Mois : janvier 2014

  • Alger remet Rabat à sa place

    Par Wahid Zine 

    Depuis une semaine, les réfugiés syriens font l’objet d’une nouvelle polémique et sont le centre d’une nouvelle guerre entre Rabat et Alger. L’Algérie rejette et dénonce «fermement» les assertions de Rabat… 
    L’ambassadeur du Maroc en Algérie a été convoqué hier au ministère des Affaires étrangères (MAE) pour lui exprimer le «ferme rejet» de l’Algérie des «allégations dénuées de tout fondement» invoquées par le Maroc au sujet de prétendues expulsions par les autorités algériennes de ressortissants syriens vers le territoire marocain, a indiqué le porte-parole du MAE, Amar Belani. 
    Cette fois, le Maroc accuse l’Algérie d’avoir, par deux fois en quelques jours, refoulé des réfugiés syriens fuyant la guerre qui ravage leur pays. D’abord 27 civils, surtout des femmes et des enfants, la semaine dernière, puis 40 autres, dont seulement 8 hommes adultes, dimanche dernier. Cette accusation a été largement relayée par les médias marocains Cependant, l’Algérie a démenti ces prétendus refoulements. 
    Lundi, les garde-frontières algériens ont indiqué avoir, en effet, refusé l’accès du territoire à des ressortissants syriens mais précisé qu’ils avaient été en réalité expulsés par les autorités marocaines. En tout cas, «l’ambassadeur du royaume du Maroc a été convoqué hier 29 janvier au ministère des Affaires étrangères. Il a été reçu par le secrétaire général, Noureddine Aouam, qui lui a fait part du ferme rejet par le gouvernement algérien des allégations dénuées de tout fondement invoquées par la partie marocaine au sujet de prétendues expulsions par les autorités algériennes de ressortissants syriens vers le territoire marocain», a précisé M. Belani dans sa déclaration à la presse. 
    Dans ce contexte, «l’attention du diplomate marocain a été attirée sur le fait que l’Algérie condamne fortement cette nouvelle provocation politiquement motivée et qu’elle déplore profondément cette tentative supplémentaire et gratuite de crispation d’une relation qui a déjà connu un sérieux dommage le 1er novembre dernier lors de l’agression contre l’enceinte consulaire algérienne à Casablanca», a-t-il ajouté. 
    «Il lui a été rappelé, a indiqué la même source, que l’Algérie assume pleinement ses responsabilités dans le cadre du bon voisinage, malgré la charge importante qu’elle supporte depuis des années en raison du nombre croissant d’immigrants subsahariens refoulés par les autorités marocaines vers son territoire (…) 
    Enfin, il lui a été indiqué que l’Algérie n’a certainement pas besoin de donneurs de leçons lorsqu’il s’agit de manifester concrètement sa sollicitude et à son attention soutenue à l’égard des ressortissants syriens qui se trouvent sur son territoire en tant qu’invités du peuple algérien qui les a accueillis spontanément avec sa générosité et son hospitalité coutumières», a souligné le porte-parole du MAE. 
    Ainsi, si le Maroc accuse l’Algérie de les avoir refoulés et abandonnés à leur sort, l’Algérie, de son côté, affirme que les Syriens avaient été d’abord expulsés du Maroc.
    https://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=672890352749419&id=586437858061336

  • Prétendues expulsions de Syriens vers le Maroc : Une autre provocation du Makhzen

    Les autorités algériennes qui ont évidemment compris la manœuvre, ont attiré l’attention du diplomate marocain «sur le fait que l’Algérie réprouve fortement cette nouvelle provocation politiquement motivée et qu’elle déplore profondément cette tentative supplémentaire et gratuite de crispation d’une relation qui a déjà connu un sérieux dommage le 1er novembre dernier lors de l’agression contre l’enceinte consulaire algérienne à Casablanca».
    La énième brouille entre l’Algérie et le Maroc porte, encore une fois, la marque d’un royaume aux abois qui se construit sa propre réalité en voulant se donner le beau rôle dans un conflit de voisinage, dont il excelle dans la malice mal placée. La dernière provocation en date, met en scène les réfugiés syriens en tant que boucs émissaires. Ces derniers, ont été transportés de force jusqu’aux frontières algéro-marocaines et utilisés bassement pour les besoins de la propagande du Mahkzen. Le communiqué de Rabat, la campagne médiatique haineuse et la convocation de l’ambassadeur algérien en poste au Maroc, devaient faire croire à un comportement indigne des autorités algériennes à l’endroit des réfugiés syriens. Le scénario était bien huilé et l’effet médiatique assuré, sachant que le royaume alaouite est dans les bonnes grâces des sphères politico-médiatiques occidentales. 
    Seulement, la démarche marocaine a été, cette fois, stoppée nette par une réaction énergique du ministère des Affaires étrangères qui a répondu du tac au tac aux mensonges du Palais. Dans un communiqué signé par Amar Belani, porte-parole du MAE, révèle que «l’ambassadeur du royaume du Maroc a été convoqué aujourd’hui mercredi 29 janvier au ministère des Affaires étrangères, où il a été reçu par le secrétaire général M. Noureddine Aouam qui lui a fait part du ferme rejet par le gouvernement algérien des allégations dénuées de tout fondement invoquées par la partie marocaine au sujet de prétendues expulsions par les autorités algériennes de ressortissants syriens vers le territoire marocain».

