Ainsi l’a rapporté hier à Efe une porte-parole de l’organisme, Sybella Wilkes, qui a dit que l’HCR entretient des contacts très fréquents avec Ould Sidi Mouloud et espère trouver, bientôt, une solution à son cas.
« Notre équipe dans le terrain cherche activement une solution, tant comment il voyagera comme sa destination, et nous travaillons avec toutes les parties impliquées », a remarqué Wilkes.
Le problème rencontré par Sidi Mouloud depuis sa libération est que le Maroc refuse de l’accueillir et met des obstacles à sa sortie dans le but de maintenir cette hystérie médiatique qui est devenu son pain quotidien.
Wilkes a ajouté que ses gestions ne dépasseront pas « quelques jours ou semaines ». Parmi les solutions probables pour son voyage, l’envoi d’un avion de la MINURSO, la Mission de l’ONU pour le Sahara Occidental.
Ould Sidi Mouloud a confirmé avoir « demandé l’aide du HCR pour résoudre son problème.
Ces nouvelles apportées par le journal espagnol ABC vont décevoir les néo-makhzéniens, la classe intellectuelle marocaine qui en ont fait un héros. Exprimer leur haine envers les sahraouis c’est leur façon de déclarer la « Bay3a » au régime alaouite qu’ils ne cessent de critiquer.
Un exemple de cette haine prêchée envers leurs frères sahraouis : Les actions menées par les forces de sécurité contre les citoyens marocains relèvent de la « répression ». Par contre, celles menées contre les sahraouis n’est qu’un « durcissement envers les séparatistes ».
Aminatou Haidar pour eux est un agent de l’Algérie, mais Ould Sidi Mouloud qui avait subi un beau lavage de cerveau à Rabat dans ses soirées avec le trasfuge tortionnaire Omar Hadrami est un militant des droits de l’homme.
Bref, la propagande makhzénienne a semé la confusion, même dans les cerveaux des marocains les plus illuminés : les néomakhzéniens.
Pour rappel, la « prestigieuse » agence MAP avait annoncé que Moustapha avait été torturé, blessé par balle, etc. Le commissaire de l’HCR qui lui rend visite périodiquement n’a rien dit sur ces « atrocités » du Polisario. Il a sûrement été acheté par l’Algérie ou du moins c’est la réponse qui conforte les pétits néo-makhzéniens de Tel Quel et autres.
Le grand registre de l’histoire sculptera avec du sang les noms des martyrs qui trépassent injustement dans les champs d’honneurs et qui payent la facture des folies des hommes qui échouent aux postes des commandes dans ce vil et bas monde.
Pour finir nous dirons que les hommes grands seront ceux qui dirigeront leur peuple vers la prospérité et la béatitude et que l’histoire ne gardera de l’homme que les bonnes et les mauvaises actions. L’opportunité est donc chez le roi du Maroc pour rentrer dans le clan des lauréats du prix Nobel pour la paix et jamais aucun humain sur terre n’oubliera cette bonne action qui sera contée dans toutes les langues du monde.
Si, malgré les divergences politiques sur l’histoire, sur la circulation des personnes, sur le Sahara Occidental ou sur la manière de traiter le terrorisme au Sahel, les relations algéro-françaises se «portent bien», dixit Bouteflika dans ses propos, ces relations économiques et commerciales y sont pour beaucoup. M. Jean-Pierre Raffarin, qui donne raison sur pratiquement tout à l’Algérie au nom du respect de sa souveraineté, risque d’être «irrésistible» pour les responsables algériens.
Rien à voir avec le côté inutilement plastronneur d’un Bernard Kouchner qui se risquait à des considérations lui permettant de s’offrir un beau rôle, tout en étant nuisible à la diplomatie de son pays. Le seul résultat est qu’il n’a plus été considéré comme un interlocuteur par Alger, chose qui a contraint l’Elysée à s’occuper directement de la relation avec l’Algérie.
Avec Jean-Pierre Raffarin, on est dans un autre style. Pas de déclarations enflammées, pas de discours emphatique sur un «partenariat stratégique» ou sur une «refondation des relations». Il est là pour parler de ce qui a toujours bien fonctionné, qu’il vente ou qu’il pleuve, entre Paris et Alger : le business.
L’ancien Premier ministre français en rajoute peut-être, mais il ne se force pas trop en affirmant qu’il «vient écouter les autorités algériennes pour respecter les orientations qui sont les leurs». Voilà qui plaira sans doute aux responsables algériens et les rendra disposés à «un travail en profondeur C’est-à-dire des dossiers économiques qu’il faut faire avancer».
La première réaction d’un homme d’affaires algérien à la lecture des premiers propos de M. Jean-Pierre Raffarin a été de retourner sa déclaration. «Il vient préserver le passé. Celui d’une Algérie très captive de l’économie française». C’est, bien entendu, une façon de voir qui existe. La mission de Raffarin serait limitée à un souci de défendre un marché d’exportation relativement important pour l’économie française.
