Mois : mai 2010

  • Le Maroc n’est pas un « Etat de droit » (Ministre sahraoui)

    Chahid El Hafed, 20/05/2010 (SPS) Le Ministre sahraoui des Territoires occupés et de la communauté, M. El-Khalil Sid M’hamed a souligné que le Maroc n’était pas un « Etat de droit » contrairement à ce qu’il prétend du fait de l’occupation militaire du Sahara occidental et des arrestations anarchiques dont font l’objet les Sahraouis loin de toute légalité.

    M. El-Khalil a précisé mercredi que le Maroc appliquait la « loi de la jungle » comme en témoignent ses pratiques sur le terrain, notamment les simulacres de procès pour les militants et les détenus politiques sahraouis et le pillage et le vol des richesses du pays, dans une déclaration à SPS

    Le Maroc n’est que « l’Etat des charniers, de l’exil forcé, de l’oppression et de la discrimination contre les Sahraouis », a estimé le ministre, précisant qu’ »il y a plus de 50 détenus politiques sahraouis dans ses prisons et plus de 500 disparus, ainsi que 151 prisonniers de guerre, comme l’attestent des organisations internationales telles que le Haut commissariat de l’ONU pour les droits de l’homme et Amnesty International.

    M. El-Khalil a, par ailleurs précisé que le Maroc jouit de la protection directe de la France qui lui permet d’échapper à la condamnation internationale pour ses violations des droits de l’homme au Sahara occidental.(SPS)

  • Le Maroc n’est pas un "Etat de droit" (Ministre sahraoui)

    Chahid El Hafed, 20/05/2010 (SPS) Le Ministre sahraoui des Territoires occupés et de la communauté, M. El-Khalil Sid M’hamed a souligné que le Maroc n’était pas un « Etat de droit » contrairement à ce qu’il prétend du fait de l’occupation militaire du Sahara occidental et des arrestations anarchiques dont font l’objet les Sahraouis loin de toute légalité.

    M. El-Khalil a précisé mercredi que le Maroc appliquait la « loi de la jungle » comme en témoignent ses pratiques sur le terrain, notamment les simulacres de procès pour les militants et les détenus politiques sahraouis et le pillage et le vol des richesses du pays, dans une déclaration à SPS

    Le Maroc n’est que « l’Etat des charniers, de l’exil forcé, de l’oppression et de la discrimination contre les Sahraouis », a estimé le ministre, précisant qu’ »il y a plus de 50 détenus politiques sahraouis dans ses prisons et plus de 500 disparus, ainsi que 151 prisonniers de guerre, comme l’attestent des organisations internationales telles que le Haut commissariat de l’ONU pour les droits de l’homme et Amnesty International.

    M. El-Khalil a, par ailleurs précisé que le Maroc jouit de la protection directe de la France qui lui permet d’échapper à la condamnation internationale pour ses violations des droits de l’homme au Sahara occidental.(SPS)

  • EL MALIK ALLAH EL WATAN Témoignage. Votre attention s’il vous plaît !

