Mois : janvier 2014

  • Televisión muestra primeras imágenes de Buteflika tras superar control médico

    Argel, 19 ene (EFE).- La televisión oficial argelina mostró hoy las primera imágenes del presidente Abdelaziz Buteflika desde su regreso a Argel el pasado jueves, proveniente de Francia, donde fue sometido a varias pruebas médicas para determinar su estado se salud.
    Buteflika, que en 2013 permaneció casi tres meses hospitalizado en un centro médico de París, aparece sentado, en unas imágenes difundidas sin sonido, dialogando con el presidente de Mali, Ibrahim Bubakar Keita, de visita oficial en el país.
    Un estático Buteflika, vestido de traje, escucha las explicaciones de Keita, durante una reunión en la que también participaron los ministros de Exteriores de ambos países, el primer ministro argelino, Abdelmalek Selal, y el presidente del Senado de Argelia, Abdelkader Bensalah.
    Buteflika, que gobierna desde 1999, se desplazó el pasado lunes al hospital militar parisino de Val de Grace para ser sometido a unas « pruebas rutinarias », según informó en su momento la Presidencia del país.
    El viaje, que se produjo en vísperas de la expiración del límite legal para convocar los comicios presidenciales, que vencía hoy, domingo, desató los rumores en el país sobre su estado de salud, sobre el que no se han difundido detalles.
    El jefe de Estado, de 76 años, y cuyo último discurso público se remonta al 8 de mayo de 2012, aun no se ha pronunciado sobre sus intenciones de presentarse o no a los próximos comicios presidenciales que tendrán lugar el 17 de abril. EFE
  • EM : Une semaine de manifestations pacifiques violemment réprimées au Sahara Occidental

    La troisième  semaine de janvier 2014 est marquée par de nombreuses manifestations sahraouies dans tout le territoire occupé du Sahara Occidental. Toutes ont été réprimées violemment par la police coloniale marocaine. Il semble que des ordres ont été donnés encourageant la violence sans sommation comme méthode dissuasive de toute manifestation d’expression populaire. C’est à l’encontre de tous les droits nationaux et internationaux qui affirme le droit à la liberté d’expression. Ci-dessous un résumé des principales manifestations.

    Samedi 11 janvier 2014, la coordination des jeunes sahraouis « qui rejettent la nationalité marocaine » organise à 17h GMT une manifestation rue Essmara à El Aaiun en solidarité avec les prisonniers politiques sahraouis. Plus de 150 manifestants lèvent les pancartes et sont attaqués quelques minutes après par les forces d’occupations. 16 manifestants sont blessés. Voir https://www.youtube.com/watch?v=VBOAHzOBmb8

    Dimanche 12  janvier, une manifestation pacifique regroupe une centaine de Sahraouis rue Jamal Eddine El Afghani, quartier Quiadat Boukra’a à El Aaiin. Ils demandent que soit respecté leur droit à l’autodétermination, à l’indépendance. Les forces d’occupation interviennent violemment et chassent les manifestants dans les rues. Ils entrent de force chez la militante sahraouie Lala Hatra Aram, la blessent à l’oeil et saccagent sa maison. Notre correspondant a constaté les blessures mais aussi que les forces d’occupation ont mis le feu à une partie de la modeste maison. Voir vidéo https://www.youtube.com/watch?v=PboT-rG8NOs

    Lundi 13 janvier, à l’aube un groupe spécial de la police enlève Mohamed Ali Lmbarki et Hadi Mohamed, 17 et 15 ans, deux activistes sahraouis mineurs. Ils sont conduits vers un endroit qu’ils ne reconnaissent pas. Selon des activistes des droits de l’homme qui ont pu entrer en contact avec eux depuis, les 2 mineurs sont soupçonnés d’avoir d’attaqué au cocktail Molotov une fourgonnette de police marocaine la veille au soir. Ce qu’ils nient catégoriquement. A l’heure de la publication de cet article, les deux jeunes sont toujours en garde-à-vue, dans les locaux de la préfecture de police.
    Il est à déplorer que la chaîne française « France 24 » ait publié la déclaration de la Wilaya de El Aaiun à propos de l’attaque au cocktail Molotov, sans donner la parole aux activistes sahraouis.
    Les mêmes activistes ont dénoncé la manoeuvre des services secrets marocains qui ont mis en scène des policiers en civil couverts de turbans et brûlant le seau d’une poubelle. Cette vidéo visant à invalider le pacifisme des Sahraouis a été diffusée juste après le lancement de la campagne nationale et internationale pour l’élargissement des compétences de la Minurso à la surveillance des droits de l’homme au Sahara Occidental.

