Mois : octobre 2011

  • 80 détenus politiques sahraouis dans les prisons marocaines

    Près de 80 détenus politiques sahraouis croupissent actuellement dans les prisons marocaines, en violation flagrante des conventions et lois internationales, a indiqué dimanche le représentant du ministère sahraoui des territoires occupés, Omar Boulsan.
    « Au total, 79 prisonniers politiques du Sahara Occidental se trouvent actuellement dans les geôles marocaines dans des conditions lamentables », a précisé Boulsan à l’APS en marge de la 2ème conférence internationale sur le thème « Le droit des peuples à la résistance : le cas du peuple sahraoui ».
    Il a indiqué que ces Sahraouis sont détenus dans six prisons à l’intérieur du Maroc et dans deux autres dans les territoires occupés.
    Parmi ces prisonniers, 23 relèvent des tribunaux militaires à Salé près de la capitale marocaine Rabat. Ils ont été tous arrêtés lors de l’attaque récente par les forces d’agression marocaines du campement sahraoui de Gdeim Izik.
    Vingt-cinq résistants sahraouis ont été arrêtés récemment dans la ville de Dakhla occupée, a-t-il relevé.
    Concernant les Sahraouis portés disparus suite à des interventions des forces armées marocaines, il a estimé leur nombre à quelque 560 disparus.
    Radionet – 30 Octobre 2011 
  • Comment Seif al Islam peut sauver sa peau

    Seif al Islam pourra-t-il se défendre devant la Cour pénale internationale (CPI) de La Haye ? Le fils cadet de Mouammar Kadhafi, âgé de 39 ans, est toujours en fuite hors de Libye. Seif al Islam espère échapper au sort de son père et de son frère Moutassim qui ont été tués dans des circonstances troubles lors de la prise de Syrte le 20 octobre dernier. Le cas de Seif al Islam suscite de nombreuses hypothèses voire rumeurs. De tous les enfants du colonel Kadhafi, il était considéré comme l’héritier putatif du dictateur libyen. De plus, à l’instar de son père, il est sous le coup d’un mandat d’arrêt international de la CPI pour crimes contre l’humanité. A présent que le Conseil National de Transition a pris le contrôle total de la Libye et surtout que le colonel Kadhafi est mort, le sort de Seif al Islam est au cœur des interrogations et préoccupations. 
    Selon un haut responsable militaire du CNT, Seif al Islam s’est réfugié auprès de nomades du Sahara, au Niger, en compagnie du chef des services de renseignements du régime déchu, Abdoullah alSenoussi. Les deux hommes veulent se rendre à la CPI sans avoir trouvé le moyen de le faire, rapporte Reuters Africa. «Il y a des contacts avec le Mali et l’Afrique du Sud pour organiser sa sortie. … Il n’a pas encore eu de confirmation, il attend toujours». Et 
    d’ajouter que «Seif s’inquiète pour sa vie» et «pense que se rendre est la meilleure option pour lui». 
    D’autres sources confirment la fuite à travers le désert des deux hommes avec des Touaregs. Un ancien chef rebelle touareg devenu conseiller présidentiel au Niger affirme que «Abdoullah al-Senoussi est désormais au nord du Mali. Il a traversé le Niger au nord d’Arlit escorté par des Touaregs du Mali et du Niger. Ils sont bien protégés, c’est-à-dire armés». 
    «Quant à Seif, il hésite et est bien au Niger. Il se demande s’il doit continuer jusqu’au Mali ou rester au Niger». 
    Un membre du Parlement malien estime pour sa part que Seif al Islam et Abdoullah al-Senoussi ont traversé l’Algérie ou le Niger pour entrer au Mali. 
    Selon France Soir, la CPI n’a pas d’opposition à la demande de Seif al Islam. «Tout dépend de l’endroit où le suspect se trouve, comment nous pouvons entrer en contact avec lui et des moyens nécessaires pour le rapatrier à La Haye». 
    Le contact a finalement pu se faire à en croire un communiqué du procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo, rendu public le 28 octobre et cité par l’AFP. «Nous avons des contacts informels avec Seif via des intermédiaires», a déclaré le procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo. «Le bureau du procureur lui a signifié très clairement que s’il se rendait à la CPI, il aurait le droit d’être entendu devant la cour, il sera innocent jusqu’à preuve du contraire».
    Les Débats, 30/10/2011
  • L’ONU au pied du mur