    On aura compris que le Maroc a monté un véritable «piège» pour y faire tomber l’Algérie. Comme, il ne viendrait à personne, parmi les officiels étrangers en poste à Alger ou à Rabat d’aller enquêter que cette affaire, le Makhzen compte donc travailler sur l’effet médiatique, ce qui lui suffit pour détourner l’attention de son opinion publique et celle de toute la région du vrai problème que vit le Maghreb et l’orienter vers cette histoire inventée.
    Les autorités algériennes qui ont évidemment compris la manœuvre, ont attiré l’attention du diplomate marocain «sur le fait que l’Algérie réprouve fortement cette nouvelle provocation politiquement motivée et qu’elle déplore profondément cette tentative supplémentaire et gratuite de crispation d’une relation qui a déjà connu un sérieux dommage le 1er novembre dernier lors de l’agression contre l’enceinte consulaire algérienne à Casablanca». Cette cinglante réaction a le mérite de la franchise et oriente le débat algéro-marocain vers le véritable enjeu, celui d’une volonté marocaine de ne jamais normaliser ses relations avec l’Algérie, à des fins stratégiques qui lui sont propres. 
    Mais, on voit mal le royaume saisir l’intérêt de revoir ses rapports avec Alger sur la base des intérêts mutuels des deux peuples. Rabat ne cherche qu’une chose: sauver le Palais et pas les Marocains. Aussi, ces provocations vont se multiplier avec l’objectif avéré de noircir l’image de l’Algérie en la comparant à un Etat peu respectueux des us diplomatiques. Or, «l’Algérie n’a certainement pas besoin de donneurs de leçons lorsqu’il s’agit de manifester concrètement sa sollicitude et à son attention soutenue à l’égard des ressortissants syriens qui se trouvent sur son territoire en tant qu’invités du peuple algérien qui les a accueillis spontanément avec sa générosité et son hospitalité coutumières» a conclu le porte-parole du MAE.
    Ouest-Tribune, 30/01/2014

    SVP, N’OUBLIEZ PAS DE SIGNER LA PETITION POUR LES DROITS DE L’HOMME QUE LA FRANCE REFUSE AU SAHARA OCCIDENTAL

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Algériens, signez la pétition pour le Sahara Occidental!

    Fin avril 2014, le Conseil de Sécurité tiendra sa réunion annuel pour renouveler le mandat de la Mission des Nations Unies pour le Référendum au Sahara Occidental (MINURSO). La France empêche celle-ci de surveiller les droits de l’homme au Sahara Occidental pour soutenir le Maroc dans sa répression contre le peuple sahraoui.
    L’Algérie, soutien des sahraouis contre l’alliance franco-marocaine, accueille les réfugiés sahraouis depuis 38 ans.
    Merci de signer cette pétition adressée au Secrétaire Général Ban Ki-moon pour demander le respect des droits de l’homme au Sahara Occidental.
  • Le jeu trouble du makhzen

