Année : 2010

  • Le roi Mohamed VI face à son sort

    Arrivé au pouvoir en 1999, Le roi Mohamed VI avait eu toutes les chances de construire un Etat véritablement démocratique, stable surtout que ses premières initiatives avaient rassuré tous les marocains épuisés par trente-cinq ans de répression du règne de Hassan II.
    Le peuple marocain avait applaudi à cette nouvelle politique prônée par le nouveau souverain. Mais à la surprise générale, il va étaler devant tout le monde sa véritable nature et les objectifs des nouveaux maîtres du pays qui n’auront que du mépris et d’arrogance pour le reste des marocains. Le pays sombre de nouveau dans la violence, la terreur et la peur.
    Le régime de Rabat ne cache plus sa nature : une dictature. Peut-être pas la plus tyrannique, mais les dégâts qu’ils occasionnent ont tendance à s’accroître. Avec le soutien de la France. Les arrestations arbitraires sont devenues monnaie courante, les procès d’opposants au régime n’ont de juste que le nom, les manifestions sont toujours par le sang réprimées.
    Mohamed VI a vite déçu l’espoir du peuple marocain qui, après plusieurs décennies de plomb, aspire à la paix, à une évolution démocratique de la vie politique, et surtout d’une bonne gestion de ses ressources, seul gage pour sortir le Maroc d’une pauvreté endémique.
    Les violations des droits de l’homme ont atteint une proportion très préoccupant. Plus grave, une classe s’est mise en place, constituée du roi et de ses alliés, ils sont responsables d’innombrables détournements de biens publics et de l’aide internationale, se livrent à des exactions inhumaines mais aussi jouissent d’une impunité totale. Cette situation dramatique, source du mécontentement populaire entraîne le pays vers des lendemains encore plus sombres.
    Certes, les médias nationaux et français, appelés à la rescousse du régime et grassement payés pour les besoins de la cause, ont servi de relais tapageurs à un non-événement en décrivant la mascarade du consensus comme étant une « manifestation de soutien », les partis marionnettes ayant accepté de se livrer à ce simulacre.
    Mohamed VI et sa clique se sont mis dans la tête qu’ils sont plus malins que tous les habitants du royaume et peuvent créer des centaines de partis politiques fantoches pour amuser la galerie et servir de caution pluraliste et démocratique à son régime.
    Le temps passe inéluctablement et chaque jour qui passe, la grogne monte d’un créneau. Mohamed VI, tel un rouleau compresseur, gronde et fait trembler la terra, il est prêt à dévorer n’importe quel humain qui lève la voix contre lui. L’heure de vérité a sonné. Son clan et tous ses subordonnés sont face à leur destin qui s’annonce de mauvais augure.
    Le nouveau roi n’a pas les qualités intelectuelles de son père et il a confié le destin de la nation dans les mains d’une poignée de voyous qui accumulent les échecs et les fautes graves.
    Mohamed VI se fait rare, on ne le voit pas souvent. Les critiques de la presse étrangère empêchent les longues vacances au Brésil, en Thaïlande. Alors, il s’enferme pour de longues durées. Il boude les rencontres avec les personnalités. Le protocole du palais ne sait plus quoi faire et surtout quelle excuse présenter à tous ces nombreux hôtes qui se déplacent au Maroc.
    Dans la presse, tout le monde s’interroge. Où se terre Mohamed VI? Est-il inquiet pour son pouvoir ou est-il seulement perturbé par ce qui se passe dans les rues du royaume? Autant de questions qui taraudent le peuple marocain et la communauté internationale. Les plus proches collaborateurs affichent tout .de même un sourire rassurant et se contentent de répondre :  » Le roi est occupé dans les chantiers nationaux ». Autant dire que Mohamed VI est entré en ’Khaloua » (isolement pour des pratiques mystiques) Quant à son lieu de refuge, il ne faut pas être très doué pour deviner que c’est dans un endroit on ne peut plus sûr. Son luxueux palais.
