Mois : septembre 2010

  • La Chambre des députés du Chili exhorte le président pour une reconnaissance « immédiate » de la RASD

    Santiago de Chili, 04/09/2010 (SPS) La Chambre des députés de la République du Chili a approuvé jeudi la résolution n ° 134, appelant le président de la République à reconnaitre « immédiatement » la République arabe démocratique sahraouie (RASD), a-t-on appris de source proche de la Mission sahraouie auprès du Chili.

    La résolution a rappelé que, depuis 1975, le Royaume du Maroc a procédé illégalement et militairement à l’occupation du Sahara occidental, donnant lieu à un conflit qui a opposé le Maroc au peuple sahraoui.

    Par ailleurs, l’ambassadeur sahraoui en mission au Chili, Mohamed Zrug, a souligné que cette résolution constitue un message fort en faveur de la question du Sahara occidental. (SPS)
  • La Chambre des députés du Chili exhorte le président pour une reconnaissance "immédiate" de la RASD

    Santiago de Chili, 04/09/2010 (SPS) La Chambre des députés de la République du Chili a approuvé jeudi la résolution n ° 134, appelant le président de la République à reconnaitre « immédiatement » la République arabe démocratique sahraouie (RASD), a-t-on appris de source proche de la Mission sahraouie auprès du Chili.

    La résolution a rappelé que, depuis 1975, le Royaume du Maroc a procédé illégalement et militairement à l’occupation du Sahara occidental, donnant lieu à un conflit qui a opposé le Maroc au peuple sahraoui.

    Par ailleurs, l’ambassadeur sahraoui en mission au Chili, Mohamed Zrug, a souligné que cette résolution constitue un message fort en faveur de la question du Sahara occidental. (SPS)
  • Les provocations du Maroc contre l’ Espagne sont des avertissements accablants sur le Sahara Occidental

    La politique extérieure du Royaume du Maroc est bâtie, à mon avis, sur quatre piliers : une pleine soumission aux intérêts des grandes puissances, avec un soin spécial vers les États-Unis; un lien étroit avec la France, comme amphitrion principal au sein de l’Union Européenne et partenaire privilégié du point de vue économique; éloignement et proximité calculés, selon convenance, par rapport aux stratégies du monde arabe et, last but not least, mise en scène d’attitudes provocantes vers l’Espagne, qui imposent la négociation – toujours au moyen des déplacements des responsables espagnols à Rabat – pour restaurer le calme non sans avoir, au préalable, donné des preuves que celui qui marque l’agenda des relations des deux côtés du Détroit est le fils de Hassán II, dont le nom est Mohamed VI. Sans doute, les liens avec l’Espagne s’inscrivent dans un panorama d’anomalie permanente, d’instabilité létale, qui frôle le chantage et établit les règles à suivre sous le stigmate de la menace périodique et toujours imprévisible.

    Ce qu’il s’est passé à Melilla au mois d’août en est une bonne preuve, autant que les dirigeants du Parti politique espagnol de droite, secondés dans le Congrès par l’ineffable Rosa Diez, ont essayé d’en tirer profit sans s’apercevoir – ou, en tout cas, pour s’en servir d’une façon opportuniste – des manigances utilisées au-delà de la Mer d’Alboran. On peut dire la même chose de la répression brutale subie le 29 du même mois par les citoyens qui, provenant des Iles Canaries, ont réclamé à El Aaiun le droit à la liberté du peuple sahraoui et contre l’occupation illégale par le Maroc d’un territoire qui ne lui appartient pas, comme stipulé par le Droit international. Fréquemment, des personnes arrivent des îles, des personnes qui soutiennent la cause d’un peuple subjugué, mais, jusqu’à présent, la violence n’a jamais été apparue réaction et leçon. Ils n’ont pas été arrêtés, tout simplement frappés avec fureur pour démontrer qui est qui dans cette cause dont l’irrésolution offense la dignité humaine.

