Mois : janvier 2014

  • Nouvelle intervention brutale de la police contre des manifestants pacifiques sahraouis

    El Aaiun (Sahara Occidental) 14 janvier 2014.– A l’appel de la Coordination des asociations des droits de l’homme, une manifestation a été organisée, aujourd’hui mercredi 14 janvier à 17h00, à El Aaiun, capitale occupée du Sahara Occidental dans plusieurs quartiers de la ville pour revendiquer l’élargissement des prérogatives de la MINURSO en vue de surveiller le respect des droits de l’homme au Sahara Occidental.
    Selon des sources de l’Equipe Média, l’intervention des forces d’occupation contre les manifestants dans l’Avenue de Smara s’est soldée de plusieurs blessés, parmi eux des enfants. Dans une liste préliminaire, la source a cité parmi les manifestants blessés : Sidi Dadach, Elghalia Edjimi, Abdelaziz Byay, Bachri Ben Taleb, Mustafa Dah, Suelam Sidi Salem, Mariem Bourhimi, Ghalia Ejoumani, Elhauasssi rokia, Naaima Soufi, Rgaibano Elhaj, Fadala Jaouda, Rabab Elhauassi, Salma limam, Ambairkat Abdelkarim, Dagja Lechger, Said Haddad, Ahmed Buchieba, Brahim Mousaoui.
    La même source a signalé que plusieurs quartiers sont quadrillés par les forces de sécurité marocaines. Le domicile de l’activiste des droits de l’homme, Mohammed Deddach est encerclé par la police.
    Selon Radio Maizirat, plusieurs personnes ont été blessées dans la manifestation du quartier Hay Maatalla. La voiture du directeur de cette agence d’information digitale a été démolie par les forces d’occupation.

    Vidéo de l’attaque contre les manifestants :

    [youtube https://www.youtube.com/watch?v=9RndTA7Chbo]

  • Mohamed Abdelaziz à InfoSoir «La volonté des peuples ne peut être vaincue»

    Au cours de l’année écoulée, les Sahraouis ont célébré le double 40e anniversaire de la création du Polisario et du déclenchement de la lutte armée.
    C’est une année durant laquelle également, la cause sahraouie a enregistré de francs succès politiques et diplomatiques. Pour le président sahraoui, l’année 2013 qui vient de s’achever, a été marquée particulièrement par l’amplification de l’intifada dans les territoires occupés. Sur le plan politique, a-t-il affirmé dans un entretien accordé à InfoSoir, la cause sahraouie a marqué sa présence dans maintes occasions comme ce fut le cas lors de la célébration du cinquantenaire de la création de l’Union africaine.
    «La cause sahraouie a été aussi au centre des débats lors de la réunion du 30 avril du Conseil de sécurité de l’ONU», a déclaré Mohamed Abdelaziz qui a rappelé que la question sahraouie a été débattue aussi au Parlement européen. «Autrement dit, la cause sahraouie avance, lentement peut-être, mais sûrement, à pas rassurants nous permettant de concrétiser notre objectif principal qu’est l’indépendance du Sahara occidental», a souligné dans ce cadre le secrétaire général du Polisario.
    Le président sahraoui s’est, en outre, longuement attardé sur les violations des droits de l’Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental. Les rapports établis par les différents organismes de défense des droits de l’Homme ainsi que des ONG de renommée mondiale, l’ont «bien attesté», a-t-il noté.
    Cependant, «les méthodes d’oppression et de tortures adoptées par le passé et de nos jours poursuivies par l’Etat colonial marocain n’ont pas réussi à briser la résistance sahraouie. Aussi toute tentative coloniale bute sur le rejet catégorique des Sahraouis de l’occupation et achoppe sur la volonté de se sacrifier pour une cause juste et sacrée», a-t-il ajouté, rappelant dans ce sillage que «les violations des droits de l’homme commises par l’Etat marocain depuis l’invasion du Sahara occidental par son armée le 31 octobre 1975, sont on ne peut plus claires aujourd’hui car elles sont écrites noir sur blanc non seulement sur le corps des Sahraouis, mais aussi dans les centaines de rapports des organisations des droits de l’Homme, des institutions gouvernementales et autres organisations internationales».
    «Les revendications légitimes de tous les Sahraouis sont connues», a affirmé le président sahraoui. Cependant, a-t-il enchaîné, de l’autre côté, les forces marocaines ont usé de tout genre de violences à l’égard des militants des droits de l’Homme, des femmes et des enfants.
    «La sauvagerie des sévices infligés atteste de la politique de terreur des forces marocaines d’occupation dont le but est de bâillonner les revendications légitimes du peuple sahraoui», a relevé le secrétaire général du Polisario.
    Mohamed Abdelaziz a estimé que la lutte héroïque du peuple sahraoui sous la direction du Front Polisario qui dure depuis plus de 40 ans, a clairement démontré que la volonté «des peuples est inébranlable et ne peut être vaincue car c’est un choix populaire né de la conviction des Sahraouis inéluctablement attachés à la création de leur Etat indépendant, la RASD sur l’ensemble de leur territoire».
    Par : Farid Houali
  • Moulay Hicham : « Journal d’un prince banni » Un livre-témoignage inédit qui ne passera pas inaperçu