Il reste que la «captivité» du marché algérien n’est pas une fatalité. Des facteurs de concurrence sont déjà là et bousculent les situations établies. Le gouvernement algérien, avec un déficit de communication remarquable, a découvert, ces dernières années, que l’ouverture du marché a été sans contrepartie et que les «projections d’avenir» sur un afflux des investissements directs étrangers ont été erronées.
Cette absence de contrepartie a fait, par exemple, que le constructeur automobile français qui vend le plus en Algérie a choisi de s’établir au Maroc où il vend beaucoup moins. On connaît les multiples explications qui ont été données, mais le cas Renault a été, qu’on le veuille ou non, un symbole éloquent.
A priori, Jean-Pierre Raffarin dispose d’une capacité d’écoute démontrée déjà dans sa délicate mission d’apaisement avec la Chine. Le fait qu’il vienne parler «affaires» – et non pas «amitiés et refondations» et autres grandiloquences qui n’ont pas manqué dans l’histoire des relations algéro-françaises est donc propice pour discuter d’une relation économique où les deux parties gagnent.
Après tout, «les bons comptes font les bonnes amitiés». C’est très français.
Ainsi l’a rapporté hier à Efe une porte-parole de l’organisme, Sybella Wilkes, qui a dit que l’HCR entretient des contacts très fréquents avec Ould Sidi Mouloud et espère trouver, bientôt, une solution à son cas.
« Notre équipe dans le terrain cherche activement une solution, tant comment il voyagera comme sa destination, et nous travaillons avec toutes les parties impliquées », a remarqué Wilkes.
Le problème rencontré par Sidi Mouloud depuis sa libération est que le Maroc refuse de l’accueillir et met des obstacles à sa sortie dans le but de maintenir cette hystérie médiatique qui est devenu son pain quotidien.
Wilkes a ajouté que ses gestions ne dépasseront pas « quelques jours ou semaines ». Parmi les solutions probables pour son voyage, l’envoi d’un avion de la MINURSO, la Mission de l’ONU pour le Sahara Occidental.
Ould Sidi Mouloud a confirmé avoir « demandé l’aide du HCR pour résoudre son problème.
Ces nouvelles apportées par le journal espagnol ABC vont décevoir les néo-makhzéniens, la classe intellectuelle marocaine qui en ont fait un héros. Exprimer leur haine envers les sahraouis c’est leur façon de déclarer la « Bay3a » au régime alaouite qu’ils ne cessent de critiquer.
Un exemple de cette haine prêchée envers leurs frères sahraouis : Les actions menées par les forces de sécurité contre les citoyens marocains relèvent de la « répression ». Par contre, celles menées contre les sahraouis n’est qu’un « durcissement envers les séparatistes ».
Aminatou Haidar pour eux est un agent de l’Algérie, mais Ould Sidi Mouloud qui avait subi un beau lavage de cerveau à Rabat dans ses soirées avec le trasfuge tortionnaire Omar Hadrami est un militant des droits de l’homme.
Bref, la propagande makhzénienne a semé la confusion, même dans les cerveaux des marocains les plus illuminés : les néomakhzéniens.
Pour rappel, la « prestigieuse » agence MAP avait annoncé que Moustapha avait été torturé, blessé par balle, etc. Le commissaire de l’HCR qui lui rend visite périodiquement n’a rien dit sur ces « atrocités » du Polisario. Il a sûrement été acheté par l’Algérie ou du moins c’est la réponse qui conforte les pétits néo-makhzéniens de Tel Quel et autres.
Cette réunion de trois jours sera consacrée essentiellement à l’examen du suivi des recommandations de la 12ème session, tenue en juillet 2009 en Libye.
Il s’agit notamment des points relatifs au »transport aérien et la navigation aérienne et aéroports », »météorologie », »transports terrestres », »prévention et sécurité routière », »transports maritimes et ports ».
Le Conseil des ministres de l’UMA se penchera également sur plusieurs projets de conventions intermaghrébines.
Le grand registre de l’histoire sculptera avec du sang les noms des martyrs qui trépassent injustement dans les champs d’honneurs et qui payent la facture des folies des hommes qui échouent aux postes des commandes dans ce vil et bas monde.
Pour finir nous dirons que les hommes grands seront ceux qui dirigeront leur peuple vers la prospérité et la béatitude et que l’histoire ne gardera de l’homme que les bonnes et les mauvaises actions. L’opportunité est donc chez le roi du Maroc pour rentrer dans le clan des lauréats du prix Nobel pour la paix et jamais aucun humain sur terre n’oubliera cette bonne action qui sera contée dans toutes les langues du monde.
BIR LAHLOU – L’Espagne reste la puissance administrante du Sahara occidental et le Maroc une puissance occupante « qui viole les droits les plus élémentaires du peuple sahraoui », a affirmé jeudi le ministre sahraoui des Affaires étrangères, Mohamed Salem Ould Salek.
« L’Espagne reste la puissance administrante du Sahara occidental et le Maroc est bel et bien une puissance occupante qui foule aux pieds les conventions de Genève et viole les droits les plus élémentaires du peuple sahraoui », a souligné M. Ould Salek, qui réagissait à l’intervention de la ministre espagnole des Affaires étrangères mercredi devant le Sénat à Madrid.
APS, 26/11/2010