Mois : mai 2010

  • L’Afrique du Sud continuera à soutenir le Sahara occidental pour son droit à l’autodétermination (MAE sud-africaine)

    Alger, 25/05/2010 (SPS) L’Afrique du Sud continuera à soutenir le droit du peuple Sahraoui à l’autodétermination, a affirmé mardi à Alger, la ministre des Relations internationales et de la Coopération d’Afrique du Sud, Mme Maite Nkoana Mashabane.
    « L’Afrique du Sud continuera à soutenir le peuple sahraoui pour l’exercice de son droit inaliénable à l’autodétermination de manière libre, démocratique et indépendante », a déclaré Mme Nkoana Mashabane dans son allocution à l’ouverture de la 5e session de la Haute commission binationale de coopération entre l’Algérie et l’Afrique du Sud.

    « Nous continuerons à soutenir l’Envoyé spécial des Nations unies au Sahara occidental, M. Christopher Ross dans les efforts que déploie l’Onu pour une solution juste et équitable à ce problème », a-t-elle souligné.

    Exprimant sa « préoccupation » quant à la situation qui prévaut au Sahara occidental, elle a regretté que le peuple sahraoui continue encore de lutter pour son autodétermination au moment où, a-t-elle dit, « tous les Africains sont libres à l’exception de nos frères et sœurs du Sahara occidental ».

    La ministre sud-africaine a relevé aussi que l’occupation marocaine contraint le peuple sahraoui à vivre dans des conditions déplorables.

    « Nous notons avec préoccupation la violation flagrante des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés », a-t-elle dit, exhortant le secrétaire général de l’Onu à amener le Conseil de sécurité « à élargir le mandat de la Minurso au contrôle et à la surveillance des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés ».

    Dans le même sillage, elle a déploré que le Maroc poursuit l’extraction des ressources naturelles du Sahara occidental, notamment le phosphate, « au moment même où les négociations sont en cours ». (SPS)
  • Les 4es Journées des universités publiques madrilènes sur le Sahara occidental mercredi à Madrid

    Madrid, 24/05/2010 (SPS) La 4e édition des Journées des universités publiques de Madrid sur le Sahara occidental aura lieu mercredi à Madrid avec la participation de nombreux académiciens, experts dans ce conflit colonial, ainsi que plusieurs personnalités politiques comme le chef du gouvernement sahraoui, Abdelkader Taleb Omar, ou la Sud-africaine, Winnie Mandela, entre autres.
    Cette rencontre de quatre jours, qui se veut également un espace public de réflexion et de débat autour de la question sahraouie, se déroulera dans le prestigieux Cercle des Beaux-Arts de la capitale espagnole sous le thème de : « Sahara occidental, un agenda en suspens, décolonisation et droits de l’homme ».

    Elle vise trois objectifs essentiels : « l’analyse plurielle de la conjoncture internationale, la sensibilisation de l’opinion publique espagnole sur la réalité sociale, culturelle, politique et humaine du peuple sahraouie et, enfin, identifier les domaines de coopération dans lesquels les universités peuvent contribuer à établir des modèles de coopération au développement ainsi que des programmes de volontariat dans les campements de réfugiés sahraouis », précisent les organisateurs.

    Elle s’inscrit également dans la foulée du 50e anniversaire de la résolution de l’Assemblée Générale des Nations unies 1.515 (XV) qui est la pierre angulaire du processus de décolonisation placé sous l’égide de l’ONU dans le cadre du droit international, ainsi que des principales indépendances dans le continent africain.

    Toutefois, les organisateurs relèvent que, « 30 ans après, le processus de décolonisation du Sahara occidental est toujours dans l’attente d’une solution, sans que les multiples résolutions de l’ONU réaffirmant l’exercice du principe d’autodétermination au peuple sahraoui — cadre auquel on ne peut renoncer — ne soient finalement acceptées ».

    « Cet enlisement a provoqué un conflit politique ainsi qu’un grave problème humanitaire en raison de la situation des Sahraouis vivant dans les campements de réfugiés et qui dépendent de la coopération et de l’aide internationale pour survivre », ont rappelé les organisateurs.