    Le même jour, 13 janvier, à 17 h, plus de 200 sahraouis se rassemblent pour une manifestation pacifique rue Essmara pour revendiquer l‘élargissement du mandat de la Minurso, à l’appel de la coordination des associations et comités sahraouis de défense des droits de l’homme. 5 minutes après leur rassemblement les forces d’occupation en civil et en uniforme interviennent brutalement pour les disperser. Plus de 120 personnes sont blessées, dont une soixantaine de femmes.
    Mariem Bourhimi, Sabar Bani et Mohamed Saleh Zerouali des journalistes de notre Équipe présents sur place sont pris à parti violemment eux aussi. Mariem, 28 ans, est blessée, son bras droit est cassé. https://www.youtube.com/watch?v=fp-FcTIU10c

    Après cette intervention, plusieurs manifestations s’organisent spontanément dans les quartiers les appartements rouges, Erraha, Lahchicha, rue Echaouia, rue Mezouar, rue Tan Tan,  quartier Ma’atalah, quartier Lina’ach, quartier El A’aouda et quartier Douirat de El Aaiun.

    Rue du 24 novembre, prés de Colomina Erradsa, les forces d’occupation interviennent brutalement contre une manifestation d’une soixantaine de personnes, et blessent l’activiste sahraoui Daikh Lbkai à la tète par leurs jets de pierre. Daikh Lbkai, 17 ans, est transporté en urgence à l’hôpital où il est opéré. Il est toujours hospitalisé et semble aller mieux, mais n’a toujours pas retrouvé l’usage de la parole.

    Simultanément, les forces d’occupation se déploient dans le quartier Lina’ach de El Aaiun, scandent des slogans racistes contre les sahraouis, et crient « sortez fils de putes ».

    À Essmara occupée, le 15 janvier, 200 manifestants revendiquent  le respect des droits fondamentaux du peuple sahraoui. 4 citoyens sahraouis sontblessés lors de l’intervention brutale des forces d’occupations.
    Soukaina  Belkher, 35 ans, est blessée au niveau des cervicales et elle est  transportée en urgence à l’hôpital de El Aaiun. Outre les douleurs dues aux coups, elle souffre de maux de têtes, vertiges. Elle est toujours à l’hôpital et doit garder une minerve.
    Brahim Hamma, Lhafed Saleh Boujma’a, Mohamed Slimi, sont séparément enlevés pendant et après la manifestation par les forces sécuritaires et sont conduits en dehors de la ville dans une fourgonnette, torturés puis relâchés en mauvais état dans le désert. Brahim Hamma, 25 ans, est blessé à la tête et au cou et a été soigné à l’hôpital. Lhafed Saleh Boujma’a, mineur, souffre de blessure à la tête, au dos et aux genoux. La manifestation de protestation organisée par sa famille devant la province est brutalement dispersée. Mohamed Slimi, mineur lui aussi, blessé à la tête et aux genoux témoigne ici :https://www.youtube.com/watch?v=y8h47kLZd5I&feature=youtu.be

    Vendredi 17 janvier 2013, cinq activistes sahraouis entrent au siège de la Minurso à El Mahbes à l’Est de Essmara occupée, demandent à ce que le référendum d’autodétermination de leur peuple soit mis en place et s’installent pour un sit in de protestation face à l’absence de réponse des membres de la Minurso.
    Après quelques heures, ils sont remis à la gendarmerie militaire marocaine, qui les conduit au commissariat de police de Guelmim au sud du Maroc, d’où ils sont relâchés après avoir été interrogés.

    À Boujdour occupée, samedi 18 janvier au soir, Mohamed Ehouiria, Chaikh Kmach, Mohamed Yahdih Trayah, Kharachi Yahdih, Kamal Zoubair, Sid Ahmed Babait, Emjayed Erra’ai, Kouirir Salek, Mohamed Salem Fennich, militants connus de l’Intifada sahraouie sont arrêtés par des patrouilleurs dans la rue principale de la ville. Ils sont conduits au centre de police, torturés puis amenés hors de la ville et relâchés dans une décharge à ordures.
    Notre correspondant à Boujdour rappelle que ces militants sont régulièrement harcelés et insultés, ainsi que l’activiste sahraouie Sultana Khaya dont la maison de la famille est toujours encerclée par la police marocaine.