    Pour la énième fois, le Maroc reprend ses provocations à l’égard de l’Algérie en convoquant avant hier l’ambassadeur d’Algérie à Rabat au ministère des Affaires étrangères et de la coopération. Cet acte de mauvais goût vient ajouter une autre tension entre les deux frères ennemis.
    L’ambassadeur du Maroc en Algérie a été convoqué mercredi au ministère des Affaires étrangères (MAE) pour lui exprimer le «ferme rejet» de l’Algérie des «allégations dénuées de tout fondement» invoquées par le Maroc au sujet de prétendues expulsions par les autorités algériennes de ressortissants syriens vers le territoire marocain, a indiqué le porte-parole du MAE, Amar Belani. 
    L’ambassadeur du royaume du Maroc a été convoqué, hier, au ministère des Affaires étrangères, où il a été reçu par le secrétaire général, Noureddine Aouam, qui lui a fait part « du ferme rejet par le gouvernement algérien des allégations dénuées de tout fondement invoquées par la partie marocaine au sujet de prétendues expulsions par les autorités algériennes de ressortissants syriens vers le territoire marocain», a précisé M. Belani dans une déclaration à l’APS. 
    «L’attention du diplomate marocain a été attirée sur le fait que l’Algérie réprouve fortement cette nouvelle provocation politiquement motivée et qu’elle déplore profondément cette tentative supplémentaire et gratuite de crispation d’une relation qui a déjà connu un sérieux dommage le 1er novembre dernier lors de l’agression contre l’enceinte consulaire algérienne à Casablanca», a-t-il ajouté. 
    «Il lui a été rappelé, a indiqué la même source, que l’Algérie assume pleinement ses responsabilités dans le cadre du bon-voisinage, malgré la charge importante qu’elle supporte depuis des années en raison du nombre croissant d’immigrants sub-sahariens refoulés par les autorités marocaines vers son territoire». 
    «Enfin, il lui a été indiqué que l’Algérie n’a certainement pas besoin de donneurs de leçons lorsqu’il s’agit de manifester concrètement sa sollicitude et à son attention soutenue à l’égard des ressortissants syriens qui se trouvent sur son territoire en tant qu’invités du peuple algérien qui les a accueillis spontanément avec sa générosité et son hospitalité coutumières », a conclu le porte-parole du MAE. 
    D’ailleurs avec ce genre d’attitude, le Maroc montre à l’opinion internationale son manquement et sa fuite en avant vis-à-vis de ces réfugiés alors que l’Algérie a depuis le début de la guerre en Syrie essayé tant bien que mal de leur procurer des conditions de vie décente. 
    Car dans le cas normal, les gouvernements garantissent les droits fondamentaux de l’homme et la sécurité physique de leurs citoyens. Toutefois, quand les personnes deviennent réfugiées, ce filet de sécurité disparaît. Les réfugiés qui fuient la guerre ou la persécution sont souvent dans une situation très vulnérable.
    Ils n’ont aucune protection de la part de leur propre Etat – c’est même souvent leur propre gouvernement qui menace de les persécuter. Si d’autres pays ne les laissent pas entrer et ne les protègent pas ou ne les aident pas une fois qu’ils sont entrés, ils peuvent alors les condamner à une situation intolérable où leurs droits fondamentaux, leur sécurité, voire dans certains cas, leurs vies sont en danger.
    L’article 1 de la Convention de Genève relative au statut des réfugiés définit un réfugié comme une personne qui se trouve hors du pays dont elle a la nationalité ou dans lequel elle a sa résidence habituelle, et qui du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un groupe social déterminé ou de ses opinions politiques craint avec raison d’être persécutée et ne peut se réclamer de la protection de ce pays ou en raison de ladite crainte ne peut y retourner. 
    Un réfugié a le droit à la sécurité dans un autre pays. La protection en vertu du droit international public dépasse cependant la simple sécurité physique. Les réfugiés doivent au moins obtenir les mêmes droits et la même assistance que les autres étrangers, qui séjournent licitement dans le pays concerné. 
    Les réfugiés jouissent des droits fondamentaux des citoyens comme la liberté d’expression, la liberté de circulation et la protection contre la torture et les traitements dégradants. Les droits économiques et sociaux valent aussi dans la même mesure pour les réfugiés. Ces derniers devraient avoir accès sans restriction à des soins médicaux, à une formation scolaire et au marché du travail. 
    L’Algérie a respecté les lois des droits internationaux relatives au réfugiés. D’ailleurs, elle a ouvert un centre d’accueil qui a été aménagé depuis juillet 2012 à Sidi Fredj (Alger) pour venir en aide aux réfugiés syriens qui ont fui leur pays, théâtre de violences et d’affrontements depuis des mois. En plus de la prise en charge de ces réfugiés syriens, un travail de sensibilisation de la population à travers le territoire national est fait sur le terrain pour que la «dignité humaine» de ces réfugiés soit assurée.
    Par : Kahina Hammoudi
    Le Midi Libre,30/01/2014

    LA FRANCE EMPECHE LA MINURSO DE SURVEILLER LES DROITS DE L’HOMME, SIGNEZ LA PETITION POUR PROTESTER CONTRE CELA

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Oh Makhzen, l’Algérie n'expulse pas les réfugiés..

