Mois : mai 2010

  • Un responsable sahraoui critique l’opposition de la France à l’élargissement des pouvoirs de la MINURSO au Sahara occidental

    Madrid, 06/05/2010 (SPS) Le représentant du Front Polisario en Espagne, M. Bachraya Hamoudi Beyoun a critiqué mercredi à Madrid, la position de la France, qui s’est opposée durant la dernière réunion du Conseil de sécurité à l’élargissement des pouvoirs de la MINURSO pour inclure la protection des droits de l’homme au Sahara Occidental, dans une déclaration au journal espagnol, « Sun Borondon » .
    « Les Sahraouis sont consternés par la position officielle de la France à l’égard de la question du Sahara occidental , qui avait menacé d’utiliser son veto pour empêcher la MINURSO d’être dotée d’un mécanisme chargé de surveiller les droits humains au Sahara Occidental », a indiqué la même source.

    Le diplomate sahraoui a souligné que le peuple sahraoui était convaincu que l’ONU prendraient en compte la question des droits de l’homme au Sahara occidental et la création d’un mécanisme de protection et de surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental .

    Plusieurs pays se sont élevés contre l’opposition de la France contre l’élargissement des prérogatives de la Minurso à la protection des droits de l’Homme, durant la dernière réunion du Conseil de sécurité autour de la question du Sahara occidental, a conclut M. Beyoun. (SPS)
  • Un acteur espagnol qualifie la position de l’Espagne vis-à-vis de la question du Sahara occidental de « honteuse »

    Madrid, 06/05/2010 (SPS) L’acteur espagnol, Willy Toledo a qualifié la position de l’Espagne, vis-à-vis de la question du Sahara occidental et la juste cause de son peuple, de « honteuse », dans une interview à la chaîne espagnole, TV5.
    « L’Espagne continue de s’aligner au coté du Maroc, qui persiste dans la répression, la torture, les arrestations et les procès iniques contre les civils sahraouis dans les territoires occupés du Sahara Occidental », a regretté l’acteur espagnol.

    S’agissant de la 7ème édition du Festival international du cinéma au Sahara occidental, le représentant espagnol a souligné l’importance de l’inauguration d’une école cinématographique dans les camps des réfugiés, estimant que cela « était le rêve de nous tous depuis la première édition de ce Festival, devenu aujourd’hui une réalité vivante ».

    M. Toledo avait participé au coté de nombreux acteurs et internationaux à la septième édition du festival du film au Sahara occidental, qui a été organisée à la wilaya de Dakhla, camps des réfugiés sahraouis. (SPS)

  • Un acteur espagnol qualifie la position de l’Espagne vis-à-vis de la question du Sahara occidental de "honteuse"

    Madrid, 06/05/2010 (SPS) L’acteur espagnol, Willy Toledo a qualifié la position de l’Espagne, vis-à-vis de la question du Sahara occidental et la juste cause de son peuple, de « honteuse », dans une interview à la chaîne espagnole, TV5.
    « L’Espagne continue de s’aligner au coté du Maroc, qui persiste dans la répression, la torture, les arrestations et les procès iniques contre les civils sahraouis dans les territoires occupés du Sahara Occidental », a regretté l’acteur espagnol.

    S’agissant de la 7ème édition du Festival international du cinéma au Sahara occidental, le représentant espagnol a souligné l’importance de l’inauguration d’une école cinématographique dans les camps des réfugiés, estimant que cela « était le rêve de nous tous depuis la première édition de ce Festival, devenu aujourd’hui une réalité vivante ».

    M. Toledo avait participé au coté de nombreux acteurs et internationaux à la septième édition du festival du film au Sahara occidental, qui a été organisée à la wilaya de Dakhla, camps des réfugiés sahraouis. (SPS)

  • Un responsable sahraoui critique l’opposition de la France à l’élargissement des pouvoirs de la MINURSO au Sahara occidental

    Madrid, 06/05/2010 (SPS) Le représentant du Front Polisario en Espagne, M. Bachraya Hamoudi Beyoun a critiqué mercredi à Madrid, la position de la France, qui s’est opposée durant la dernière réunion du Conseil de sécurité à l’élargissement des pouvoirs de la MINURSO pour inclure la protection des droits de l’homme au Sahara Occidental, dans une déclaration au journal espagnol, « Sun Borondon » .
    « Les Sahraouis sont consternés par la position officielle de la France à l’égard de la question du Sahara occidental , qui avait menacé d’utiliser son veto pour empêcher la MINURSO d’être dotée d’un mécanisme chargé de surveiller les droits humains au Sahara Occidental », a indiqué la même source.