    Pour eux, il appartient à l’Espagne, en tant qu’ancienne puissance coloniale et toujours administrante du territoire, de « jouer un rôle actif dans la résolution de ce conflit sur la base des normes et principes de la communauté internationale ».

    Plusieurs communications sont au menu de ces journées d’information sur le conflit du Sahara occidental et traiteront notamment « Le Sahara occidental et les Nations unies. Un pari définitif sur la décolonisation », « L’Afrique et le Sahara occidental : l’implication de la communauté internationale », « L’obligation des Nations unies et des Etats membres de veiller aux droits de l’homme au Sahara occidental, le cas de la MINURSO ».

    Plusieurs tables-rondes sont également programmées pour permettre aux participants de débattre des « solutions politiques pour le Sahara occidental », des « expériences des universités au Sahara occidental », de « la société civile, les médias et le Sahara occidental », ou encore des « droits de l’homme et territoires occupés » et des  » ressources naturelles au Sahara occidental ».

    Enfin, la « Plateforme Tous avec le Sahara (occidental) » sera également au rendez-vous avec la participation de plusieurs personnalités du monde de la culture en Espagne, dont le célèbre acteur Javier Bardem, un ardent défenseur du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui. (SPS)
  • L’Afrique du Sud continuera à soutenir le Sahara occidental pour son droit à l’autodétermination (MAE sud-africaine)

    Alger, 25/05/2010 (SPS) L’Afrique du Sud continuera à soutenir le droit du peuple Sahraoui à l’autodétermination, a affirmé mardi à Alger, la ministre des Relations internationales et de la Coopération d’Afrique du Sud, Mme Maite Nkoana Mashabane.
    « L’Afrique du Sud continuera à soutenir le peuple sahraoui pour l’exercice de son droit inaliénable à l’autodétermination de manière libre, démocratique et indépendante », a déclaré Mme Nkoana Mashabane dans son allocution à l’ouverture de la 5e session de la Haute commission binationale de coopération entre l’Algérie et l’Afrique du Sud.

    « Nous continuerons à soutenir l’Envoyé spécial des Nations unies au Sahara occidental, M. Christopher Ross dans les efforts que déploie l’Onu pour une solution juste et équitable à ce problème », a-t-elle souligné.

    Exprimant sa « préoccupation » quant à la situation qui prévaut au Sahara occidental, elle a regretté que le peuple sahraoui continue encore de lutter pour son autodétermination au moment où, a-t-elle dit, « tous les Africains sont libres à l’exception de nos frères et sœurs du Sahara occidental ».

    La ministre sud-africaine a relevé aussi que l’occupation marocaine contraint le peuple sahraoui à vivre dans des conditions déplorables.

    « Nous notons avec préoccupation la violation flagrante des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés », a-t-elle dit, exhortant le secrétaire général de l’Onu à amener le Conseil de sécurité « à élargir le mandat de la Minurso au contrôle et à la surveillance des droits de l’homme dans les territoires sahraouis occupés ».

    Dans le même sillage, elle a déploré que le Maroc poursuit l’extraction des ressources naturelles du Sahara occidental, notamment le phosphate, « au moment même où les négociations sont en cours ». (SPS)
  • Les 4es Journées des universités publiques madrilènes sur le Sahara occidental mercredi à Madrid

    Madrid, 24/05/2010 (SPS) La 4e édition des Journées des universités publiques de Madrid sur le Sahara occidental aura lieu mercredi à Madrid avec la participation de nombreux académiciens, experts dans ce conflit colonial, ainsi que plusieurs personnalités politiques comme le chef du gouvernement sahraoui, Abdelkader Taleb Omar, ou la Sud-africaine, Winnie Mandela, entre autres.
    Cette rencontre de quatre jours, qui se veut également un espace public de réflexion et de débat autour de la question sahraouie, se déroulera dans le prestigieux Cercle des Beaux-Arts de la capitale espagnole sous le thème de : « Sahara occidental, un agenda en suspens, décolonisation et droits de l’homme ».