    Le ministère des Affaires étrangères, a convoqué hier, l’ambassadeur du Maroc, Abdellah Belkeziz, en signe de protestation contre les récents mensonges marocains, sur «l’expulsion des réfugiés syriens ».
    Le ministère des Affaires étrangères, a informé l’ambassadeur du Maroc, que l’Algérie refuse catégoriquement, des assertions non fondées au sujet des prétendues expulsions par les autorités algériennes, de ressortissants syriens vers le territoire marocain. La convocation de l’ambassadeur du Maroc, pour la deuxième fois en moins de trois mois, est venu aussitôt après l’annonce de la convocation des autorités marocaines de l’ambassadeur d’Algérie au Maroc, dans le contexte d ‘«expulsion» des réfugiés syriens du territoire marocain vers l’Algérie, une opération, qu’El Makhzen, a tenté de manipuler et renverser les véritables faits à travers les médias marocains, en déclarant que c’est l’Algérie, qui a expulsé les réfugiés. Amar Belani, a également signifié aux autorités marocaines que l’Algérie n’avait « certainement pas besoin de donneurs de leçons lorsqu’il s’agit de manifester concrètement sa sollicitude et à son attention soutenue à l’égard des ressortissants syriens qui se trouvent temporairement sur son territoire en tant qu’invités du peuple algérien qui les a accueillis spontanément avec sa générosité et son hospitalité coutumières ».
    « L’attention du diplomate marocain a été attirée sur le fait que l’Algérie réprouve fortement cette nouvelle provocation politiquement motivée et qu’elle déplore profondément cette tentative supplémentaire et gratuite de crispation d’une relation qui a déjà, connu un sérieux dommage le 1er novembre dernier, lors de l’agression contre l’enceinte consulaire algérienne à Casablanca », a indiqué le porte-parole du MAE, Amar Belani, dans sa déclaration, que le quotidien Echourouk, détient une copie.
    Cette nouvelle campagne marocaine, a commencé avec l’expulsion de 70 réfugiés syriens du Maroc, qui ont déclaré avoir été « expulsés de l’Algérie », avant de convoquer l’ambassadeur algérien, pour l’informer du « profond mécontentement suite à l’expulsion des réfugiés syriens, par les autorités algériennes » (..), entre dimanche et mardi dernier, selon le ministère marocain des Affaires étrangères.
    « Les GGF ont refusé l’accès sur le territoire national à des réfugiés syriens que les autorités marocaines voulaient expulser vers l’Algérie », avait alors indiqué le colonel Boualleg Mohamed, chef du groupement de la Gendarmerie nationale de la wilaya de Tlemcen, suite à ce refus, les autorités marocaines, ont exploités leurs medias pour nuire l’image de l’Algérie, alors que les réfugiés se trouvent toujours sur le territoire marocain, a-t-il précisé. En revanche, le responsable de l’immigration de l’Association marocaine des droits de l’homme, Hassan Amari, la plus grande organisation de défense des droits à Oujda au Maroc, a révélé qu’il avait certifié 12 Syriens du groupe des réfugiés, qui soulignent, selon l’agence France-Presse, que les autorités algériennes n’ont pas l’intention de les expulser ou de les maltraiter, alors qu’ ils arrivaient par avion en provenance de Turquie.
    Echourouk Online, 30/01/2014
  • Le Makhzen s'en prend à l'Algérie à chacune des visites de Christopher Ross dans la région

    L’ambasadeur du Maroc à Alger convoqué – Nouvelle provocation du Makhzen contre l’Algérie

    En somme, les attaques du Maroc ne sont pas surprenantes, puisque le Makhzen a institué cette moribonde coutume de s’en prendre à l’Algérie à chacune des visites de Christopher Ross dans la région, dans la perspective bien entendu de semer la confusion et la diversion sur le dossier de l’autodétermination du Sahara Occidental.

