Mois : janvier 2014

  • Lutte antiterroriste et sécurité dans le Sahel et le Maghreb : L'UE veut impliquer l'Algérie sur le terrain

    par Ghania Oukazi
    Les Européens cherchent à faire signer à l’Algérie un accord global sur la sécurité dont la mise en œuvre concernerait toute la région sahélienne et maghrébine. 
    C’est en substance ce qui se laisse entendre à travers les discussions qui ont été menées durant ces derniers jours par deux de leurs représentants du domaine auprès de plusieurs autorités algériennes. 
    Leurs représentants respectifs pour la région du Sahel et la coordination dans la lutte antiterroriste se défendent en premier de reconnaître que l’intervention militaire de la France dans le Mali a poussé au pourrissement dans la région. «L’intervention ne pouvait pas régler tous les problèmes, elle était ponctuelle ; tout le monde s’est trouvé devant le fait accompli ; la France avait des moyens disponibles pour stopper les agressions, elle a décidé d’intervenir», affirme Michel Reyverand de Menthon, le représentant de l’UE pour la région du Sahel. Il avoue pourtant, qu’«il y a (toujours) beaucoup de groupes terroristes très divisés, (…) on connaît combien la situation est mouvementée». Il veut, par dessus tout, faire «trouver un consensus entre les groupes en action». Entre autres actions lancées à cet effet, dit de Menthon, «l’UE forme des militaires maliens, apporte des aides humanitaires, accorde des soutiens à beaucoup d’ONG, sans compter son parrainage de la conférence des donateurs tenue à Bruxelles le 15 mai dernier et qui a collecté une aide budgétaire appréciable». Il tient à rappeler que «l’UE a commencé par le développement ; la sécurité est venue plus tard (on lui accorde seulement 20% en terme de décaissement, alors que 80% des financements vont vers le développement)». 
    Le coordonnateur de l’UE pour la lutte antiterroriste va, lui, vers l’essentiel et souligne que «l’unité de fusion et de liaison (UFL) (branche renseignement, ndlr) du CEMOC (Commandement de l’état-major commun), est une initiative qui nécessite d’être renforcée par une aide en matière de formation et d’expertise». Il affirme même que «l’Algérie a fait part de sa disponibilité pour que les agents de l’UFL reçoivent une formation». 
    A LA RECHERCHE D’UN DROIT DE REGARD SUR LE CEMOC ET L’UFL ? 
    De Kerchove considère que le renseignement s’impose pour «une approche préventive en matière de sécurité dans la région». Il rappelle que la dernière réunion du CEMOC à Niamey s’est consacrée à l’amendement d’une charte à cet effet. L’on note que le commandement en question est constitué de quatre pays (l’Algérie, la Mauritanie, le Mali et le Niger) appelés «pays du champ». Alger, faut-il le rappeler, a toujours refusé que le CEMOC s’ouvre à d’autres pays et considère ainsi que ce sont ces quatre pays qui sont le plus concernés par la sécurisation la région (le champ). Un principe qui n’agrée ni les Européens encore moins les Américains qui ont déjà demandé à ce que le CEMOC soit ouvert par exemple au Maroc. Ce qui leur permettra d’avoir ce droit de regard qu’ils imposent à toute entité étrangère. Le CEMOC a son siège à Tamanrasset. 
    Le coordonnateur de l’UE pour la lutte antiterroriste salue le fait que «l’Algérie ait développé des actions concertées avec les forces tunisiennes». De Kerchove n’omet pas de noter que de «jeunes combattants rejoignent la Syrie du Maroc jusqu’en Turquie et l’Algérie n’en est pas plus immunisée ; elle l’est peut-être un peu par rapport à la Tunisie et la Libye d’où des jeunes partent le plus». Il a dit que «l’Algérie a commencé à développer des coopérations vraiment importantes avec la Libye». Coopération qu’il souhaite devenir triangulaire en incluant l’UE. Pour ce qui est des armes qui ont été larguées en Libye par les forces de l’OTAN ou distribués par les services de renseignements occidentaux aux rebelles, le responsable européen fait savoir que les USA procèdent au ramassage des missiles sol-sol. Il reconnait qu’ «il y a un vrai problème avec les armes au Soudan et dans le Sinaï en Egypte ; on serait bien inspiré d’être plus rapide en Syrie qu’on l’a été en Libye. Il faut mettre le paquet parce qu’il y a une prolifération d’armes qui risquent de déstabiliser toute la région du Moyen-Orient». Le représentant de l’UE pour la région du Sahel tiendra un autre discours par lequel il affirme que «le marché des armes était là en Afrique avant la crise en Libye». Il souligne que «l’Europe se sent pleinement partie prenante dans la sécurité, parce que l’Europe et l’Afrique, c’est une histoire commune». 
    «LE CONSENSUS AUTOUR DU PAIEMENT DES RANÇONS PROGRESSE» 
    En attendant, Gilles de Kerchove reconnaît au passage qu’à ce jour la communauté internationale n’a pas donné de définition au terrorisme mais, a-t-il précisé, «il lui a été défini le champ d’application». Il évoquera pour cela, la convention juridique qui est actuellement en débat à New York et qui devra venir en soutien à la stratégie mondiale de lutte contre le terrorisme, adoptée à l’unanimité par les Nations unies. Le spécialiste européen s’engage à préciser que le terrorisme et le trafic de drogue ne sont pas forcément liés dans la région. «Notre analyse est qu’Aqmi n’est pas directement impliquée dans le trafic de drogue». Mais, corrige-t-il, «ça ne veut pas dire que l’argent de la drogue ne circule pas dans la région». Il évoquera aussi l’argent des rançons. 
    De Kerchove annoncera alors la tenue «dans deux semaines à Alger, d’une réunion du forum global pour la lutte contre le terrorisme pour en continuer les débats». Il déclare que «le consensus autour de cette question progresse». Il a d’ailleurs noté qu’une première réunion du genre a été aussi tenue l’année dernière à Alger et s’est focalisée sur l’examen d’un mémorandum sur la condamnation du paiement des rançons. 
    Autre chapitre de coopération encouragé, «on est en train, dit de Kerchove, de mettre sur pied à Malte un centre pour la formation des magistrats et de la police judiciaire des pays des printemps arabes». 
    L’UE additionne l’ensemble de ses politiques et de ses actions et semble chercher à gagner du terrain pour faire admettre à l’Algérie la signature d’un accord cadre global régional sur la sécurité. L’on apprend que les discussions sur ce dossier ont été enclenchées en 2006 mais piétinent quelque peu. Le représentant de l’UE pour la région du Sahel a affirmé qu’ «on cherche à formaliser un mode d’emploi pour suivre véritablement les avancées et inventer des projets communs parce qu’on sait qu’on est dans une dimension transfrontalière». Il recommande ainsi
    «de réfléchir sur une coopération transfrontalière à l’appui d’un accord de stabilisation de la région». 
    Il est connu que l’Algérie a toujours mis en avant des principes qu’elle classe «immuables» quand il s’agit de sécurité et de lutte antiterroriste. La non ingérence dans les affaires internes des pays ainsi que le refus de faire intervenir ses troupes militaires en dehors de ses frontières en sont les principaux. Des «dogmes», jugent les Européens qui pensent qu’il faut que l’Algérie s’en débarrasse très vite en raison de la détérioration profonde de la situation sécuritaire dans la région. C’est donc une sorte de mémorandum d’entente sur la sécurité régionale que l’UE cherche à faire avaliser à l’Algérie pour la voir certainement intervenir en cas de conflit en Afrique particulièrement dans les pays limitrophes. En clair, il est question de lui faire faire la salle besogne pour éviter aux pays occidentaux le gaspillage de leur argent en ces temps de crise économique et financière avérée.
    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 