    Pourquoi tout cela est-il arrivé ? Y a-t-il un lien entre l’histoire de Melilla et celle d’El Aaiun ? Personnellement, je trouve que oui. Les deux situations sont le reflet de provocations claires destinées à être entendues comme avertissements sévères de ce qui peut arriver encore si l’Espagne n’accepte pas le plan d’autonomie pour le Sahara Occidental qui, contre les Nations Unies, le Maroc essaie d’appliquer de façon immédiate dans le but de légitimer l’occupation du Sahara pour toujours. L’Espagne continue d’être un écueil dans ce processus, puisque, malgré les preuves d’hommage que les responsables espagnols offrent périodiquement à Rabat, le soutien que le Maroc demande n’est pas clair, face au rejet majoritaire de la société espagnole à céder la souveraineté d’un territoire qui a été occupé par la force et qui force la population sahraouie à vivre dans des conditions inhumaines depuis 35 ans. 

    A mon avis,  ce qui préoccupe le Maroc n’est pas la situation de Ceuta et Melilla – surtout quand les flux commerciaux et des personnes qui se produisent dans ce contexte si singulier semblent avantageux pour la population marocaine – mais la pleine possession, sans fissures, du Sahara Occidental acceptée par la communauté internationale à travers la formule de l’autonomie dessinée ad hoc par Rabat. De là le sens de ces manifestations hostiles vers l’Espagne ou les Espagnols, pour rappeler tout le temps qui contrôle les temps, les situations et la séquence du conflit. 

    Ce qu’il s’est passé suscite le pessimisme, puisque la seule position espagnole ne suffira jamais à donner au problème du Sahara Occidental la solution légalement prévue depuis longtemps. L’Espagne est isolée dans cette bataille, dans laquelle les gouvernements se trouvent attachés des pieds et des mains tandis que l’Union Européenne, et particulièrement la France, ne montrent pas une position solidaire dans ce sens. Et, bien sûr, la France ne le faira pas parce que tout un tas d’intérêts et de complicités lient le Maroc à son ancienne métropole. Je crains bien que ce qui s’est passé en août recommencera encore et encore jusqu’à ce que le gouvernement espagnol, toujours si disposé à voyager pour la tempérance du voisin du Sud et pour faire des déclarations – éloquentes et pathétiques les mots exculpatoires de Moratinos et Valenciano – qui n’incommodent jamais le souverain de la Jellaba blanche, accepte que ce que celui-ci veut faire du Sahara Occidental soit sans retour. Et surtout lorsque, dans les petites réunions du pouvoir sont nombreuses les voix qui conseillent clairement dans cette ligne, comme déjà commenté dans ce blog.

    Une autre chose bien différente est ce que nous pensons les nombreux Espagnols qui considérons que la responsabilité historique de l’Espagne au Sahara Occidental ne doit pas se clôturer avec l’occupation illégale du territoire dont nous avons été responsables, et auquel nous avons laissé à son sort. 

    Source : Campos Abiertos, 4/9/2010
  • Les provocations du Maroc contre l’ Espagne sont des avertissements accablants sur le Sahara Occidental

    La politique extérieure du Royaume du Maroc est bâtie, à mon avis, sur quatre piliers : une pleine soumission aux intérêts des grandes puissances, avec un soin spécial vers les États-Unis; un lien étroit avec la France, comme amphitrion principal au sein de l’Union Européenne et partenaire privilégié du point de vue économique; éloignement et proximité calculés, selon convenance, par rapport aux stratégies du monde arabe et, last but not least, mise en scène d’attitudes provocantes vers l’Espagne, qui imposent la négociation – toujours au moyen des déplacements des responsables espagnols à Rabat – pour restaurer le calme non sans avoir, au préalable, donné des preuves que celui qui marque l’agenda des relations des deux côtés du Détroit est le fils de Hassán II, dont le nom est Mohamed VI. Sans doute, les liens avec l’Espagne s’inscrivent dans un panorama d’anomalie permanente, d’instabilité létale, qui frôle le chantage et établit les règles à suivre sous le stigmate de la menace périodique et toujours imprévisible.