    Retrouvez EM :
  • Dieudonné : «C'est en Algérie que je vais filmer mon spectacle interdit en France»

    Le DVD du spectacle «Le mur» de Dieudonné, interdit en France, sera tourné en Algérie. L’annonce vient d’être faite par l’humoriste français qui fait face à un harcèlement sans précédent du lobby sioniste en France. 
    C’est une véritable gifle que Dieudonné vient d’infliger aux autorités politiques de son pays qui tentent par tous les moyens de l’empêcher de s’exprimer dans l’Hexagone. Plusieurs décisions administratives ont été prises par le ministre de l’Intérieur, relayées par d’autres administrations locales, pour satisfaire aux desiderata du lobby sioniste, extrêmement influent en France. 
    Les spectacles de l’humoriste ont été interdits l’un après l’autre dans les différentes régions où ils étaient programmés. Des fans de Dieudonné avaient tenté de résister à cette vague d’interdictions sans précédent, mais les services d’ordre sont intervenus pour réprimer toute manifestation de soutien à celui que les organisations juives montrent du doigt pour ses prises de position courageuses contre le sionisme et l’influence que celui-ci exerce sur tous les rouages de l’Etat français. 
    Dans une interview à Algeriepatriotique, le militant antisioniste, d’origine israélienne, Gilad Atzmon, a estimé que «Dieudonné a montré qu’il pouvait résister à la terreur nationaliste juive». Pour ce jazzman installé en Grande-Bretagne, toutes les tentatives visant à détruire Dieudonné «ont produit l’effet contraire, l’aidant à affiner son humour et sa critique du pouvoir juif». «Mais Dieudonné a réussi à exposer le continuum mortel entre le lobby juif, le soi-disant mouvement de solidarité avec les Palestiniens et l’establishment de la Gauche française qui n’existe que dans l’imagination», a encore affirmé Gilad Atzmon. 
    Dieudonné s’était rendu à Alger en juillet 2011 et en février 2013, où il avait donné un spectacle et animé une conférence de presse. Il va sans dire que les Algériens accueilleront les bras grands ouverts cet humoriste militant qui se bat par le rire contre la machine broyeuse du sionisme qui a étendu ses tentacules à toutes les sphères de décision en France.
    Sarah L.

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 


    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • MOHAMED ABDELAZIZ APPELLE À UNE INTERVENTION ONUSIENNE

    Répression des Sahraouis à Laâyoune et Smara
    Le secrétaire général du front Polisario, Mohamed Abdelaziz, a appelé l’ONU à «une intervention urgente pour protéger les civils dans les territoires occupés du Sahara occidental». «Les Nations unies ne peuvent rester les bras croisés devant les scènes de violence, les blessures, le sang et les attaques répétées contre les civils sans défense dans un territoire sous leur responsabilité directe», a écrit Mohamed Abdelaziz dans une lettre adressée au SG de l’ONU Ban Ki-moon.
    Cette lettre fait suite aux répressions que subissent les Sahraouis particulièrement dans la ville de Laâyoune, zone de tensions ces derniers temps et notamment ces deux derniers mois. Des médias sahraouis ont rapporté cette semaine le passage à tabac d’une Sahraouie par les forces de sécurité marocaines, qui ont ensuite brûlé sa maison. 
    Dans ce contexte, M. Abdelaziz a souligné que «la violence systématique exercée contre les civils sahraouis dans les territoires occupés et au sud et à l’intérieur du Maroc a commencé à prendre une forme d’intimidation dangereuse et à affecter les citoyens sahraouis même à l’intérieur de leurs maisons».
    Qualifiant cette situation de «grave», il a indiqué que «l’Etat d’occupation a augmenté ses violations aveugles contre les citoyens sahraouis», rappelant « l’intervention brutale de ses forces pour disperser les manifestations pacifiques organisées mercredi dernier dans la ville occupée de Laâyoune, laissant plus de 70 blessés, dont des femmes, des enfants, des personnes âgées et des personnes ayant des besoins spéciaux ».
    Le président sahraoui a également souligné que «les violations des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara occidental par le Maroc ne peuvent plus être tolérées », appelant l’ONU à « intervenir d’urgence pour mettre fin à cette grave escalade de la répression et à accélérer la création d’un mécanisme qui permet à la MINURSO de protéger, de surveiller et de rapporter la situation des droits de l’homme au Sahara occidental ». 
    Sur le terrain, les forces de police marocaines ont réprimé vendredi une manifestation convoquée par la Coalition des associations sahraouies des droits de l’homme dans la ville de Smara. Cette intervention a causé plusieurs blessés dont certains ont été évacués à l’hôpital régional de la ville, indique-t-on. La manifestation a été organisée pour revendiquer l’élargissement des prérogatives de la MINURSO pour protéger les des droits de l’homme au Sahara occidental.