  • WSRW :La Hollande soutiendra des mesures de l'UE pour les tomates du Sahara

    Le gouvernement néerlandais a demandé à la Commission Européenne de fournir des éclaircissements sur ses importations de tomates en provenance du Sahara Occidental, selon le ministre néerlandais des Affaires Étrangères.
    Dans sa réponse aux questions parlementaires le 17 décembre 2013, le ministre des Affaires Étrangères néerlandais Frans Timmermans a déclaré que le gouvernement néerlandais soutiendra une approche à l’échelle européenne en ce qui concerne l’étiquetage des produits du Sahara Occidental, plutôt que l’introduction d’un certificat d’origine par lui-même.
    « Le gouvernement néerlandais attache une grande importance à l’origine des produits », a déclaré le ministre. Par conséquent,  » les Pays-Bas ont insisté pour que la Commission Européenne fournisse plus de clarté sur l’origine des produits du Sahara Occidental, afin que les consommateurs puissent être correctement informés. Mais la Commission européenne n’a jusqu’ici pas pris d’initiatives en la matière ».
    Timmermans est convaincu que des parallèles peuvent être établis entre les cas d’importations en provenance du territoire palestinien et du Sahara Occidental, mais estime que l’absence de consensus sur les importations du dernier peut être attribuée à l’attention limitée que le conflit recueille.
    En août 2012, le gouvernement néerlandais a été le premier gouvernement de l’UE d’affirmer que les produits du Sahara Occidental ne devaient pas bénéficier des régimes tarifaires accordées au Maroc. La déclaration a été le résultat de questions parlementaires basées sur le rapport de Western Sahara Resource Watch «étiquette et responsabilité», qui documente la façon dont les tomates produites au Sahara Occidental occupé arrivent dans les supermarchés de l’UE estampillées Maroc .
    Aucun État au monde ne reconnaît les revendications marocaines sur le territoire du Sahara Occidental.
    Le rapport « étiquettes et responsabilité » est à télécharger ici.
    APSO, 16/01/2014