    La maison d’édition française Grasset va publier un livre autobiographique du prince Hicham intitulé « Journal d’un prince banni ». L’auteur y raconte ses mémoires depuis son enfance jusqu’à l’heure actuelle, couvrant trois périodes principales : son vécu avec son père le prince Moulay Abdellah jusqu’au décès de ce dernier en 1983, puis avec son oncle le défunt roi Hassan II, et enfin celle qui commence en 1999 avec le règne actuel de son cousin le roi Mohammed V.
    L’ouvrage, qui s’étale sur 380 pages, et qui sera publié à la fin du mois de Mars 2014 peut être qualifié d’inédit et audacieux, pour diverses raisons, dont en particulier la qualité de l’auteur et la spécificité politique du contenu.
    Concernant la première raison, il n’est pas habituel qu’un membre de la famille royale, qui règne au Maroc depuis des siècles, consigne par écrit ses mémoires ou expose ses opinions politiques en les publiant sous forme d’articles, et encore moins de livre, à travers lequel il s’adresse à l’opinion publique. Les monarques et les princes se sont toujours conformés à un prétendu et vague devoir de réserve. Malgré sa grande culture et son habileté politique, le roi Hassan II n’a pas légué un grand patrimoine politique écrit, hormis le livre « Le Défi » consacré principalement aux circonstances de la marche verte de 1975 et ses entretiens et discours politiques. C’est ainsi que cette initiative du prince Hicham, qui ne manquera pas de susciter beaucoup d’intérêt, constituera un jalon dans son parcours intellectuel, et s’ajoutera à ses autres contributions, à savoir les tribunes qu’il publie depuis 1995 dans la presse marocaine et internationale.
    La deuxième raison est le contenu de l’ouvrage qui peut être vu et analysé à partir de deux axes principaux.
    Le premier axe concerne les clarifications que le prince va fournir à propos de beaucoup d’évènements survenus depuis l’année 1999 à nos jours, dont les violentes campagnes de dénigrement médiatique et les complots politiques dont il a fait l’objet de la part d’individus influents au sein du Palais royal et les organes qui leurs sont rattachés dans le champ des médias. Ces campagnes ont toujours visé à salir sa réputation et le rabaisser aux yeux de l’opinion publique. Il est difficile de concevoir que ces attaques, dont des accusations graves, n’aient pas reçu un feu vert d’en haut ou d´un Big Brother. Parce qu’en haut, on est dans l’incapacité de répliquer aux idées défendues par le prince, argument contre argument.
    Est-il innocent qu’un journaliste qui a poussé le bouchon jusqu’à accuser le prince de mafia politique, suite à une de ses déclarations relatives au printemps arabe, se retrouve par la suite nommé à la tête d’une grand institution médiatique nationale ? Il est probable que le témoignage du prince montre à quel point le régime n’hésite pas à user des moyens les moins éthiques pour s’acharner sur un adversaire politique qui ose lui apporter un peu de contradiction ou le mettre devant ses responsabilités.
    Le deuxième axe concerne sa lecture et sa vision politique des évènements majeurs que le Maroc a connus au cours des trois dernières décennies, d’autant plus qu’il en a été témoin, de par sa position au sein du centre du Pouvoir, à savoir le Palais royal. Cette vision va intéresser les chercheurs et les historiens, en particulier en l’absence d’archives disponibles et vue la rareté de notes, correspondances ou livres signés par les acteurs politiques ayant vécu et façonné l’évolution du Maroc, avec ses succès et ses échecs.
    D’une part, cette vision est de nature à fournir une grille de lecture politique originale qui jettera un peu de lumière sur des événements importants de l’histoire contemporaine du Maroc, dont les enjeux et la portée demeurent à ce jour ambiguës. D’autre part, la même vision permettra de mieux cerner la nature intrinsèque de la monarchie marocaine, sa conception de son rôle, de ses pouvoirs et ses privilèges, et la panoplie d’instruments qu’elle manipule pour les conserver.
    Il est évident que cette compréhension est indispensable pour tout effort de réflexion à propos de l’avenir du Maroc.
    AlifPost, 15/01/2014 
  • Une poignée de main qui dérange