    Son attitude est source de nombreuses questions. Mais quand on s’y penche plus sérieusement, on s’aperçoit que c’est très véridique et hautement révélateur. Mohamed VI doit réfléchir sur la gestion calamiteuse de ses conseillers et subordonnés. Il doit réfléchir sur les innombrables bêtises qu’on lui a fait commettre.
    L’heure est très grave et cela Mohamed VI ne l’ignore pas. Il sait aujourd’hui plus qu’hier que les jours du régime sont désormais comptés. C’est un véritable compte à rebours qu’il vit enfermé dans son palais. Tel un condamné à mort qui attend son heure d’exécution, Mohamed VI voit défiler dans sa tête toutes ses bêtises commises depuis son intrônisation. S’il peut arrêter le temps, il n’hésitera pas un instant. La dépression et l’abus des boissons alcoolisées augmente sa gourmandise et il prend de plus en plus de poids.
    Échec et mât ! Tel aura été le résultat enregistré par le pauvre dictateur et sa bande d’opportunistes. Alors on sort la vieille histoire de la menace extérieure et on appelle à l’unité et au consensus pour sauver le régime agonisant
  • Le roi Mohamed VI face à son sort

    Arrivé au pouvoir en 1999, Le roi Mohamed VI avait eu toutes les chances de construire un Etat véritablement démocratique, stable surtout que ses premières initiatives avaient rassuré tous les marocains épuisés par trente-cinq ans de répression du règne de Hassan II.
    Le peuple marocain avait applaudi à cette nouvelle politique prônée par le nouveau souverain. Mais à la surprise générale, il va étaler devant tout le monde sa véritable nature et les objectifs des nouveaux maîtres du pays qui n’auront que du mépris et d’arrogance pour le reste des marocains. Le pays sombre de nouveau dans la violence, la terreur et la peur.
    Le régime de Rabat ne cache plus sa nature : une dictature. Peut-être pas la plus tyrannique, mais les dégâts qu’ils occasionnent ont tendance à s’accroître. Avec le soutien de la France. Les arrestations arbitraires sont devenues monnaie courante, les procès d’opposants au régime n’ont de juste que le nom, les manifestions sont toujours par le sang réprimées.
    Mohamed VI a vite déçu l’espoir du peuple marocain qui, après plusieurs décennies de plomb, aspire à la paix, à une évolution démocratique de la vie politique, et surtout d’une bonne gestion de ses ressources, seul gage pour sortir le Maroc d’une pauvreté endémique.
    Les violations des droits de l’homme ont atteint une proportion très préoccupant. Plus grave, une classe s’est mise en place, constituée du roi et de ses alliés, ils sont responsables d’innombrables détournements de biens publics et de l’aide internationale, se livrent à des exactions inhumaines mais aussi jouissent d’une impunité totale. Cette situation dramatique, source du mécontentement populaire entraîne le pays vers des lendemains encore plus sombres.
    Certes, les médias nationaux et français, appelés à la rescousse du régime et grassement payés pour les besoins de la cause, ont servi de relais tapageurs à un non-événement en décrivant la mascarade du consensus comme étant une « manifestation de soutien », les partis marionnettes ayant accepté de se livrer à ce simulacre.
    Mohamed VI et sa clique se sont mis dans la tête qu’ils sont plus malins que tous les habitants du royaume et peuvent créer des centaines de partis politiques fantoches pour amuser la galerie et servir de caution pluraliste et démocratique à son régime.
    Le temps passe inéluctablement et chaque jour qui passe, la grogne monte d’un créneau. Mohamed VI, tel un rouleau compresseur, gronde et fait trembler la terra, il est prêt à dévorer n’importe quel humain qui lève la voix contre lui. L’heure de vérité a sonné. Son clan et tous ses subordonnés sont face à leur destin qui s’annonce de mauvais augure.
    Le nouveau roi n’a pas les qualités intelectuelles de son père et il a confié le destin de la nation dans les mains d’une poignée de voyous qui accumulent les échecs et les fautes graves.