    Ce qu’il s’est passé à Melilla au mois d’août en est une bonne preuve, autant que les dirigeants du Parti politique espagnol de droite, secondés dans le Congrès par l’ineffable Rosa Diez, ont essayé d’en tirer profit sans s’apercevoir – ou, en tout cas, pour s’en servir d’une façon opportuniste – des manigances utilisées au-delà de la Mer d’Alboran. On peut dire la même chose de la répression brutale subie le 29 du même mois par les citoyens qui, provenant des Iles Canaries, ont réclamé à El Aaiun le droit à la liberté du peuple sahraoui et contre l’occupation illégale par le Maroc d’un territoire qui ne lui appartient pas, comme stipulé par le Droit international. Fréquemment, des personnes arrivent des îles, des personnes qui soutiennent la cause d’un peuple subjugué, mais, jusqu’à présent, la violence n’a jamais été apparue réaction et leçon. Ils n’ont pas été arrêtés, tout simplement frappés avec fureur pour démontrer qui est qui dans cette cause dont l’irrésolution offense la dignité humaine.

    Pourquoi tout cela est-il arrivé ? Y a-t-il un lien entre l’histoire de Melilla et celle d’El Aaiun ? Personnellement, je trouve que oui. Les deux situations sont le reflet de provocations claires destinées à être entendues comme avertissements sévères de ce qui peut arriver encore si l’Espagne n’accepte pas le plan d’autonomie pour le Sahara Occidental qui, contre les Nations Unies, le Maroc essaie d’appliquer de façon immédiate dans le but de légitimer l’occupation du Sahara pour toujours. L’Espagne continue d’être un écueil dans ce processus, puisque, malgré les preuves d’hommage que les responsables espagnols offrent périodiquement à Rabat, le soutien que le Maroc demande n’est pas clair, face au rejet majoritaire de la société espagnole à céder la souveraineté d’un territoire qui a été occupé par la force et qui force la population sahraouie à vivre dans des conditions inhumaines depuis 35 ans. 

    A mon avis,  ce qui préoccupe le Maroc n’est pas la situation de Ceuta et Melilla – surtout quand les flux commerciaux et des personnes qui se produisent dans ce contexte si singulier semblent avantageux pour la population marocaine – mais la pleine possession, sans fissures, du Sahara Occidental acceptée par la communauté internationale à travers la formule de l’autonomie dessinée ad hoc par Rabat. De là le sens de ces manifestations hostiles vers l’Espagne ou les Espagnols, pour rappeler tout le temps qui contrôle les temps, les situations et la séquence du conflit. 

    Ce qu’il s’est passé suscite le pessimisme, puisque la seule position espagnole ne suffira jamais à donner au problème du Sahara Occidental la solution légalement prévue depuis longtemps. L’Espagne est isolée dans cette bataille, dans laquelle les gouvernements se trouvent attachés des pieds et des mains tandis que l’Union Européenne, et particulièrement la France, ne montrent pas une position solidaire dans ce sens. Et, bien sûr, la France ne le faira pas parce que tout un tas d’intérêts et de complicités lient le Maroc à son ancienne métropole. Je crains bien que ce qui s’est passé en août recommencera encore et encore jusqu’à ce que le gouvernement espagnol, toujours si disposé à voyager pour la tempérance du voisin du Sud et pour faire des déclarations – éloquentes et pathétiques les mots exculpatoires de Moratinos et Valenciano – qui n’incommodent jamais le souverain de la Jellaba blanche, accepte que ce que celui-ci veut faire du Sahara Occidental soit sans retour. Et surtout lorsque, dans les petites réunions du pouvoir sont nombreuses les voix qui conseillent clairement dans cette ligne, comme déjà commenté dans ce blog.

    Une autre chose bien différente est ce que nous pensons les nombreux Espagnols qui considérons que la responsabilité historique de l’Espagne au Sahara Occidental ne doit pas se clôturer avec l’occupation illégale du territoire dont nous avons été responsables, et auquel nous avons laissé à son sort. 

    Source : Campos Abiertos, 4/9/2010
  • Ross : « La fuite » sur le contenu de sa lettre « a été inutile »

    Il paraît que l’envoyé spécial du SG des Nations Unies pour le Sahara Occidental n’est pas très content de savoir que le contenu de sa lettre a été rendu public. Surtout à cause de tous les tracas qu’il aura avec le Maroc qui est le grand perdant dans cette lettre, puisque le diplomate américain accuse clairement ce pays de ne pas avoir une véritable volonté de négocier et d’oeuvrer pour le maintien du statu quo.