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • L’étau se resserre autour de l’ambassade du Maroc à Paris

    Le maire de Corbeil-Essonnes Jean-Pierre Bechter, successeur et homme à tout faire de l’industriel et sénateur français Serge Dassault, a été déféré hier vendredi à Paris en vue de sa mise en examen dans une enquête sur des achats de votes présumés. Bechter a été présenté au juge en état d’arrestation.
    L’élu était en garde à vue depuis mercredi dans les locaux de la division nationale des investigations financières (DNIF), dont le siège est à Nanterre (Hauts-de-Seine). Bechter est soupçonné d’avoir bénéficié d’achat de votes présumés, et il risque une mise en examen pour blanchiment et corruption. Sous la pression policière, l’élu risque de « chanter », c’est-à-dire de balancer tout et de révéler certaines vérités pas très reluisantes pour l’ambassade du Maroc à Paris, devenue une dépendance policière.
    Car c’est Bechter qui, dans une conversation téléphonique mise sur écoutes par la police, a révélé que le second de l’ambassade du Maroc à Paris, Riad Ramzi, avait promis à Dassault de faire en sorte que la police marocaine « s’occupe »de trois habitants de Corbeil-Essonnes, dont deux citoyens marocains, durant un déplacement qu’ils allaient effectuer au Maroc.
    « S’occuper » dans le jargon diplomatico-barbouzard signifie arrestation abusive, incarcération, et comme c’est souvent le cas, torture chez nos amis de la DST, la police politique, dans la nouvelle prison secrète de Aïn Aouda, dans la banlieue de Rabat.
    Maintenant, si les autorités marocaines ne font pas pression sur leurs copines françaises pour obtenir une « bonne décision » de justice comme celle, récente, du Conseil d’Etat dans l’affaire Dieudonné, il est probable que le parquet de Paris demande à Rabat de lever l’immunité diplomatique de Riad Ramzi pour l’interroger.
    Et comme tout le monde sait que le diplomate-barbouze fait partie de l’entourage royal (de deuxième classe, il est vrai, la première classe c’est El Himma, Mansouri et compagnie), il n’est pas certain que le ministère des affaires étrangères le consente.
    Il ne restera alors plus au Maroc qu’à rappeler son diplomate à l’administration centrale ou le nommer dans un pays autre que l’Union européenne.
    Badr Soundouss
    DEMAIN, 18/01/2014

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Sahara Occidental : Que peut-on espérer d’un président "normal"…sans scrupules?