    Mohamed VI se fait rare, on ne le voit pas souvent. Les critiques de la presse étrangère empêchent les longues vacances au Brésil, en Thaïlande. Alors, il s’enferme pour de longues durées. Il boude les rencontres avec les personnalités. Le protocole du palais ne sait plus quoi faire et surtout quelle excuse présenter à tous ces nombreux hôtes qui se déplacent au Maroc.
    Dans la presse, tout le monde s’interroge. Où se terre Mohamed VI? Est-il inquiet pour son pouvoir ou est-il seulement perturbé par ce qui se passe dans les rues du royaume? Autant de questions qui taraudent le peuple marocain et la communauté internationale. Les plus proches collaborateurs affichent tout .de même un sourire rassurant et se contentent de répondre :  » Le roi est occupé dans les chantiers nationaux ». Autant dire que Mohamed VI est entré en ’Khaloua » (isolement pour des pratiques mystiques) Quant à son lieu de refuge, il ne faut pas être très doué pour deviner que c’est dans un endroit on ne peut plus sûr. Son luxueux palais.
    Son attitude est source de nombreuses questions. Mais quand on s’y penche plus sérieusement, on s’aperçoit que c’est très véridique et hautement révélateur. Mohamed VI doit réfléchir sur la gestion calamiteuse de ses conseillers et subordonnés. Il doit réfléchir sur les innombrables bêtises qu’on lui a fait commettre.
    L’heure est très grave et cela Mohamed VI ne l’ignore pas. Il sait aujourd’hui plus qu’hier que les jours du régime sont désormais comptés. C’est un véritable compte à rebours qu’il vit enfermé dans son palais. Tel un condamné à mort qui attend son heure d’exécution, Mohamed VI voit défiler dans sa tête toutes ses bêtises commises depuis son intrônisation. S’il peut arrêter le temps, il n’hésitera pas un instant. La dépression et l’abus des boissons alcoolisées augmente sa gourmandise et il prend de plus en plus de poids.
    Échec et mât ! Tel aura été le résultat enregistré par le pauvre dictateur et sa bande d’opportunistes. Alors on sort la vieille histoire de la menace extérieure et on appelle à l’unité et au consensus pour sauver le régime agonisant
  • La neutralité active de notre ambassadeur au maroc

    Que nous prépare-t-on ? C’est tout de même assez hallucinant d’accepter la visite diplomatique organisée par le Maroc dans les territoires occupés pour essayer de tirer le meilleur profit de l’incompétence des premiers diplomates qui auraient non pas le bon goût de refuser l’invitation mais surtout la mauvaise inspiration d’y aller et de se fendre d’une déclaration aussi insensée quand on parle au nom de la Mauritanie !

    Incompétence ou ballon d’essai du gouvernement mauritanien pour préparer un changement de neutralité officielle pour bientôt. Vu la gravité de la déclaration, inouïe dans la bouche d’un ambassadeur mauritanien au Maroc, qu’attend l’état mauritanien pour le rappeler ?
    En réalité , même si c’est une bourde due à une certaine façon de faire à la mauritanienne qui consiste toujours à flatter l’hôte même si on n’en pense pas un mot, toujours est-il que l’état mauritanien ne peut pas, non plus, désavouer son ambassadeur sans que le Maroc ne le prenne mal. Alors c’est le silence radio au sommet de la diplomatie à ce sujet. Se taire et laisser passer.
    Sauf que dans cette affaire, la vieille technique mauritanienne qui consiste toujours à faire le dos rond quand on se sent trop petit pour réagir ou que l’on se croit trop fin pour changer la tactique du ballon d’essai présumé , cette technique fonctionnerait si les algériens d’à côté pouvaient s’en satisfaire sans parler des sahraouis eux-mêmes !
    Ce déplacement de notre ambassadeur jusqu’à dakhla pour faire de pareille déclaration sans être censé ignorer tout le profit médiatique et diplomatique que la propagande marocaine pourrait en tirer et en tire déjà aux dépens de la sécurité intérieure mauritanienne présente et future, ce déplacement et cette déclaration sont extrêmement dangereuses tout le monde le sait et le dit sans toujours oser l’écrire hors des salons.