    Si vous voulez faire carrière, mieux vaut écouter religieusement les discours du roi. C’est en tout cas la morale de ce haut fonctionnaire qui témoigne sous le sceau de l’anonymat :
    “J’étais sur l’autoroute Rabat – Casablanca quand un officier de la DST que j’avais déjà croisé m’a appelé au téléphone. Le roi venait de terminer un discours dans lequel il avait insisté sur la question du Sahara, notre ‘cause nationale’. Après les traditionnelles formules de politesse, l’officier me demande si j’ai écouté le discours et ce que j’en pense. J’avoue que, sur le moment, sa question m’a déstabilisé. Je me suis contenté de lui servir un verbiage consensuel dont je ne me souviens même pas. Par la suite, j’ai bien tenté de me renseigner sur les motifs de cet appel inopportun. Certains amis m’ont répondu : ‘L’assiduité aux discours royaux ne passe pas inaperçue et elle est très appréciée’. Mais je n’ai réalisé à quel point l’attention accordée à la parole et à l’image du roi était importante que quelques années plus tard, lorsque je suis entré dans le bureau d’un des plus hauts commis de l’Etat. En pleine séance de travail, le fonctionnaire en question a demandé à l’un de ses assistants d’allumer le poste de télévision et d’augmenter le volume : le bulletin d’informations, traditionnellement ouvert par une activité royale, venait de commencer. Un silence religieux a suivi. Quand l’image du roi a disparu du petit écran, la réunion a repris comme si de rien n’était”.
    Plus loin. Fantasme de journaliste
    Le Maroc bouge au rythme de son roi. Les discours de Mohammed VI sont l’expression médiatique de la toute puissance monarchique, celle d’un roi qui personnalise tous les pouvoirs, jusqu’à devenir l’épicentre du système politique, économique, social et culturel du pays. Qu’on se remémore une seule réforme d’envergure qui porte le nom d’un ministre marocain. Qu’on se souvienne d’une seule action publique et consensuelle qui soit associée à une personne autre que le souverain. Très vite, même l’observateur le plus averti de la dernière décennie marocaine est en panne d’exemples.
    Il se trouve que les discours royaux, dans leur forme aussi bien que dans leur contenu, contribuent à perpétuer l’idée de cette monarchie omniprésente et omnipotente. Ils sont devenus la feuille de route du Premier ministre, tous les ministres s’y réfèrent et les députés de la majorité comme ceux de l’opposition les reprennent à leur compte. Ont-ils d’ailleurs le choix ? Les discours royaux ne sont-ils pas empreints du sceau de l’infaillibilité et de la sacralité ? En fait, tout se passe comme s’ils étaient une bible de science et d’action politique. Au Maroc, la parole du roi fait droit. Bien plus, elle est le pouls du royaume. Quand les mots de Mohammed VI se font durs, les politiques tremblent. Quand le ton se fait urgent, le Maroc s’ébranle. Un discours, celui du 6 novembre 2009, marque un changement de ton et un changement de doctrine. Le roi y affirmait : “Ou on est patriote, ou on est traître”. Voilà qui n’est pas fait pour nous rassurer, nous autres journalistes, si souvent assimilés à des nihilistes, activistes et autres comploteurs de l’intérieur. Mais nous ne devons pas nous sentir visés, nous a-t-on expliqué : les lignes rouges ne sont qu’un fantasme de journaliste… Souleïman Bencheikh
    Telquel
  • EL MALIK ALLAH EL WATAN Témoignage. Votre attention s’il vous plaît !