    Le diplomate sahraoui a souligné que le peuple sahraoui était convaincu que l’ONU prendraient en compte la question des droits de l’homme au Sahara occidental et la création d’un mécanisme de protection et de surveillance des droits de l’homme au Sahara occidental .

    Plusieurs pays se sont élevés contre l’opposition de la France contre l’élargissement des prérogatives de la Minurso à la protection des droits de l’Homme, durant la dernière réunion du Conseil de sécurité autour de la question du Sahara occidental, a conclut M. Beyoun. (SPS)
  • Université Saâd Dahleb : Colloque sur le Sahara occidental

    Consécutivement à la résolution 1920 du Conseil de sécurité qui a reconduit le statu quo au Sahara occidental, un colloque sur les souffrances du peuple sahraoui a été organisé, dimanche dernier, à l’université Saâd Dahleb de Blida.
    Par Hocine Mallek
    Cette manifestation de soutien au peuple sahraoui pour recouvrer son indépendance, à laquelle ont pris part une délégation d’étudiants sahraouis et des militants des droits de l’Homme, était parrainée par les mouvements estudiantins et associatifs nationaux de soutien et d’amitié avec le peuple sahraoui.

    La délégation estudiantine sahraouie, venue directement des camps des réfugiés, a vivement exprimé son indignation au sujet du rôle funeste qu’ont joué certains pays occidentaux, prétendant être les pionniers des droits de l’homme, pour faire avorter la revendication légitime d’élargir la mission de l’ONU (Minurso) à la protection des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés. Des militants sahraouis des droits de l’Homme ont saisi cette occasion pour faire de poignants témoignages sur les monstruosités et les horreurs commises par le régime marocain à l’encontre du peuple sahraoui.

  • Ahermoumou puni au temps de l’impunité…

    Par Abdelmajid Baroudi, 6/5/2010
    Le Forum Vérité et Justice organise une caravane à Ahermoumou le 8 Mai 2010 . Cette visite s’inscrit dans le cadre de solidarité avec les régions, victimes des années de plomb.Voici un modeste hommage à mon village natal.
    Ahermoumou, tribu d’Ighzrane (aghzer au pluriel, Ighzrane nom amazigh signifie ruisseau) est un village situé entre le Moyen Atlas et le Rif. Le langage amazigh parlé par les Ighazranes se caractérise par un mélange de l’accent rifain et celui du Moyen Atlas. Ahermoumou est une zone enclavée. Privée de toutes infrastructure de développement. Avant les événements de Skhirat, (1971) la caserne militaire contribuait à l’activité commerciale du village. A la souffrance matérielle, causée par l’éradication de l’école militaire, s’ajoute une autre souffrance. Cette fois –ci d’ordre politique. Juste après les événements de Skhirat, une vague d’harcèlements fut lancée contre la population locale. Les habitants d’Ahermoumou étaient la cible des dépassements organisés par « les forces de l’ordre ».
    Depuis lors Ahermoumou, c’est d’ailleurs le même cas d’autres régions du Maroc, considérées par le système de fief de rébellion, est qualifié de mal aimé du roi (msakhit al malik). Il a donc fallu bannir et détruire la signification du mot Ahermomou de la mémoire des marocain. Pour ce faire, le régime a procédé à la modification du nom du village, en le remplaçant par «Ribat al kheir ». Depuis le temps, démunir Ahermoumou de toute opportunité de développement local et le maintenir au coté des zones marginalisées, est la récompense offerte par le régime aux Ighzranes. Malgré tout ce qu’ils ont enduré, les habitants d’Ahermoumou sont restés fidèles à la connotation originale d’ Ahermoumou.
  • Université Saâd Dahleb : Colloque sur le Sahara occidental

    Consécutivement à la résolution 1920 du Conseil de sécurité qui a reconduit le statu quo au Sahara occidental, un colloque sur les souffrances du peuple sahraoui a été organisé, dimanche dernier, à l’université Saâd Dahleb de Blida.
    Par Hocine Mallek
    Cette manifestation de soutien au peuple sahraoui pour recouvrer son indépendance, à laquelle ont pris part une délégation d’étudiants sahraouis et des militants des droits de l’Homme, était parrainée par les mouvements estudiantins et associatifs nationaux de soutien et d’amitié avec le peuple sahraoui.