    Après une accalmie précaire, la tension refait surface dans les relations algéromarocaines, avec comme nouveau motif de controverse, les réfugiés syriens. Les autorités du Makhzen y trouvent un terrain politique propice pour prendre leur surenchère, en accusant l’Algérie d’avoir refoulé des réfugiés syriens dans les frontières.
    La polémique frôle l’incident diplomatique, en ce sens que le ministère des Affaires étrangères a convoqué l’ambassadeur marocain à Alger, en réaction à une entreprise similaire effectuée la veille par les autorités marocaines.
    « L’ambassadeur du royaume du Maroc a été convoqué, aujourd’hui mercredi, 29 janvier, au ministère des Affaires étrangères, où il a été reçu par le secrétaire général, M. Noureddine Aouam, qui lui a fait part du ferme rejet par le gouvernement algérien des allégations dénuées de tout fondement invoquées par la partie marocaine au sujet de prétendues expulsions par les autorités algériennes de ressortissants syriens vers le territoire marocain « , a précisé à cet effet Amar Belani, porteparole du MAE, qui qualifie les attaques maocaines d’allégations mensongères dénuées de tout fondement. Et d’ajouter que « l’attention du diplomate marocain a été attirée sur le fait que l’Algérie réprouve fortement cette nouvelle provocation
    politiquement motivée et qu’elle déplore profondément cette tentative supplémentaire et gratuite de crispation d’une relation qui a déjà connu un sérieux dommage le 1er novembre dernier lors de l’agression contre l’enceinte consulaire algérienne à Casablanca », pour exprimer toute la réprobation d’Alger face à cette énième attaque du Royaume marocain. 
    S’il est clair que les desseins de Rabat versent dans la perspective de discréditer l’Algérie sur le plan international, il n’en demeure pas moins que les efforts de l’Algérie dans la résolution de la crise syrienne
    dépassent de très loin les allégations marocaines, les rendant caduques de facto. « Nul besoin de rappeler que l’Algérie a été l’un des premiers pays à ouvrir ses portes à des milliers de réfugiés syriens aussitôt les hostilités enclenchées dans ce pays, de même que les efforts sans relâche déployés par Lakhdar Brahimi, l’Algérien, en tant qu’envoyé spécial en Syrie des Nations Unies et de la Ligue Arabe. L’Algérie n’a certainement pas besoin de donneurs de leçons, lorsqu’il s’agit de manifester concrètement sa sollicitude et son attention soutenue à l’égard des ressortissants syriens, qui se trouvent sur son territoire en tant qu’invités du peuple algérien qui les a accueillis spontanément avec sa générosité et son hospitalité coutumières », a rappelé dans ce sens Amar Belani, laissant le Maroc devant ses responsabilités à travers cette nouvelle attaque mensongère. 
    Quant aux prétendues atteintes aux principes du bon voisinage invoquées par Rabat, Alger a rétorqué que  » l’Algérie assume pleinement ses responsabilités dans le cadre du bon voisinage, malgré la charge importante qu’elle supporte depuis des années en raison du nombre croissant d’immigrants subsahariens
    refoulés par les autorités marocaines vers son territoire ». 
    En somme, les attaques du Maroc ne sont pas surprenantes, puisque le Makhzen a institué cette moribonde coutume de s’en prendre à l’Algérie à chacune des visites de Christopher Ross dans la région, dans la perspective bien entendu de semer la confusion et la diversion sur le dossier de l’autodétermination du Sahara Occidental.
    Par M. Ait Chabane
    Le Jour d’Algérie, 30/01/2014

    SVP, N’OUBLIEZ PAS DE SIGNER LA PETITION POUR LES DROITS DE L’HOMME QUE LA FRANCE REFUSE AU SAHARA OCCIDENTAL


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  • ALGER-RABAT, LA NOUVELLE GUERRE DES MOTS

    La trêve médiatique revendiquée par Alger comme un préalable à l’assainissement des relations a été plusieurs fois violée à travers les campagnes médiatiques incessantes contre l’Algérie alors que sur le dossier du Sahara Occidental, la position de l’Algérie était claire. 