    Si vous voulez faire carrière, mieux vaut écouter religieusement les discours du roi. C’est en tout cas la morale de ce haut fonctionnaire qui témoigne sous le sceau de l’anonymat :
    “J’étais sur l’autoroute Rabat – Casablanca quand un officier de la DST que j’avais déjà croisé m’a appelé au téléphone. Le roi venait de terminer un discours dans lequel il avait insisté sur la question du Sahara, notre ‘cause nationale’. Après les traditionnelles formules de politesse, l’officier me demande si j’ai écouté le discours et ce que j’en pense. J’avoue que, sur le moment, sa question m’a déstabilisé. Je me suis contenté de lui servir un verbiage consensuel dont je ne me souviens même pas. Par la suite, j’ai bien tenté de me renseigner sur les motifs de cet appel inopportun. Certains amis m’ont répondu : ‘L’assiduité aux discours royaux ne passe pas inaperçue et elle est très appréciée’. Mais je n’ai réalisé à quel point l’attention accordée à la parole et à l’image du roi était importante que quelques années plus tard, lorsque je suis entré dans le bureau d’un des plus hauts commis de l’Etat. En pleine séance de travail, le fonctionnaire en question a demandé à l’un de ses assistants d’allumer le poste de télévision et d’augmenter le volume : le bulletin d’informations, traditionnellement ouvert par une activité royale, venait de commencer. Un silence religieux a suivi. Quand l’image du roi a disparu du petit écran, la réunion a repris comme si de rien n’était”.
    Plus loin. Fantasme de journaliste
    Le Maroc bouge au rythme de son roi. Les discours de Mohammed VI sont l’expression médiatique de la toute puissance monarchique, celle d’un roi qui personnalise tous les pouvoirs, jusqu’à devenir l’épicentre du système politique, économique, social et culturel du pays. Qu’on se remémore une seule réforme d’envergure qui porte le nom d’un ministre marocain. Qu’on se souvienne d’une seule action publique et consensuelle qui soit associée à une personne autre que le souverain. Très vite, même l’observateur le plus averti de la dernière décennie marocaine est en panne d’exemples.
    Il se trouve que les discours royaux, dans leur forme aussi bien que dans leur contenu, contribuent à perpétuer l’idée de cette monarchie omniprésente et omnipotente. Ils sont devenus la feuille de route du Premier ministre, tous les ministres s’y réfèrent et les députés de la majorité comme ceux de l’opposition les reprennent à leur compte. Ont-ils d’ailleurs le choix ? Les discours royaux ne sont-ils pas empreints du sceau de l’infaillibilité et de la sacralité ? En fait, tout se passe comme s’ils étaient une bible de science et d’action politique. Au Maroc, la parole du roi fait droit. Bien plus, elle est le pouls du royaume. Quand les mots de Mohammed VI se font durs, les politiques tremblent. Quand le ton se fait urgent, le Maroc s’ébranle. Un discours, celui du 6 novembre 2009, marque un changement de ton et un changement de doctrine. Le roi y affirmait : “Ou on est patriote, ou on est traître”. Voilà qui n’est pas fait pour nous rassurer, nous autres journalistes, si souvent assimilés à des nihilistes, activistes et autres comploteurs de l’intérieur. Mais nous ne devons pas nous sentir visés, nous a-t-on expliqué : les lignes rouges ne sont qu’un fantasme de journaliste… Souleïman Bencheikh
    Telquel
  • Pourquoi une «large autonomie» ?

    Ce qu’on peut dire sans trop se tromper, c’est que Madrid n’est plus neutre et recentre quelque peu sa position sur le Sahara occidental, laissant à Paris le monopole de son parti pris pour le Maroc.
    M. Z. (mohamed_zaaf@yahoo.fr)
    Le Maroc a fatalement pris le goût aux dialogues territoriaux après celui engagé voilà près de 35 ans avec les Sahraouis du Polisario. Maintenant, il invite Madrid à discuter de choses plus raisonnables, de Ceuta et Melilla, et voir comment on pourrait les faire classer aux Nations unies et auprès de l’AIPAC comme des territoires à décoloniser. Madrid, bien sûr, ne l’entend pas de cette oreille et se met à son tour à chanter à tue-tête l’affligeant refrain du makhzen sur la souveraineté et l’intégrité territoriale. Abbas El Fassi aurait-il déjà perdu de vue les étreintes convaincues dispensées par Madrid et l’Europe en guise de remerciements à la micro-marche verte marocaine sur le rocher Persil ? Fort peu probable ! Qu’y a-t-il alors de changé pour que Rabat ose, à un moment où l’Espagne préside l’UE, cette puissante organisation européenne qui vient d’accorder au trône alaouite un statut de privilégié comme pour Israël ? Ce qu’on peut dire sans trop se tromper, c’est que Madrid n’est plus neutre et recentre quelque peu sa position sur le Sahara occidental, laissant à Paris le monopole de son parti pris pour le Maroc. Face à la nouvelle situation dégagée par les derniers débats onusiens sur le dossier sahraoui, Rabat adopte une démarche qui semble s’inspirer d’un vieux dicton maghrébin : «Gronde-le pour le son, il en oubliera l’orge». Rabat brandit ses vieilles revendications sur Ceuta et Melilla, pour aider Madrid à se corrige, et, comme on dit, «revenir sur le bon chemin» concernant le Sahara occidental. Mais Rabat penserait-il à aller titiller la quiétude de l’ombrageuse Espagne et à déplaire à l’actuel président de l’Europe, sans appui, sans garantir ses arrières ? Et qui d’autre que Paris peut tenir le rôle du comparse et maintenir son appui au Maroc même lorsqu’il singe les méfaits d’Israël ? Paris n’a-t-il pas empêché la protection des droits humains pour protéger un pouvoir qui redoute les consultations plus que les ADM ? Mais pourquoi le trône n’accepterait-il pas une large autonomie à Ceuta et Melilla si Madrid la proposait ? Rabat ne croit-il pas que les populations qui y vivent une gouvernance ibère depuis 500 ans seraient comme celles d’Ifni, heureuses de plonger enfin dans les bras du Makhzen ?
    Le Jeune Indépendant, 20 mai 2010


