Mois : avril 2010

  • Fin de la grève de la faim des six prisonniers politiques de la prison de Salé.

    Les six prisonniers politiques sahraouis en grève de la faim depuis 40 jours au Maroc, ont l’intention de mettre fin à leur protestation dans les prochaines heures, selon une dépêche publiée par ABC.
    Le journal espagnol a appris la nouvelle par des sources proches des prisonniers de Salé.
    Cette décision serait le premier pas d’un accord signé avec les tortionnaires de Rabat.
    Il n’est pas impossible que les six prisonniers soient libérés et leur procès soit parqué comme ce fut le cas du procès de Nadia Tassine.
    Le groupe est intégré par Ali Salem Tamek, Brahim Dahane, Ahmed Naciri, Yahdih Ettarouzzi, Rachid Sghayer et celui qui s’est joint à la proposition plus tard Saleh Lebaihi. Une femme, Dejga Lachgar, a été mise en liberté conditionnelle il y a quelques semaines par des problèmes de santé. 
    Source : ABC 
  • La défaite de la monarchie alaouite

    A force de lire la presse du Makhzen et de regarder les deux chaînes de télévision les plus ridicules du monde (La1, Almaghribia et 2-M) les citoyens marocains se mettent à rêver en plein jour et les yeux ouverts. Le Maroc est le plus avancé en ceci en cela, le plus fort, le plus démocratique.
    En ce qui concerne le Sahara Occidental, le Maroc a annihilé le Polisario, tous ses dirigents ont regagné le Maroc, les camps de réfugiés ont été anéantis par la peste aviare et la majorité ont regagné la « mère-patrie ». Même les décisions de l’ONU et du Conseil de Sécurité sont travesties pour envoyer des éloges au palais royal. Et quand les choses vont très mal, on reporte tous les problèmes au pays voisin, l’Algérie, pour ne pas avouer que les sahraouis ne veulent ni du Maroc ni de son roi.
    Les sahraouis, de leur côté, toujours sereins et confiants en la justesse de leur cause, une cause qui n’a pas été inventée pour éloigner l’armée du nid royal.
    Le peuple sahraoui a fait preuve d’élan de lutte et d’une capacité de résistance qui ont provoqué le déclin et le pourrissement du régime génocidaire de Rabat. Celui-ci, plus il voit le déclin, plus il vire vers la cruauté et la sauvagerie de la répression, l’arme lâche d’un régime lâche qui n’hésite pas à utiliser d’étendards comme « intégrité territoriale », « atteinte aux sacralités »…pour s’acharner contre un peuple sans défense dont le seul crime est de revendiquer ses droits légitimes.
    Ban ki-moon vient de se prononcer clairement pour l’autodétermination du peuple sahraoui et il a donné des garanties au président Mohamed Abdelaziz. Pour être plus claire, il a rappelé que le sigle MINURSO veut dire « Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara Occidental ». Les Nations Unies ont pris du temps à comprendre que le Maroc refuse de collaborer. La communauté internationale veut mettre fin à ce conflit qui dure depuis35 ans.
    Le peuple sahraoui a gagné, parce qu’il aura son autodétermination.


  • Fin de la grève de la faim des six prisonniers politiques de la prison de Salé.

    Les six prisonniers politiques sahraouis en grève de la faim depuis 40 jours au Maroc, ont l’intention de mettre fin à leur protestation dans les prochaines heures, selon une dépêche publiée par ABC.
    Le journal espagnol a appris la nouvelle par des sources proches des prisonniers de Salé.
    Cette décision serait le premier pas d’un accord signé avec les tortionnaires de Rabat.
    Il n’est pas impossible que les six prisonniers soient libérés et leur procès soit parqué comme ce fut le cas du procès de Nadia Tassine.
    Le groupe est intégré par Ali Salem Tamek, Brahim Dahane, Ahmed Naciri, Yahdih Ettarouzzi, Rachid Sghayer et celui qui s’est joint à la proposition plus tard Saleh Lebaihi. Une femme, Dejga Lachgar, a été mise en liberté conditionnelle il y a quelques semaines par des problèmes de santé. 
    Source : ABC 
  • La défaite de la monarchie alaouite

