Mois : mai 2010

  • L’Algérie explique à l’UE ses positions concernant les manquements marocains aux droits de l’Homme

    Par Fayçal Oukaci
    A l’occasion de la clôture de la première conférence de la jeunesse, et qui avait regroupé des jeunes d’ Allemagne, du Sahara occidental et de la France, qui s’est tenue à Berlin, du 18 au 22 mai, selon la représentation du Front Polisario à Berlin, les manifestants ont appelé l’Union européenne à exercer des pressions sur le Maroc pour qu’il respecte les droits de l’homme au Sahara occidental, cesse le harcèlement des militants sahraouis et libère tous les prisonniers politiques sahraouis qui croupissent dans les prisons marocaines.
    Les manifestants ont également exigé dans une lettre remise à l’Union européenne la résolution du conflit au Sahara occidental, en permettant au peuple sahraoui l’exercice de son droit à l’autodétermination, reconnu par le droit et la légalité internationale
    Simultanément, le Ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, qui était en compagnie de son homologue italienne Mme Stefania Craxi, expliquait à cette dernière la nature du conflit du Sahara occidental. Messahel a précisait aussi que «l’Algérie a expliqué son approche de la question qui garantisse le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination». Abdelkader Messahel a ajouté en outre, que le gouvernement algérien a attiré l’attention de son homologue italien et de l’Union européenne sur la question des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara occidental et abordé le processus des négociations enclenché depuis juin 2007 sous l’égide de l’ONU entre les deux parties en conflit, le royaume du Maroc et le Front Polisario. 
    Echourouk On Line 25.05.2010
  • L’Algérie explique à l’UE ses positions concernant les manquements marocains aux droits de l’Homme

    Par Fayçal Oukaci
    A l’occasion de la clôture de la première conférence de la jeunesse, et qui avait regroupé des jeunes d’ Allemagne, du Sahara occidental et de la France, qui s’est tenue à Berlin, du 18 au 22 mai, selon la représentation du Front Polisario à Berlin, les manifestants ont appelé l’Union européenne à exercer des pressions sur le Maroc pour qu’il respecte les droits de l’homme au Sahara occidental, cesse le harcèlement des militants sahraouis et libère tous les prisonniers politiques sahraouis qui croupissent dans les prisons marocaines.
    Les manifestants ont également exigé dans une lettre remise à l’Union européenne la résolution du conflit au Sahara occidental, en permettant au peuple sahraoui l’exercice de son droit à l’autodétermination, reconnu par le droit et la légalité internationale
    Simultanément, le Ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, qui était en compagnie de son homologue italienne Mme Stefania Craxi, expliquait à cette dernière la nature du conflit du Sahara occidental. Messahel a précisait aussi que «l’Algérie a expliqué son approche de la question qui garantisse le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination». Abdelkader Messahel a ajouté en outre, que le gouvernement algérien a attiré l’attention de son homologue italien et de l’Union européenne sur la question des droits de l’homme dans les territoires occupés du Sahara occidental et abordé le processus des négociations enclenché depuis juin 2007 sous l’égide de l’ONU entre les deux parties en conflit, le royaume du Maroc et le Front Polisario. 
    Echourouk On Line 25.05.2010
  • Un parti politique espagnol dénonce les violations des droits des travailleurs sahraouis par le Maroc

    Madrid, 25/05/2010 (SPS) Le parti politique espagnol Union Progrès et Développement (UPD) a dénoncé la « constante violation » des droits des travailleurs sahraouis au Sahara occidental occupé par le Maroc, ainsi que leur « abandon » par l’Espagne depuis son retrait de ce territoire en 1975.

    « Il est de notre devoir moral de soutenir et de défendre les travailleurs sahraouis victimes de l’arbitraire et des exactions des autorités d’occupation marocaines, et l’Espagne a une dette envers ceux qui, jusqu’à 1975, étaient encore des travailleurs espagnols (…) », a affirmé le responsable de la Politique internationale de l’UPyD, Fernando Maura, dans un communiqué.

    Le responsable de cette formation politique, qui milite pour le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui et à la reconnaissance de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) par le gouvernement espagnol, a observé que, depuis le retrait de l’Espagne de son ancienne colonie, les droits des travailleurs sahraouis « ont été soumis à l’arbitraire ».

    « Le gouvernement de Rabat n’a pas respecté les contrats (de travail), a rabaissé les salaires, durci les conditions de travail, privilégiant les colons marocains, et encouragé les mesures de licenciement arbitraire comme une nouvelle forme de répression contre la population sahraouie », a-t-il dénoncé.