    Dans le conflit du Sahara Occidental, le Maroc joue depuis des années sur le facteur du temps pour mater la résistance des sahraouis. Plus de 20 ans après le cessez-le-feu et le lancement du processus de paix sous les auspices de l’ONU, le Maroc récolte tout le contraire de ce qu’il attendait de ses manoeuvres dilatoires en vue de gagner du temps. 
    La seule affaire qui s’est avérée favorable au Maroc avec le temps est la situation en France. En effet, le temps a donné l’accès à l’Elysée à des hommes sans scrupules, voire pervers.
    Si le Maroc offrait aux responsables français tout genre de perversités dans le cadre d’une politique de tourisme sexuel bien étudiée, aujourd’hui la perversité s’est installé en France et pour de bon. D’abord avec Nicolas Sarkozy qui a tout fait pour cacher ses relations avec Carla Bruni et ses turbulences avec la mère de ses enfants pour que les affaires domestiques n’interfèrent pas ses ambitions politiques. Et le lendemain de son accès à l’Elysée, il passait la bague à sa petite chérie.
    La perversité de Sarkozy va l’amener à s’en prendre au peuple sahraoui en soutenant ouvertement les exactions du Maroc au Sahara Occidental. Non sans raison, le président algérien déclarera que la France se venge de l’Algérie en soutenant le Maroc, selon des révélations publiées par Wikileaks. La censure imposée aux rapports du Secrétaire Général Ban Ki-moon donnera raison à Bouteflika. Le rapport est soumis à l’ambassadeur de France au Conseil de Sécurité avant sa publication. Il prendra le soin d’effacer des paragraphes entiers pour les faire remplacer par d’autres qui font l’éloge du Maroc et des « progrès » que ce pays a enregistré sous la direction de Mohammed VI.
    Aujourd’hui, en regardant François Hollande avec son casque et sa moto, lui qui avait dénoncé maintes fois l’exhibitionnisme de Sarkozy, on se dit qu’il n’y a aucune chance que la France change sa politique au Maghreb et en Afrique en général. Sa conduite, non seulement n’a pas été exemplaire, mais elle a été la risée de toute la planète. Nous espérons qu’il ne fera pas comme Giscard d’Estaing dans le passé lorsqu’il ordonna à ses Jaguar d’attaquer les colonnes des combattants sahraouis.

    P.D.: S’il vous plaît, pour dénoncer le veto de la France au Conseil de Sécurité en vue d’empêcher la MINURSO (Mission de l’ONU au Sahara Occidental) de surveiller le respect des droits de l’homme, merci de signer la pétition mise à votre disposition (cliquer ici)

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Marruecos dejará de subvencionar la gasolina y el gasóleo de automoción

    El gobierno de Marruecos anunció hoy que dejará de subvencionar los combustibles de automoción -gasolina y gasóleo- a lo largo del año 2014, una de las medidas potencialmente más impopulares de los últimos tiempos.
    Rabat, 17 ene.- El gobierno de Marruecos anunció hoy que dejará de subvencionar los combustibles de automoción -gasolina y gasóleo- a lo largo del año 2014, una de las medidas potencialmente más impopulares de los últimos tiempos.
    El ministerio de Asuntos Generales y Gobernanza precisó en un comunicado que la gasolina y el gasóleo de automoción « ya no entran dentro de los productos subvencionados por la Caja de Compensación », un mecanismo que consiste en que el Estado asume una gran parte del precio final que el consumidor paga por ciertos productos de base.
    Sin embargo, el comunicado aclara que el final de la subvención del gasóleo (combustible con el que se mueve el 60 % del parque automovilístico marroquí) será gradual: a fecha de hoy, cada litro está subvencionado con 2.15 dirhams (0,2 euros), una cantidad que se irá reduciendo cada trimestre hasta los 0,80 dirhams (0,07 euros) a partir del 15 de octubre, hasta supuestamente desaparecer.
    La medida provocará con certeza alzas en los precios al consumidor de los combustibles y, de rebote, en el transporte público y en el transporte de mercancías, aunque su impacto dependerá de la evolución internacional del barril de petróleo.
    Pese a estas medidas correctoras, la Caja de Compensación seguirá subvencionando el gas butano, el fuel industrial destinado a producir electricidad, el azúcar, la harina de trigo blando y « ciertos productos destinados a las provincias saharauis » que no se detallan.
    La Caja de Compensación ha sido una especie de « patata caliente » para todos los gobiernos marroquíes, que no se atrevían a reformarla por miedo a quebrar la paz social, pese al peso que suponía en unas finanzas públicas lastradas por un déficit superior al 7% en 2011 y en 2012 y que el gobierno espera bajar al 5,5 % en 2013.
    La factura petrolera ha sido siempre la parte más voluminosa de la Caja de Compensación, ya que Marruecos no produce petróleo y depende por completo del mercado internacional para abastecerse.
    Para este año 2014, el gobierno dirigido por el islamista Abdelilah Benkirán, primero que se atreve a reformar la Caja de Compensación, se ha comprometido a no destinar a ese mecanismo más de 35.000 millones de dirhams (3.200 millones de euros).
    (Agencia EFE)
  • EE.UU. ofrece recompensa por terroristas del Magreb