    Briser le quadrillage militaire et le blocus informatif sur la cause sahraouie, exhorter la communauté internationale à imposer des sanctions contre le Maroc qui est en porte-à-faux avec le droit international, appeler à renforcer l’élan de solidarité avec le peuple sahraoui et exiger de l’ONU de mettre à exécution ses recommandations, sont quelques points phares soulevés lors de la 2e Conférence internationale, dont les travaux se sont ouverts hier à Alger. 
    C’est sous des slogans appelant à la résistance, à l’auto-détermination et au respect des droits et des libertés, scandés en chœur par des activistes venus des territoires occupés que les travaux de la 2e Conférence internationale d’Alger se sont ouverts hier en présence massive de personnalités politiques, universitaires, intellectuels, représentants d’institutions et d’ONG de tous bords. 
    Ils étaient tous unanimes à mettre en évidence un peuple quasi à genoux, mais qui ne veut guère abdiquer ou renoncer à sa quête de liberté, et ce, même face à un Maroc qui ne ménage aucun effort pour briser toute idée de résistance. Ce même Maroc vers lequel les intervenants ont adressé des critiques virulentes quant à sa position d’État colonial, qui n’a de cesse de semer un climat de terreur à l’encontre d’un peuple sans défense, est appelé à revoir ses plans et tenir ses engagements contractés, depuis plus de deux décennies. 
    C’est dans ce sillage que le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a exhorté la communauté internationale à imposer des sanctions à l’encontre de ce pays oppresseur, en affirmant que « le non-respect des engagements contractés, met le Maroc en porte-à-faux avec le droit international et nécessite une réac-tion de la part de la communauté inter-nationale qui doit exercer des pressions et imposer des sanctions contre le gouvernement marocain afin qu’il cesse d’obstruer l’organisation d’un référen-dum ». Et d’ajouter avec insistance « la défense des droits de l’Homme est un devoir pour tous et ne doit souffrir d’aucune sélectivité et d’aucun double standard. Et l’on ne peut pas s’ériger en défenseur des droits de l’Homme et en même temps nier un autre droit fonda-mental qui est le droit des peuples à l’autodétermination ». 
    Pour lui, l’ONU et les pays, dont la position sur la question sahraouie demeure ambiguë, doivent assumer leurs responsabilités et cesser en urgen-ce de porter une assistance politique à pays qui opprime un autre et à soutenir les thèses colonialistes marocaines à des fins économiques. Face à tout cela, Mohamed Abdelaziz dira que le monde libre est appelé à accompagner à soute-nir l’extraordinaire résistance pacifique menée actuellement par le peuple sahraoui et que le Maroc tente d’occulter en imposant un quadrillage militaire et un blocus informatif autours des territoires occupés. 
    À ses dires, les activistes sahraouis doivent être soutenus. «Ils sont soumis à un régime de terreur, aux tor-tures les plus abjectes, aux arrestations, aux enlèvements et aux procès infâmes y compris devant des tribunaux militaires, tel le cas des prisonniers arrêtés, suite aux évènements de Gdeim Izik », a-t-il souligné, ajoutant, dans le même sens que « la résistance pacifique sahraouie a besoin de l’appui et du soutien de tous les amis de la démocratie et de la liber-té. Cette résistance doit être diffusée dans les médias et les différents forums internationaux. Le territoire doit être visité massivement par les défenseurs des droits de l’Homme, les journalistes, les observateurs indépendants et les soli-daires». 
    Se succédant tour à tour à la tribune, les participants à cette Conférence, à l’instar de Roland Weyl, vice-président de l’association internationale des juristes démocrates (Aijd), Bience Philomina Gawanas, commissia-re à l’Union africaine, chargé des affaires sociales, John Robert Arthur Down, pré-sident de la section australienne de la Commission internationale des juristes et Khaled Hadadah, secrétaire général du parti communiste libanais, ont accor-dé leurs violons, chacun de par son point de vue pour œuvrer davantage et sur tous les plans afin de soutenir et défendre la cause sahraouie dans les évè-nements internationaux et exiger des instances de faire appliquer le droit des peuples à la liberté et à l’indépendance. Il est important de préciser qu’une déclaration finale sera adoptée à l’issue de cette rencontre de deux jours.
    Hamid Mohandi
    Le Courrier d’Algérie, 30/10/2011
  • Secuestro en el Sáhara