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 


    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Un enseignant marocain dément avoir écrit contre l’Algérie

    Ahmed Abbou, enseignant à Oudjda, dénonce une grave manipulation dont il est victime. Dans un commentaire adressé àAlgeriepatriotique, il dément catégoriquement avoir été l’auteur d’un article incendiaire contre l’Algérie, publié sur les colonnes du quotidien marocain Lemag.ma. «C’est juste pour vous dire que je n’ai jamais signé d’articles sur le site le Mag.ma et encore moins l’article que vous avez cité : « L’Algérie ou l’art de l’imposture »», souligne-t-il dans ce message. 
    Visiblement habitué aux pratiques viles de l’oligarchie gouvernante, cet enseignant poursuit en disant que «ni vous ni moi ne devons être étonnés par ce type de comportement d’une presse aux ordres du Makhzen et du palais royal, particulièrement envers les hommes et les femmes qui revendiquent liberté et dignité, et dont le récent cas de Ali Anouzla (patron de presse traité de terroriste pour avoir défendu la liberté d’écrire et de penser) en est une parfaite illustration. Amicalement». 
    Installé à Oudja, une ville frontalière de l’Algérie, cet enseignant marocain n’est pas dans la même posture hostile à l’égard de l’Algérie que le Makhzen et ses sbires médiatiques. Les Marocains de Oudja sont connus pour avoir toujours eu de relations fraternelles, voire même familiales avec les Algériens de l’ouest. 
    Cet article signé au nom de cet enseignant a été particulièrement critique et haineux envers l’Algérie, comme d’ailleurs le reflète le titre. «Tous les observateurs avertis et tous les spécialistes en géopolitique s’accordent à dire que l’Algérie d’aujourd’hui n’est en fait que la résultante d’une imposture, d’une grande imposture», peut-on lire dans ce texte. Un texte rédigé, selon toute vraisemblance, dans les bureaux du Makhzen dont les rédacteurs, ouvertement anti-algériens, se sont bien délectés en usant et abusant de qualificatifs qui en disent long sur l’état d’esprit de la caste qui tient les rênes de cette monarchie en faillite économique et visiblement morale. 
    Le Makhzen marocain ne prend plus le soin, ni les précautions d’usage pour maquiller ses terribles opérations de manipulation et de conditionnement de son opinion publique. Aux abois en raison notamment de la crise économique dans laquelle il s’enfonce, le royaume chérifien utilise tous les moyens en sa possession pour dénigrer l’Etat algérien. Peine perdue.
    Sonia Baker
  • Otra lectura es posible

    Se confirma el fracaso rotundo de la visita del monarca marroquí a los EEUU, el 22 de diciembre pasado, lo que antes eran conjeturas (Por un enfoque más dinámico) ahora con datos fehacientes, por cierto también manipulados por la MAP. marroquí, como era de esperar.
    Veamos él contexto, el 15 de enero de 2014, el congresos americanos aprueba la ley de presupuestos 2014, en los que se incluye una partida presupuestaria de ayuda a Marruecos, extensible a los Territorios del Sahara Occidental, bajo el título “Programa de Desarrollo Rural”
    La partida en cuestión está en la página 1234, epígrafe h (División A, Titulo III), dice textualmente: “Funds appropriated under title III of this Act that are available for assistance for Morocco should also be available for assistance for the territory of the Western Sahara: Provided, That the Secretary of State, in consultation with the Administrator of the United States Agency for International Development, shall submit a report to the Committees on propriations, not later than 90 days after enactment of this Act, on proposed uses of such assistance.”(1)
    Ahora veamos lo que dice la MAP. Marroquí:

    أعقاب ز اٌرة العمل الرسم ةٌ الت قام بها صاحب الجلالة الملك محمد السادس إلى الولا اٌت المتحدة، وقع الرئ سٌ الأمر كٌ باراك ”
    أوباما، مساء أمس الجمعة، على وث قٌة إصدار قانون المال ةٌ لسنة 2014 ، الذي نٌص على تخصصٌ مساعدة لتمو لٌ مشار عٌ التنم ةٌ
    بالأقال مٌ الجنوب ةٌ للمغرب

    De la redacción del texto se desprende claramente que el Sahara Occidental, y Marruecos son dos territorios distintos, y que la partida, está destinada para el Programa de Desarrollo Rural marroquí por una parte y el del Sahara Occidental (se entiende Territorios Ocupados ilegalmente por Marruecos) por otra parte. Esto se verá más claramente cuando la partida en cuestión se desglose.
    Ahora, me pregunto ¿Dónde está el éxito que vende marruecos y sus lacayos?, creo más bien que es una derrota en toda regla. Los EEUU en vez de destinar la partida a un todo sin distinción de fronteras, se destina diferenciado las partes, claramente Marruecos y el Sahara Occidental, pero hay quien ve en este hecho un claro cambio en la política jurídica exterior de los EEUU, como si eso es tan simple, pero ojo al dato. Bueno, sin extenderme más sobre el tema, del que se pueden sacar muchas conclusiones más, pero las dejo al criterio de cada cual, allí están los hechos y que cada cual saque las propias.
    Por otra parte, el sábado pasado, concluyo la reunión anual del Consejo Nacional Saharaui, con un balance general del programa de gobierno correspondiente al año 2013, bastante “positivo”. Así mismo cada ministerio hizo su balance particular y casi todos son elogios, con desmesurados “éxitos”, marruecos esta casi “derrotado”.
    Para hacer un análisis creíble, hay que tener una visión global del tema que se quiere abordar, separar lo importante de la paja, e incidir en la columna vertebral del tema, extrayendo las bases sobre las que se cimentaran las conclusiones y las recomendaciones. Supongo que todos los saharauis tenemos una visión global del conflicto y su desarrollo, quizás unos más que otros, pero en general sabemos cuáles son nuestras principales debilidades y fortalezas. Por lo tanto, no hay más ciego que el que no quiere ver. 
    Vuelvo a insistir en que las sinergias que el Frente Polisario no es capaz de aglutinar deben unirse en distintas organizaciones o movimientos complementarios a este, para dinamizar el panorama, porque con tantos elogios, quizás seguiremos anclados muchos años más.
    Mahayub Labaihat
  • El exprimer ministro argelino Benflis presenta su candidatura a las presidenciales