    El gobierno de Estados Unidos dio la condición de grupo terrorista a la organizción Ansar al-Sharia de Túnez y a cabecillas yihadistas de Libia, como Ahmed Boukhtala de Bengazi y Sufian bin Qumu de Derna. 
    Además anunció una recompensa de 10 millones de dólares a quienes proporcionen información que lleve a la captura de los responsables del ataque contra el consulado estadounidense en Bengazi el 11 de septiembre de 2012, junto con otros destacados líderes yihadistas de grupos como Al Qaeda en el Magreb Islámico (AQMI) o Movimiento por la Unicidad [de Dios] y la Yihad de África Occidental (MUJAO).
  • Le Maroc, terre d’asile pour corrompus, violeurs, pédophiles, tortionnaires et dictateurs déchus

    Selon RFI, Marcel Gosso, l’ex-directeur général du Port autonome d’Abidjan, en Côte-d’Ivoire, qui était recherché par la justice de son pays, vivait tranquillement au Maroc depuis trois ans. Naturellement a su et au vu des autorités marocaines.
    M. Gosso, qui a pris ce matin un avion de la RAM pour se rendre à Abidjan où il a été accueilli par des proches parents, n’est pas un saint homme. C’est lui, quand il dirigeait le Port autonome d’Abidjan, une formidable machine à cash, qui a financé pendant de longues années les frasques et les exactions des épouxGbagbo, Laurent et Simone, et leur a permis de résister à la pression internationale durant la sanglante guerre civile qui a secoué ce pays d’Afrique.
    Après la chute de Laurent Gbagbo, en avril 2011, et la fuitede Gosso pour une destination inconnue (le Maroc, mais à l’époque on ne le savait pas), la justice ivoirienne avait lancé un mandat d’arrêt contre lui pour détournements de fonds et pour avoir financé l’armement destiné aux milices pro-Gbagbo qui ont ravagé l’ouest du pays en commettant de nombreux crimes de guerre contre les populations civiles.
    Il faut dire que si c’est normal et même louable que le Maroc donne asile à des personnalités molestées pour diverses raisons dans leurs pays respectifs, paradoxalement le royaume de Mohamed VI n’offre quasiment jamais l’asile à des écrivains, journalistes ou activistes politiques étrangers persécutés chez eux. Ceux qui sont accueillis chez nous sont généralement des crapules.
    En commençant par le politicien français Dominique Strauss-Kahn (DSK),dont les tentatives de viol sur des femmes se comptent à la pelle, comme celle de cette journaliste marocaine dont l’affaire a été étouffée par les autorités marocaines. Il y a aussi l’affaire récente d’Eliezer Berland, ce rabbin pédophile israélien qui s’était installé, avec la bénédiction conjointe des autorités marocaines et de la communauté juive locale, à Marrakech. On se demande bien pourquoi il a choisi la plus débauchée des villes marocaines pour refaire sa vie….
    Mais il n’y a pas que ce genre de « persécutés » qui affluent au Maroc. A l’époque de Hassan II, ce dernier avait failli offrir le gîte au shah d’Iran, expulsé de son pays après une révolte populaire provoquée par une alliance inédite entre la gauche et l’islamisme iraniens. C’était au début des années quatre-vingt. Mais, et heureusement pour son règne, à la dernière minute le tyran a changé d’avis à cause d’un climat social et politique délétère au Maroc. Il avait vu juste. Moins de deux ans plus tard, Casablanca explosait et la grande révolte populaire qui sera noyée dans le sang par l’armée et la gendarmerie de « Sidna » senior, fera des milliers de morts.
    Hassan II se rattrapera en accueillant le dictateur déchu zaïrois-congolaisMobutu Sese Seko, qui mourra dans son lit de Rabat et sera enterré au cimetière chrétien de la capitale marocaine.
    Sous Mohamed VI, depuis quelques années on apprend au compte-gouttes que le Makhzen a offert l’asile à des criminels financiers de haut vol et à des assassins recherchés dans plusieurs pays occidentaux. Sans compterl’hospitalité chérifienne offerte à des tortionnaires et terroristes patentéscomme Abdallah Al Senoussi, l’ex-âme damnée du colonel Kadhafi et son patron des services secrets, qui a passé un mois au chaud au Maroc avant d’être prié de voler pour Nouakchott où il a été arrêté. Cette présence au Maroc de l’homme accusé d’être le commanditaire de l’attentat du DC10 d’UTA, en 1989 qui fit 170 morts dont 54 français, a fait beaucoup jaser à l’étranger. Car officiellement, le Maroc a fait partie de la coalition internationale qui a délogé Kadhafi du pouvoir…
    L’autre cas est celui du capitaine guinéen Moussa Dadis Camara, qui avait été hospitalisé à l’hôpital militaire Mohamed V de Rabat avant d’en être expulsé comme un malpropre sur ordre direct de « Sidna » junior. Peut-être, racontent les mauvaises langues, sur recommandation de la France ou parce qu’il était apparu que le capitaine fou n’avait plus les moyens de reprendre le pouvoir à Conakry. 
    Il existe des dizaines de cas comme ceux-là qui ont fait du Maroc un dépotoir et une terre s’asile pour corrompus, violeurs, pédophiles, tortionnaires et dictateurs déchus.
    C’est à se demander si le régime marocain se croit être dans l’obligation d’être solidaires avec ces malfaisants. 
    Badr Soundouss
    DEMAIN, 17/01/2014