    GONZALO MOURE – Figueras, Castropol, Asturias – 29/10/2011
    El Gobierno pide a la ONU un informe sobre la seguridad en los campamentos de refugiados de Tinduf, tras el secuestro de dos cooperantes españoles y una italiana. Que nos lo pida también a nosotros, cooperantes y voluntarios que pasamos mucho tiempo allí.
    El sentimiento de seguridad que tenemos en los campamentos es mucho más que positivo. Nunca había ocurrido algo semejante, ni siquiera algún incidente que se pueda comparar. Son 36 años ya de cooperación, miles de asociaciones y decenas de miles de españoles los que hemos pasado por Rabuni y los diferentes campamentos, y nos hemos sentido siempre seguros, protegidos, y al mismo tiempo relajados, porque la vigilancia no es (al menos no lo ha sido) asfixiante. Incluso es posible que la relajación de tantos años de normalidad haya facilitado las cosas a los secuestradores. Creemos que la seguridad nunca está garantizada en ningún sitio: ni en la terraza de un bar de Casablanca, ni en los trenes de la capital de España, ni en el corazón de Nueva York.
    Los voluntarios y cooperantes en los campamentos de refugiados son necesarios, porque ni la comunidad internacional ni nuestro Gobierno atiende (o puede atender) todas las necesidades que hay allí: cirugía y diagnóstico, potabiliza-ción, programas agrícolas, educación, y un largo etcétera. Si se cortara la presencia de cooperantes españoles en Tinduf, lo pagaría la población inocente, que necesita prácticamente todo. Todas las asociaciones operantes en los campamentos seguiremos adelante con nuestros programas, también con nuestra presencia personal.
    Como no creemos que se vaya a prohibir el turismo a Casablanca ni a El Cairo, tampoco sería admisible una limitación a los viajes de cooperantes al Sáhara.
    EL PAIS, 29/10/2011
  • Las similitudes entre Praga y el Sáhara

    Hacía mucho tiempo que no actualizábamos el blog y no ha sido por falta de interés, sino por falta de tiempo. El habitual pico de trabajo estival ha sido aún más acusado y se ha prolongado hasta casi los inicios de noviembre lo que físicamente (y sobre todo mentalmente) nos ha dejado un poco tocados (y con muchas ganas de descansar).

    En vez de tener una semana de descanso, pensando nuevos proyectos o dedicándonos a la vida “contemplativa”, llegamos a la primera semana de noviembre con el mayor reto profesional al que nos hemos enfrentado. La grabación del piloto de “El Último Ángel” en los campamentos de refugiados de Tindouf en el Sáhara. El Último Ángel pretende ser un programa de TV de reportajes internacionales con un perfil solidario centrado en el personaje del mago “Miguelillo”, que ya estuvo en Haití y Lorca proporcionando un poco de ilusión con su magia a los niños afectados por ambas catástrofes.

    Del 5 al 12 de noviembre viviremos en los campamentos de refugiados, hablaremos con políticos locales, estudiaremos a fondo la vida diaria de sus habitantes y cooperantes internacionales, ahora con la intranquilidad de los recientes secuestros de los cooperantes Enric Gonyalons y Ainhoa Fernández de Rincón (españoles) y de la italiana Rosella Urru, pero sobre todo nos centraremos en cómo viven los niños saharauis su día a día en un lugar que ofrece de todo menos facilidades para vivir.