    Voici une traduction du dernier point de presse du Bureau du Porte-parole du SG de l’ONU :

    Point de presse du Bureau du porte-parole du Secrétaire Général de l’ONU, 2 septembre

    Question : Il y a de réponse à ma question d’hier de la part de l’Envoyé du Secrétaire Général pour le Sahara Occidental?
    Porte-parole : Oui, nous avons une réponse pour vous. Ce que nous voulons mettre en clair, c’est que Christopher Ross est occupé à travailler, en effet, avec les parties concernées par le Sahara Occidental ; il est conscient des défis, mais il persiste dans le travail avec les parties sue ce sujet. Il croit aussi que la fuite de ce document particulier a été certainement inutile.

    Q : Mais, est-il en train de préparer une rencontre informelle avec les parties pour bientôt?
    PP : Je n’ai pas de réunions spécifiques à annoncer à ce stade.

    Q : A propos du Sahara Occidental et le Pakistan. Au SO, l’expulsion des activistes espagnols du SO par le Maroc; parmi eux, il y avait un méxicain, Antonion Vazquez Diaz, qui dit avoir écrit au SG, Ban Ki-moon, je ne sais pas si vous allez ignorer une lettre d’un particulier. Mais tous ces gens disent que quand ils ont soulevé la question de l’expulsion à la MINURSO, il n’était pas dans le mandat de celle-ci ce genre de chose. Donc je voulais savoir, quel est le mandat de la MINURSO en termes de type d’expulsion sommaire à partir du territoire du Sahara occidental
    PP : je vous renvoie simplement aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité qui ont établi le mandat de la MINURSO, qui comme vous le savez est la mission de l’ONU traitant de la question d’un référendum au Sahara occidental.

    Q : Le Secrétariat, a-t-il reçu une lettre d’Antonio Vazquez, un ressortissant méxicain, avant son expulsion?
    PP : Je ne suis pas au courant d’une telle lettre, non.

    ISRIA, 2/9/2010
  • Ross : « La fuite » sur le contenu de sa lettre « a été inutile »

    Il paraît que l’envoyé spécial du SG des Nations Unies pour le Sahara Occidental n’est pas très content de savoir que le contenu de sa lettre a été rendu public. Surtout à cause de tous les tracas qu’il aura avec le Maroc qui est le grand perdant dans cette lettre, puisque le diplomate américain accuse clairement ce pays de ne pas avoir une véritable volonté de négocier et d’oeuvrer pour le maintien du statu quo.

    Voici une traduction du dernier point de presse du Bureau du Porte-parole du SG de l’ONU :

    Point de presse du Bureau du porte-parole du Secrétaire Général de l’ONU, 2 septembre

    Question : Il y a de réponse à ma question d’hier de la part de l’Envoyé du Secrétaire Général pour le Sahara Occidental?
    Porte-parole : Oui, nous avons une réponse pour vous. Ce que nous voulons mettre en clair, c’est que Christopher Ross est occupé à travailler, en effet, avec les parties concernées par le Sahara Occidental ; il est conscient des défis, mais il persiste dans le travail avec les parties sue ce sujet. Il croit aussi que la fuite de ce document particulier a été certainement inutile.

    Q : Mais, est-il en train de préparer une rencontre informelle avec les parties pour bientôt?
    PP : Je n’ai pas de réunions spécifiques à annoncer à ce stade.

    Q : A propos du Sahara Occidental et le Pakistan. Au SO, l’expulsion des activistes espagnols du SO par le Maroc; parmi eux, il y avait un méxicain, Antonion Vazquez Diaz, qui dit avoir écrit au SG, Ban Ki-moon, je ne sais pas si vous allez ignorer une lettre d’un particulier. Mais tous ces gens disent que quand ils ont soulevé la question de l’expulsion à la MINURSO, il n’était pas dans le mandat de celle-ci ce genre de chose. Donc je voulais savoir, quel est le mandat de la MINURSO en termes de type d’expulsion sommaire à partir du territoire du Sahara occidental
    PP : je vous renvoie simplement aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité qui ont établi le mandat de la MINURSO, qui comme vous le savez est la mission de l’ONU traitant de la question d’un référendum au Sahara occidental.

    Q : Le Secrétariat, a-t-il reçu une lettre d’Antonio Vazquez, un ressortissant méxicain, avant son expulsion?
    PP : Je ne suis pas au courant d’une telle lettre, non.