    Elle vise trois objectifs essentiels : « l’analyse plurielle de la conjoncture internationale, la sensibilisation de l’opinion publique espagnole sur la réalité sociale, culturelle, politique et humaine du peuple sahraouie et, enfin, identifier les domaines de coopération dans lesquels les universités peuvent contribuer à établir des modèles de coopération au développement ainsi que des programmes de volontariat dans les campements de réfugiés sahraouis », précisent les organisateurs.

    Elle s’inscrit également dans la foulée du 50e anniversaire de la résolution de l’Assemblée Générale des Nations unies 1.515 (XV) qui est la pierre angulaire du processus de décolonisation placé sous l’égide de l’ONU dans le cadre du droit international, ainsi que des principales indépendances dans le continent africain.

    Toutefois, les organisateurs relèvent que, « 30 ans après, le processus de décolonisation du Sahara occidental est toujours dans l’attente d’une solution, sans que les multiples résolutions de l’ONU réaffirmant l’exercice du principe d’autodétermination au peuple sahraoui — cadre auquel on ne peut renoncer — ne soient finalement acceptées ».

    « Cet enlisement a provoqué un conflit politique ainsi qu’un grave problème humanitaire en raison de la situation des Sahraouis vivant dans les campements de réfugiés et qui dépendent de la coopération et de l’aide internationale pour survivre », ont rappelé les organisateurs.

    Pour eux, il appartient à l’Espagne, en tant qu’ancienne puissance coloniale et toujours administrante du territoire, de « jouer un rôle actif dans la résolution de ce conflit sur la base des normes et principes de la communauté internationale ».

    Plusieurs communications sont au menu de ces journées d’information sur le conflit du Sahara occidental et traiteront notamment « Le Sahara occidental et les Nations unies. Un pari définitif sur la décolonisation », « L’Afrique et le Sahara occidental : l’implication de la communauté internationale », « L’obligation des Nations unies et des Etats membres de veiller aux droits de l’homme au Sahara occidental, le cas de la MINURSO ».

    Plusieurs tables-rondes sont également programmées pour permettre aux participants de débattre des « solutions politiques pour le Sahara occidental », des « expériences des universités au Sahara occidental », de « la société civile, les médias et le Sahara occidental », ou encore des « droits de l’homme et territoires occupés » et des  » ressources naturelles au Sahara occidental ».

    Enfin, la « Plateforme Tous avec le Sahara (occidental) » sera également au rendez-vous avec la participation de plusieurs personnalités du monde de la culture en Espagne, dont le célèbre acteur Javier Bardem, un ardent défenseur du droit à l’autodétermination du peuple sahraoui. (SPS)
  • Affaire Garzon: une ONG marocaine solidaire du magistrat