  • L’assemblée générale des enseignants des universités nigérianes adopte une motion de soutien au peuple sahraoui

    Markurdie (Nigeria) 18/05/2010 (SPS) L’assemblée générale des enseignants des universités nigérianes a adopté lundi, à la clôture de sa seizième session une motion de soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, insistant sur la nécessité du parachèvement de la décolonisation du Sahara occidental, a-t-on appris de source proche de l’ambassade de la RASD auprès du Nigeria.
    Les professeurs nigérians ont exprimé leur solidarité avec la lutte du peuple sahraoui pour la liberté et l’indépendance, condamnant les violations flagrantes des droits de l’homme commises par les autorités d’occupation marocaines dans les villes occupées du Sahara occidental.

    Ils ont également appelé l’Organisation des Nations Unies et l’Union africaine pour la mise en place dans les plus brefs délais d’un mécanisme international capable de surveiller et protéger les droits humains au Sahara occidental, comme ont exigé les diverses organisations internationales des droits de l’homme.

    Ils ont en outre demandé l’élaboration d’un programme au niveau des universités nigérianes afin de sensibiliser les milieux académiques et estudiantins autours de la question du Sahara occidental, dernière colonie en Afrique.

    Intervenant devant la 16ème assemblée générale des enseignants des universités nigérianes qui se tient dans la ville de Markudi, capitale de l’Etat de Benue, l’ambassadeur sahraoui au Nigeria, Oubi Bachir a relevé que « le problème de décolonisation du Sahara Occidental n’affecte pas l’avenir de la paix et de la stabilité en Afrique du Nord uniquement mais dans la région tout entière, l’occupation militaire marocaine du Sahara Occidental étant une violation flagrante du principe fondamental de l’OUA , a savoir le respect des frontières héritées du colonialisme », rappelle-t-on. (SPS)
  • Pourquoi une «large autonomie» ?