    Dans ce sens, il a cité le cas « particulièrement grave » des mines de phosphates de Fosboucraa –aujourd’hui entre les mains d’une compagnie marocaine– où « sur plus de 1.600 Sahraouis qui y travaillaient à la fin de la présence espagnole, il ne reste que quelque 200 actuellement, alors que les postes de travail occupés par les colons marocains dépasse les 1.700 ». (SPS)

  • Un parti politique espagnol dénonce les violations des droits des travailleurs sahraouis par le Maroc

    Madrid, 25/05/2010 (SPS) Le parti politique espagnol Union Progrès et Développement (UPD) a dénoncé la « constante violation » des droits des travailleurs sahraouis au Sahara occidental occupé par le Maroc, ainsi que leur « abandon » par l’Espagne depuis son retrait de ce territoire en 1975.

    « Il est de notre devoir moral de soutenir et de défendre les travailleurs sahraouis victimes de l’arbitraire et des exactions des autorités d’occupation marocaines, et l’Espagne a une dette envers ceux qui, jusqu’à 1975, étaient encore des travailleurs espagnols (…) », a affirmé le responsable de la Politique internationale de l’UPyD, Fernando Maura, dans un communiqué.

    Le responsable de cette formation politique, qui milite pour le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui et à la reconnaissance de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) par le gouvernement espagnol, a observé que, depuis le retrait de l’Espagne de son ancienne colonie, les droits des travailleurs sahraouis « ont été soumis à l’arbitraire ».

    « Le gouvernement de Rabat n’a pas respecté les contrats (de travail), a rabaissé les salaires, durci les conditions de travail, privilégiant les colons marocains, et encouragé les mesures de licenciement arbitraire comme une nouvelle forme de répression contre la population sahraouie », a-t-il dénoncé.

    Dans ce sens, il a cité le cas « particulièrement grave » des mines de phosphates de Fosboucraa –aujourd’hui entre les mains d’une compagnie marocaine– où « sur plus de 1.600 Sahraouis qui y travaillaient à la fin de la présence espagnole, il ne reste que quelque 200 actuellement, alors que les postes de travail occupés par les colons marocains dépasse les 1.700 ». (SPS)

  • Les autorités marocaines répriment et blessent des dizaines de citoyens

    Par Massinissa Benlakehal
    El Aaiun occupée au Sahara Occidental.- Une fois de plus les autorités de l’occupation marocaines ont donné la preuve irréfutable de leur détermination à user de tous les moyes pour réprimer le peuple sahraoui. Objectif de ces pratiques, le dissuader d’abandonner sa lutte pour son autodétermination. La preuve en a été donnée, samedi, quand des dizaines de citoyens sahraouis ont été gravement blessés suite à l’intervention des forces de sécurité marocaine dans la ville d’El Aaiun occupée. Ainsi, a indiqué l’Agence de presse sahraouie (SPS), « des centaines de citoyens sahraouis ont été surpris par une violente intervention des forces de sécurité marocaines qui ont encerclé la résidence de la famille de l’activiste Saleh Loubeihi où ils s’étaient rassemblés samedi dernier pour accueillir les détenus libérés ». Et à l’agence d’ajouter : « ces derniers ainsi que d’autres activistes des droits de l’Homme ont été blessés, dont Rachid Sghayer et Yehdih Terrouzi ». Par ailleurs, la vague de violence a gagné les ruelles adjacentes ou une manifestation a été organisée pour protester contre l’interdiction de rendre visite aux activistes libérés, a précisé la même source qui ajoute que quatre citoyennes ont été blessées et quelques manifestants enlevés. Les manifestants qui scandaient des slogans en faveur d’une République sahraouie et du front Polisario, ont appelé à poursuivre la résistance et la lutte pour faire échouer les plans de l’occupation marocaine, et mettre à nu la position de la France en faveur du régime expansionniste marocain.
    « La police marocaine, en civil et en uniforme, avait imposé un état de siège autour de l’aéroport de la ville d’El Aaiun », a fait savoir SPS, afin, a-t-elle expliqué « d’empêcher les citoyens sahraouis et particulièrement les défenseurs sahraouis des droits humains de venir accueillir les trois prisonniers politiques libérés ». La police marocaine, selon la même source, a également fermé toutes les rues menant au domicile de la famille du prisonnier Saleh Leboihi.
    Les trois prisonniers/activistes politiques en question ont été libérés, mardi dernier, après avoir passé sept mois dans la prison de Salé (Maroc). Ils ont été arrêtés en octobre dernier en compagnie de quatre autres dont une femme, à leur retour d’une visite familiale dans les camps de réfugiés sahraouis à Tindouf (sud-ouest algérien). Les trois autres, Brahim Dahane, Ali Salem Tamek et Hamadi Nassiri, a souligné l’agence de presse sahraouie, croupissent toujours dans la prison marocaine de Salé, alors que la seule femme, Degja Lechgar a été mise auparavant en liberté provisoire. 
  • Les autorités marocaines répriment et blessent des dizaines de citoyens