    Le CMCA avait sollicité de Garzon d’élargir le champ de ses investigations aux cas de disparition dans les rangs des soldats marocains enrôlés dans les forces de Franco. Les ennuis du juge Baltazar Garzon avec la justice de son pays ont fait réagir le Centre marocain pour la mémoire commune et l’avenir (CMCA) de la mémoire d’Abdeslam Boutayeb. Une pétition dénonce ainsi le veto des milieux conservateurs contre les tentatives du magistrat d’enquêter sur les crimes commis durant les années de la dictature de Franco. Dans un communiqué, le Centre exprime son «indignation» de la décision des tenants de la justice en Espagne qui ont interdit à Garzon toute enquête sur la vérité de ce qui s’est passé durant les années où Francisco Franco régnait en maître absolu en Espagne. Dans des déclarations à la presse, Boutayeb assure que «le travail effectué par le juge demande une réponse claire en faveur ou contre l’impunité et nous au centre marocain pour la mémoire commune et l’avenir, nous nous prononçons contre». Toute en exprimant sa totale «solidarité inconditionnelle avec toutes les victimes du franquisme», le communiqué annonce que le CMCA avait sollicité de Baltazar Garzon d’élargir le champ de ses investigations aux cas de disparition dans les rangs des soldats marocains enrôlés dans les forces de Franco. Le Centre marocain pour la mémoire commune et l’avenir n’a pas cessé de revendiquer, à plusieurs occasions au gouvernement espagnol d’établir une liste de tous les disparus marocains ayant participé à la guerre civile en Espagne (1936-1939) et par la même occasion indemniser leurs ayants droit. Le CMCA a été créé en juin 2008 par des intellectuels et des militants des droits de l’Homme. Il s’intéresse également aux enfants disparus durant la guerre civile en Espagne. Dans des déclarations à la presse, Abdeslam Boutayeb estime leur nombre à «10.000 enfants». De même qu’il compte aborder les bombardements aux gaz toxiques dans le Rif pour réprimer la guérilla conduite dans les années 1920 par Abdelkrim Khattabi. Le cas de Baltazar Garzon est bien particulier. Celui ci jouit d’une réputation à l’échelle internationale, fruit de son mandat d’arrêt lancé contre l’ancien dictateur chilien Augusto Pinochet ou encore des têtes d’affiche de la dictature en Argentine et est dans l’incapacité de rééditer le même exploit en Espagne. Les effets de la cure d’amnésie prescrite à la société espagnole au lendemain du décès de Franco sont toujours là. Baltazar Garzon a été forcé de quitter l’Espagne pour un «exil» à la Cour pénal international. Là au moins, il aura le loisir de chasser les dictateurs sans risquer d’aller sur le bûcher.
    Le Soir Echos,
    24.05.10 
  • SAHARA OCCIDENTAL, l’Algérie réitère sa position au gouvernement italien

    Le Ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, a souligné avoir abordé le conflit du Sahara occidental avec son homologue italienne Mme Stefania Craxi. Lors d’une conférence de presse tenue conjointement hier à l’hôtel El-Djazaïr avec Mme Stefania Craxi, M. Messahel a précisé que «l’Algérie a expliqué son approche de la question qui garantisse le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination». Abdelkader Messahel a ajouté que le gouvernement algérien a attiré l’attention de son homologue italien et de l’Union européenne sur la question des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara occidental et abordé le processus des négociations enclenché depuis juin 2007 sous l’égide de l’ONU entre les deux parties en conflit, le royaume du Maroc et le Front Polisario.

  • Manifestation devant le Parlement européen contre les accords économiques avec le Maroc incluant le Sahara occidental

    Strasbourg (France) 24/05/2010 (SPS) Une manifestation a été organisée dimanche devant le Parlement européen à Strasbourg, l’appelant à ne pas signer des accords économiques avec le Maroc incluant les territoires sahraouis, à l’occasion de la clôture de la première conférence de la jeunesse , d’ Allemagne, Sahara occidental, France, qui s’est tenue à Berlin, du 18 au 22 mai, selon la représentation du Front Polisario à Berlin.
    Les manifestants ont appelé l’Union européenne à exercer des pressions sur le Maroc pour qu’il respecte les droits de l’homme au Sahara occidental, cesse le harcèlement des militants sahraouis et libère tous les prisonniers politiques sahraouis qui croupissent dans les prisons marocaines.

    Les manifestants ont également exigé dans une lettre remise à l’Union européenne la résolution du conflit au Sahara occidental, en permettant au peuple sahraoui l’exercice de son droit à l’autodétermination, reconnu par le droit et la légalité internationale. (SPS)