    A l’heure où nous avons besoin d’une entente cordiale sinon fraternelle avec tous nos frères de la région pour lutter contre le terrorisme voilà que, mine de rien , on se lance dans les pires déclarations possibles et inimaginables dont un seul mot suffit à ruiner l’entente fraternelle avec certains voisins extrêmement impliqués dans cette affaire des frères ennemis.
    On peut craindre le Maroc , il y a de quoi, nous sommes tout petits mais aller agir en ignorant l’autre terrible voisin à cette heure de la lutte contre le terrorisme c’est rouvrir le sol mauritanien à la lutte indirecte entre deux géants .
    Nous n’en avons ni la force , ni les moyens ni même le droit ! Quoiqu’il advienne dans cette affaire territoriale où nous avons déjà perdu la guerre d’où surtout une partie de notre terre, il ne faudrait jamais que les martyrs de la république islamique de Mauritanie deviennent les martyrs du Maroc !
    Ils sont morts pour notre pays et nous avons signé la paix pour enfin la mériter .
    Qui, sinon le peuple mauritanien par référendum, a aujourd’hui le droit de changer notre position ou faire la sourde oreille quand un ambassadeur dérape ? Personne ! Pour ma part, même si je ne reconnais au Maroc que le droit du plus fort de se battre pour augmenter son territoire en y adjoignant nos terres que nous avons laissés à nos frères sahraouis, jamais je ne regarde cette carte, celle de mon pays, sans avoir un serrement de cœur face à ce territoire dont on nous a amputé !
    Alors quitte à le perdre, je préfère le voir dans les mains de ceux qui ont en commun avec la nous la République ! La république n’est pas un vain mot ! Et si nous devons avoir une neutralité, elle doit être autrement active c’est-à-dire ne jamais laisser seul le peuple sahraoui seul face à l’avancée de la monarchie!
    Le jour où le grand Maroc verra le jour, nous ne serons plus que moins que rien. Le Maroc fera de nous une autre province par la guerre économique et nous ne servirions aussi qu’à recevoir chez nous toute leur misère
    Non ! Au grand Maroc hors de ses frontières !
    Vive la république Sahraouie libre et indépendante ! Là est l’intérêt de la Mauritanie , là est l’intérêt de l’équilibre des forces dans la région.
    Tel est l’avis d’un citoyen qui après cette déclaration ne mettra plus les pieds dans royal air Maroc car si on me prenait à une escale à casa qui viendrait à mon secours ? Est-ce mon pays si fatigué ? non !
    Alors je le dis haut et fort pendant que je suis encore chez moi: Le Maroc aux marocains ! la république sahraouie aux sahraouis !
    C’est là je le sais un cri de poète car je sais que nos frères sahraouis finiront par s’incliner car le rapport de force est terrible mais je ne souhaite pas que mon pays puisse un jour être accusé d’avoir fait pencher la balance avec le sang de nos martyrs et l’impuissance de notre armée!
    Not in my name !
    Vlane

  • La neutralité active de notre ambassadeur au maroc

    Que nous prépare-t-on ? C’est tout de même assez hallucinant d’accepter la visite diplomatique organisée par le Maroc dans les territoires occupés pour essayer de tirer le meilleur profit de l’incompétence des premiers diplomates qui auraient non pas le bon goût de refuser l’invitation mais surtout la mauvaise inspiration d’y aller et de se fendre d’une déclaration aussi insensée quand on parle au nom de la Mauritanie !

    Incompétence ou ballon d’essai du gouvernement mauritanien pour préparer un changement de neutralité officielle pour bientôt. Vu la gravité de la déclaration, inouïe dans la bouche d’un ambassadeur mauritanien au Maroc, qu’attend l’état mauritanien pour le rappeler ?