    ISRIA, 2/9/2010
  • Ross : "La fuite" sur le contenu de sa lettre "a été inutile"

    Il paraît que l’envoyé spécial du SG des Nations Unies pour le Sahara Occidental n’est pas très content de savoir que le contenu de sa lettre a été rendu public. Surtout à cause de tous les tracas qu’il aura avec le Maroc qui est le grand perdant dans cette lettre, puisque le diplomate américain accuse clairement ce pays de ne pas avoir une véritable volonté de négocier et d’oeuvrer pour le maintien du statu quo.

    Voici une traduction du dernier point de presse du Bureau du Porte-parole du SG de l’ONU :

    Point de presse du Bureau du porte-parole du Secrétaire Général de l’ONU, 2 septembre

    Question : Il y a de réponse à ma question d’hier de la part de l’Envoyé du Secrétaire Général pour le Sahara Occidental?
    Porte-parole : Oui, nous avons une réponse pour vous. Ce que nous voulons mettre en clair, c’est que Christopher Ross est occupé à travailler, en effet, avec les parties concernées par le Sahara Occidental ; il est conscient des défis, mais il persiste dans le travail avec les parties sue ce sujet. Il croit aussi que la fuite de ce document particulier a été certainement inutile.

    Q : Mais, est-il en train de préparer une rencontre informelle avec les parties pour bientôt?
    PP : Je n’ai pas de réunions spécifiques à annoncer à ce stade.

    Q : A propos du Sahara Occidental et le Pakistan. Au SO, l’expulsion des activistes espagnols du SO par le Maroc; parmi eux, il y avait un méxicain, Antonion Vazquez Diaz, qui dit avoir écrit au SG, Ban Ki-moon, je ne sais pas si vous allez ignorer une lettre d’un particulier. Mais tous ces gens disent que quand ils ont soulevé la question de l’expulsion à la MINURSO, il n’était pas dans le mandat de celle-ci ce genre de chose. Donc je voulais savoir, quel est le mandat de la MINURSO en termes de type d’expulsion sommaire à partir du territoire du Sahara occidental
    PP : je vous renvoie simplement aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité qui ont établi le mandat de la MINURSO, qui comme vous le savez est la mission de l’ONU traitant de la question d’un référendum au Sahara occidental.

    Q : Le Secrétariat, a-t-il reçu une lettre d’Antonio Vazquez, un ressortissant méxicain, avant son expulsion?
    PP : Je ne suis pas au courant d’une telle lettre, non.

    ISRIA, 2/9/2010
  • Toledo et Galeote, porte-paroles de la Flotille de l’Indépendance

    L’Observatoire de Droits de l’homme pour les Territoires Occupés du Sahara Occidental, dans le processus d’organisation de la « Flottille de l’indépendance, Mahfoud Ali Beiba » qui sera composée de personnes, entités, organisations et institutions solidaires avec la cause sahraouie de différents endroits, a indiqué que l’acteur Willy Toledo et Isabelle Galeote seront les porte-parole de l’initiative.

    Dans un communiqué, l’organisation a expliqué que la dite flottille partira depuis les Îles Canaries jusqu’au port d’El Aaiún, la capitale du Sahara Occidental, « territoire occupé par le Maroc depuis 35 ans ».

    De la même manière, a été officiellement constitué le Groupe Opérationnel qui travaille dans la mise en place de cette initiative. Il est composé par : Antonia Pons, Emma Pomar, Isabelle Fortuño, Gurutze Irizar, Ángela Carrillo, Ana Melinas, Juanjo Miera, Cristina Molera, Toni Prieto, Luisa Sanchez et d’autres quatre personnes des territoires occupés du Sahara Occidental et dont les noms ne seront pas encore annoncés « pour des raisons évidentes ».

    Source : EFE
  • Sur l’homosexualité du roi Mohamed VI

    En 2002, la télévision nationale hollandaise, en se basant sur des publications apparues dans le Soir Belgique, avait annoncé que le nouveau roi du Maroc est homosexuel. Cela n’est certainement pas nouveau pour les citoyens marocains. La publication avait conduit à une grande manifestation des marocains d’Utrecht. Pourtant, u Maroc, tout le monde le disait du jeune prince héritier qui deviendra plus tard le roi Mohamed VI.