    La nouvelle guerre des mots entre Alger et Rabat est en train de prendre des proportions démesurées risquant de pourrir davantage les relations déjà tendues entre les deux capitales. A l’origine, une information relayée par un site électronique marocain rapportant un refoulement de réfugiés syriens vers le Maroc où ils ont été accueillis. Alger dément formellement et donne sa version des faits accusant Rabat d’avoir d’abord expulsé ces mêmes réfugiés. En effet, ce lundi, les gardes-frontières algériens ont expliqué avoir refusé l’accès du territoire à des ressortissants syriens, précisant toutefois qu’ils avaient été en réalité expulsés par les autorités marocaines. 
    Début de brouille diplomatique, le courant plus qu’alternatif entre les deux pays semble ne plus passer tant l’attaque médiatique marocaine flirte avec une virulence sans égale. Alger parle sans ambages d’une énième provocation du pays voisin et l’ambassadeur du Maroc en Algérie a été convoqué, hier, en réponse à une démarche similaire du ministère des Affaires étrangères du royaume chérifien, vingt-quatre heures plus tôt. Alger a ainsi rejeté fermement les «allégations dénuées de tout fondement» invoquées par Rabat tout en réprouvant «fortement cette nouvelle provocation politiquement motivée». L’ambassadeur marocain s’est également vu rappeler le cas d’immigrants subsahariens refoulés aussi du territoire marocain en direction de l’Algérie. 
    Cette nouvelle agression gratuite, alors que le dossier de l’agression contre l’enceinte consulaire algérienne à Casablanca n’est certainement pas clos, suggère une crispation des relations voulues par le Makhzen. L’Algérie condamne encore une fois ces pratiques marocaines devenues, ces dernières années, courantes et note, désarmée, que malgré toutes les promesses du voisin de mettre fin aux attaques médiatiques marocaines, le scénario est toujours le même. Prévisible. Egal à lui-même, charriant les mêmes ingrédients. Le royaume qui souffle le chaud et le froid dans ses relations bilatérales avec l’Algérie, ne rate en effet aucune occasion pour la dénigrer, n’hésitant pas à tomber dans la surenchère et les montages grossiers. 
    Dans cette affaire, le Maroc essaye de se débarrasser de «ses» réfugiés syriens en instrumentalisant les images et donner, ainsi, au reste du monde une tout autre perception de l’Algérie. L’entrevue avec le diplomate marocain a été aussi l’occasion d’indiquer que le pays n’a aucunement besoin de donneurs de leçons d’un pays qui a libéré un violeur espagnol d’enfants marocains et condamné un enfant algérien à un an de prison pour une sombre histoire d’attouchements sexuels. Le Maroc également sur la sellette à cause de la violation des droits des Sahraouis essaye, comme à l’accoutumée, de détourner l’attention internationale en créant une affaire où il veut avoir le beau rôle. Mais force est de constater que ces tentatives marocaines commencent sérieusement à peser lourd dans la balance relationnelle entre les deux Etats. 
    Malgré tous les efforts de rapprochement d’Alger, sans renier ses principes fondamentaux sur certains dossiers, à l’image des frontières ou encore de la cause sahraouie, la relation entre les deux pays n’est au beau fixe qu’épistolairement puisque les deux pouvoirs en place n’oublient pas de s’échanger les «meilleurs» vœux à l’occasion de leurs dates officielles respectives. Alger reproche à Rabat, entre autres «reniements», «l’infiltration massive» du kif rendant suspect le régime marocain qui encouragerait l’exportation de la drogue vers l’Algérie. La trêve médiatique revendiquée par Alger comme un préalable à l’assainissement des relations a été plusieurs fois violée à travers les campagnes médiatiques incessantes contre l’Algérie alors que sur le dossier du Sahara Occidental, la position de l’Algérie était claire. 
    Moncef Wafi
    Le Quotidien d’Oran, 30/01/2014