    Ce qu’on peut dire sans trop se tromper, c’est que Madrid n’est plus neutre et recentre quelque peu sa position sur le Sahara occidental, laissant à Paris le monopole de son parti pris pour le Maroc.
    M. Z. (mohamed_zaaf@yahoo.fr)
    Le Maroc a fatalement pris le goût aux dialogues territoriaux après celui engagé voilà près de 35 ans avec les Sahraouis du Polisario. Maintenant, il invite Madrid à discuter de choses plus raisonnables, de Ceuta et Melilla, et voir comment on pourrait les faire classer aux Nations unies et auprès de l’AIPAC comme des territoires à décoloniser. Madrid, bien sûr, ne l’entend pas de cette oreille et se met à son tour à chanter à tue-tête l’affligeant refrain du makhzen sur la souveraineté et l’intégrité territoriale. Abbas El Fassi aurait-il déjà perdu de vue les étreintes convaincues dispensées par Madrid et l’Europe en guise de remerciements à la micro-marche verte marocaine sur le rocher Persil ? Fort peu probable ! Qu’y a-t-il alors de changé pour que Rabat ose, à un moment où l’Espagne préside l’UE, cette puissante organisation européenne qui vient d’accorder au trône alaouite un statut de privilégié comme pour Israël ? Ce qu’on peut dire sans trop se tromper, c’est que Madrid n’est plus neutre et recentre quelque peu sa position sur le Sahara occidental, laissant à Paris le monopole de son parti pris pour le Maroc. Face à la nouvelle situation dégagée par les derniers débats onusiens sur le dossier sahraoui, Rabat adopte une démarche qui semble s’inspirer d’un vieux dicton maghrébin : «Gronde-le pour le son, il en oubliera l’orge». Rabat brandit ses vieilles revendications sur Ceuta et Melilla, pour aider Madrid à se corrige, et, comme on dit, «revenir sur le bon chemin» concernant le Sahara occidental. Mais Rabat penserait-il à aller titiller la quiétude de l’ombrageuse Espagne et à déplaire à l’actuel président de l’Europe, sans appui, sans garantir ses arrières ? Et qui d’autre que Paris peut tenir le rôle du comparse et maintenir son appui au Maroc même lorsqu’il singe les méfaits d’Israël ? Paris n’a-t-il pas empêché la protection des droits humains pour protéger un pouvoir qui redoute les consultations plus que les ADM ? Mais pourquoi le trône n’accepterait-il pas une large autonomie à Ceuta et Melilla si Madrid la proposait ? Rabat ne croit-il pas que les populations qui y vivent une gouvernance ibère depuis 500 ans seraient comme celles d’Ifni, heureuses de plonger enfin dans les bras du Makhzen ?
    Le Jeune Indépendant, 20 mai 2010


  • L’assemblée générale des enseignants des universités nigérianes adopte une motion de soutien au peuple sahraoui

    Markurdie (Nigeria) 18/05/2010 (SPS) L’assemblée générale des enseignants des universités nigérianes a adopté lundi, à la clôture de sa seizième session une motion de soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination, insistant sur la nécessité du parachèvement de la décolonisation du Sahara occidental, a-t-on appris de source proche de l’ambassade de la RASD auprès du Nigeria.
    Les professeurs nigérians ont exprimé leur solidarité avec la lutte du peuple sahraoui pour la liberté et l’indépendance, condamnant les violations flagrantes des droits de l’homme commises par les autorités d’occupation marocaines dans les villes occupées du Sahara occidental.

    Ils ont également appelé l’Organisation des Nations Unies et l’Union africaine pour la mise en place dans les plus brefs délais d’un mécanisme international capable de surveiller et protéger les droits humains au Sahara occidental, comme ont exigé les diverses organisations internationales des droits de l’homme.

    Ils ont en outre demandé l’élaboration d’un programme au niveau des universités nigérianes afin de sensibiliser les milieux académiques et estudiantins autours de la question du Sahara occidental, dernière colonie en Afrique.

    Intervenant devant la 16ème assemblée générale des enseignants des universités nigérianes qui se tient dans la ville de Markudi, capitale de l’Etat de Benue, l’ambassadeur sahraoui au Nigeria, Oubi Bachir a relevé que « le problème de décolonisation du Sahara Occidental n’affecte pas l’avenir de la paix et de la stabilité en Afrique du Nord uniquement mais dans la région tout entière, l’occupation militaire marocaine du Sahara Occidental étant une violation flagrante du principe fondamental de l’OUA , a savoir le respect des frontières héritées du colonialisme », rappelle-t-on. (SPS)
  • hier soir durant mon sommeil j’ai fait un rêve que je suis devenu…???