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 

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  • Por un enfoque más dinámico

    El Frente Polisario como organización lleva muchos años en un estado reactivo, raras veces una mezcla de proactividad y reactividad. Para buscar un estado proactivo hay que remontarse a los años setenta y ochenta, años en los que el conflicto estaba en estado latente de alta ebullición, donde se cosecharon grandes éxitos. El estado reactivo actual, casi siempre hace que la organización no se anticipe a los acontecimientos, o no aproveche adecuadamente los acontecimientos favorables.
    Marruecos actualmente se encuentra en una situación muy delicada, está en la cuerda floja como se dice coloquialmente, pero con sus últimos movimientos quiere hacer ver a la opinión pública que su posición sobre la cuestión del Sahara Occidental goza de buena salud. 
    La visita del rey marroquí Mohamed VI a los EEUU, el 22 de noviembre pasado, no ha cosechado los éxitos esperados, pero en vez de conformarse con el fracaso, lanzaron las campanas al vuelo, vendiendo la visita como un éxito, basándose simplemente en el comunicado oficial conjunto (por cierto manipulado por la MAP. marroquí) y la foto del saludo entre el Presidente Barack Obama y el dictador rey marroquí. Estos dos hechos no son más que actos protocolarios de rigor, y en verdad, su significado dista mucho de lo que el majzén pretende hacer creer a la opinión pública. La ofensiva propagandística marroquí no se hizo esperar, movilizando a todos los medios a su alcance, a sus lacayos, al lobby pro marroquí, a la prensa afín, comprando voluntades, etc., con el propósito de que cale el mensaje del éxito de la visita y que los EEUU de América apoyan su fracasado, irreal y cadavérico plan de autonomía, disipando así el tirón de orejas del que han sido objeto respecto a los Derechos Humanos.
    Comparemos estos hechos con los ocurridos a posteriori, primero la visita del primer ministro Francés a Argelia el 16 de diciembre pasado, que se salda con un comunicado contundente que dice textualmente: »Ambas partes acogen con satisfacción el compromiso continuado de la ONU y de la comunidad internacional por una solución justa y duradera, sobre la base de una solución política mutuamente aceptable que permita la autodeterminación del pueblo del Sáhara Occidental ». Segundo, la foto de saludo entre el presidente de la RASD (República Árabe Saharaui Democrática) Mohamed Abdelaziz y el presidente los EEUU de América Barack Obama, en el funeral del Gran Nelson Mandela, esta imagen para el marketing político tiene un valor incalculable, si se utiliza adecuadamente. Mis felicitaciones al Sr. Mohamed Abdelaziz y a sus asesores en este sentido. Pongámoslos en una balanza, lo más probable es que la balanza se inclinaría a favor del pueblo saharaui, sencillamente porque si Francia, amo y señor de marruecos deja de apoyar a la dictadura marroquí, esta se vería obligada a cumplir las resoluciones de la ONU y por consiguiente su derrota definitiva en la cuestión del Sahara Occidental. Por otra parte el saludo entre el Sr. Mohamed Abdelaziz y el Sr. Barack Obama, aunque parezca informal, en cuestiones protocolarias las informalidades no caben de cara a la galería, por lo tanto esto es un revés para el majzén, dejando en segundo plano lo que habían vendido, el 22 de noviembre pasado y siguen vendiendo como éxito.
    Ahora bien, tanto una cosa como la otra, no dejan de ser cuestiones protocolarias. Francia no dejara de apoyar al majzén a corto plazo sin ninguna contrapartida de peso, y los EEUU no reconocerá la soberanía del majzén sobre el Sahara Occidental, ni apoyara explícitamente el fracasado plan de autonomía (en el que no cree ni el propio majzén). Pero la diferencia estriba en que marruecos es experto en propagar bulos, contando con numerosos medios para ello, mientras que nosotros estamos escasos de medios y sin la agilidad de pensamiento lateral para nivelar la situación con todo a nuestro favor, en vez de explotar los acontecimientos que nos favorecen, lo que hicimos es despilfarrarlos, dejándolos en un segundo plano, y la diferencia está allí, al final los errores se pagan muy caros.
    Quizás el caso más sangrante, es la reciente aprobación por parte del Parlamento Europeo del Protocolo de Acuerdo de Pesca entre la Unión Europea y Marruecos. Pongámonos en contexto, y comparemos los resultados de votación del año 2011 y la del año 2013, el resultado es el siguiente, en el año 2011 contamos con 322 votos a favor de suspender el protocolo frente a 296 votos, en el año 2013, 310 votos a favor del nuevo acuerdo y 204 votos en contra (a nuestro favor).