    Argel, 19 ene (EFE).- El exprimer ministro argelino Ali Benflis presentó hoy su candidatura a las elecciones presidenciales de Argelia, previstas para el próximo 17 de abril.
    En un discurso pronunciado ante numerosos periodistas y varias decenas de sus más cercanos colaboradores, Benflis presentó también los principales ejes de su programa, que prometió difundir en los próximos días.
    « Con honor, determinación, confianza y mucha humildad he tomado la decisión de ser candidato a la presidencia de la República », dijo Benflis, que ocupó la jefatura del gobierno bajo la presidencia del actual presidente, Abdelaziz Buteflika, entre 2000 y 2003.
    Benflis, de 69 años, y que también ocupó entre 2001 y 2003 el cargo de secretario general del principal partido argelino, el Frente de Liberación Nacional (FLN), ya fue candidato a la presidencia en los comicios de 2004, en los que quedó en segunda posición tras Buteflika, con menos del 6,5 por ciento de los votos.
    En un discurso generalista, en el que evitó entrar en cuestiones concretas o polémicas, Benflis planteó una defensa a ultranza del Estado de Derecho, que calificó como la única solución para garantizar la paz y la igualdad de oportunidades y de derechos y deberes de los argelinos.
    « La edificación de un Estado de Derecho es un proceso largo y complejo que exige instituciones sólidas y creíbles, así como el respeto de la ley en todos los niveles », subrayó.
    Asimismo, instó a restablecer la confianza entre el ciudadano y la justicia, a desarrollar y reformar la educación, a mejorar el sistema de salud y a crear nuevas empresas para ofrecer más oportunidades de trabajo, especialmente a los jóvenes.
    Benflis, que en 1999 dirigió la campaña electoral que llevó a Buteflika al poder por primera vez y que en 2004 se convirtió en el principal rival del jefe de Estado, también instó a la instauración de « un pacto nacional contra la corrupción » y a simplificar los procedimientos administrativos y burocráticos que, en su opinión, « están, en gran parte, en el origen de la corrupción ».
    « Es necesario acabar con la impunidad, consagrar la igualdad de todos ante la ley y rendir cuentas a los argelinos de todo dinar que se gaste », dijo Benflis, quien fue interrumpido en varias ocasiones al grito de « Benflis presidente ».
    El nuevo candidato, que se ha mantenido prácticamente alejado de la vida política desde su derrota electoral de 2004, también defendió el desarrollo de las libertades individuales y colectivas así como el derecho a la información y la libertad de expresión.
    En su discurso, Benflis también quiso mostrar su apoyo a la iniciativa privada o a la libre creación de sindicatos y asociaciones, antes de pedir el voto por « un cambio responsable ».
    El anuncio se produce dos días después de que Buteflika publicara el decreto presidencial en el que se fijan las próximas elecciones.
    Desde ayer, sábado, los aspirantes cuentan con 45 días para presentar sus candidaturas.
    Hasta el momento, varios dirigentes políticos como Luisa Hanun del Partido de los Trabajadores; Mohamed Benhamu, de Al Karama; Ali Fawzi Rebain, de Ahd 54, o Sofiane Yilali, de Yil al Yadid, así como el también exprimer ministro Ahmed Benbitur han mostrado sus intenciones de presentarse.
    Por su parte, Buteflika, sobre quien Benflis no hizo ninguna referencia en las casi dos horas que duró su discurso, todavía no se ha pronunciado sobre sus intenciones de concurrir o no a los comicios.
  • Rescatan a un inmigrante de salpicadero de un coche por sus gritos de auxilio

    Un inmigrante subsahariano ha sido rescatado en la frontera de Ceuta con síntomas de asfixia del salpicadero de un vehículo, donde se había escondido, tras oir la Guardia Civil sus gritos de auxilio.
    Según han informado hoy a Efe fuentes policiales, los hechos se han producido en las últimas horas en la frontera del Tarajal que separa la ciudad de Marruecos.
    En unos momentos en que había retención de vehículos en la frontera, unos gritos de auxilio alertaron a los agentes de la Guardia Civil.
    Los agentes apartaron al vehículo de la cola y comprobaron que en el interior del salpicadero estaba oculto un subsahariano que iba a ser introducido en la ciudad.
    El conductor del coche, natural de Marruecos, ha sido detenido.
    ABC, 19/01/2014
  • Maroc : Les diseuses de bonnes aventures

    Face à la descente en enfer du Maroc dans la question du Sahara Occidental, le Makhzen se trouve dans l’embarras devant son opinion publique. Le peuple marocain, pour continuer à applaudir l’aventure coloniale marocaine au Sahara Occidental a besoin d’arguments convaincants. Le gouvernement marocain n’a pas trouvé mieux que de s’en prendre à l’Algérie pour justifier ses échecs. 
    Ainsi, depuis le décès calamiteux de son faux projet d’autonomie pour le territoire sahraoui, le Maroc n’a cessé de pêcher dans les milieux juifs des mercenaires de la plume qu’il promeut aux rang de « spécialistes » dans les questions du Maghreb, du terrorisme, du Sahara Occidental… dont la spécialité n’est autre que la flatterie en échange de quelques dollars. 
    Pendant que le Maroc est décrit comme le paradis sur terre, ils annoncent les pires catastrophes pour l’Algérie. Pourtant, la récente décision du gouvernement marocain de mettre fin aux subsides des carburants est considéré comme le détonateur d’une implosion sociale sûre, l’élément économique étant le facteur principal qui a bouleversé les régimes de Ben Ali et Moubarak. 
    L’Algérie, avec sa croissance et sa rente pétrolière provoque la jalousie du voisin qui, pour subvenir à ses rêves impériaux a converti le Maroc en une gigantesque maison close à ciel ouvert qui a largement concurrencé le tourisme sexuel thaïlandais. 
    Les experts apportés par le Maroc se sont avérés des diseuses d’aventures pour le Maroc et de mésaventures pour l’Algérie en échange de quelques « gâteries » à l’hôtel de la Mamounia ou dans les palais du roi Mohammed VI. Malgré leur « savoir », ils sont incapables d’expliquer au peuple marocain pourquoi, après 38 ans, aucun pays au monde ne reconnaît la souveraineté du Maroc sur le Sahara Occidental. Pourquoi, après près de 40 ans, l’autodétermination est restée la seule solution pour le conflit le plus ancien après celui de la Palestine.