    Salam ,
    Hier soir durant mon sommeil j’ai fait un rêve que je suis devenu le Roi du Maroc. Durant ce rêve je me voyais comme celui qui dirige le Maroc et qui a commencé à faire de la justice parmi le peuple marocain, celui qui a renoncé à la fortune et a préfère aider ses semblables. Celui qui a mis à la porte tous ceux qui ne voulaient pas contribuer à la démocratie du Maroc. J’ai jugé tous ceux qui ont volé le Maroc. En quelque mois j’étais capable de redresser le Maroc. Il n’ y avait plus de chômage, plus de pauvreté, plus de jeune diplômés qui tenaient les murs, plus de femmes laissées à leur sort, plus de mendiants, plus de prostitution juvénile, plus de corruption.
    J’étais très heureux de sortir dans la rue comme un simple Roi parmi son peuple qui m’acclamait comme sauveur de la nation. Vous ne pouvez pas imaginer comme j’étais heureux de voire mes frères et sœurs heureux avec moi. J’ai même partagé mais palais et voitures de luxes avec ce peuple que j’aime tellement. J’ai même partagé mes costumes, avec mes amis et mon peuple. J’ai demandé à ce que tout marocain soit paye de la richesse que son pays produit. J’ai demande à tous ses crouches Lahram de ramener leur fortune et d’investir au Maroc. J’étais tellement heureux que je trouvais une paix en moi. Notre pays est enfin devenu un pays exemplaire avec mon règne.
    Une fois réveiller j’ai dit mon Dieu, j’ai fais un rêve illégale. Un rêve que je ne devais pas faire. Un rêve que juste certains on le droit de faire et pas moi. Moi un citoyen simple comment pourrai je faire un rêve pareil.
    Je me demande s’il y a une loi chez nous qui peut condamner des citoyens pour des rêves illégaux?????????
    J’attends vos commentaires et si vous avez des solutions et des suggestions pour moi. S’il y a un avocat parmi nous s’il vous plait donner des conseils à votre frère.
    Un bloggueur sur Modego 

  • hier soir durant mon sommeil j’ai fait un rêve que je suis devenu…???

    Salam ,
    Hier soir durant mon sommeil j’ai fait un rêve que je suis devenu le Roi du Maroc. Durant ce rêve je me voyais comme celui qui dirige le Maroc et qui a commencé à faire de la justice parmi le peuple marocain, celui qui a renoncé à la fortune et a préfère aider ses semblables. Celui qui a mis à la porte tous ceux qui ne voulaient pas contribuer à la démocratie du Maroc. J’ai jugé tous ceux qui ont volé le Maroc. En quelque mois j’étais capable de redresser le Maroc. Il n’ y avait plus de chômage, plus de pauvreté, plus de jeune diplômés qui tenaient les murs, plus de femmes laissées à leur sort, plus de mendiants, plus de prostitution juvénile, plus de corruption.
    J’étais très heureux de sortir dans la rue comme un simple Roi parmi son peuple qui m’acclamait comme sauveur de la nation. Vous ne pouvez pas imaginer comme j’étais heureux de voire mes frères et sœurs heureux avec moi. J’ai même partagé mais palais et voitures de luxes avec ce peuple que j’aime tellement. J’ai même partagé mes costumes, avec mes amis et mon peuple. J’ai demandé à ce que tout marocain soit paye de la richesse que son pays produit. J’ai demande à tous ses crouches Lahram de ramener leur fortune et d’investir au Maroc. J’étais tellement heureux que je trouvais une paix en moi. Notre pays est enfin devenu un pays exemplaire avec mon règne.
    Une fois réveiller j’ai dit mon Dieu, j’ai fais un rêve illégale. Un rêve que je ne devais pas faire. Un rêve que juste certains on le droit de faire et pas moi. Moi un citoyen simple comment pourrai je faire un rêve pareil.
    Je me demande s’il y a une loi chez nous qui peut condamner des citoyens pour des rêves illégaux?????????
    J’attends vos commentaires et si vous avez des solutions et des suggestions pour moi. S’il y a un avocat parmi nous s’il vous plait donner des conseils à votre frère.
    Un bloggueur sur Modego