    No me imagino cómo es la vida sin más electricidad que la que te proporciona una pequeña batería cargada con luz solar y que da soporte a unas pocas bombillas para eliminar la completa oscuridad del desierto, pero lo voy a vivir en primera persona durante una semana.

    La experiencia a la que me enfrento, aunque dista un mundo de otra que paso a relataros, se produce en circunstancias parecidas. Al acabar 2º de carrera (allá por el año 1997), uno de mis mejores amigos (Ángel López Muñoz) me invitó a que hiciera el viaje del “Paso del Ecuador” con él y sus compañeros de la facultad de químicas de la UVa. Era mi primera visita a países del telón de acero y la ilusión que tenía por ese viaje era indescriptible. Conocería Praga, Viena y Budapest a mis 21 años recién cumplidos. Tres ciudades que tenía marcadas en rojo.

    Mi primer año de carrera fue duro y durante el mismo me llegué a plantear seriamente si el diseño era lo mío. El segundo año mejoró bastante acabando por convertirme en un “estudiante brillante”, cosa que nunca había sido. El coste de todo ese esfuerzo fue un bloqueo mental y físico bastante grande. Cualquiera que me conociera por aquella época sabía que pasaba 14 horas diarias frente al ordenador, fines de semana incluidos (más o menos como hoy).

    Del viaje lo único que me importaba era pasarlo bien con Ángel (no conocía a casi nadie más del viaje) y que mi Minolta estuviera a punto. Nada más salir del aeropuerto de Praga tomé una de las primeras diapositivas del viaje; una parada de autobus compuesta por un neumático medio destrozado, una barra de hierro oxidada de 1 metro de alto y un letrero también oxidado en el que ponía “bus” con rotulador. En ese mismo momento toda la tensión acumulada se desvaneció, volvía a mirar con interés a través del visor de mi cámara, volvía a medir la luz, a encuadrar, a escuchar el obturador y el motor de arrastre del carrete. Era otra persona, me dolían los ojos del ansia con que miraba cada edificio, cada escultura, cada detalle, cada paisaje.

    Afronto este viaje de la misma manera. 14 años después necesito poner otras cosas delante del objetivo. Necesito poner otras motivaciones detrás del objetivo. Tengo tantas ganas de ir que no sé si estoy descuidando la maleta de cosas básicas. Voy a contribuir en una acción que mejorará una ínfima parte del mundo, pero alegrará unas pocas vidas (magnitus que realmente me interesa de este viaje). Por eso merece la pena el riesgo (todo el mundo me recuerda que existe). En aquél viaje en Budapest ya tuve el desafortunado honor de oír cómo en el aeropuerto un crío (seguramente cumpliendo su servicio militar) amartillaba su kalashnikov mientras otro chaval registraba mi chaleco lleno de objetivos, carretes y pilas gastadas tras pasar por el arco de seguridad. Sé que esta vez no ocurrirá nada parecido (al menos llevo esa sensación).

    El 12 de noviembre os contaré qué tal ha salido todo.

    Por cierto, “El Último Ángel” lo realizo junto a Jorge Vallejo de Castro y Zéus Pérez, de E2E4 Media y el mago Miguelillo, de Directo al Corazón Producciones. Ya os diremos dónde se podrá ver el resultado de todo este esfuerzo colectivo.

     
    IRRADIACREATIVIDAD, 29/10/2011
  • El Sáhara no cambia

    El Sáhara solo es noticia cada cierto tiempo, pero su discurrir nunca se detiene. Estos días todo el mundo habla de la situación en los campos de Tinduf por el secuestro, todavía en circunstancias confusas, de los tres cooperantes internacionales. Además, hace unas semana Marruecos sentenció a 15 años de prisión a un policía acusado del asesinato, también de forma poco clara, del joven Said Dambar. Un representante del Observatorio Aragonés para el Sahara Occidental, Luis Mangrané, estuvo supervisando la limpieza de un juicio que no ha dejado satisfecha a la familia del estudiante, que además temen que la pena no se cumpla de forma íntegra.