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.
    En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 


    https://secure.avaaz.org/fr/petition/Ban_Kimoon_Elargir_les_competences_de_la_MINURSO_pour_la_supervision_du_respect_des_dr/?copy

  • Sahara occidental : Des milliers de manifestants à Smara et El Ayoune

    Dans le cadre du lancement de la campagne pour l’élargissement du mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l’Homme, des milliers de Sahraouis ont manifesté mercredi dernier.
    L’année 2014 commence bien mal pour le Maroc : comme en 2013, les Sahraouis sont sortis mercredi dernier dans la rue à El Ayoune et Smara et d’autres localités pour faire entendre leurs voix à l’appel de la Coordination des associations des droits de l’Homme. 
    Et ce, dans le cadre du lancement de la Campagne nationale et internationale pour l’élargissement du mandat de la Minurso (Mission de l’ONU pour le Sahara occidental), notamment en ce qui concerne le volet de surveillance des droits de l’Homme. «Nous appelons le monde à intervenir pour faire cesser cette violence et cette occupation. 
    En particulier les ONG solidaires, les sympathisants et les défenseurs de la justice, où qu’ils soient, à envoyer des lettres aux Etats membres, permanents et non permanents, du Conseil de sécurité, demandant la prorogation du mandat de la Minurso», a déclaré Brahim Dahan, vice-président de l’association sahraouie des droits de l’Homme, ASVDH. 
    Pour mémoire, en avril 2013, la proposition américaine d’intégrer la question des droits de l’Homme à la mission onusienne, avait été rejetée, suite à l’opposition de la France, par le Conseil de sécurité de l’ONU. 
    A El Ayoune, les forces de répression marocaines ont violemment réprimé les manifestations ayant éclaté dans plusieurs quartiers de la ville, faisant plusieurs dizaines de blessés. L’habitation d’un membre d’un activiste a été encerclée par les forces de police.
    Le même jour, Smara a également été le théâtre de manifestations populaires. Ainsi, malgré les lourdes peines de prison allant de vingt ans à la perpétuité prononcées contre les 24 manifestants du camp de Gdeim Izik en février 2013, les Sahraouis ne désarment pas. 
    Même dans les universités marocaines, les étudiants sahraouis, soutenus notamment par le parti de gauche Ennahdj Dimocrati, n’hésitent pas à braver la répression pour dénoncer les violations des droits de l’Homme et exiger le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui.
    Une chose est sûre, le projet de développement du Sahara occidental d’un montant de 14 milliards d’euros d’investissements publics et privés prévoyant la création de 120 000 emplois sur dix ans, n’a nullement fait taire les aspirations des Sahraouis au droit à l’autodétermination. 
    Qui plus est, l’encouragement par la monarchie à des «colons» venus du nord pour s’installer dans le sud, moyennant emplois, doublement des salaires, des prix subventionnés et octroi de parcelles de terre pour ceux qui choisissent de s’investir dans l’agriculture ou de lots de terrain pour construire, n’a fait qu’accroître le ressentiment des Sahraouis contre la monarchie marocaine qui cherche à les priver de leurs droits les plus élémentaires dont celui de décider de leur avenir et celui de leurs enfants.
    Le Soir d’Algérie, 19/01/2014

    A cause du veto de la France au Conseil de Sécurité, la MINURSO (mission de l’ONU au Sahara Occidental) ne peut rapporter sur la situation des droits de l’homme dans cette dernière colonie africaine.En vue de mettre fin à cette anomalie, nous vous prions de bien vouloir signer cette pétition adressée à Ban Ki-moon pour demander l’élargissement du mandat de la MINURSO pour la surveillance des droits de l’homme : 


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