    En esta votación, el estado Español ha jugado un papel muy activo beneficiando al régimen tiránico marroquí, de unos recursos que no le pertenecen y es más llenando las arcas del majzén (40 millones de euros anuales) para que adquiera material bélico y de represión para aniquilar o acallar los focos de resistencia saharaui. El gobierno español ha señalado en varias ocasiones que está velando por los intereses de los pescadores españoles, lo cual es demagógico, teniendo en cuenta que solo se cubrirán menos de mil puestos de trabajos entre directos e indirectos, lo que es insignificante en una tasa de paro de casi el 26%, cerca de seis millones de parados. Los interés son más bien de los armadores y del majzén necesitado de que se le de legitimidad sobre un territorio no autónomo invadido por la fuerza. El estado Español como era de esperar no ceja en su empeño de seguir apuñalando al pueblo saharaui, sin importarle el sufrimiento de los más de quinientos mil ciudadanos saharauis divididos por el muro bélico más largo del mundo (más de 2700 km), una parte en el exilio viviendo de la caridad internacional y la otra aún peor, en la pobreza casi extrema, bajo la represión marroquí. 
    Volviendo a la votación, me pregunto, ¿Qué ha sucedido, para semejante descalabro?, con solo conservar los votos del 2011, el nuevo Protocolo no habría salido adelante y es más, algunos parlamentarios que se abstuvieron o votaron a favor del Protocolo se consideran defensores de la causa saharaui, esto sencillamente es inaceptable. Marruecos no ha ganado el partido, sino que nosotros lo perdimos, esa es la diferencia. En fin, en este tema no todo está dicho, existe una clausula de respeto de los Derechos Humanos que marruecos incumple sistemáticamente, que habrá que hacer valer llegado el momento.
    Por otra parte, creo que no se está aprovechando adecuadamente, una de nuestras mejores bazas actualmente, el reciente hallazgo de las fosas comunes (Informe Meheris: La esperanza posible). Hay que darle a este hallazgo más trascendencia internacional, y acusar formalmente al estado Marroquí (los responsables) y al estado Español de cómplice ante la Corte Penal Internacional, de genocidio (art.6), Crímenes de lesa humanidad (art.7) y Crímenes de agresión (art.8) y no quedarnos solo con la denuncia hecha en España por
    las asociaciones saharauis y pro saharauis. Marruecos como dije está en la cuerda floja, está en el ojo del huracán, y difícilmente puede salir indemne de la violación sistemática de los Derechos Humanos. En el pasado reciente ha sido objeto de numerosos informes de casi todas las Organizaciones Humanitarias (HRW, AI, RFK Center…), de la Unión Europea (informe Tannock), de la ONU (relator contra la tortura) y del Departamento de Estado de los EEUU. Todo esto nos favorece, pero nos toca a nosotros ser agiles, aprovechar totalmente los acontecimientos, darles toda la trascendencia que se merecen, e incidir donde más daño podemos hacer.
    Con todo lo expuesto no estoy diciendo que no se ha hecho nada, realmente se han hecho muchas cosas pero algunos acontecimientos de gran trascendencia, no se trataron adecuadamente. El campamento de la Justicia y la Dignidad de Gdeim Izik, podía haber cambiado el curso del conflicto, si se hubiese tratado desde el principio con un enfoque más dinámico y estratégico, la farsa del proceso de los valerosos presos políticos de Gdeim Izik, las grandes manifestaciones de abril y mayo del año pasado, la manifestación del 10 de diciembre pasado, y un sinfín de acontecimientos más. El conflicto se está moviendo, y los saharauis ahora más que nunca debemos de encauzar todas las sinergias dispersas qué el Frente Polisario no es capaz de aglutinar, en organizaciones ó movimientos políticos complementario a este, para lograr nuestro ansiado objetivo, la independencia. Los movimientos (organizaciones) deben ser complementarios y no alternativos, así no se distorsionaría la legitimidad del Frente Polisario como único representante del pueblo saharaui. Por otra parte, esto obligaría al Frente Polisario como organización a dinamizarse y el majzén recibiría tantos golpes que no sabría por donde le vienen.
    Mahayub Labaihat
    Libres Opiniones, 17./01/2014
  • Quand la monarchie marocaine pyromane joue au pompier