    El juicio se celebró el pasado 12 de octubre y en pocas horas la sentencia estaba sobre la mesa. El tribunal condenó al acusado a 15 años de prisión, pero la familia, al enterarse de que se rechaza la responsabilidad del estado y que no se acuerda la práctica de la autopsia al cadáver mostró su disconformidad. Según explican los observadores internacionales, « los abogados de la familia de Said Dambar argumentan que el expediente de la investigación no está completo, recuerdan que no se ha oído a la familia del fallecido a lo largo de la investigación, que se pidió durante la instrucción del caso la ampliación de la investigación ». Según dicen, objetan que el juez de instrucción no quiso ir al lugar del crimen y recuerdan que han preguntado si el cadáver tiene otras señales de violencia, además del disparo de la cabeza, y si el cadáver tiene más balas, cuál fue la distancia desde la que se efectuó el disparo del que hay constancia en estos momentos.

    « La bala que entró por la cabeza, entre los ojos, no presenta orificio de salida, razón por la cual presumiblemente dicho disparo fue realizado a cierta distancia, lo que no concuerda con la versión del imputado », dicen los observadores. Además, apuntan que la investigación no ha aclarado nada de esto. « También se negó la comparecencia en la instrucción y en el acto del juicio de otros habitantes del edificio donde supuestamente se produjo el disparo, pese a haber sido solicitado por la acusación. Existen importantes contradicciones entre la versión de los hechos del imputado y el testigo. La familia de la víctima niega que este consumiera alcohol, cuestión fácilmente constatable con la oportuna pericial forense ». Por todas estas razones los abogados exigen nuevamente que se practique la autopsia del cadáver. Y señalan que en todo caso la práctica de la autopsia no va a perjudicar a nadie. Recuerdan la responsabilidad del Estado por ser policía el condenado y que el acusado no podrá pagar la eventual indemnización que se le imponga a favor de la familia.

    Por estos motivos, la situación del Sáhara no parece que vaya a modificarse en los próximos meses. Según Luis Mangrané, a Marruecos las críticas de la comunidad internacional no parecen afectarle y mantiene una situación sobre el conflicto en la que nadie parece interesado en intervenir. Por su parte, Marruecos solo está dispuesto a hablar sobre su plan de autonomía. Por el momento, y tras el desmantelamiento del campamento de la libertad los activistas llevan a cabo pequeñas protestas que son duramente reprimidas por las autoridades, como demuestra el caso que les ha llevado estas semana a Tinduf. « Esta es la situación cotidiana desde el año 2005: algún suceso aparece en los medios cada cierto tiempo pero luego todo desaparece de nuevo », lamentó Mangrané.

    Secuestro de activistas

    Estas semanas son uno de esos periodos. Tres jóvenes activistas han sido secuestrados en el desierto. Los cooperantes españoles que fueron secuestrados anoche en los campamentos de refugiados de Tinduf, en el Sáhara Occidental.

     
    EL PERDIODICO, 29/10/2011
  • El Polisario quiere seguir con el diálogo

    EL PERIÓDICO 29/10/2011

    El Frente Polisario ha pedido esta semana al Consejo de Seguridad que no permita que Marruecos bloquee una nueva ronda de conversaciones informales para tratar de impulsar el proceso de paz en el Sáhara Occidental, y advirtió nuevamente sobre la situación de los derechos humanos en la excolonia española.

    En una carta enviada a la embajadora nigeriana U. Joy Ogwu, presidenta de turno del Consejo, el representante del movimiento independentista saharaui ante Naciones Unidas, Ahmed Bujari, considera « totalmente inaceptable » que Marruecos esté bloqueando una nueva ronda de diálogo informal.

    « El Frente Polisario está extremadamente preocupado porque el Consejo de Seguridad ha permitido a Marruecos obstruir los recientes esfuerzos del enviado especial de la ONU para el Sáhara Occidental, Christopher Ross, para dar un nuevo impulso al proceso de paz », afirma Bujari en la misiva, a la que tuvo acceso Efe.