    Le Rédacteur en chef Hans Brom a dit « Notre Robbert Bosschard, correspondant, a parlé avec le chef de police et le commandant en chef de l’armée marocaine. Ils ont été convaincus que le nouveau roi est homosexuel et ils avaient peur de l’avenir sous un monarque homosexuel. »

    Se poser la question n’est pas être homophobe s’agissant d’une personnalité publique, un chef d’Etat d’un pays musulman de surcroit, le Commandeur des Croyants d’un pays musulman dont les tribunaux prononcent des peines de 6 mois à 3 ans de prison pour « homosexualité » et elles sont prononcées au nom du roi. Dans l’affaire du mariage du Ksar el Kebir, les protagonistes furent condamnés sans preuve uniquement pour faire taire les rumeurs qui avaient enclenchés l’article d’Al Massae. 

    Il est donc judicieux de se poser des questions à ce sujet, même si Mohamed VI, en tant que « déscendant du prophète » est à l’abri de toutes les accusations, mais si jamais le prophète entendait cela, il se tournerait dans sa tombe pour maudire les alaouites.

    Rumeurs ou vérité, en tout cas les rumerus sur son homosexualité sont persistantes et il a été vu dans les bars gay de Bruxelles à l’poque où son père l’a envoyé faire un stage avec le président de la Commission Européenne, Jacques Delors. Huit mois en Belgique, entouré de quelques amis, logé dans une somptueuse villa. Le week-end, il se lâchait. Restaurant, boîtes de nuit, bar gays… Il voulait se défouler loin de l’influence paternelle. 

    Pour les européens, Mohamed VI est peut-être un bon roi, mais il n’est pas bon musulman. Son homosexualité est « la connaissance commune » en Europe et des cercles intellectuels marocains, selon Tony Flavel, résident à Marrakech. « Mais vaut mieux ne pas en parler, » a-t-il dit. « La police et les forces armées sont contre le nouveau roi pour cette raison précisément. Ils préféreraient son frère plus jeune, Moulay Rashid. »

    On peut se demander si tout le brouhaha que le roi du Maroc a monté sur l’association de gays marocains et leur journal est pour donner une image d’ouverture au Maroc ou c’est plutôt par « affinité » du souverain. 

    Jamais un roi n’a été aussi nul. Il n’a pas l’intelligence ni la compétence de son père, mais apparemment, le sexe non plus. A la timidité s’ajoute l’homosexualité. La totale! Donc, arrêtons de s’en prendre aux femmes marocaines qui pratiquent la prostitution. Il faut, d’abord, demander au roi de rendre des comptes. Lui, qui est le roi des marocains et de la gaieté.

    En tout cas, s’il a su préserver son derrière jusqu’à maintenant, chose difficile pour quelqu’un ayant passé par les bars de Bruxelles, une chose est sûre : Il a été bien baisé par les sahraouis, ce peuple courageux qui se bat pour sa terre : le Sahara Occidental. 
  • Toledo et Galeote, porte-paroles de la Flotille de l’Indépendance

    L’Observatoire de Droits de l’homme pour les Territoires Occupés du Sahara Occidental, dans le processus d’organisation de la « Flottille de l’indépendance, Mahfoud Ali Beiba » qui sera composée de personnes, entités, organisations et institutions solidaires avec la cause sahraouie de différents endroits, a indiqué que l’acteur Willy Toledo et Isabelle Galeote seront les porte-parole de l’initiative.

    Dans un communiqué, l’organisation a expliqué que la dite flottille partira depuis les Îles Canaries jusqu’au port d’El Aaiún, la capitale du Sahara Occidental, « territoire occupé par le Maroc depuis 35 ans ».

    De la même manière, a été officiellement constitué le Groupe Opérationnel qui travaille dans la mise en place de cette initiative. Il est composé par : Antonia Pons, Emma Pomar, Isabelle Fortuño, Gurutze Irizar, Ángela Carrillo, Ana Melinas, Juanjo Miera, Cristina Molera, Toni Prieto, Luisa Sanchez et d’autres quatre personnes des territoires occupés du Sahara Occidental et dont les noms ne seront pas encore annoncés « pour des raisons évidentes ».

    Source : EFE