    «Le choix marocain de l’accalmie diplomatique se justifie par la conjoncture délicate que traverse l’Algérie, résultat de l’incertitude politique induite par l’absence d’un candidat pour la présidence du pays, vu les difficultés de santé rencontrées par l’actuel président, Abdelaziz Bouteflika, et son âge avancé». 
    C’est une «source diplomatique» marocaine qui a fait cette déclaration à un journal électronique marocain. Cette même source explique que «le Maroc ne veut être instrumentalisé par aucun pan de la classe politique algérienne, et ne souhaite pas que le conflit avec le Maroc devienne un enjeu algéro-algérien dans la lutte silencieuse que se livrent différentes forces ou personnalités pour accéder à la présidence». 
    La déclaration de la source marocaine fait suite à ce que les Marocains qualifient de «campagne contre le Maroc», menée par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra. Rabat, par la voix de ce diplomate qui a requis l’anonymat, se met dans la peau de la victime pour tenter de faire oublier le grave incident de Casablanca où le Makhzen a instruit un policier en civil pour arracher le drapeau algérien, le 1er novembre dernier. 
    Le Maroc parle «de tentatives de l’Algérie d’internationaliser ses divergences avec le Maroc» et «parie sur le calme et la retenue» pour «éviter d’envenimer les relations avec son voisin». Et de glisser – un trouble obsessionnel compulsif chez les Marocains – la question du Sahara : «Le Maroc parie sur la retenue diplomatique en dépit du fait que depuis cet incident malencontreux du consulat, l’Algérie a sérieusement intensifié ses initiatives et actions inamicales contre la marocanité du Sahara». 
    Cette nouvelle sortie des médias marocains coïncide avec un appel lancé par le Sahara Occidental aux Algériens pour qu’ils participent en grand nombre à la signature d’une pétition destinée au secrétaire général de l’ONU. «Le peuple du Sahara Occidental a échappé à un génocide grâce au soutien des pays amis, l’Algérie en premier lieu», lit-on dans un communiqué dont Algeriepatriotique détient une copie. «C’est la raison pour laquelle nous nous adressons aujourd’hui aux Algériens, où qu’ils soient, pour qu’ils expriment, à nouveau, leur solidarité avec le peuple sahraoui en signant une pétition(*) adressée au secrétaire général des Nations unies pour que la Minurso soit chargée de veiller sur le respect des droits de l’Homme au Sahara Occidental». Il n’y a pas de doute que les Algériens répondront positivement à cet appel.
    Karim Bouali
  • La siège de la MINURSO assailli par un groupe de jeunes sahraouis

    Le « Groupe Choumoukh » (Groupe de la Fermeté) a réussi à s’introduire à l’intérieur du siège de la MINURSO à Mahbes, dans le nord-ouest du Sahara Occidental.
    Après sa sortie du siège de la mission onusienne, le groupe a été capturé par la gendarmerie marocaine et conduit à la ville de Guelmim, dans le sud du Maroc.
    Dadi Hmada, Athman Tanakh, Ouahid Hidi, Boujoumaa El-Idrissi et Mohamed Salouki se trouvent actuellement entre les mains de la gendarmerie marocaine.
    Selon les premières informations arrivées à notre rédaction, Dadi Et Tanakh souffrent de graves blessures, ce qui laisse présumer qu’ils ont été victimes de torture. Les gendarmes affirment qu’ils ont été blessés par les barbelés qui entourent le siège de la MINURSO.
    Selon le site Saharanezstoday, les autorités marocaines ont l’intention de livrer le groupe à la justice marocaine.
    Ce groupe a déjà assailli le siège de la MINURSO dans la ville de Smara, à l’Est d’El Aaiun, capitale occupée du Sahara Occidental.

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy