia ante la pasividad de las fuerzas de seguridad.
  • Les "missiles" du roi sur l’Algérie

    MAROC: DROGUE, DELINQUANCE, FAUX RAPPORTS ET AUTRES ACCUSATIONS
    Des narco bombes qui ont pour mission de déstructurer la société algérienne 
    Une des armes de destruction massive sur laquelle il a jeté son dévolu consiste à déverser des tonnes de drogue à travers le territoire national. Des narco bombes qui ont pour mission de déstructurer la société algérienne.
    Qu’attendent les responsables algériens pour saisir les instances internationales afin de mettre fin à ces agressions incessantes, à cette guerre sournoise qui ne dit pas son nom qu’a décidé de nous livrer Mohammed VI? Les responsables marocains sont incorrigibles. L’appel à la retenue que leur a lancé le chef de la diplomatie algérienne et qui constitue la condition sine qua non d’un retour à des relations apaisées n’a vraisemblablement pas été entendu. 
    Il n’y a qu’à entendre ces accusations proférées à coups de dépêches qui font part d’expulsions massives de Syriens du territoire national vers celui du Maroc. La diabolisation du gouvernement algérien se poursuit. Sa réaction pas assez énergique sans doute pour les autorités marocaines n’a pas mis un bémol à ce type d’attaques gratuites et en règle. Une campagne orchestrée par les médias marocains qui récidivent sans avoir froid aux yeux. «Après les 27 réfugiés syriens, dont 11 enfants, refoulés par l’Algérie vers le Maroc, mardi dernier, 40 autres Syriens ont vécu le même sort dimanche dernier. 
    À leur arrivée à la zone d’El Knafda, située à 13 kilomètres d’Oujda, ces réfugiés ont reçu une aide alimentaire et un soutien moral de la part des autorités marocaines», rapporte ce 27 janvier la presse marocaine qui cite l’agence turque Al Anadol. Le pouvoir marocain ne lâche pas prise malgré les démentis officiels de la diplomatie algérienne. «Le Maroc instrumentalise la détresse des Syriens» fait constater un haut responsable algérien. Le pouvoir marocain n’en a cure. Ce qui lui importe, c’est de ternir l’image de l’Algérie et de faire douter l’opinion internationale quant à sa politique d’accueil et de prise en charge des réfugiés. Un timing choisi. Il a lieu au moment où l’envoyé de l’ONU pour le Sahara occidental est en visite dans la région. 
    Le pouvoir marocain s’échine à tenter de diaboliser le Front Polisario à travers des documents falsifiés obtenus sur «commande» et réglés à coups de millions de dollars. Des documents qui appellent «au démantèlement des milices du Polisario et à la libération des populations séquestrées dans les camps de Tindouf, devenus un terrain fertile pour les recruteurs d’Al Qaîda et les trafiquants de tous bords», rapporte une dépêche de l’agence de presse officielle marocaine MAP datée du 24 janvier (lire L’Expression du 28 janvier). Une manière de discréditer l’Algérie qui soutient la cause du peuple sahraoui. Il y a cependant pire. Il s’agit de cette arme de destruction massive sur laquelle le monarque alaouite a jeté son dévolu. Elle consiste à déverser des tonnes de drogue à travers le territoire national. Des narco bombes qui ont pour mission de déstructurer la société algérienne. «Près de 150 tonnes de résine de cannabis ont été saisies en 2013 par les différents services de sécurité et douane», a indiqué une source proche de l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Onldt). Une véritable déclaration de guerre. 
    L’animosité que développe le Royaume chérifien contre l’Algérie est ancestrale. Pas la peine de remonter trop loin dans l’histoire pour trouver les actes de lâcheté qui en font la démonstration. Le président Ben Bella n’avait-il pas affirmé que c’est le prince Hassan II qui avait «vendu» les six chefs du FLN au Sdece (Service de documentation extérieure et de contre-espionnage français). Ce qui a permis leur arrestation après l’arraisonnement de leur avion en 1956 par les services secrets français. Une confiance aveugle que les dirigeants de la Révolution auraient mise en doute s’ils avaient gardé en mémoire la méfiance qu’avait l’Emir Abdelkader envers le trône marocain. Il a préféré s’exiler à Damas, en Syrie, plutôt que d’accepter l’offre du monarque alaouite. Si l’on ajoute à ce triste tableau les velléités d’annexion de certains territoires du Sud (Tindouf, Béchar) ainsi que la profanation de l’emblème national du consulat de Casablanca par un membre des «Jeunesses royalistes» le jour où l’Algérie célébrait le 59e anniversaire du déclenchement de sa Révolution sans que le Maroc ne présente d’excuses officielles, on aura compris que les hostilités sont ouvertes. Mohammed VI ne reculera devant rien pour déstabiliser l’Algérie.
  • A bas la monarchie !

    Par M. Aït Amara 
    Faut-il rompre les relations diplomatiques avec le Maroc ? La multiplication des actes de provocation de la part du royaume du kif et de la prostitution, du pays mendiant la charité des puissants de l’Occident et des riches de l’Orient, devrait pousser les autorités algériennes à mettre fin à toute coopération avec cet appendice d’Israël collé à nos frontières. 
    La monarchie alaouite, dorlotée par l’Europe complice dans le pillage des ressources naturelles du Sahara Occidental occupé, adulée par la France et l’Espagne qui en ont fait leur lupanar, chouchoutée par les émirs du Golfe qui y prennent [leur] pied, ressemble à s’y méprendre à l’enfant gâté à qui on ne refuse rien, jusqu’au jour où le voisin d’à côté, lassé par ses jérémiades incessantes, finit par lui administrer une fessée dont il se souviendra longtemps pour qu’il arrête de raller une fois pour toutes. 
    Il n’y a pas de doute que le Maroc a besoin d’une raclée. Ses égarements deviennent de plus en plus fréquents et de moins en moins supportables. Répondant assurément à un agenda précis, cette énième provocation de Rabat, qui vient de convoquer notre ambassadeur, prétextant l’affaire des réfugiés syriens refoulés par les GGF, après avoir été torturés physiquement et moralement par un régime marocain tyrannique sans foi ni loi, vise à transformer la victime en coupable et vice versa. 
    La position du Maroc sur la guerre civile qui fait rage en Syrie étant alignée sur celle de ses donneurs d’ordres et d’argent, ce pays ne peut pas, en toute logique, être considéré comme un refuge tranquille pour ces centaines de Syriens fuyant la violence des groupes terroristes armés par l’Europe et les Etats-Unis et adoubés par le Qatar et l’Arabie-Saoudite. Après avoir fermé sa frontière – du moins officiellement –, l’Algérie devra maintenant songer sérieusement à se détacher définitivement de cette source de problèmes et de cette menace sur la sécurité nationale et régionale. 
    Son isolement à l’est fera se soulever les populations contre le régime maffieux central qui accapare la quasi-totalité des quelques rares richesses dont dispose le Maroc, pour bâtir sa fortune au détriment d’une majorité de Marocains réduits au rang de «sujets de Sa Majesté». 
    La République doit s’instaurer dans cette monarchie rétrograde où le féodalisme moyenâgeux fait office de règle et le baisemain rabaissant de précepte. 
    Des hommes courageux comme Mehdi Ben Barka, Abraham Serfaty, Abdelmoumen Diouri et tant d’opposants tués, emprisonnés ou découragés, ont essayé de se défaire de cette couronne illégitime sans y parvenir. D’autres réussiront.