    Rencontre – Le président sahraoui avait, lors des funérailles de l’ancien Président sud-africain et symbole de la lutte anti-apartheid, Nelson Mandela, été pris en photo serrant la main du Président américain Barack Obama.
    Que se sont-ils dit ? «Nous avons abordé en premier lieu l’intérêt des USA pour les droits de l’Homme au Sahara occidental. Et nous disons que la responsabilité des USA tout comme les autres membres permanents du Conseil de sécurité de l’ONU est grande puisque la Minurso, à ce jour, ne dispose pas d’un mécanisme de surveillance des droits de l’Homme», nous a assuré le président sahraoui. Ce dernier a tenu à assister aux funérailles, de Nelson Mandela connu pour ses positions en faveur de la cause sahraouie.
    La même raison d’ailleurs pour laquelle Mohammed VI, roi du Maroc, avait brillé par son absence à ces mêmes funérailles.
    Mohamed Abdelaziz, président de la RASD était présent à côté de la centaine de chefs d’État et de gouvernement à Soweto. Pour les Sahraouis, la poignée de main avec Obama est politiquement symbolique. Pour les Marocains en revanche, la pilule a été dure à avaler. Preuve en est ce commentaire malveillant et politiquement incorrect : «sur la photo on voit un monsieur pas très connu, serrer la main d’un monsieur très connu tenant dans l’autre main un café.» Comme il fallait bien s’y attendre, la rencontre Abdelaziz – Obama n’a pas été du goût des partisans d’un Sahara marocain. En tout cas, ce n’est pas le lobbying marocain qui va changer la réalité. La fondation Robert-F. Kennedy pour la justice et les droits de l’homme, auteur d’un rapport dénonçant «la violation des droits sahraouis», avait adressé à la Maison-Blanche et au département d’État un message dans lequel elle souligne : «Il est impératif que le dossier des droits humains des Sahraouis soit une priorité diplomatique pour le gouvernement américain.» «Nous avons visité le Sahara occidental et les camps des réfugiés en Algérie où des milliers de Sahraouis vivent en exil. Nous avons écouté de nombreux témoignages qui parlent des violations des droits humains commises par l’État marocain. Nous avons eu des preuves sur l’existence de disparitions forcées, de tortures, d’arrestations arbitraires, de brutalités policières et d’intimidations.
    Ces exactions se poursuivent sans relâche, en partie parce qu’il n’y a pas de groupe ou de mécanisme international sur le terrain pour surveiller ces violations», avait affirmé Kerry Kennedy, présidente de la Fondation.
    Elle avait demandé à Washington de se pencher sur les nombreux «crimes non élucidés», en faisant état de la découverte récente par des anthropologues espagnols de fosses communes de victimes, selon eux, de l’occupation marocaine dans les années 1970.
    Info-Soir, 15/01/2014
  • Argelia espera el regreso de Buteflika para la convocatoria de las elecciones

    Argel, 15 ene (EFE).- Los argelinos esperan el regreso del presidente Abdelaziz Buteflika, hospitalizado en el hospital Val de Grace de París, para someterse a una « revisión rutinaria », para que sean convocadas las elecciones presidenciales, cuya fecha límite de anuncio es el próximo viernes.
    Según un comunicado presidencial, Buteflika, de 76 años, que el 27 de abril de 2013 fue ingresado en el mismo centro médico tras sufrir un accidente cerebrovascular, fue trasladado a Francia el lunes y regresará a Argelia el viernes.
    Esta situación ha disparado una vez más las dudas sobre el verdadero estado de salud del jefe de Estado argelino, así como sobre la futura marcha de los comicios.
    En su edición de hoy, el diario argelino Al Watan, no duda en afirmar que la hospitalización de Buteflika tendrá un impacto sobre el calendario político.
    Este periódico editado en francés sostiene también, citando a fuentes que no identifica, que Buteflika abandonó el país el domingo y no el lunes, en un estado de salud « deteriorado ».
    El rotativo Liberté se pregunta en sus páginas si esta visita responde a la intención del presidente de obtener la luz verde de los médicos para presentar su candidatura o a que su estado de salud no ha mejorado.
    El periódico en árabe El Jabar, además de hacer un repaso de las dudas y cuestiones suscitadas por este viaje anunciado un día después de haberse producido, sostiene, citando a una fuente « política », que el presidente firmó el decreto para convocar al cuerpo electoral antes de partir hacia Francia.
    El comunicado presidencial, difundido ayer, subrayó que la salud del presidente, sobre la que oficialmente no se ha facilitado información detallada, mejora de manera segura y progresiva.
    La nota presidencial precisó que este « control rutinario » llevaba programado desde junio del año pasado y que « ningún procedimiento de urgencia ha dictado este desplazamiento », que tiene lugar en unas fechas en las que todo el país está a la espera de la publicación del decreto presidencial de la consulta electoral.
    Según estipula la Constitución y la Ley Electoral, los comicios presidenciales deberán celebrarse el 16 o el 17 de abril, coincidiendo con el final del actual mandato de Buteflika, en el poder desde 1999.
    La legislación recoge, además, que la fecha electoral debe fijarse con una antelación de 90 días, lo que obligaría al presidente a convocar la cita entre mañana jueves y el viernes, como muy tarde.
    La salud de Buteflika, que permaneció hospitalizado en Val de Grace y el Instituto Nacional de los Inválidos entre el 27 de abril de 2013 y el 16 de julio, ha suscitado numerosas cuestiones en el país sobre sus intenciones y posibilidades de concurrir a los próximos comicios.
    Tras su regreso entonces, analistas y comentaristas de diferentes periódicos nacionales dieron por sentado que el convaleciente presidente renunciaría a aspirar a un cuarto mandato y comenzaron a barajar posibles candidatos para la sucesión, entre ellos una pléyade de exprimeros ministros.
    Sin embargo, el pasado noviembre, los dos principales partidos del país, el Frente de Liberación Nacional (FLN) y la Reagrupación Nacional Democrática (RND), anunciaron su apoyo a la candidatura del actual jefe Estado, que desde su regreso apenas hizo apariciones públicas y mantuvo un silencio total sobre esta cuestión. EFE
  • Tout le monde croyait Hollande différent, y compris les sahraouis

    Lors de l’élection de François Hollande en Mai 2012, deux peuples, celui de la France et celui du Sahara Occidental, partageaient un même espoir : que le nouveau président soit différent du controversé Nicolas Sarkozy. 
    François Hollande s’était décrit comme un « président normal » et les français y avaient cru. Moins d’un an après, le chef de l’Etat vient de donner la preuve qu’il ne diffère en rien avec son prédésseur. Même sur le plan intime.
    Sarkozy a caché ses relations turbulentes avec son épouse pour pouvoir gagner les élections présidentielles. Une fois à l’Elysée, la première chose qu’il a fait était de se remarrier avec l’artiste Carla Bruni. 
    Hollande n’a pas fait mieux. Il a voulu aller jusqu’au bout de sa tromperie sur sa relation avec Valérie Trierweiler au point de lui donner le statu de Première Dame, alors qu’il se rendait en cachette chez l’artiste, aussi, Julie Gayet. Pathétique!
    Le sahraouis étaient convaincus qu’il n’allait pas être, dans ses positions vis-à-vis du conflit du Sahara Occidental, aussi grossier que Sarkozy. Ils se sont trompés sur toute la ligne. A l’instar de son prédécesseur, il a empêché le Conseil de Sécurité de veiller sur le respect des droits de l’homme au Sahara Occidental et il est à craindre qu’il n’entrave les efforts de l’Envoyé onusien pour le Sahara Occidental, Christopher Ross.
    François Hollande dont on disait qu’il n’avait pas des relatios avec le Maroc, aura finalement, lui aussi, sa villa au Maroc pour passer ses vacances en compagnie de la belle Julie Gayet.
  • Hollande a fait nommer sa maîtresse Julie Gayet pour siéger au jury de la Villa Medicis