    A force de lire la presse du Makhzen et de regarder les deux chaînes de télévision les plus ridicules du monde (La1, Almaghribia et 2-M) les citoyens marocains se mettent à rêver en plein jour et les yeux ouverts. Le Maroc est le plus avancé en ceci en cela, le plus fort, le plus démocratique.
    En ce qui concerne le Sahara Occidental, le Maroc a annihilé le Polisario, tous ses dirigents ont regagné le Maroc, les camps de réfugiés ont été anéantis par la peste aviare et la majorité ont regagné la « mère-patrie ». Même les décisions de l’ONU et du Conseil de Sécurité sont travesties pour envoyer des éloges au palais royal. Et quand les choses vont très mal, on reporte tous les problèmes au pays voisin, l’Algérie, pour ne pas avouer que les sahraouis ne veulent ni du Maroc ni de son roi.
    Les sahraouis, de leur côté, toujours sereins et confiants en la justesse de leur cause, une cause qui n’a pas été inventée pour éloigner l’armée du nid royal.
    Le peuple sahraoui a fait preuve d’élan de lutte et d’une capacité de résistance qui ont provoqué le déclin et le pourrissement du régime génocidaire de Rabat. Celui-ci, plus il voit le déclin, plus il vire vers la cruauté et la sauvagerie de la répression, l’arme lâche d’un régime lâche qui n’hésite pas à utiliser d’étendards comme « intégrité territoriale », « atteinte aux sacralités »…pour s’acharner contre un peuple sans défense dont le seul crime est de revendiquer ses droits légitimes.
    Ban ki-moon vient de se prononcer clairement pour l’autodétermination du peuple sahraoui et il a donné des garanties au président Mohamed Abdelaziz. Pour être plus claire, il a rappelé que le sigle MINURSO veut dire « Mission des Nations Unies pour le référendum au Sahara Occidental ». Les Nations Unies ont pris du temps à comprendre que le Maroc refuse de collaborer. La communauté internationale veut mettre fin à ce conflit qui dure depuis35 ans.
    Le peuple sahraoui a gagné, parce qu’il aura son autodétermination.


  • Le CODESA appelle à une « intervention urgente » pour sauver la vie des détenus sahraouis

    Chahid El Hafed, 25/04/2010 (SPS) Le Collectif des défenseurs des droits de l’homme sahraouis (CODESA) a appelé dimanche la communauté internationale à une « intervention urgente » pour sauver la vie des détenus sahraouis en grève de la faim dans la prison marocaine de Salé depuis le 18 mars dernier.
    Le CODESA a affirmé sa solidarité avec les prisonniers d’opinion sahraouis en grève de la faim dans la prison de Salé et dont l’état de santé s’est « gravement détériorée » en l’absence de soins médicaux.

    Le Collectif a par ailleurs appelé à un « procès équitable » des détenus et la libération immédiate « sans condition » de tous les prisonniers sahraouis détenus dans les prisons marocaines. Le CODESA a invité les organisations internationales des droits de l’Homme à « exercer des pressions » sur le Maroc pour qu’il accède aux revendications légitimes des détenus sahraouis en lui (le Maroc) imputant l’entière responsabilité du danger qu’ils encourent.

    Plus de 50 détenus politiques sahraouis croupissent dans les prisons marocaines dont 38 observent une grève de la faim illimitée et dont l’état de santé se détériore devant un mépris total des autorités d’occupation marocaines quant à leurs revendications légitimes.

    A cet effet, le comité de suivi de la situation des prisonniers politiques sahraouis en grève de la faim dans la prison marocaine de Salé, a mis en garde contre une « catastrophe humanitaire » après 39 jours de grève.

    Dans un communiqué, le comité a condamné l’indifférence des autorités marocaines face aux revendications légitimes des prisonniers sahraouis qui souffrent de plusieurs maladies en raison du mépris affiché par l’administration pénitentiaire devant leur revendication d’un procès juste ou d’une libération sans condition.

    Par ailleurs, l’état de santé des détenus sahraouis en grève de la faim à la prison de Boulemharez (Marrakech) s’est « gravement détérioré » en l’absence de soins médicaux. En guise de solidarité, le détenu politique sahraoui Yahia Mohamed El Hafed Ieza a observé une grève de la faim de 48 heures dans la prison d’Ait Melloul où il purge une peine de 15 ans pour ses positions en faveur de la cause sahraouie et du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.(SPS)
  • Le CODESA appelle à une "intervention urgente" pour sauver la vie des détenus sahraouis

    Chahid El Hafed, 25/04/2010 (SPS) Le Collectif des défenseurs des droits de l’homme sahraouis (CODESA) a appelé dimanche la communauté internationale à une « intervention urgente » pour sauver la vie des détenus sahraouis en grève de la faim dans la prison marocaine de Salé depuis le 18 mars dernier.
    Le CODESA a affirmé sa solidarité avec les prisonniers d’opinion sahraouis en grève de la faim dans la prison de Salé et dont l’état de santé s’est « gravement détériorée » en l’absence de soins médicaux.

    Le Collectif a par ailleurs appelé à un « procès équitable » des détenus et la libération immédiate « sans condition » de tous les prisonniers sahraouis détenus dans les prisons marocaines. Le CODESA a invité les organisations internationales des droits de l’Homme à « exercer des pressions » sur le Maroc pour qu’il accède aux revendications légitimes des détenus sahraouis en lui (le Maroc) imputant l’entière responsabilité du danger qu’ils encourent.

