Année : 2011

  • Différence de traitement du conflit du Sahara occidental entre Hassan 2 et Mohamed VI

    Pour finir mes commentaires sur cette question avant que d’autres développements politiques ne se produisent, je résume un peu la situation actuelle qui est née avec la nouvelle approche marocaine concoctée par le Makhzen, une approche qui est imposée à l’ensemble des partis politiques et des médias marocains :
    1e volet
    Les réfugiés sahraouis (originaires du Sahara Occidental, ndds), dans les campements de Tindouf, sont des otages marocains détenus par des mercenaires brutaux (Même H2 n’a pas osé avoir cette idée ingénieuse…)
    Les Réfugiées sahraouis subissent les pires atrocités et un lavage de cerveau avec de fausses histoires.
    Les réfugiés sahraouis sont séquestrés et empêchés de retourner au Maroc, leur patrie et leur terre natale où il y a un roi qui les attend à bras ouvert et qui leur promet liberté avec ses monts et merveilles.
    Le Polisario et les éléments indépendantistes qui commandent ces campements sont faits par et pour le DRS.
    Le DRS sont une organisation criminelle donc le Sahraouis qui les servent le sont tout autant.
    2e volet 
    (Dernier cri du service marketing royal, l’homologue de notre sinistre laboratoire de l’action psychologique)
    Polisario = contrebande = drogue. 
    Polisario = terrorisme = AQMI = Ben Laden
    Le 2e volet est quand même révélateur de la panique et de l’impatience du régime marocain pour en découdre avec « l’Algérie » qu’il accuse de tous les maux. Il veut trouver une solution radicale à ce problème politique qui obère son budget et terni l’image du Maroc sur la scène internationale. On sait ce qu’il advient des mensonges de Bush qui a voulu faire un lien entre Saddam et Ben Laden. Comme quoi, le makhzen n’apprend rien de l’histoire…
    Moralité de ces tergiversations, est que le fils de H2 se montre moins intelligent, mais plus dangereux que son père. Puis qu’il une solution parrainée par l’ONU et la communauté internationale sur la base du référendum d’autodétermination, je suis certain que son hostilité pour l’Algérie augmentera avec son âge… Et la meilleure manière de préserver la paix avec lui tout en gardant le soutien du peuple sahraoui, serait de préparer la guerre. Capituler devant la politique annexionniste du Maroc donnera un coup fatal à la fierté algérienne dont le makhzen et les marocains gloseront longtemps et entamera un conflit territorial algéro-marocain vieux de 50 ans. A bon entendeur…
    El Erg Chergui, 30/12/2010
  • Mostaganem : Un important réseau de trafic de drogue démantelé

    Alors que le véritable baron a échappé au coup de filet et fait l’objet d’intenses investigations, les gendarmes ont arrêté 9 dealers et saisi 27 kg de cannabis traité d’origine marocaine.

    Agissant lors d’un banal coup de filet, les gendarmes de la brigade de Bouguirat, localité située à 27 km au sud de Mostaganem, ont mis sous observation, durant 2 semaines, un jeune dealer, ce qui leur a permis d’infiltrer les réseaux d’acheminement de la drogue depuis la frontière marocaine. Une fois interpellé, il livrera des informations capitales sur ses fournisseurs. Trois seront rapidement interpellés au niveau de la petite forêt de Aïn Sidi Chérif où ils s’affairaient à dissimuler plusieurs sachets de drogue. Deux autres membres du réseau seront arrêtés lorsqu’ils tenteront de s’approvisionner auprès de leur fournisseur habituel. N’ayant plus de nouvelles de ce dernier, ils prendront alors contact avec sa mère.