    SVP, N’OUBLIEZ PAS DE SIGNER LA PETITION POUR LES DROITS DE L’HOMME QUE LA FRANCE REFUSE AU SAHARA OCCIDENTAL


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  • Réfugiés syriens : Les nouvelles provocations de Rabat

    Le Maroc vient, de nouveau, de provoquer un raidissement de ses relations avec l’Algérie, un pays qu’il provoque constamment, tentant 
    de détourner, dès lors, l’attention et les préoccupations de la Communauté internationale, notamment les pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU, de l’urgence de solutionner démocratiquement le dossier sahraoui. 
    Après, donc, l’agression contre l’Algérie le 1er Novembre dernier, les autorités marocaines ont innové, cette fois-ci, en prétendant qu’Alger a refoulé des réfugiés syriens vers le Maroc. Une attaque médiatique frontale contre l’Algérie, puisque Rabat a, largement, médiatisé le refus des gardes-frontières algériens d’autoriser des ressortissants syriens d’entrer sur le territoire national. 
    Le Maroc, en lançant une telle campagne anti-algérienne fait l’impasse sur le fait que cette frontière algéro-marocaine est fermée depuis 1994, et surtout, que ces réfugiés syriens sont venus du Maroc et non pas expulsés d’Algérie vers ce pays. Cette nouvelle escalade provoquée, sinon montée de toutes pièces par les autorités marocaines fait suite au refus, dimanche dernier, des gardes-frontières algériens (GGF) d’autoriser «l’accès sur le territoire national à des réfugiés syriens que les autorités marocaines voulaient expulser vers l’Algérie», avait indiqué, à l’APS, le colonel Boualleg Mohamed. «C’est suite à ce refus que les autorités marocaines avaient fait appel à leurs médias pour accuser, à tort, les autorités algériennes d’avoir refoulé ces Syriens, alors qu’en réalité, ils se trouvaient sur le territoire marocain», a-t-il expliqué. Il ajoute que «lorsque les gardes-frontières algériens interceptent des personnes, tentant de s’introduire, illégalement, sur le territoire national, elles sont, immédiatement, arrêtées et présentées devant la justice et non refoulées vers le territoire du pays voisin». Ce qui n’est, nullement, le cas dans cette pénible affaire que les autorités marocaines veulent instrumentaliser. 
    Au point que l’ambassadeur algérien à Rabat a été convoqué, mardi, au siège du ministère des Affaires étrangères marocain. De l’aveu même du ministère marocain de l’Intérieur, le Maroc a tenté de refouler vers l’Algérie, «pour la seule période, allant du 26 au 28 janvier 2014, 77 ressortissants syriens«, dont 18 femmes et 43 enfants, que les responsables marocains ont essayé de refouler vers l’Algérie. Et, après la convocation, mardi, du chef de la mission diplomatique algérienne, à Rabat, au MAE marocain, les autorités algériennes ont répliqué par la réciprocité en convoquant, hier, mercredi, l’ambassadeur de ce pays à Alger, Mohamed Belkeziz. «L’ambassadeur du Royaume du Maroc a été convoqué, aujourd’hui, mercredi 29 janvier, au ministère des Affaires étrangères, où il a été reçu par le secrétaire général, M. Noureddine Aouam, qui lui a fait part du ferme rejet par le gouvernement algérien, des allégations, dénuées de tout fondement, invoquées par la partie marocaine, au sujet de prétendues expulsions par les autorités algériennes de ressortissants syriens, vers le territoire marocain», a indiqué le porte-parole du ministère, Amar Belani, cité par l’APS. «L’attention du diplomate marocain a été attirée sur le fait que l’Algérie réprouve, fortement, cette nouvelle provocation, politiquement motivée, et qu’elle déplore, profondément, cette tentative supplémentaire et gratuite de crispation d’une relation qui a, déjà, connu un sérieux dommage, le 1er Novembre dernier, lors de l’agression contre l’enceinte consulaire algérienne, à Casablanca», a-t-il ajouté. Par ailleurs, il a été rappelé au diplomate marocain que l’Algérie «assume, pleinement, ses responsabilités dans le cadre du bon voisinage, malgré la charge importante qu’elle supporte, depuis des années, en raison du nombre croissant d’immigrants sub-sahariens refoulés par les autorités marocaines vers son territoire». 
    ETRANGLE PAR LA CRISE ECONOMIQUE, RABAT REFOULE LES SYRIENS VERS L’ALGERIE 
    Et puis, l«Algérie n’a, certainement, pas besoin de donneurs de leçons lorsqu’il s’agit de manifester, concrètement, sa sollicitude et son attention soutenue à l’égard des ressortissants syriens qui se trouvent sur son territoire, en tant qu’invités du peuple algérien qui les a accueillis, spontanément, avec sa générosité et son hospitalité coutumières», a encore précisé le porte-parole du MAE. 
    En juin dernier, «le gouvernement d’Abdelilah Benkirane a notifié à la représentation du Haut Commissariat aux réfugiés (HCR), au Maroc, de stopper les opérations d’enregistrement et de délivrance de cartes de réfugiés aux Syriens fuyant la guerre, dans leur pays, vers le Maroc«, rapportait le site marocain «Le Mag« (www.lemag.ma). Le portail électronique marocain a précisé que «le nombre de réfugiés syriens au royaume va croissant, depuis des mois, posant ainsi des problèmes de sécurité et de charges économiques afférentes à leur accueil«. «Le mag.ma» ajoute même que «le gouvernement marocain s’était engagé à mettre au point un programme spécifique, d’accueil sur son territoire, pour les réfugiés syriens, sauf que l’aggravation de la crise économique au royaume, l’étroitesse des budgets et la crainte d’une déferlante de nouveaux arrivants, l’avait contraint à geler sa démarche«. Et d’appeler le HCR, section marocaine de stopper l’enregistrement des réfugiés syriens. 
    Enfin, la frontière terrestre entre le Maroc et l’Algérie est fermée depuis 1994, plus, exactement au mois de cette année là, lorsque le royaume chérifien, avec son ministre de l’Intérieur de l’époque Driss Basri, avait accusé l’Algérie d’être derrière l’attentat terroriste de l’hôtel Atlas-Asni de Marrakech, qui a coûté la vie à des touristes espagnols. Dans les jours qui avaient suivi cet événement, le Maroc avait imposé le visa aux ressortissants algériens, Alger, a répliqué par la fermeture immédiate des frontières entre les deux pays. Ce n’est qu’en 2006 que le visa a été de nouveau supprimé par les deux pays.
  • Financement illicite : Sarkozy dans la ligne de mire