    L’information sort en pleine tourmente

    Rebondissement, en plein Gayetgate. 
    La conférence de presse de François Hollande s’annonçait périlleuse, maisles prises de paroles négociées et les interventions étrangères reléguées à la fin
    Depuis les révélations du magazine Closer sur une liaison présumée avec la comédienne Julie Gayet,l’entourage du président voulait en effet « déminer » la situation et surtout, la clarifier. Mission remplie, selon les stratèges de l’Elysée. « Il s’en est bien sorti », fanfaronnait l’un des proches. « Maintenant il faut qu’il aille très vite pour ne pas gâcher ses annonces politiques en donnant le sentiment d’être indécis dans sa vie privée », ajoute-t-il. Patatras !

    Le Canard enchaîné de ce mercredi fait l’annonce aux lendemains des révélations de Closer
     sur la relation présumée que l’actrice entretient avec le président de la République… Autant tout révéler d’un coup !
    Cette nomination prend une résonance toute particulière, d’autant quecette nomination relève de la compétence de la ministre de la Culture, Aurélie Filipetti.

    Après les photos de l’appartement, l’affaire de la Villa.
    La mission de la maîtresse présidentielle au sein du jury 2014? 
    Sélectionner les candidats qui seront retenus en résidence à la Villa Médicis, la prestigieuse académie de France à Rome. Julie Gayet y figure , en tant que « productrice de cinéma et comédienne », aux côtés de l’artiste plasticienne Anne-Marie Clairet (née Jugnet), de la chorégraphe et danseuse étoile Marie-Agnès Gillot et de la compositriceLucia Ronchetticomme le détaille le site de la Ville Medicis.
    Ouverte aux artistes et chercheurs de toute nationalité, parlant français et âgés de plus de 20 ans et de moins de 45 ans, la résidence dans ce lieu historique est aussi difficile à obtenir que prestigieuse.
    L’arrêté aurait été pris juste avant Noël, affirme le site Metronews.fr. L’annonce de cette nomination, au lendemain des révélations du magazine de Closer, pourrait une nouvelle fois faire des vagues.

    Hollande avait promis plus d’éthique dans les nominations. 

    Encore raté! Ce sont les proches de la gauche qui ont été promus. 
    Le  » président normal » critiquait les nominations politiques et affirmait qu’ « un retour à l’impartialité de l’État s’impose ». Mais l’un de ses premiers gestes, avant même les législatives, fut de remplacer les trois piliers de la police. Mais ce n’était qu’un début. Trois mois à peine après l’alternance eut lieu une purge des préfets et des magistrats. Et par exemple en remplaçant le juge Courroye par le procureur de Nîmes, Robert Gelli, un ex-conseiller justice de Jospin! Le préfet Stéfanini, qui fut directeur de cabinet de Juppé au RPR fut remplacé par Michel Delpuech, issu de la promotion Voltaire (1980) de l’ENA… comme François Hollande. La promotion Voltaire constitue d’ailleurs l’actuel clan de l’Elysée. Son secrétaire général Pierre-Réné Lemas, sa directrice de cabinet Sylvie Hubac, son ministre de l’Emploi, Michel Sapin, en sont issus. Sans oublier son ami Jean-Pierre Jouyet, nommé à la tête de la Caisse des dépôts après infiltration du milieu sarkozyste.

    Mais cette promotion lui vaut aussi des soutiens encombrants.
     