    Plus de 50 détenus politiques sahraouis croupissent dans les prisons marocaines dont 38 observent une grève de la faim illimitée et dont l’état de santé se détériore devant un mépris total des autorités d’occupation marocaines quant à leurs revendications légitimes.

    A cet effet, le comité de suivi de la situation des prisonniers politiques sahraouis en grève de la faim dans la prison marocaine de Salé, a mis en garde contre une « catastrophe humanitaire » après 39 jours de grève.

    Dans un communiqué, le comité a condamné l’indifférence des autorités marocaines face aux revendications légitimes des prisonniers sahraouis qui souffrent de plusieurs maladies en raison du mépris affiché par l’administration pénitentiaire devant leur revendication d’un procès juste ou d’une libération sans condition.

    Par ailleurs, l’état de santé des détenus sahraouis en grève de la faim à la prison de Boulemharez (Marrakech) s’est « gravement détérioré » en l’absence de soins médicaux. En guise de solidarité, le détenu politique sahraoui Yahia Mohamed El Hafed Ieza a observé une grève de la faim de 48 heures dans la prison d’Ait Melloul où il purge une peine de 15 ans pour ses positions en faveur de la cause sahraouie et du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.(SPS)
  • Maroc : Attaque contre le palais royal

    Panique à Tétouan (Maroc) En début de semaine, un homme barbu d’une trentaine d’années a attaqué le palais royal de la ville, armé d’un sabre. L’assaillant a été maîtrisé par les forces de sécurité après avoir blessé deux policiers en poste devant la résidence royale. Jeudi 15 avril, l’un d’entre eux (A.Y., originaire de Marrakech) est décédé. Son collègue se trouve toujours en soins intensifs. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme au sabre souffre de troubles mentaux. Il a quitté l’hôpital psychiatrique en janvier 2010.
    Tel quel
  • 38e jour de grève de la faim pour les prisonniers saharaouis

    Les prisonniers politiques sahraouis incarcérés dans la prison de Salé, au Maroc, ont été arrêtés en octobre 2009 à leur retour d’une visite à leur famille dans les campements de réfugiés Sahraouis et pour cette raison. Certains parmi eux sont des défenseurs des droits de l’homme internationalement reconnus. Détenus sans raison, maltraités, torturés, sans procès ni jugement, à l’encontre de toutes conventions internationales, ils ont commencé la grève de la faim de protestation le 18 mars. Des dizaines d’autres prisonniers politiques sahraouis dans la prison de El Aaiun au Sahara Occidental et dans les prisons Taroudant, Tiznit, Ben Sliman, Kénitra et Marakech au Maroc, sont ensuite entrés en grève de la faim illimitée en solidarité, et pour protester contre les mêmes traitements inhumains. Leurs états de santé après 37 jours de grève de la faim sont des plus alarmants et leurs souffrances à la mesure de leur opiniâtreté et leur certitude de la justesse de leur revendication. Les organisations saharouies de solidarité et de défense des droits de l’homme ont appelé les prisonniers à suspendre leur grève et à préserver leur vie.
  • Sahara: L’ONU aux côtés du Front Polisario

    Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, a fait part vendredi au chef du Front Polisario, qui milite pour l’indépendance du Sahara occidental, de son inquiétude au sujet de la situation des droits de l’homme dans ce territoire. Après un entretien avec Mohamed Abdelaziz, Ban Ki-moon a s’est prononcé en faveur d’une solution « qui permette l’auto-détermination du peuple du Sahara occidental ». « Le secrétaire général (Ban Ki-moon) s’est déclaré très inquiet des rapports de violations des droits de l’homme. (Il) a annoncé que son envoyé personnel, Christopher Ross, ainsi que le secrétariat de l’ONU, continueraient à oeuvrer à la défense des droits humains des Sahraouis », a détaillé l’ONU à l’agence de presse Reuters. 

    LeJDD.fr 

  • Maroc : Attaque contre le palais royal

    Panique à Tétouan (Maroc) En début de semaine, un homme barbu d’une trentaine d’années a attaqué le palais royal de la ville, armé d’un sabre. L’assaillant a été maîtrisé par les forces de sécurité après avoir blessé deux policiers en poste devant la résidence royale. Jeudi 15 avril, l’un d’entre eux (A.Y., originaire de Marrakech) est décédé. Son collègue se trouve toujours en soins intensifs. Selon les premiers éléments de l’enquête, l’homme au sabre souffre de troubles mentaux. Il a quitté l’hôpital psychiatrique en janvier 2010.
    Tel quel