  • Affaire Garzon: une ONG marocaine solidaire du magistrat

    Le CMCA avait sollicité de Garzon d’élargir le champ de ses investigations aux cas de disparition dans les rangs des soldats marocains enrôlés dans les forces de Franco. Les ennuis du juge Baltazar Garzon avec la justice de son pays ont fait réagir le Centre marocain pour la mémoire commune et l’avenir (CMCA) de la mémoire d’Abdeslam Boutayeb. Une pétition dénonce ainsi le veto des milieux conservateurs contre les tentatives du magistrat d’enquêter sur les crimes commis durant les années de la dictature de Franco. Dans un communiqué, le Centre exprime son «indignation» de la décision des tenants de la justice en Espagne qui ont interdit à Garzon toute enquête sur la vérité de ce qui s’est passé durant les années où Francisco Franco régnait en maître absolu en Espagne. Dans des déclarations à la presse, Boutayeb assure que «le travail effectué par le juge demande une réponse claire en faveur ou contre l’impunité et nous au centre marocain pour la mémoire commune et l’avenir, nous nous prononçons contre». Toute en exprimant sa totale «solidarité inconditionnelle avec toutes les victimes du franquisme», le communiqué annonce que le CMCA avait sollicité de Baltazar Garzon d’élargir le champ de ses investigations aux cas de disparition dans les rangs des soldats marocains enrôlés dans les forces de Franco. Le Centre marocain pour la mémoire commune et l’avenir n’a pas cessé de revendiquer, à plusieurs occasions au gouvernement espagnol d’établir une liste de tous les disparus marocains ayant participé à la guerre civile en Espagne (1936-1939) et par la même occasion indemniser leurs ayants droit. Le CMCA a été créé en juin 2008 par des intellectuels et des militants des droits de l’Homme. Il s’intéresse également aux enfants disparus durant la guerre civile en Espagne. Dans des déclarations à la presse, Abdeslam Boutayeb estime leur nombre à «10.000 enfants». De même qu’il compte aborder les bombardements aux gaz toxiques dans le Rif pour réprimer la guérilla conduite dans les années 1920 par Abdelkrim Khattabi. Le cas de Baltazar Garzon est bien particulier. Celui ci jouit d’une réputation à l’échelle internationale, fruit de son mandat d’arrêt lancé contre l’ancien dictateur chilien Augusto Pinochet ou encore des têtes d’affiche de la dictature en Argentine et est dans l’incapacité de rééditer le même exploit en Espagne. Les effets de la cure d’amnésie prescrite à la société espagnole au lendemain du décès de Franco sont toujours là. Baltazar Garzon a été forcé de quitter l’Espagne pour un «exil» à la Cour pénal international. Là au moins, il aura le loisir de chasser les dictateurs sans risquer d’aller sur le bûcher.
    Le Soir Echos,
    24.05.10 
  • SAHARA OCCIDENTAL, l’Algérie réitère sa position au gouvernement italien

    Le Ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, M. Abdelkader Messahel, a souligné avoir abordé le conflit du Sahara occidental avec son homologue italienne Mme Stefania Craxi. Lors d’une conférence de presse tenue conjointement hier à l’hôtel El-Djazaïr avec Mme Stefania Craxi, M. Messahel a précisé que «l’Algérie a expliqué son approche de la question qui garantisse le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination». Abdelkader Messahel a ajouté que le gouvernement algérien a attiré l’attention de son homologue italien et de l’Union européenne sur la question des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara occidental et abordé le processus des négociations enclenché depuis juin 2007 sous l’égide de l’ONU entre les deux parties en conflit, le royaume du Maroc et le Front Polisario.

  • Manifestation devant le Parlement européen contre les accords économiques avec le Maroc incluant le Sahara occidental

    Strasbourg (France) 24/05/2010 (SPS) Une manifestation a été organisée dimanche devant le Parlement européen à Strasbourg, l’appelant à ne pas signer des accords économiques avec le Maroc incluant les territoires sahraouis, à l’occasion de la clôture de la première conférence de la jeunesse , d’ Allemagne, Sahara occidental, France, qui s’est tenue à Berlin, du 18 au 22 mai, selon la représentation du Front Polisario à Berlin.
    Les manifestants ont appelé l’Union européenne à exercer des pressions sur le Maroc pour qu’il respecte les droits de l’homme au Sahara occidental, cesse le harcèlement des militants sahraouis et libère tous les prisonniers politiques sahraouis qui croupissent dans les prisons marocaines.

    Les manifestants ont également exigé dans une lettre remise à l’Union européenne la résolution du conflit au Sahara occidental, en permettant au peuple sahraoui l’exercice de son droit à l’autodétermination, reconnu par le droit et la légalité internationale. (SPS)