    El representante saharaui envió la carta un día antes de que se celebre una nueva reunión del Consejo de Seguridad en la que el embajador Ross informará a los miembros del organismo sobre la situación en el Sáhara.

    El Polisario insta al Consejo de Seguridad a reiterar a todas las partes la importancia de que se cumpla lo establecido en la resolución 1920 y demuestren « voluntad política » para seguir avanzando y permitir que la agenda de las negociaciones incluya « las posiciones de todos ».

    En su carta, Bujari añade que « el actual bloqueo responde exclusivamente a la negativa de Marruecos a iniciar conversaciones que no partan de su propuesta de autonomía, una posición que busca eliminar la opción de la independencia y la autodeterminación » incluidas en resoluciones del Consejo de Seguridad y la Asamblea General.

    El Polisario hace un llamamiento al Consejo para que haga énfasis en las recomendaciones recogidas en el informe del secretario general en abril para que las partes busquen puntos de acuerdo en torno a la necesidad de « obtener la aprobación del pueblo saharaui sobre cualquier acuerdo ».

    Bujari aboga también por la celebración « lo antes posible » de una consulta con caracter popular a partir de las listas de votantes compiladas en estos meses por la comisión de identificación de la Misión para el Referéndum en el Sáhara.

  • Oueld Salek: "la complicité marocaine est de mise dans ce rapt"

    Le président sahraoui a exprimé, hier, depuis Alger, ses hommages à l’Algérie pour sa ferme position pour la décolonisation du Sahara occidentale et en faveur du droit du peuple sahraoui à son autodétermination conformément à la légalité internationale. Depuis Alger où il prend part aux travaux de cette 2ème conférence internationale, Mohamed Abdellaziz a rendu un grand hommage, notamment à tous les amis de la RASD, reconnu actuellement par 88 pays et il en profitera pour lancer un appel en direction des prisonniers sahraouis dans les geôles marocaines à poursuivre l’Intifada et à ne pas abandonner la cause sahraouie et les droits légitimes et reconnus par les différentes résolutions onusiennes sur les peuples coloniaux. 
    Le peuple sahraoui, selon l’orateur, «poursuivra sa résistance pacifique en la diversifiant et en l’intensifiant». Dans son long discours de circonstance, le président Sahraoui a notamment fait une rétrospective de la colonisation de son pays en rappelant que l’épopée de Gdaim Ezzik telle qu’il l’a qualifié, a été l’une des plus éclatantes étapes de cette résistance. Cela veut dire que la contestation arabe a bel et bien commencé par les territoires occupés, une option sur laquelle aucun pays arabe ou autre n’a fait référence. Mohamed Abdellaziz veut mettre en exergue la résistance et l’intifadha de son peuple colonisé par son voisin au moment où la révolution arabe des peuples est devenue un symbole de lutte contre les dictatures. Or «cette détermination de son peuplé se poursuivra», semble dire le président et le Maroc désormais ne pourra rien faire devant cette résistance pour la lutte pour l’indépendance et la liberté. 
    Hier, à Alger, les amis de la RASD étaient nombreux à assister à cette rencontre venus des quatre horizons d’Afrique, d’Asie, d’Amérique Latine, et d’Australie pour se solidariser avec cette cause, la dernière colonie du continent africain soit quelques jours après la réunion du conseil de sécurité sur la colonisation du Sahara occidental dont «les droits à la légalité ont été vulgairement bafoués par le Royaume du Maroc qui a annexé le territoire depuis le 31 octobre 1975», rappelle le président sahraoui dans son allocution. 
    De son coté, Roland Weyl, avocat et premier vice-président de l’association Internationale des juristes démocrates abonde dans le même sens pour s’étaler longuement sur ce conflit et sur ses causes par reconnaître en tant que juriste la légitimité d’une telle action et en interpellant en cette occasion la MINURSO sur sa principale action, celle de défendre les droits du peuple sahraoui. Cependant, il reste convaincu que «le véto de son pays qu’est la France reste nul et sans effet» et serait inexistant puisque il ne peut faire des pressions sur l’ONU pour, dit-il, permettre à un Etat «de violer un autre Etat». Cela suppose, selon ses propos, que l’article 02 et 03 de la charte des Nations unis sont complètement bafoués et le véto de la Force se fait au mépris de ces articles. Il se réjouit de sa présence en Algérie puisqu’il était un ami de la cause algérienne pendant sa Révolution et se félicite du faite que ce pays indépendant puisse, aujourd’hui, à son tour se battre pour le droit du peuple sahraoui car, dit-il, «notre pays a permit en 1975 à tous les mouvements d’avoir leur siège». Voilà donc un autre témoignage de l’histoire de l’Algérie à quelques encablures de la fête du 1er Novembre. 
    Rencontrée en marges de ses travaux dirigés par Mahraz Lamari, la présidente du Bureau Régional «AFAO» plaide en faveur de la participation des ONG pour faire pression sur les Gouvernements pendant les négociations parce que seule la pression peut aboutir à quelque chose et non pas uniquement la négociation. Les interventions se sont poursuivies avec tous les amis de la RASD que ce soit du Mexique ou de l’Espagne ou d’ailleurs. 
    En marges de cette rencontre, le ministre des affaires étrangères et l’un des principaux négociateurs à Manhasset nous précise que la complicité marocaine est de mise dans ce Rapt. Pour Oueld Salek nul doute que les ravisseurs ont agit avec la complicité marocaine. Plus explicite, il nous précise que les ravisseurs maitrisaient parfaitement la carte géographique des lieux et ont agit avec connaissance puisque ils se sont dirigés après leur forfait vers la Mauritanie ensuite vers le coté Est avant d’atteindre le nord du Mali.
    Par FOUDAD N.
  • Ciclo de sensibilización sobre el conflicto en el Sáhara Occidental