    La délégation estudiantine sahraouie, venue directement des camps des réfugiés, a vivement exprimé son indignation au sujet du rôle funeste qu’ont joué certains pays occidentaux, prétendant être les pionniers des droits de l’homme, pour faire avorter la revendication légitime d’élargir la mission de l’ONU (Minurso) à la protection des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés. Des militants sahraouis des droits de l’Homme ont saisi cette occasion pour faire de poignants témoignages sur les monstruosités et les horreurs commises par le régime marocain à l’encontre du peuple sahraoui.

  • Ahermoumou puni au temps de l’impunité…

    Par Abdelmajid Baroudi, 6/5/2010
    Le Forum Vérité et Justice organise une caravane à Ahermoumou le 8 Mai 2010 . Cette visite s’inscrit dans le cadre de solidarité avec les régions, victimes des années de plomb.Voici un modeste hommage à mon village natal.
    Ahermoumou, tribu d’Ighzrane (aghzer au pluriel, Ighzrane nom amazigh signifie ruisseau) est un village situé entre le Moyen Atlas et le Rif. Le langage amazigh parlé par les Ighazranes se caractérise par un mélange de l’accent rifain et celui du Moyen Atlas. Ahermoumou est une zone enclavée. Privée de toutes infrastructure de développement. Avant les événements de Skhirat, (1971) la caserne militaire contribuait à l’activité commerciale du village. A la souffrance matérielle, causée par l’éradication de l’école militaire, s’ajoute une autre souffrance. Cette fois –ci d’ordre politique. Juste après les événements de Skhirat, une vague d’harcèlements fut lancée contre la population locale. Les habitants d’Ahermoumou étaient la cible des dépassements organisés par « les forces de l’ordre ».
    Depuis lors Ahermoumou, c’est d’ailleurs le même cas d’autres régions du Maroc, considérées par le système de fief de rébellion, est qualifié de mal aimé du roi (msakhit al malik). Il a donc fallu bannir et détruire la signification du mot Ahermomou de la mémoire des marocain. Pour ce faire, le régime a procédé à la modification du nom du village, en le remplaçant par «Ribat al kheir ». Depuis le temps, démunir Ahermoumou de toute opportunité de développement local et le maintenir au coté des zones marginalisées, est la récompense offerte par le régime aux Ighzranes. Malgré tout ce qu’ils ont enduré, les habitants d’Ahermoumou sont restés fidèles à la connotation originale d’ Ahermoumou.
  • Maroc: un quotidien cesse de paraître provisoirement

    Le quotidien arabophone Al Jarida Al Oula (indépendant) a annoncé qu’il avait cessé provisoirement de paraître à partir de mercredi « pour des raisons essentiellement financières ».
    Le journal a « cessé de paraître pour des raison essentiellement financières » en espérant « réappraître une fois ces difficultés dépassées », a indiqué un communiqué sans autres précisions.
    Créé en 2008 et dirigé par Ali Anouzla, Al Jarida Al Oula fait face depuis plusieurs mois à des « difficultés financières en raison notamment de non paiement de dettes à l’imprimerie », selon l’un de ses journalistes.
    « Nous nous excusons auprès des lecteurs pour cette absence forcée et espérons un retour très prochainement », a conclu le communiqué d’Al Jarida Al Oula.
    Le 28 janvier, les locaux du Journal hebdomadaire (indépendant) ont été mis sous
  • Maroc: un quotidien cesse de paraître provisoirement

    Le quotidien arabophone Al Jarida Al Oula (indépendant) a annoncé qu’il avait cessé provisoirement de paraître à partir de mercredi « pour des raisons essentiellement financières ».
    Le journal a « cessé de paraître pour des raison essentiellement financières » en espérant « réappraître une fois ces difficultés dépassées », a indiqué un communiqué sans autres précisions.
    Créé en 2008 et dirigé par Ali Anouzla, Al Jarida Al Oula fait face depuis plusieurs mois à des « difficultés financières en raison notamment de non paiement de dettes à l’imprimerie », selon l’un de ses journalistes.
    « Nous nous excusons auprès des lecteurs pour cette absence forcée et espérons un retour très prochainement », a conclu le communiqué d’Al Jarida Al Oula.
    Le 28 janvier, les locaux du Journal hebdomadaire (indépendant) ont été mis sous