    Comme Henri de Castries, PDG d’Axa, qui lui avait fait un don de 7500 euros pour la primaire socialiste. Un patron du CAC 40 qui aide « l’ennemi de la finance »: c’est cocasse et révélateur du fonctionnement du président. Il manquait seulement les maîtresses…

    La ministre de la Culture se défend de toute responsabilité
    Gayet (à gauche) et cornac Filippetti (à droite):
    république des copains et des coquins

    Avec aplomb, le ministère de la Culture affirme mercredi 15 janvier au matin que l’actrice n’a pas été nommée membre du jury de la Villa Médicis. Selon France Inter citant le cabinet d’Aurélie Filipetti, le directeur de la villa endosse la responsabilité de la nomination et revendiquerait avoir proposé le nom de Julie Gayet, mais la Ministre l’aurait refusé. Et selon le magazine Vanity Fair qui cite le ministère,« l’arrêté de nomination de Julie Gayet à la Villa Medicis n’avait pas été encore signé »« Son nom a été proposé par Eric de Chassey, le directeur de l’Académie de France à Rome-Villa Médicis, mais la ministre a décidé de ne pas la nommer. L’arrêté n’avait pas été signé« , a confirmé le cabinet de la ministre.


    Contrevérité, avec la participation d’une certaine presse
    Selon Le Canard enchaîné, la nomination de la maîtresse présidentielle avait été signée par la ministre de la Culture et d’ailleurs son nom figure même  sur le site internet de la Villa (voir une capture d’écran ci-dessous).

    La nomination avait paru au site de la Villa Médicis


    Serait-ce « s’en prendre » au pouvoir et à ses media serviles que dedemander le respect de la population et que cessent ces affabulations ? Et, de grâce,  que les Le Roux et Vallaud-Belkacem nous dispensent de leurs commentaires oiseux, comme les rugueux Guy Birenbaum et autres visqueux Bruno Roger-Petit, en gros sabots. 


    Julie Gayet n’avait encore  jamais été nommée ou récompensée aux César du cinéma. L’affaire paraît compromise…

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.

    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme :

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • ARGELIA: Concentración contra la nueva ley de asociaciones

    La Liga Argelina de Defensa de los Derechos Humanos (LADDH), junto con otras asociaciones, ha participado en una protesta, frente a la Asamblea Popular Nacional (equivalente al Congreso) el pasado 12 de enero, en Argel.
    La nueva ley refuerza el papel de tutor del Estado en el movimiento asociativo, permitiéndole un mayor control de las mismas y aumentando su capacidad para prohibir las asociaciones que le resultan molestas.
    El objetivo es claro: la domesticación del movimiento asociativo. Las asociaciones que colaboren con el poder, tendrán vía libre; las asociaciones independientes, que critiquen, movilicen y denuncien, tendrán todo tipo de trabas y problemas e incluso serán prohibidas como ha hecho el gobernador de la wilaya (provincia) de Orán con dos asociaciones molestas. Reproducimos el comunicado de la LADDH )Anexo en francés y árabe)
    COMUNICADO DE PRENSA 01-14 de la LADDH
    La LADDH ha participado en la manifestación de protesta delante de la Asamblea Popular Nacional que se celebró el 12-de enero de 2014 para exigir la derogación de la Ley 06-12 sobre asociaciones. Esta fecha se corresponde con el plazo dado a las asociaciones autorizadas para celebrar una Asamblea, que adopte unos estatutos acordes con la nueva ley.
    Esta ley liberticida tiene como objetivo imponer los dictados de la administración pues ésta no solamente tiene el poder de aceptar o negarse a aprobar una asociación, sino también el poder de disolver la Asociación registrada si su actividad molesta a la administración
    No podemos aceptar que la administración, como una autoridad pública, pueda decidir sobre los conflictos que la enfrentan a las asociaciones de la sociedad civil de la misma manera que no podemos aceptar que se sitúe como tutora de la sociedad civil ya que la mayoría de las asociaciones que trabajan sobre el terreno, constituyen en realidad un contrapoder.
    La actual ley de asociaciones debe ser derogada y volver a una ley cuyos principios básicos sean una norma en materia de constitución de asociaciones. Del mismo modo el `poder para juzgar sobre los conflictos entre la administración y las asociaciones debe volver a los tribunales.
    Continuaremos nuestra protesta de manera pacífica, utilizando todas las posibilidades que nos son permitidas por la ley hasta que esta ley sea derogada, ley que tiene la intención de matar el movimiento asociativo como ha ocurrido con la administración de la Wilaya de Orán que ha intentado por decisión administrativa suspender dos asociaciones que actuaban de acuerdo con su papel de contrapoder..
    Argel 12-01-2014 P / Comité Nacional El Presidente Sr. Salah Krishna
    Equipo de trabajo para el norte de África de la S. de RR. II. de la CGT
    CGT Andalucia, 14/01/2014
  • Mali : El MNLA denuncia el secuestro de un alto cargo de la formación en la localidad de Tessalit