    En réalité , même si c’est une bourde due à une certaine façon de faire à la mauritanienne qui consiste toujours à flatter l’hôte même si on n’en pense pas un mot, toujours est-il que l’état mauritanien ne peut pas, non plus, désavouer son ambassadeur sans que le Maroc ne le prenne mal. Alors c’est le silence radio au sommet de la diplomatie à ce sujet. Se taire et laisser passer.
    Sauf que dans cette affaire, la vieille technique mauritanienne qui consiste toujours à faire le dos rond quand on se sent trop petit pour réagir ou que l’on se croit trop fin pour changer la tactique du ballon d’essai présumé , cette technique fonctionnerait si les algériens d’à côté pouvaient s’en satisfaire sans parler des sahraouis eux-mêmes !
    Ce déplacement de notre ambassadeur jusqu’à dakhla pour faire de pareille déclaration sans être censé ignorer tout le profit médiatique et diplomatique que la propagande marocaine pourrait en tirer et en tire déjà aux dépens de la sécurité intérieure mauritanienne présente et future, ce déplacement et cette déclaration sont extrêmement dangereuses tout le monde le sait et le dit sans toujours oser l’écrire hors des salons.
    A l’heure où nous avons besoin d’une entente cordiale sinon fraternelle avec tous nos frères de la région pour lutter contre le terrorisme voilà que, mine de rien , on se lance dans les pires déclarations possibles et inimaginables dont un seul mot suffit à ruiner l’entente fraternelle avec certains voisins extrêmement impliqués dans cette affaire des frères ennemis.
    On peut craindre le Maroc , il y a de quoi, nous sommes tout petits mais aller agir en ignorant l’autre terrible voisin à cette heure de la lutte contre le terrorisme c’est rouvrir le sol mauritanien à la lutte indirecte entre deux géants .
    Nous n’en avons ni la force , ni les moyens ni même le droit ! Quoiqu’il advienne dans cette affaire territoriale où nous avons déjà perdu la guerre d’où surtout une partie de notre terre, il ne faudrait jamais que les martyrs de la république islamique de Mauritanie deviennent les martyrs du Maroc !
    Ils sont morts pour notre pays et nous avons signé la paix pour enfin la mériter .
    Qui, sinon le peuple mauritanien par référendum, a aujourd’hui le droit de changer notre position ou faire la sourde oreille quand un ambassadeur dérape ? Personne ! Pour ma part, même si je ne reconnais au Maroc que le droit du plus fort de se battre pour augmenter son territoire en y adjoignant nos terres que nous avons laissés à nos frères sahraouis, jamais je ne regarde cette carte, celle de mon pays, sans avoir un serrement de cœur face à ce territoire dont on nous a amputé !
    Alors quitte à le perdre, je préfère le voir dans les mains de ceux qui ont en commun avec la nous la République ! La république n’est pas un vain mot ! Et si nous devons avoir une neutralité, elle doit être autrement active c’est-à-dire ne jamais laisser seul le peuple sahraoui seul face à l’avancée de la monarchie!
    Le jour où le grand Maroc verra le jour, nous ne serons plus que moins que rien. Le Maroc fera de nous une autre province par la guerre économique et nous ne servirions aussi qu’à recevoir chez nous toute leur misère
    Non ! Au grand Maroc hors de ses frontières !
    Vive la république Sahraouie libre et indépendante ! Là est l’intérêt de la Mauritanie , là est l’intérêt de l’équilibre des forces dans la région.
    Tel est l’avis d’un citoyen qui après cette déclaration ne mettra plus les pieds dans royal air Maroc car si on me prenait à une escale à casa qui viendrait à mon secours ? Est-ce mon pays si fatigué ? non !
    Alors je le dis haut et fort pendant que je suis encore chez moi: Le Maroc aux marocains ! la république sahraouie aux sahraouis !
    C’est là je le sais un cri de poète car je sais que nos frères sahraouis finiront par s’incliner car le rapport de force est terrible mais je ne souhaite pas que mon pays puisse un jour être accusé d’avoir fait pencher la balance avec le sang de nos martyrs et l’impuissance de notre armée!
    Not in my name !
    Vlane