    A la tête de ce réseau, on trouve celui qu’on appelle le baron d’Oran, plusieurs fois condamné par contumace dans des affaires similaires, il continue toujours de courir. Très connu sur la place d’Oran et d’Aïn Turck, où il possèderait plusieurs biens, il a à son actif pas moins de 9 condamnations. Par contre, son réseau, parfaitement huilé, a été entièrement démantelé et 9 de ses membres incarcérés par le procureur de la République du tribunal de Aïn Tadelès, territorialement compétent. Agissant dans le cadre de l’extension de l’enquête, les gendarmes de la brigade de Bouguirat ont interpellé  B. H., habitant la localité d’El Mohgoun (à l’entrée d’Arzew), âgé de 25 ans, chez qui ils récupèreront 2,5 kg de cannabis traité. Chez son complice, âgé de 30 ans, habitant la localité voisine de Aïn El Bya, plus de 22,3 kg de cannabis ont été saisis. A partir des premières investigations, les gendarmes parviendront rapidement à obtenir des informations qui leur seront très utiles au démantèlement d’une autre partie du réseau.

    C’est ainsi que D. M., âgé de 31 ans, est appréhendé dans son domicile à Arzew en possession d’un kilogramme de cannabis.
    Les gendarmes, qui ont agi avec rigueur et discrétion, ne sont pas passés par le biais de plusieurs intermédiaires, ce qui explique qu’aucun des dealers arrêtés ne soit parvenu à mettre un visage sur ce véritable baron dont les ramifications remonteraient jusqu’aux champs de cannabis du Maroc oriental.
    El Watan, 1/1/2011
  • Mostaganem : Un important réseau de trafic de drogue démantelé

    Alors que le véritable baron a échappé au coup de filet et fait l’objet d’intenses investigations, les gendarmes ont arrêté 9 dealers et saisi 27 kg de cannabis traité d’origine marocaine.

    Agissant lors d’un banal coup de filet, les gendarmes de la brigade de Bouguirat, localité située à 27 km au sud de Mostaganem, ont mis sous observation, durant 2 semaines, un jeune dealer, ce qui leur a permis d’infiltrer les réseaux d’acheminement de la drogue depuis la frontière marocaine. Une fois interpellé, il livrera des informations capitales sur ses fournisseurs. Trois seront rapidement interpellés au niveau de la petite forêt de Aïn Sidi Chérif où ils s’affairaient à dissimuler plusieurs sachets de drogue. Deux autres membres du réseau seront arrêtés lorsqu’ils tenteront de s’approvisionner auprès de leur fournisseur habituel. N’ayant plus de nouvelles de ce dernier, ils prendront alors contact avec sa mère.

    A la tête de ce réseau, on trouve celui qu’on appelle le baron d’Oran, plusieurs fois condamné par contumace dans des affaires similaires, il continue toujours de courir. Très connu sur la place d’Oran et d’Aïn Turck, où il possèderait plusieurs biens, il a à son actif pas moins de 9 condamnations. Par contre, son réseau, parfaitement huilé, a été entièrement démantelé et 9 de ses membres incarcérés par le procureur de la République du tribunal de Aïn Tadelès, territorialement compétent. Agissant dans le cadre de l’extension de l’enquête, les gendarmes de la brigade de Bouguirat ont interpellé  B. H., habitant la localité d’El Mohgoun (à l’entrée d’Arzew), âgé de 25 ans, chez qui ils récupèreront 2,5 kg de cannabis traité. Chez son complice, âgé de 30 ans, habitant la localité voisine de Aïn El Bya, plus de 22,3 kg de cannabis ont été saisis. A partir des premières investigations, les gendarmes parviendront rapidement à obtenir des informations qui leur seront très utiles au démantèlement d’une autre partie du réseau.

    C’est ainsi que D. M., âgé de 31 ans, est appréhendé dans son domicile à Arzew en possession d’un kilogramme de cannabis.
    Les gendarmes, qui ont agi avec rigueur et discrétion, ne sont pas passés par le biais de plusieurs intermédiaires, ce qui explique qu’aucun des dealers arrêtés ne soit parvenu à mettre un visage sur ce véritable baron dont les ramifications remonteraient jusqu’aux champs de cannabis du Maroc oriental.
    El Watan, 1/1/2011