    Par Massinissa Benlakehal
    El Aaiun occupée au Sahara Occidental.- Une fois de plus les autorités de l’occupation marocaines ont donné la preuve irréfutable de leur détermination à user de tous les moyes pour réprimer le peuple sahraoui. Objectif de ces pratiques, le dissuader d’abandonner sa lutte pour son autodétermination. La preuve en a été donnée, samedi, quand des dizaines de citoyens sahraouis ont été gravement blessés suite à l’intervention des forces de sécurité marocaine dans la ville d’El Aaiun occupée. Ainsi, a indiqué l’Agence de presse sahraouie (SPS), « des centaines de citoyens sahraouis ont été surpris par une violente intervention des forces de sécurité marocaines qui ont encerclé la résidence de la famille de l’activiste Saleh Loubeihi où ils s’étaient rassemblés samedi dernier pour accueillir les détenus libérés ». Et à l’agence d’ajouter : « ces derniers ainsi que d’autres activistes des droits de l’Homme ont été blessés, dont Rachid Sghayer et Yehdih Terrouzi ». Par ailleurs, la vague de violence a gagné les ruelles adjacentes ou une manifestation a été organisée pour protester contre l’interdiction de rendre visite aux activistes libérés, a précisé la même source qui ajoute que quatre citoyennes ont été blessées et quelques manifestants enlevés. Les manifestants qui scandaient des slogans en faveur d’une République sahraouie et du front Polisario, ont appelé à poursuivre la résistance et la lutte pour faire échouer les plans de l’occupation marocaine, et mettre à nu la position de la France en faveur du régime expansionniste marocain.
    « La police marocaine, en civil et en uniforme, avait imposé un état de siège autour de l’aéroport de la ville d’El Aaiun », a fait savoir SPS, afin, a-t-elle expliqué « d’empêcher les citoyens sahraouis et particulièrement les défenseurs sahraouis des droits humains de venir accueillir les trois prisonniers politiques libérés ». La police marocaine, selon la même source, a également fermé toutes les rues menant au domicile de la famille du prisonnier Saleh Leboihi.
    Les trois prisonniers/activistes politiques en question ont été libérés, mardi dernier, après avoir passé sept mois dans la prison de Salé (Maroc). Ils ont été arrêtés en octobre dernier en compagnie de quatre autres dont une femme, à leur retour d’une visite familiale dans les camps de réfugiés sahraouis à Tindouf (sud-ouest algérien). Les trois autres, Brahim Dahane, Ali Salem Tamek et Hamadi Nassiri, a souligné l’agence de presse sahraouie, croupissent toujours dans la prison marocaine de Salé, alors que la seule femme, Degja Lechgar a été mise auparavant en liberté provisoire. 
  • Appel au parachèvement du processus de décolonisation prôné à Bandoeng

    ALGER– Le processus de décolonisation auquel la conférence de Bandoeng a contribué n’est pas encore achevé, eu égard aux nombreux pays encore sous le joug du colonialisme, ont souligné lundi à Alger les participants à la Journée commémorative du 55e anniversaire de la Conférence afro-asiatique de Bandoeng. M. Abdelkader Bousselham, ancien diplomate, a lancé à cette occasion l’idée de l’organisation à Alger d’un « autre Bandoeng » sur la Palestine, invitant l’assistance à soutenir cet appel. « La Palestine et le Sahara occidental demeurent toujours colonisés », a rappelé de son coté, l’universitaire Mohamed Lakhdar Maougal dans son intervention sur les grands défis de Bandoeng.
    EL KHABAR, 26 mai 2010 

  • L’Ambassadeur du Venezuela à Alger : « Les africains ne sont pas indépendants tant que le Sahara occidental est colonisé »