    L’ancien président français, qui ne cache plus son ambition de se présenter à l’élection présidentielle, ne risque-t-il pas d’être attrapé par des affaires de justice pendantes et notamment le financement de sa campagne électorale en 2007 par Kadhafi ? En effet, dans l’émission «Pièces à conviction » diffusée mercredi à 23h15 sur France 3 un enregistrement inédit d’un entretien réalisé le 15 mars 2011, par une journaliste du Figaro, Delphine Minoui. La déclaration de Mouammar Kadhafi sur Nicolas Sarkozy ne figure pas dans la version écrite du journal, disponible sur le site électronique du journal. Mais elle avait été retranscrite par Mme Minoui dans son livre Tripoliwood (Grasset, 2011). 
    L’ancien dirigeant libyen, Mouammar Kadhafi, confirme, lors de cet entretien, avoir financé la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. «Mon cher ami Sarkozy a un désordre mental… C’est moi qui l’ai fait arriver au pouvoir. Nous lui avons donné le financement nécessaire pour qu’il puisse gagner l’élection (…). Il est venu me voir, dans cette tente. Il nous a demandé un montant », affirme le Guide libyen dans l’extrait audio, quatre jours seulement avant l’intervention militaire occidentale de mars 2011, qui conduira à sa chute et à son lynchage en octobre, dans des conditions non encore élucidées. 
    Dans cet enregistrement réalisé par la journaliste Delphine Minoui du Figaro, que l’on voit en images s’entretenir avec le leader libyen, il précise également les raisons et les motifs du soutien libyen au candidat de l’UMP : «Pour nous, en tant que Libyens, si le président de la République française gagne les élections grâce à nos fonds, c’est vraiment un gain.» 
    Le lendemain de cet entretien avec le chef de l’État libyen, son fils, Saïf al-Islam Kadhafi, avait demandé que Nicolas Sarkozy rende l’argent de la campagne présidentielle. «Que Sarkozy rende l’argent qu’il a accepté de la Libye !», corroborant les accusations de Mouammar Kadhafi sur le financement libyen de Sarkozy. 
    L’ancien interprète libyen, Moftah Missouri, qui traduit l’entretien avec la journaliste du Figaro, Delphine Minoui, expliquera également que Mouammar Kadhafi lui aurait précisé plus tard quel était le montant des fonds destinés à la campagne de Nicolas Sarkozy: «Une vingtaine de millions de dollars.» Montant qu’il avait déjà confirmé dans l’émission «Complément d’enquête », diffusée le 20 juin 2013 sur France 2, en expliquant avoir appris de Kadhafi que la Libye avait versé «une vingtaine de millions de dollars» à Nicolas Sarkozy, à l’occasion de sa campagne de 2007. 
    Dans cette émission, Moftah Missouri confirmait également l’authenticité du document officiel libyen dévoilé par Mediapart le 28 avril 2012 : «Ce nouvel élément de preuve du financement libyen intervient alors que plusieurs autres dignitaires du régime ont déjà confirmé le financement de la campagne de Nicolas Sarkozy par Tripoli, à l’image de l’ancien Premier ministre Baghdadi Al-Mahmoudi, lors d’une audience d’extradition à Tunis. 
    Le 4 décembre 2013, Anoud Al-Senoussi, fille de l’ancien chef du renseignement, Abdallah Al Senoussi, affirmait à Mediapart que son père, actuellement détenu en Libye, savait où se trouvent les preuves du financement de la campagne de Nicolas Sarkozy. Mediapart avait publié le 28 avril 2012 un document officiel, issu des services secrets libyens, qui confirmait la volonté des autorités libyennes «d’appuyer la campagne électorale » de Nicolas Sarkozy et validait la décision de Kadhafi de verser d’importantes sommes.

    M. B.

    Le Courrier d’Algérie, 30/01/2014

    SVP, N’OUBLIEZ PAS DE SIGNER LA PETITION POUR LES DROITS DE L’HOMME QUE LA FRANCE INTERDIT AU SAHARA OCCIDENTAL


    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Nacionalidad española para los saharauis. Taller de Extranjería

    La primera vez que Mohandi Abdelay llegó a España tenía 6 años. Vino a pasar un verano con una familia española de acogida gracias al programa “Vacaciones en paz” para los niños que viven en los campos de refugiados de Tinduf en Argelia. Tras pasar un tiempo sin papeles ahora vive en España con pasaporte argelino.
    Javier Galparsoro, abogado de extranjería y presidente de CEAR en Euskadi, Comisión Española de Ayuda al Refugiado, resolverá en este nuevo programa de Taller de Extranjería las dudas de Mohandi sobre la posibilidad de solicitar de los ciudadanos saharauis de solicitar la nacionalidad española.
    Según explica el abogado Javier Galparsoro, Mohandi podrá solicitar la nacionalidadespañola por el mero hecho de llevar 10 años residiendo en España de forma legal y continuada, según establece el Código Civil español en su artículo 22.
    Además, la madre de Mohandi era española porque pudo recuperar su nacionalidad. Ya que los saharuis, mediante un decreto dictado por España, pudieron recuperar lanacionalidad española después de la descolonización de España.
    Por ello, Mohandi también podría solicitar la nacionalidad española por el artículo 2.2.f) del Código Civil que establece que quien ha nacido fuera de España de padre o madre que originariamente hubiera sido español, podrá solicitar la nacionalidad española con sólo un año de residencia legal en el país.