    La Asociación Saharaui “Dar Al Karama” ( Hogar de la Dignidad ) organiza unas jornadas de sensibilización sobre el conflicto del Sáhara Occidental, derechos humanos e infancia, al amparo del Derecho Internacional a través de exposiciones, cine y conferencias.

    El Ciclo se desarrollará entre los días 7 y 26 de noviembre de 2011. Arranca el próximo 7 de noviembre con la inauguración de la Exposición colectiva de Fotografía y Escultura y finalizará con la III Gala Solidaria “Rosa del Desierto”.

    Organiza: Asociación “Dar Al Karama” ( Hogar de la Dignidad ).

    Colaboran: Diputación Provincial de Alicante, Club Información y Gráficas Artex.

    ¿Quieres ser voluntario/a de la Asociación “Dar Al Karama” ( Hogar de la Dignidad )? Informate como en http://bit.ly/vTSgiG

    Más información: www.daralkarama.comfuente:juventud.alicante.es

  • Ciclo de sensibilización sobre el conflicto en el Sáhara Occidental

    La Asociación Saharaui “Dar Al Karama” ( Hogar de la Dignidad ) organiza unas jornadas de sensibilización sobre el conflicto del Sáhara Occidental, derechos humanos e infancia, al amparo del Derecho Internacional a través de exposiciones, cine y conferencias.

    El Ciclo se desarrollará entre los días 7 y 26 de noviembre de 2011. Arranca el próximo 7 de noviembre con la inauguración de la Exposición colectiva de Fotografía y Escultura y finalizará con la III Gala Solidaria “Rosa del Desierto”.

    Organiza: Asociación “Dar Al Karama” ( Hogar de la Dignidad ).

    Colaboran: Diputación Provincial de Alicante, Club Información y Gráficas Artex.

    ¿Quieres ser voluntario/a de la Asociación “Dar Al Karama” ( Hogar de la Dignidad )? Informate como en http://bit.ly/vTSgiG

    Más información: www.daralkarama.comfuente:juventud.alicante.es