    Par H. Yes
    Des participants à la journée parlementaire de solidarité avec le peuple Sahraoui, ont appelé à obliger le Maroc à cesser de violer les Droits de l’Homme dans les territoires Sahraouis ». Certains parmi eux ont considéré que le sort de la question Sahraouie est entre les mains des Sahraouis qui, seuls, peuvent imposer le principe de l’autodétermination sur la partie Marocaine.
    A l’occasion de « la journée de l’Afrique » coïncidant avec le 25 mai de chaque année, l’Assemblée Populaire Nationale a organisé, hier, en son siège, une action de solidarité avec le peuple Sahraoui et leur représentant le Front Polisario (Front populaire de Libération de la Saguia el Hamra et du Rio de Oro). Ont participé à cette action, des parlementaires algériens, notamment le vice président de l’APN, M. Seddik Chihab en plus de parlementaires Sahraouis.
    Dans son intervention, M. Tayeb El Houari, député du Front de Libération Nationale, FLN qui a été chargé de représenter le président de la deuxième chambre du parlement, a indiqué qu’ « on fait face à l’Intifada au Sahara avec une répression atroce dans le but de faire taire la voix de l’indépendance ».
    Pour sa part, l’ambassadeur du Venezuela à Alger a affirmé le soutien de son pays à la cause Sahraouie. Il a estimé que le Venezuela veille à exprimer son soutien à cette cause dans toutes les cérémonies et festivités internationales dont elle prend part. L’Ambassadeur a, également, déclaré aux participants à la journée parlementaire : « vous pouvez compter sur notre soutien et notre sympathie puisque votre cause est juste. A notre avis, il n’existe pas une autre solution à ce conflit que celle de permettre aux Sahraouis l’autodétermination à travers un référendum ». Il a notamment critiqué la commission des Nations Unies chargée d’organiser un référendum au Sahara en lui reprochant ne pas avoir joué son rôle ».
    L’Ambassadeur du Venezuela a, enfin, appelé à l’exploitation de tous les espaces possibles pour transmettre la voix du peuple Sahraoui. Il n’a également, pas omis d’ajouter que le Venezuela considère que les pays africains ne sont pas encore indépendants tant que le peuple Sahraoui soit toujours colonisé ».
    HORIZONS, 26 mai 2010

  • Appel au parachèvement du processus de décolonisation prôné à Bandoeng

    ALGER– Le processus de décolonisation auquel la conférence de Bandoeng a contribué n’est pas encore achevé, eu égard aux nombreux pays encore sous le joug du colonialisme, ont souligné lundi à Alger les participants à la Journée commémorative du 55e anniversaire de la Conférence afro-asiatique de Bandoeng. M. Abdelkader Bousselham, ancien diplomate, a lancé à cette occasion l’idée de l’organisation à Alger d’un « autre Bandoeng » sur la Palestine, invitant l’assistance à soutenir cet appel. « La Palestine et le Sahara occidental demeurent toujours colonisés », a rappelé de son coté, l’universitaire Mohamed Lakhdar Maougal dans son intervention sur les grands défis de Bandoeng.
    EL KHABAR, 26 mai 2010 

  • L’Ambassadeur du Venezuela à Alger : « Les africains ne sont pas indépendants tant que le Sahara occidental est colonisé »

    Par H. Yes
    Des participants à la journée parlementaire de solidarité avec le peuple Sahraoui, ont appelé à obliger le Maroc à cesser de violer les Droits de l’Homme dans les territoires Sahraouis ». Certains parmi eux ont considéré que le sort de la question Sahraouie est entre les mains des Sahraouis qui, seuls, peuvent imposer le principe de l’autodétermination sur la partie Marocaine.
    A l’occasion de « la journée de l’Afrique » coïncidant avec le 25 mai de chaque année, l’Assemblée Populaire Nationale a organisé, hier, en son siège, une action de solidarité avec le peuple Sahraoui et leur représentant le Front Polisario (Front populaire de Libération de la Saguia el Hamra et du Rio de Oro). Ont participé à cette action, des parlementaires algériens, notamment le vice président de l’APN, M. Seddik Chihab en plus de parlementaires Sahraouis.
    Dans son intervention, M. Tayeb El Houari, député du Front de Libération Nationale, FLN qui a été chargé de représenter le président de la deuxième chambre du parlement, a indiqué qu’ « on fait face à l’Intifada au Sahara avec une répression atroce dans le but de faire taire la voix de l’indépendance ».
    Pour sa part, l’ambassadeur du Venezuela à Alger a affirmé le soutien de son pays à la cause Sahraouie. Il a estimé que le Venezuela veille à exprimer son soutien à cette cause dans toutes les cérémonies et festivités internationales dont elle prend part. L’Ambassadeur a, également, déclaré aux participants à la journée parlementaire : « vous pouvez compter sur notre soutien et notre sympathie puisque votre cause est juste. A notre avis, il n’existe pas une autre solution à ce conflit que celle de permettre aux Sahraouis l’autodétermination à travers un référendum ». Il a notamment critiqué la commission des Nations Unies chargée d’organiser un référendum au Sahara en lui reprochant ne pas avoir joué son rôle ».
    L’Ambassadeur du Venezuela a, enfin, appelé à l’exploitation de tous les espaces possibles pour transmettre la voix du peuple Sahraoui. Il n’a également, pas omis d’ajouter que le Venezuela considère que les pays africains ne sont pas encore indépendants tant que le peuple Sahraoui soit toujours colonisé ».
    HORIZONS, 26 mai 2010