    MADRID, 15 Ene. (EUROPA PRESS) –
    El Movimiento Nacional de Liberación del Azawad (MNLA) ha denunciado este martes el secuestro durante la jornada del lunes del alto cargo de la formación Abounehiya Ag Attayub en la localidad de Tessalit.
    El MNLA ha condenado el secuestro, que ha tildado de « acto criminal », y ha anunciado a través de un comunicado que « tomará todas las medidas necesarias para lograr su liberación y esclarecer las causas del suceso ».
    En abril de 2012, el grupo arrebató todo el norte de Malí, de mayoría tuareg, a las tropas gubernamentales en una rebelión cuyo fin último era la independencia, pero la revuelta fue enseguida secuestrada por tres grupos islamistas: el Movimiento por la Unidad de la Yihad en África Occidental (MUYAO), Ansar Dine y Al Qaeda del Magreb Islámico (AQMI).
    Desde entonces, los islamistas implantaron la ‘sharia’ (ley islámica) en las ciudades de Tombuctú, Kidal y Gao y destruyeron templos históricos en los que, según su criterio, se ejercía la idolatría.
    A pesar de la declaración de independencia formulada entonces por el MNLA, ni Malí ni la comunidad internacional reconocieron el paso dado por el grupo tuareg y finalmente Francia intervino militarmente para detener los avances de los grupos radicales y expulsarles del territorio maliense.
    Los tuaregs han protagonizado varios levantamientos para conseguir que se reconozca la autonomía de dicho pueblo o la creación de un país propio en la región.
    Entre 1990 y 1996, los tuaregs combatieron contra Malí y Níger en una revuelta instigada por una grave hambruna en la región, la dura represión contra los derechos políticos de esta población y la crisis de refugiados derivada de la debilidad política de ambos países durante la década de los ochenta.
    Más recientemente, los tuaregs volvieron a tomar las armas entre 2007 y 2009 a causa de la lenta e insatisfactoria desmovilización e integración de los rebeldes en la vida civil y las Fuerzas Armadas. En el proceso, varios políticos tuaregs fueron destituidos de sus cargos y algunos terminaron en la cárcel.
  • FCC construirá una planta industrial en Argelia

    FCC construirá en Argelia una planta industrial dedicada a la electrólisis de zinc por un importe total de 18,5 millones de euros.
    Con este contrato, el grupo que preside Esther Alcocer Koplowitz refuerza su división de construcción industrial y da un paso más en su internacionalización.
    La obra, que acometerá en consorcio con la firma alemana Ingenium, consiste en la primera fase de ampliación de la instalación, de la firma Alzinc y ubicada en Gazahouet.
    Los trabajos tienen como objetivo mejorar la recuperación de zinc de la planta en un 95%, reducir la cantidad de residuos generados en un margen de entre un 25 y un 50%, y la introducción de nuevos procesos industriales para el tratamiento de los residuos.
    Una vez que concluya la obra, la instalación aumentará su capacidad de producción hasta las 42.000 toneladas anuales desde 36.850 toneladas que actualmente produce al año.
    En paralelo, FCC se ha hecho con la construcción de un gasoducto en Lugo, que unirá Marina y Lucense, paraGas Natural Fenosa por un importe de 10 millones de euros.
    En este caso, las obras consistirán en la construcción de la conducción de hidrocarburos con una longitud de 65 kilómetros en la que se utilizará una tubería con diámetro de 16 pulgadas.
    Con estos contratos, el grupo refuerza su área industrial, que, según datos del grupo, desarrolla su actividad comercial en catorce países y mantiene una presencia permanente en cuatro continentes “con una clara tendencia a la expansión internacional”. Cuenta con contratos de mantenimiento de la distribución eléctrica en España y con un primer contrato en Colombia.
    Noticias Bancarias, 14/01/2014